Nouvelle année 2 – Dimanche matin par Lovelace

 

Nouvelle année
2 – Dimanche matin
par Lovelace

Dimanche matin. Comme à son habitude, Anne est la première levée et, quand nous sortons des limbes du sommeil, nous n’avons qu’à nous mettre les pieds sous la table pour déjeuner. Ce dernier est relativement vite expédié, les ateliers couture et moulage nous attendent !

– Nous allons commencer par les moulages, annonce Alice; c’est ce qu’il y a de plus long à faire. De plus, je ne suis pas sûre d’avoir le tissu nécessaire pour la confection des toges.
– Ok, c’est toi le chef !

Alice se lève et va chercher tout le nécessaire et prépare le plâtre. Pendant ce temps, nous débarrassons la table qui va beaucoup servir.

– Alors, par quoi commençons-nous ? Demandé-je à Alice quand elle reparaît avec son matériel.
– On va faire dans le simple : les bustes et les têtes.

C’est moi qui m’y colle en premier. Badigeonnage de la tête, bandelettes, plâtre à prise rapide, démoulage. Même chose pour le buste sans tête mais avec l’amorce des bras. En une demi-heure je suis à moitié fait !

L’essentiel arrive : à genoux sur la table, c’est de mon ventre à mes cuisses que je vais être moulé. La démarche reste la même, bien sûr. Par contre il ne me faut pas bander, faute de quoi, le moulage sera raté.

Je pense à tout surtout des trucs drôles afin d’éviter de me concentrer sur les sensations tactiles pendant qu’elle m’enduit de vaseline. Le moulage se fait au plus près afin d’être, en finale, le plus réaliste possible. Je dois poser plusieurs fois; une au repos, une autre pareille mais le gland décalotté et une troisième en érection. Pour la troisième, je leur fait confiance elles savent très bien faire. C’est Anne qui s’y colle ! Branlage en règle, pompage, tout est bon pour obtenir la meilleure érection possible ! De fait, devant la scène, Alice a de nouvelles idées et moule ma queue et la main de Anne, puis les mains, l’une autour de ma verge, l’autre tenant les couilles et enfin, le plus difficile, elle réalise un moulage d’une pipe ! Rester sans bouger plusieurs minutes, figés dans cette position est presque un calvaire !

Puis vient le tour de Anne; même découpage, la tête, le buste, le bas ventre. Alice tente également des positions difficiles, mouler les fesses, le sexe du ventre aux cuisses ouvertes. Anne doit se mettre en appui sur ses coudes et soulever les fesses, jambes écartées et ce sans bouger ou presque. Mais c’est une artiste et le moulage est semble-t-il réussi.

Nous tenterons ensuite de mouler la maîtresse de maison, mais là, c’est plutôt la cata ! Autant on arrive à faire son buste, autant le reste nous pose réellement beaucoup de problèmes ! Nous décidons donc de nous arrêter là.

Nous avons maintenant hâte de voir le travail fini, mais pour cela, il nous faudra attendre une dizaine de jours. En attendant tout ça nous a fortement excités, et nous décidons de faire une pause dans ce travail, pause initiée par Alice.

– Avec tout ça, je me prendrai bien une petite giclée dans le fion ! Annonce-t-elle.
– Ce n’est pas une bête idée, répond Anne, d’autant que Bernard est en forme !

Nous nous caressons mutuellement; les mains glissent agréablement sur nos corps enduits de vaseline. Anne, impatiente, s’accroupit et rentre directement dans le vif du sujet en m’empoignant le sexe. Elle me branle tirant la peau du prépuce vers le bout sans le décalotter. Ma verge durcit très vite et elle la met en bouche, la pressant de sa langue contre son palais. C’est bon et agaçant ! Pendant ce temps, Alice et moi nous embrassons à bouche que veux-tu tout en nous caressant. Ma main glisse du cou aux fesses pendant que l’autre lui malaxe les seins. De biais, elle frotte son sexe sur ma cuisse; je sens l’humidité me maculer la cuisse. Excitée, elle demande :

– Allez, j’ai envie, prends moi par derrière.

Elle se tourne vers la table et prend appui des deux mains, les fesses tendues, bien cambrée. Anne me guide; elle présente le bout de mon gland devant l’œillet accueillant en tenant la peau et me pousse en appuyant sur mes reins de sa main libre. Je m’enfonce d’une seule poussée, lente, jusqu’aux couilles. Je ressors, aussi lentement et complètement. Anne, tenant toujours mon vît, remonte la peau et recalotte le gland. Le jeu se continue ainsi quelques instants, c’est terriblement excitant. Même pour elle, qui se branle de sa main libre !

Nous arrêtons ce petit jeu et je m’active maintenant en longs aller et retours, lorsque je sens une pression me comprimer le sexe. Anne est en train de fister Alice ! Elle a inséré sa main et l’enfile de la longueur de son avant bras ! Je sens ses doigts me palper et tenter d’attraper ma queue à travers la paroi.

– Cela plait-il à madame ? demande-t-elle à Alice.
– Hoo, oui ! C’est génial ! Continue, c’est excellent !
– Et Monsieur aime-t-il se faire tripoter comme ça ?
– Oui, oui ! Pour moi aussi c’est vraiment bon, j’adore !

Alice n’en peux plus de se sentir envahie et exhale un râle qui accompagne sa jouissance. Anne retire sa main, Alice se relève.

– Houaa ! Que c’était bon ! J’en avais vraiment envie, c’est sublime ! Dit-elle.
– J’ai encore envie de vous faire plaisir dit Anne. Venez vous agenouiller sur le tapis.

Alice s’exécute et je me place derrière elle et la pénètre à nouveau, cette fois dans la chatte.

Anne enfile le gode ceinture et, après l’avoir enduit de la vaseline traînant sur la table, me sodomise.

– C’est la première fois que j’encule un mec, dit-elle. C’est vraiment excitant ! Ça vous plait monsieur ?
– Oui, terriblement ! Mais pourquoi ces Madame, Monsieur ?
– J’ai envie de jouer la soubrette soumise et obéissante ! Souffle-t-elle, prise par le plaisir.
– Tu fais bien de le proposer dit Alice entre deux gémissements, je m’occuperai de toi après !
– En attendant, allez, vas-y, laisses toi aller, arroses-moi !
– Ha, je sens que ça vient, t’arrêtes pas ! C’est bon, oui, plus vite, plus vite !

J’accélère mes mouvements, ce qui provoque la réaction d’Anne derrière moi et je m’en prends plein le cul aussi ! Alice jouit et m’arrose la queue. Les coups de boutoir que je reçois par derrière et le flot qui m’inonde le sexe, font que je glisse et sors du vagin d’Alice, ma queue bande mou (toujours quand je suis investit derrière).

Alice se relève, passe derrière nous et se met à fesser Anne. J’entends claquer sa main sur les fesses.

– Alors, petite salope, tu te permets d’enculer mon mec ? Tu n’as pas honte ?
– Ho, non madame, ça me plait beaucoup !
– Ha, tu me défies en plus, attends !

Elle revient avec une badine en roseau et commence à cingler les fesses et les cuisses d’Anne, qui n’en peux plus et jouis tout en criant de douleur.

– Je vais te faire voir, petite garce ce qu’il en coûte de me résister !

Je me suis retiré de la scène et regarde admiratif le scénario qui se dessine devant moi.

Alice, ordonne à Anne de retirer le gode ceinture, lui lie les poignets avec une cordelette ainsi que les chevilles, en lui relevant les jambes et passant la corde derrière sa tête. Anne se retrouve les jambes en l’air fesses exposées. Alice part un instant et revient avec le maxi gode sur lequel s’était assise Anne lors de son week-end « découverte » ! Elle l’enduit de vaseline et tente de l’insérer dans son anus.

– Ha ! Tu voulais défoncer mon mari ! Et bien, je vais te montrer moi, ce qu’il en coûte de vouloir lui éclater le cul !
– Ho, non ! Pas ça madame, je ne le ferai plus, c’est promis ! Anne a du mal à garder son sérieux.
– Et tu te marres en plus ! Tiens !

Et elle la frappe avec le gode géant puis le présente devant la rondelle entre ouverte. Le gland de latex force le passage, arrachant un cri à Anne. Alice ne s’en laisse pas compter et enfile au plus profond l’énorme engin, le retire et l’enfonce à nouveau violemment.

– Aïe, ouille ! Hou la la ! J’ai mal ! Au secours !

Elle en rajoute la petite Anne. En fait elle n’attendait que ça ! Découvrir et goûter à quelque chose de nouveau et de fort.

– Tais-toi ! Si tu dis encore un mot, j’en mets un plus gros !
– Ho, non ! Pitié, madame, c’est trop gros ! J’ai le cul éclaté !
– Je t’avais dit de te taire, tant pis ! Tourne-toi à genoux !

Anne se retourne tant bien que mal, saucissonnée qu’elle est et se retrouve à genoux, les fesses en l’air.

Alice s’enduit la main de vaseline et lui travaille le petit avec les doigts. Les uns après les autres ils disparaissent dans le cul béant. Puis vient le tour de la paume et, forçant d’un coup, se retrouve à l’intérieur jusqu’au poignet ! Anne retient ses gémissements en se mordant les lèvres. Mais après quelques instants, Alice accentuant ses mouvements au point que son avant bras se trouve avalé, elle ouvre la bouche poussant des « han » se détend au maximum et profite de la pénétration énorme. Le bras d’Alice glisse facilement maintenant.

– Mais tu prends du plaisir, salope !
– Oui, madame, j’avoue que j’aime bien ça !
– Et bien c’est terminé ! Et elle retire d’un coup son bras, du cul qui reste ouvert. Tu mériterais plus gros encore !
– Si vous le dites, madame, j’obéirai, je vous promets de ne rien dire !

Alice me fait signe et c’est mon bras qui va s’installer dans l’anus dilaté. C’est énorme ! D’un autre côté, que ce soit Alice, Lucie ou Viviane, elles ont toutes testé la dilatation maximum et ne s’en sont pas plaintes !

Pour Anne, c’est un peu différent, puisque je l’ai quasiment déflorée de ce côté et elle n’était pas attirée par la sodomie. Par contre, maintenant, elle en est folle !

Après l’avoir anéantie, nous nous installons, Alice et moi dans les fauteuils et la regardons, à nos pieds, toujours attachée. Alice la pousse du pied; elle bascule sur le côté, le visage épanoui ! Quitte à jouer avec les pieds, comme elle est à ma portée, je caresse sa chatte avec l’un des miens et lui force la chatte. J’enfile mon quarante trois fillette jusqu’au talon. Côté chatte ça glisse bien aussi !

– C’est qu’elle prend son pied avec vraiment n’importe quoi, cette petite pute !
– Oui, je ne sais pas à part la violence, ce qui pourrait être vraiment une punition.
– Je crois que j’ai une idée, me dit Alice. Détache-la.
– Qu’est-ce que vous allez me faire ?
– Tu vas voir ! Amènes toi.

Nous allons jusqu’à la salle de gym, devant la douche.

– Allonges toi sur le dos ! Lui ordonne Alice.

Alice l’enjambe, plie les genoux et ouvre sa chatte avec les mains.

– Ouvre la bouche !

Anne s’exécute, et Alice urine dans la bouche d’Anne. Cette dernière plisse les yeux, grimace. Il semble qu’on ait trouvé la punition !

– Avale, ordonne t-elle.

Anne essaie, mais s’étouffe à moitié; il y en a trop !

Une fois le jet épuisé, Alice va se baigner dans le jacuzzi et l’appelle. Anne ne se le fait pas dire deux fois !

– Alors, cette douche dorée, tu as aimé ? Alice s’attend à une réponse négative.
– Après la surprise passée, je dois dire que ce n’est pas terrible, mais pas mauvais non plus, par contre c’est excitant !
– Ce n’est pas possible ! Mais qu’est ce qu’on peut faire pour te punir, toi ?
– Rien de sexuel ou à connotation sexuelle, j’adore tout ce qui vient du sexe !
– Ça vous dit un petit sauna, les filles ?
– Tiens, c’est une bonne idée, ça va nous faire du bien !
– Surtout à moi, je suis tendu comme un arc à l’intérieur !
– Heureusement que tu précises à l’intérieur, parce que dehors, ça ne se voit pas !
– Peut-être, mais j’ai le gland tout trempé !
– Ho, fais voir ! Approche j’adore ça !

Je m’approche d’Alice qui, sans me décalotter, glisse sa langue entre le prépuce et le gland et lèche le liquide séminal abondant.

– Humm ! C’est bon !
– Je peux goûter ? Demande Anne.
– S’il en reste réponds-je en me tournant vers elle.

Elle imite Alice et fouille jusqu’à la base du gland pour trouver la fameuse liqueur, mais il n’y en a plus guère.

Ces chatouilles m’ont donné envie de pisser et je me laisse aller. Anne, ayant toujours le bout de ma verge dans la bouche, reçoit mon jet. Surprise elle a un mouvement de recul et s’arrose le visage. Elle éclate de rire et nous avec.

Nous sortons du jacuzzi et allons nous installer dans le sauna qui maintenant doit être à température.

Une séance de 15 minutes, entrecoupée de douches froides tous les cinq minutes et nous ressortons bien retapés, totalement défatigués.

– Ce n’est pas tout, mais il est l’heure de prendre l’apéro, non ?
– Oui, je crois bien !
– Je vais vous servir, je garde mon rôle de soubrette ! Nous propose Anne.

Nous enfilons des kimonos en soie, souvenir d’un voyage au japon et nous installons dans le canapé.

Au bout d’un moment, Anne revient, juchée sur ses escarpins, habillée d’un petit tablier trouvé en cuisine et portant un plateau avec des canapés, des rondelles de saucisson et des cacahuètes. Elle pose le tout sur la petite table basse en prenant soin de nous tourner le dos afin que nous ayons une bonne vision de son entrejambe. Mademoiselle provoque ! Elle prend deux verres dans le bar et nous sert un grand whisky.

– Avec glace pour moi, demande Alice
– Bien, madame ! Anne prend un glaçon, se le passe sur la chatte et le met dans le verre ! Ça ira comme ça, madame ?
– Très bien, merci ! Mais j’aimerai bien un peu de Schweppes avec.
– Je vais vous le chercher.

Elle revient une minute plus tard, les mains vides.
– Hé bien, Anne ! N’avez-vous pas trouvé ?
– Si, bien sûr ! Elle soulève le tablier, la canette est plantée dans sa chatte !
– Quelle bonne idée avez-vous eue ! Et comment allez-vous me servir ?

Anne prend le verre d’Alice, le pose au sol, s’accroupit au dessus et décapsule la canette. Elle fait couler le juste nécessaire, bouche le goulot avec son pouce et retire la bouteille de sa chatte pour la poser sur la table, le tout en moins de temps qu’il faut pour le dire !

Comme elle reste assise sur ses talons, elle nous propose des rondelles de saucisson après les avoir passées sur sa vulve humide.

– Du saucisson au jus de moule ? Propose-t-elle.
– Oui, avec plaisir ! Dis-je. Il est vrai que ça agrémente le goût, bien que le poivre ait tendance à casser toutes les autres saveurs.

Elle est là, accroupie pendant que nous discutons, lorsque la sonnerie du portail retentit.

– Allez donc voir de qui il s’agit, Anne.
– C’est votre médecin, revient nous annoncer Anne.
– Hé, bien ! Ouvrez ! Et faites-le entrer !
– Mais, dans mon accoutrement ?
– C’est sans aucun problème !

Elle ouvre la porte à Henri et le précède jusqu’au salon. Celui-ci ne peut s’empêcher de suivre des yeux le balancement des hanches et le mouvement des fesses qui en résulte.

– Bonjour, mes amis, quel accueil charmant !
– Bonjour, Henri, oui, nous étions entrain de jouer avec Anne, l’assistante de Bernard. Comment la trouves-tu ?

– Vraiment charmante ! Jolie stature, belle cambrure, sans oublier les jolis seins bien dressés, tout ce qu’il faut pour appâter un homme !
– Merci, monsieur ! Dit Anne.
– Remerciez surtout ceux qui vous ont conçue ! Répond Henri.
– Mais qu’est-ce qui t’amène ?
– J’avais une visite pas très loin, j’ai décidé de vous faire un petit coucou !
– Remarques tu tombes bien ! Je voulais te demander quelques trucs pour notre soirée. Mais avant, veux-tu un verre ?
– Un whisky, avec plaisir !
– Anne servez un verre à notre ami.
– Bien madame. Avec glaçon ? Demande-t-elle.
– Un oui, merci !

Elle le sert comme pour nous, en frottant le glaçon sur sa vulve, avant de le mettre dans le verre.

– Merci, c’est gentil dit Henri le regard plein de malice.
– Tu as des idées qui te trottent par la tête, toi ! Lui lance Alice qui a remarqué son œil pétillant. En attendant, tu pourrais nous faire une liste de ce qu’il nous faut dans la pharmacie pour la soirée ? Genre crème contre les irritations, produits pour décongestionner, bref, l’arsenal pour éviter de perdre des invités en cours de route !
– Oui, bien sûr, sans problème, je vais te faire ça. Et n’oubliez pas les capotes, si nous sommes en présence d’inconnus !
– Ne t’inquiètes pas, de ce côté là, nous avons ce qu’il faut ! Veux-tu qu’Anne s’occupe de toi pendant qu’on prend l’apéro ? Je vois qu’elle te fait de l’effet, tu ne la quitte pas des yeux !
– Ma foi, ce n’est pas tous les jours que je peux admirer une jolie jeunette !
– Anne, occupez-vous de monsieur, s’il vous plait !
– Bien madame.

Anne s’approche et fait se lever Henri. Elle lui défait sa ceinture, dégrafe son pantalon qui tombe à ses chevilles et baisse son caleçon qui rejoint le pantalon.

Henri est grand et maigre, ses attaches son longues et fines. Son sexe est à son image : Long, ridé, sur des couilles qui pendouillent lourdement entre ses cuisses. Ce qui surprend c’est que le sexe est beaucoup plus foncé que le reste de la peau. Comme si l’usage l’avait noirci !

Anne le fait s’asseoir à nouveau, lui prend les couilles à pleine main et soulève sa queue pour la mettre en bouche. Elle s’occupe très bien d’Henri, pendant que nous continuons notre conversation sur les préparatifs de la soirée de la saint Sylvestre. Je ne me souvenais pas qu’Henri avait une verge aussi longue. Anne l’embouche à fond, la ressort, lèche le gland, le frein, descend le long de la hampe jusqu’aux couilles qu’elle gobe l’une après l’autre, continue son manège jusqu’à obtenir une érection de qualité. Henri n’est de loin pas insensible aux caresses car sa voix chevrote de temps en temps et ses phrases s’entrecoupent de respirations accélérées ! Anne le branle activement maintenant. Son gland est gonflé, très gros, très dur, d’une couleur brun rouge. Ses couilles durcissent, il n’est pas loin de l’éjaculation.

– Ne pressez pas le mouvement, Anne s’il vous plait. Faites durer le plaisir de notre hôte.
– Bien madame, dois-je le prendre en moi ou bien continuer ainsi ?
– Continuez, ma petite, c’est bien ainsi ! Où en étions-nous Henri ?
– Tu me parlais de tes plâtres, halète-t-il.
– Ha, oui ! J’ai fait plusieurs moulages pour décorer le lieu de la fête, tu verras, je suis sûre qu’ils te plairont. En plus, ils auront l’avantage de pouvoir resservir.
– Que penses-tu de faire la soirée autour du sauna et du jacuzzi ? Demandé-je
– Ça fera très « Romain » ! j’en suis sûr.

Alice tout en discutant, à ouvert son Kimono et se caresse en regardant les fesses tendues de Anne, à genoux entre les jambes de Henri. Ce dernier non seulement se fait pomper de première, mais en plus a la vision d’Alice, jambes ouvertes, qui se caresse de la façon la plus provocante possible. Pour ma part, je trouve la scène hyper excitante et mon côté voyeur est comblé. Je mouille abondamment et une tâche s’étale sur mon pantalon de Kimono. Des fourmillements me parcourent de la ceinture aux doigts de pieds.

Cette discussion de salon à bâtons rompus accompagnée d’une scène pornographique, la scène a quelque chose de surréaliste !

Anne ne s’est pas contentée de masturber Henri. Elle lui a retiré une chaussure, et la chaussette couvrant le pied et se fait prendre la chatte par ce dernier qu’elle avale quasiment entièrement.

La tension monte chez tout le monde, je fais mon tiercé gagnant et je parie sur Anne pour être la première à lâcher prise. Je pense qu’en deuxième ce sera Alice, car bien qu’elle sache se retenir, Henri, du haut de ses 55 ans, doit être plus long à jouir. Quant à moi, je ne m’inclus pas; d’ailleurs je ne bande pas, en tout cas pas vraiment. Je suis excité, je mouille, mais ma queue ne raidit pas !

Anne a accéléré le mouvement de haut en bas sur le pied d’Henri qui brille de foutre et se laisse aller. Elle jouit en retenant un gémissement. Elle accélère la masturbation de la verge, mais Henri la stoppe : il a envie que ça dure ! Alice aussi, ralentit, elle triche, même, en évitant son clitoris. Je vois que le jeu est le même que celui que je me suis fait : qui cédera le premier !

Je décide de venir en aide à Henri :

– Anne, servez-nous un autre verre s’il vous plait. Demandé-je.
– Bien, monsieur ! Tout de suite.

Pour ce faire, elle est bien obligée de laisser Henri qui a compris et me fait un clin d’œil pour me le montrer.

Comme la conversation ne s’est pas arrêtée, on parle maintenant d’anecdotes professionnelles, notamment médicales, Henri nous raconte certaines visites gags, comme tous les médecins en ont. De fait, sa queue redescend, lentement et, quand Anne a fini de nous servir, elle n’a plus qu’à recommencer quasiment à zéro !

Alice ne peut plus tenir et se laisse aller. Elle ferme les yeux, rejette la tête en arrière et accélérant son massage clitoridien, part dans un long feulement.

– Ouahou ! Ça fait du bien ! Allez, à toi Henri, plus rien ne t’empêches de jouir, maintenant !
– Et Bernard ?
– T’inquiètes pas pour lui, c’est un adepte du tantrisme; il jouit dans sa tête. A voir la tache sur son pantalon, il prend son pied, crois-moi !
– Je te confirme ! Dis-je. Tu peux y aller, le jeu est fini !
– Alors, allez-y, Anne, branlez-moi franchement !

Anne reprend le long sexe en bouche tout en le branlant. La raideur se réinstalle. Les couilles durcissent et le Doc se laisse aller et remplit la bouche réceptacle.

– Venez m’en donner, dit Alice avant qu’Anne avale.

Anne se retourne et embrasse Alice pour lui donner une partie du sperme qu’elle a gardé en bouche.

Henri se lève.

– Bon ce n’est pas tout, mais il faut que je termine ma journée, moi. Dit-il en se rhabillant. A dans quinze jours, alors ? Il tape les fesses d’Anne et rajoute : vous avez là une jolie pouliche ! Et bien dressée en plus !
– Raccompagnez le docteur, Anne, s’il vous plait !
– Bien madame.
– Merci les amis, c’était sympa votre accueil et bonne continuation !
– Ok et bonjour à ta femme !

Une fois Henri parti, je me tourne vers les femmes.

– Bon les filles, maintenant que vous avez jouis, on va peut-être pouvoir se faire à manger !
– Nous c’est fait ! Me lance Alice goguenarde.
– Tu parles ! Juste un peu de crème dessert, ce n’est pas ce qu’on appelle déjeuner.
– Je vais préparer quelque chose, dit Anne en se dirigeant vers la cuisine.

Alice et moi restons seuls au salon.

– Alors, c’était comment cette petite séance ?
– J’avoue que j’ai pris un super pied ! J’ai fait durer tant que j’ai pu, mais il fallait que je lâche tout, j’en avais trop envie ! Et toi, pas envie de me donner un peu de crème ?
– Pas tout de suite, mais je peux te dire que quand je le ferai, ça giclera !

Anne revient mettre la table et nous demande de nous en approcher. Il y a bien deux assiettes, sel, poivre, mayonnaise, Ketchup, moutarde, mais pas de couverts ! Bizarre ! On se regarde et on s’attend à tout. Anne est devenue plus dépravée que nous.

Elle revient, deux verres et une bouteille de vin à la main.

– Alors, demande Alice, que mangeons-nous ?
– Une petite collation : œufs durs mayonnaise, pilons de poulet rôti, cœurs de laitue et pour finir, clémentines.
– Bien ! Alors, apportez-nous tout ça !
– J’arrive ! Répond Anne montant sur la table.

Elle nous tourne le dos, s’accroupit et, tenant sa chatte, se met à pousser. Son anus se dilate et pond un, puis deux œufs écalés !

– Voici l’entrée ! Dit-elle. Régalez-vous !
– On ne va pas y manquer ! Lui réponds-je.

J’hésite à le tremper dans la mayonnaise, mais je décide finalement de le manger nature, fraîchement sorti du cul de la poule ! Il a un petit goût âcre sur la surface, mais quand on le croque, le goût de l’œuf domine.

– Je vous sers la suite ?
– J’ai hâte ! Dit Alice. En tout cas c’est une idée originale que vous avez eue là ! Je vous félicite !
– Oui, moi aussi ! Vous avez une bonne contenance ! En plus les aliments sont protégés et réchauffés ! J’y penserai lors de notre prochain pique-nique !
– Je dis que ça méritera une récompense. Je penserai aussi à ce type de transport pour notre prochain week-end en mer !

La belle se retourne et, jambes écartées, expulse de sa chatte, les pilons de poulet ! Là encore, nous décidons de manger nature.

Ils ont un goût de peau grillée et de foutre, c’est enivrant ! Tant qu’à jouer, Alice demande de rajouter de la sauce et enfonce son pilon dans la chatte ouverte, tourne un peu pour bien imbiber la chair et le porte à sa bouche. Je fais pareil et nous voilà mangeant notre cuisse de poulet sauce moule, la trempant dans le vagin plutôt que dans la moutarde !

– C’est succulent ! Dis-je. Vraiment j’apprécie.
– Je n’aurai pas pensé à cette façon de déguster le poulet. Encore une idée à retenir.
– Qu’est-ce que tu préfères toi ? J’hésite entre le cul et le con !
– J’aime bien les deux ! Les goûts sont différents, mais tout aussi excitants.

Anne porte la main à son ventre, appuie dessus, tout en poussant et accouche de deux petits cœurs de laitue !

Qu’ils sont mignons ! On les déguste avec délectation tout crémeux qu’ils sont !

– Vraiment excellents ces petits cœurs de laitue ! J’en mangerai bien un autre !
– Oui, je dois dire que la sauce les relève merveilleusement ! Renchérit Alice
– Je ne voudrai pas vous presser, mais il faut que je vous donne votre dessert ! Nous dit Anne.

Elle a l’air crispé, et légèrement blême. Nous ne la faisons pas attendre plus longtemps.

– Servez-nous Anne, je vous en prie.

Anne se retourne à nouveau et expulse l’une après l’autre deux clémentines de son anus !

Elles ont dû remonter un peu trop haut car la deuxième est légèrement maculée.

– Mais enfin, Anne, vous vous rendez compte de ce que vous nous servez ? Lui fait remarquer Alice.
– Je suis désolée, madame, je ne l’ai pas fait exprès !
– Nettoyez-moi ça, et vite !

Anne prend la clémentine tachée et s’apprête à l’essuyer avec le bas du tablier.

– Vous n’allez quand même pas salir mon tablier ! Débrouillez-vous autrement ! Vous avez une langue, non ?

Anne est tremblante, elle approche la clémentine de sa bouche, sort sa langue et donne un petit coup; puis elle s’exécute plus franchement. Des larmes coulent sur ses joues, elle est évidemment mal à l’aise.

Elle repose la clémentine une fois nettoyée et se lève vivement et demande à sortir.

– Allez, ma petite, allez, c’est bien ! Lui dis-je.
– Merci, monsieur souffle-t-elle. Et elle part en courant vers le salon de toilette.
– Je crois que ce coup-ci on a trouvé le truc !
– Oui, pour une fois elle ne prend pas son pied ! Elle était au bord de l’apoplexie !
– Je me demande tout de même, comment elle a pu s’enfiler tout ça !
– Tu sais, dit Alice, elle est très souple. Elle a dû faire attention à bien tout mettre en place pour que ça ne se mélange pas et elle nous a servi rapidement !
– Tout de même c’est fort !
– J’admets ! Cette petite a de l’avenir dans le domaine de la perversion. C’est une bonne élève, en plus elle aime vraiment ça.

Pendant que nous devisons, Anne revient, le visage éclairé de large sourire. Elle est de nouveau détendue, le mauvais moment est passé !

– Alors Anne ça va mieux ?
– Oui, nettement ! Mais par pitié, ne me refaites plus jamais ça !
– C’était vraiment dur ce que nous t’avons infligé, n’est-ce pas ?
– Comment ça ?
– Hé, bien, lécher la clémentine polluée ! On t’a poussé au bout !
– Ho, non ! Ce n’est pas de devoir la lécher qui m’a mis dans cet état ! En fait j’avais une énorme envie d’uriner et j’avais peur de ne pas pouvoir me retenir tout en vous servant. C’est pour ça que j’étais mal. Surtout que vous faisiez durer le plaisir !

Nous nous regardons, Alice et moi, ébahis !

– Ne nous dit pas que tu as apprécié tout de même !
– Apprécié n’est pas le mot ! Mais bon, ça faisait partie du jeu, j’ai joué ! Et puis il n’y en avait pas beaucoup, heureusement ! Cela dit, je ne suis vraiment pas adepte ! Faire un léger nettoyage, dans le feu de l’action, j’admets, mais pas plus !
– Bon, on va arrêter le jeu pour aujourd’hui. On est super excités, une petite sieste crapuleuse nous fera le plus grand bien pour terminer ce week-end.
– Dommage ! J’y ai pris goût, moi à faire vos quatre volontés.
– J’ai bien une idée, qui pourrait convenir à tout le monde, dit Alice.
– Propose !
– On pourrait convenir que tu sois à notre service à n’importe quel moment et quand nous le décidons. Des fois partenaire, des fois obéissante. Comme tu travailles avec Bernard, il sera facile de t’en informer ! Un signal convenu te fera savoir si on a besoin de ta présence et sous quelle forme.
– Alors là, ça me va à la perfection !
– Il y a un hic ! Interviens-je. Tant qu’elle est célibataire, pas de problème. Mais si elle a un petit copain, comment elle fera ?
– C’est son problème ! Si elle a un petit ami, soit il participe, soit elle se démerde pour trouver une excuse !
– Vu comme ça !
– Quel sera le signal ? Demande Anne.
– Tu connais le bureau de Bernard ?
– Bien sûr !
– Alors, tu le sauras !
– Ouah Ça me plait vraiment ce truc ! J’en suis toute excitée. Je voudrai vous remercier à ma façon. Allez au salon, je vous apporte le café.
– On t’a dit qu’on arrêtait le jeu pour aujourd’hui.
– Et alors, je peux quand même apporter le café, non ?
– Absolument, dit Alice, tu peux ! Mais tu enlèves ton tablier !
– Ok, je m’habille et j’arrive.

Elle nous revient, moulée dans une robe en stretch, ras le bonbon, juchée sur ses escarpins. C’est d’un sexy !

Une fois assise dans le fauteuil en face de nous, rien n’est masqué de son anatomie et elle ne cherche pas non plus à cacher quoique ce soit !

– Elle te va vraiment bien cette robe, lui dit Alice.
– Merci. Je l’ai achetée en solde, à Nantes. Et j’en ai une autre, vraiment sympa, mais je ne peux pas la mettre pour bosser, hélas ! Je te montrerai la prochaine fois que je viendrai.
– En ce qui me concerne, tu pourrais bosser à poil, ça ne me dérangerai pas ! Dis-je.
– J’imagine bien, oui ! Alice, tu as vu, tu as tâché ton kimono !
– Évidemment ! Je ne suis pas différente de Bernard, le jeu de tout à l’heure m’a terriblement excitée aussi et voilà ! J’ai mouillé fort !
– Laisse-moi voir ça !

Anne se lève et s’approche d’Alice, lui défait son Kimono et s’installe entre ses jambes. Alice se laisse faire et même se laisse complètement aller aux caresses. Les seins, le ventre, les cuisses, Anne n’oublie aucune partie de ce corps qui réagit au moindre attouchement. Les tétons durcis pointent, provocants et attirent la bouche de Anne. Puis elle descend tout en léchant jusqu’au nombril, puis au clitoris qu’elle gobe, lèche, suce, titille. Sa langue, agile, s’active sur le bouton gonflé, remonte la longue hampe, s’attarde à nouveau sur le bout. Le délaissant quelques instants, elle va mordiller les lèvres épaisses, lèche le foutre qui s’écoule jusqu’à l’anus. Alice relève les jambes et fait un grand écart qui permet à Anne de longer avec la langue le périnée jusqu’à l’œillet entre-ouvert, la feuille de rose qui s’ensuit arrache des gémissements de plaisir à Alice. Elle est tendue comme un arc et secouée de tremblements. Elle est en train de prendre un super pied. Anne sans cesser ses caresses buccales, attrape d’une main le tissu de mon pantalon et tire dessus pour me faire comprendre que je dois me joindre à elles. Je ne me fais pas prier !

Je retire mes vêtements et la bite en avant, hypertrophiée et un peu douloureuse tant elle est tendue, me rue derrière Anne, remonte la robe sur les hanches et la prend d’une seule longue poussée. Elle se cambre exagérément pour accroître la profondeur de l’intrusion. De son côté elle ne chôme pas non plus ! Elle quitte la rondelle, remonte vers le clitoris tendu et, en quelques lapements bien appliqués arrache l’orgasme tant attendu !

– Hooo, hooo ! Ouiiiiii ! Ho ! Je viens, je viens, n’arrêtes pas, c’est bon, ouiiiii !

Alice explose, Anne en est ravie.

– Ha ! Je suis heureuse de t’entendre jouir comme ça ! Allez Bernard, vas-y, toi aussi, bourres-moi bien, plus fort, ouii ! Encore, vas-y à fond ! Hoo, que c’est bon ! J’aime ça, allez, allez ! Plus vite. Défonces-moi bien, je vais venir aussi.
– Trop tôt, trop vite ! Fais-je en m’extrayant. J’en peux plus mais je veux encore faire durer un peu pour que le plaisir soit vraiment très intense.
– Ho, non ! T’en vas pas ! Reviens, prends-moi ! Je veux jouir !

Je me baisse et lui lèche le coquillage à la place. Elle tortille du cul, elle se cambre au maximum. Je la lèche de bas en haut, du clitoris à l’anus, à la manière d’un chien, à grands coups de langue !

– Ouah Salopard ! Que c’est bon ça, tu n’es qu’un chien !

Je grogne et mordille son sexe, puis lèche à nouveau en jappant !

– Humm ! Oui, mon bon toutou ! Allez prends-moi ! Fais-moi jouir ! Bon chien à sa maîtresse !
– Tu ne m’as jamais fait ça ! S’exclame Alice remise de ses émotions.
– J’innove ! Lancé-je entre deux coups de langue. Et elle aime ça la garce !
– Elle a peut-être un fantasme zoophile !
– Haaaa ! Haaaa ! Ça y est je vais jouir ! Reprends-moi ! Finis-moi avec ta queue ! Ho, que c’est bon !

Je décide de ne plus la faire languir et je lui saute sur le dos, comme j’imagine pourrait faire un chien et la pénètre en m’agitant du bas des reins imitant le coït animal !

C’est le déchaînement ! Elle jouit avec force, un orgasme qui n’en finit pas d’exploser et m’inonde la queue. Depuis que je la baise, c’est la première fois qu’elle émet autant de foutre.

Je décide qu’il est temps pour moi aussi de jouir. J’accentue mon mouvement du bassin et sentant l’éjaculation se préciser, je sors, m’approche d’Alice et l’arrose de mon sperme.

Houa ! Quel dimanche ! Et quel pied !

Nous restons quelques instants sans voix, juste avec le souvenir du plaisir qui vient de nous submerger.

Anne doit se dire qu’il est temps de prendre congé. Elle se relève, ajuste sa robe et dit :

– Bon il est peut-être temps que je m’éclipse. De toute façon, on se voit demain, n’est-ce pas Bernard ?
– Oui, tout à fait, je te raccompagne.

Une fois Anne partie, Alice me fait par de ses commentaires concernant le week-end.

– C’était vraiment d’enfer notre petite fin de semaine. Dit-elle.
– Je suis assez d’accord ! Anne a bien joué le jeu.
– C’est le moins qu’on puisse dire ! Dit Alice. Non seulement elle participe, mais en plus elle est active et suggère ! Je sens qu’elle n’est pas au bout de la découverte; des surprises nous attendent la concernant.
– Tu crois ?
– J’en suis sûre !
– Je lui en ferais part demain, dis-je. Par contre, j’aimerai comprendre le sens de tes propos concernant les signaux qu’elle est sensée percevoir sur mon bureau.
– Tu as des Katiouchka ?
– Oui, tu le sais !
– Et bien tu vas les utiliser ! Une voudra dire qu’elle est réquisitionnée; deux qu’elle sera à notre service et trois qu’il s’agira d’une partouze potentielle !
– Ok pour moi, mais comment va-t-elle comprendre le code ?
– Ne t’inquiète pas ! Elle saura ! Quand elle en verra une elle saura que c’est pour nous; qu’elle sera à notre service, quand elle en verra deux elle comprendra que c’est chacun de nous et donc que nous partageons; Et quand elle en verra une série elle comprendra qu’il s’agit d’une partouze ! !
– Vu comme ça !
– Mais il n’y a pas d’autre façon de le voir ! Ne t’en fais pas, je te promets qu’elle comprendra !
– Tu me permettras de faire un test, pour en être sûr ?
– Quand tu veux !

(à suivre)

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Une réponse à Nouvelle année 2 – Dimanche matin par Lovelace

  1. Rominet dit :

    Ça devient n’importe quoi c’est vraiment dommage car cet auteur nous a offert plusieurs excellents chapitres

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