Poésies Érotiques – LVII– par Pierre Louÿs
Tu ris, garce, et tu t’assieds
Sur ma pine qui t’encule.
Tu crispes tes petits pieds
Autour de mon cou d’Hercule
Et tu cambres ton corps fou
Dans le jour de la verrière
Lorsque mon long membre fout
L’étui chaud de ton derrière.
Piquée au trou du séant
Tu promènes sur mon ventre
Ton con visqueux et béant
Qu’un dard rouge allume au centre.