Odette 5 – Odette, femme fontaine. par Bernard_le_photographe

Puisque Odette acceptait facilement la présence d’un autre partenaire, je proposais à un copain de nous rejoindre à Toulon afin de lui faire connaître le plaisir de la double pénétration.

Elle adorait la sodomie depuis sa nuit de noce, j’en ai déjà parlé, mais elle débutait dans les relations extra conjugales. Cédric avait ouvert la voie en la révélant exhibitionniste, il me l’avait confiée pour aller plus loin car elle devenait avide de découvrir autre chose. Et croyez-moi que des découvertes on en a fait pendant un an et demi de relations.

Ce jour là, nous avions rendez-vous à Bandol, il faisait très beau bien qu’en Janvier et on commença par un thé pris sur le port. Puis dans la voiture la femme BCBG se mua en coquine : elle ôta son pantalon, je l’aidais à mettre un porte-jarretelles (je mets la main à la pâte). Elle enfila des bas blancs et passa une robe boutonnée devant, plus un manteau léger.

Il y avait de gens qui passaient, mais sans voir tout ça et un terrain de jeu de boules à dix mètres.

On s’approcha pour s’arrêter près d’un banc non loin des joueurs et dès que le moment fut propice, je la photographiais montrant ses bas, ouvrant sa robe ou montrant ses fesses à mon objectif. J’adore faire ça, discrètement, c’est très excitant en lieux publics.

Puis on alla en ville acheter un gâteau après que Madame se soit enlevée la culotte sur le banc !

On reprit alors la voiture pour se rendre à l’appart prêté par un ami. On prépara un petit casse-croûte en attendant l’arrivé du copain Michel. Il arriva alors qu’elle était dans la salle de bain, ne l’ayant pas entendu, elle fut vite présentée, en guêpière qu’elle essayait et le nouvel arrivant fut vite excité !

Je servis l’apéro, lui demandant de rester dans cette tenue avec bas et talons hauts pour bien nous exciter et on posa vite nos mains sur elle. Je montrais vite ses seins à Michel qui en lécha un et moi l’autre pendant qu’elle touchait nos pantalons déjà tendus.

J’avais pris mon caméscope pour immortaliser nos ébats et quand Michel écarta sa culotte, il constata qu’elle était trempée, il savait déjà par moi que c’était une « femme fontaine »… Mais on mangea quand même un peu avant les choses (peu) sérieuses.

Ces choses commencèrent sur le canapé où elle ouvrit la braguette de Michel et je filmais la découverte d’un nouveau sexe pour elle. A un moment je filmais entre ses jambes, penché vers le sexe qu’elle suçait, sa culotte déjà envolée, et je vois quelque chose tomber à travers mon objectif. Je regarde, c’est sa fente qui coulait !

Je fus obligé de mettre du papier essuie tout pour ne pas mouiller la moquette

Elle était si excitable que sa chatte réagissait et ça coulait sans arrêt. Il ne faut pas gaspiller ça et j’y posais vite ma bouche pour boire ce nectar !

Puis je voulus montrer ce phénomène à Michel, je la fis se tourner, je l’enlaçais, l’embrassais, avec les jambes bien ouvertes et je lui écartais les fesses.

Je voyais Michel ébahie disant :

– J’ai jamais vu ça, ça lui coule sur les cuisses !

Et il la caressa, la main trempée sous son entre cuisse, la lécha, elle tremblait dans mes bras. Je lui demandais si la grosse queue de Michel lui plaisait, mais je connaissais la réponse !

Je lui dis de mettre une capote, puis je la poussais pour qu’elle s’empale dessus. Elle le fit avec délectation, lentement, savourant chaque centimètres de chair dure entrant en elle, puis confortablement pénétrée elle se pencha vers moi pour me sucer divinement.

Je regarde Michel, ravi qui me fait signe avec le pouce en haut, pendant qu’il lui faisait faire des va-et-vient à cette coquine. On continua nos ébats pendant un bon moment sur ce canapé. Odette très active nous comble de caresses, de fellations et s’exhiba sans gêne devant nous en se masturbant avec ses doigts et son vibro.

On la lèche partout à deux, son corps vibrait, elle était totalement ouverte, recevait nos doigts dans ses orifices en même temps que son vibro, puis elle nous supplia de la prendre.

On ne refusa pas sa demande et pour cela, alors qu’elle était en levrette, le visage posé sur le dossier, on se relaya dans sa fente trempée sans qu’elle sache qui de nous deux la prenait. Quand je vois ces instants, il y a toujours un moment où je prend du recul me disant quelle chance j’ai de vivre ça, qu’il y ait de coquines aimant donner leur corps totalement, le partager pour le plaisir uniquement, pour jouir encore et encore.

J’y pense lorsque je photographie ou filme ces ébats comme détaché de l’action, en voyeur privilégié conscient de vivre des bonheurs inoubliables.

Après l’avoir prise et reprise pendant au moins dix minutes, on changea plusieurs fois de positions puis je repris en main son vibro. Je le promenais sur ses seins dont les gros tétons étaient en érection maximum, puis son ventre et sa minette que j’ouvrais en grand. Elle avait de longues lèvres brunes émergeant d’une toison châtain et sa fente était d’un rouge vif chatoyant. De ma main gauche, j’étirais ses lèvres en faisant jaillir un clitoris bien proéminent, tout rose, où je passais la pointe du vibro. Michel regardait ça en se masturbant, me tendant une serviette que je disposais sous elle car je voulais qu’il la voit gicler comme je l’avais vu, moi. Elle gémissait disant que c’était excitant d’être ainsi exhibée :

– Je voudrais que tu jouisses fort, Odette, pour montrer à Michel comment tu éjacules, tu es trempée mais je veux te voir gicler ta jouissance !
– Oui, Bernard, si tu continue comme ça, c’est sur que je vais y arriver, c’est trop bon !
– Et après, Odette, tu sais ce qu’on va faire ? On va te sodomiser chacun notre tour comme tu aimes, tu as vu la grosse queue de Michel ? Il va prendre ton petit trou, tu veux ?
– Oh, oui, sa grosse bite dans moi, dans mon cul, oui je la veux !
– Et après ? Tu sais pourquoi on est là tous les trois ?
– Oui, Bernard, je vais prendre vos deux bites en moi ?
– Oui, pour la première fois tu vas avoir deux sexes pour toi, dans tes deux trous de vicieuse.

Elle avait les yeux fermés, respirant fort, les mots l’excitaient beaucoup

– Oui, je suis une vicieuse, je vais avoir vos deux bites en moi, oh j’ai envie de jouir, regardez ma chatte ouverte, écarte-moi, enfonce le vibro dans mon cul… oh je vais jouir, ça monte, je m’ouvre…

Et soudain, ce fut une giclée à trente centimètres sur la serviette ! Elle referme aussitôt les cuisses, recroquevillée sur sa jouissance avant même que le vibro soit entré dans son petit trou ! Michel est ébahi de voir ça, il avait déjà vu couler beaucoup mais pas « éjaculer » de la sorte.

C’est incroyable, sans doute pour qui n’a jamais connu de « femme fontaine », mais c’est réel, ça existe.

Remise de cette forte jouissance, on a rebu un petit coup et finit le gâteau et on alla dans la chambre pour des choses plus sérieuses (si l’on peut dire) dont la première double pénétration d’Odette.

On commença par flirter un peu, puis on enleva le dessus de lit, et j’étalais une grande serviette de bain épaisse pour ses épanchements.

Je me revois lui mordillant un téton et Michel faisant de même pendant qu’elle caressait nos têtes, puis on la lécha partout, titillant tous ses points les plus sensibles.

Dans un état second, elle ondulait du bassin sous nos doigts, nos langues tout en nous branlant, nous suçant à tour de rôle ou ensemble. Je la vois encore avec nos deux glands posés sur ses lèvres et sa langue s’y promenant.

A nouveau, elle nous demanda de la prendre et je laissais la primeur à Michel. Je pris le caméscope tandis que mon copain se « couvrait », Odette se mit en levrette dans l’attente d’une pénétration, impatiente…

Tout en filmant je caressait ses seins sous elle :

– Michel va te prendre, Odette, tu le veux ou ?
– Oh, partout ! Je suis là pour que vous me baisiez, non ?

Il s’enfonce en elle, dans sa chatte d’abord devant mon objectif :

– Tu l’aimes ma grosse queue ?
– Oh oui, je la sens loin, baise-moi, Michel, vas-y !

Elle se poussait sur lui, pâmée et de temps à autre je lui donnais mon sexe à sucer… un régal !

Et enfin, après l’avoir bien excité de paroles on entendit Odette murmurer :

– Enculez-moi, j’ai envie

Je lui fis répéter une fois, deux fois, jusqu’à l’entendre bien clairement.

– Oui, on va le prendre ton petit trou, on va t’enculer Odette, vas-y Michel !

Odette ne dit plus rien, elle se cabra, tendit ses fesses et se les écarta plongeant son visage dans la serviette ; elle supplia encore Michel alors qu’il posait son gland sur son anus déjà ouvert !

Très lentement après l’avoir mouillé de salive, il glissa dans cette intimité offerte.

Odette gémissait doucement jusqu’à un énorme soupir quand le sexe de Michel eut disparu

– C’est bon Odette ?

Les yeux fermés, elle se mit à bouger et dans un souffle répondit qu’elle se sentait ouverte et pleine. Elle bougea encore puis Michel commença de petits va-et-vient entre ses fesses.

– Mon Dieu, que c’est bon, Michel, continue… tu vas me prendre Bernard, je vous veux tous les deux ensemble, depuis que tu as parlé de ce rendez-vous, j’en rêve !
– Oui, on va te baiser à deux Odette !

Après quelques va-et-vient, Michel se retira et on choisit la position qu’Odette suggéra : moi sur le dos, elle s’empale sur mon sexe. Puis Michel viendra au dessus de nous. Odette face à lui était obscène totalement écartelée quand je sentis son gland se glisser à travers la fine peau séparant ses deux orifices ! C’était divin et Odette haletait. Je voyais ses bras trembler et bientôt elle délira

– Mon Dieu, vos queues dans moi, c’est fou, incroyable, oh la la, baisez-moi, salauds, baisez-moi !

En fait c’est elle qui se poussait sur nos sexes !

Et moi comme un imbécile, j’avais posé le caméscope sur une chaise que je ne pouvais atteindre et je n’ais ces images qu’en souvenir ! J’avais dit à Michel qu’il se retienne pour lui arroser le visage de semence et malgré la jouissance très forte d’Odette on parvint tous deux à nous retenir. Il se dégagea d’elle, libérant un flot de mouille qui m’excita et on bascula sur le côté pour continuer sa sodomie, mais elle demanda grâce et on se désengagea. Encore pâmée, elle resta sur le dos, je repris le caméscope attendant la sève de Michel, qui finit par jaillir sur les seins et le cou d’Odette en plusieurs longues saccades.

Je lui tendis vite le caméscope pour faire de même, mais sur son visage, puisqu’elle avait appris à aimer ça. Un bonheur sans nom pour tous les trois et après une bonne douche, on convint de poursuivre nos aventures sexuelles.

Il y aura bien d’autres rencontres…

Bernard Photographe – mars 2005

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2 réponses à Odette 5 – Odette, femme fontaine. par Bernard_le_photographe

  1. Aja45 dit :

    J’ai connue une nana comme ça. C’est impressionnant

  2. Salouche dit :

    Joli récit, j’ai bien aimé

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