Notre Dame du Roc par Zazou

Notre Dame du Roc par Zazou

Avertissement : Texte proposant des passages scato explicites 

Notre Dame du Roc

Mon réveil se déclencha à 8 heures précise, ma chambre était déjà inondée par les doux rayons du soleil. Bien que j’aie à mon habitude quelques difficultés à me lever, là entre l’excitation du départ et cette météo merveilleuse, je n’ai eu aucun problème à bondir hors de mon lit. A peine une heure après, je faisais un dernier petit tour, vérifiant le débranchement des appareils électriques et terminant l’arrosage de mes quelques plantes d’intérieur.

Le GPS est programmé, c’est parti pour environ 500 Km et 6 bonnes heures de route. Je partais en direction du sud de la France plus précisément à Avignon avec une escale dans la région des gorges du Verdon dont on m’avait vanté les sublimes paysages.

Le trafic était plus que fluide et la musique était bonne. Après 200 Km je décidai de m’arrêter un petit moment. J’arrivais sur une aire de repos à la hauteur du Bourget. Après tout il est déjà plus de midi et je commençais à avoir une vieille soif qui trainait. Après avoir soigneusement verrouillé mon véhicule, je traversai le parking et entrai dans le restoroute.

A l’intérieur il n’y avait pas foule, seuls un jeune couple et une famille de quatre occupaient les lieux. Derrière le comptoir, une charmante jeune femme, la quarantaine, cheveux court d’un noir intense, était occupée à ranger des verres. Elle avait une boucle argentée qui pendait au milieu de sa cloison nasale et ses seins étaient joliment mis en valeur grâce à un magnifique décolleté.

– Bonjour,
– Bonjour un grand soda et un sandwich au jambon s’il vous plait
– Allez vous installer je vous apporte ça tout de suite.

Trois minutes après, mon repas était servi. Je pris le journal qui se trouvait à côté de moi et en parcouru les plus gros titres tout en grignotant mon encas. Rien d’intéressant, de plus, tous les petits jeux habituels avaient déjà été griffonnés. Je reposai donc très vite cette feuille de chou sur la table et continuai mon casse-croute.

Mon regard fut tout à coup attiré par notre serveuse sortant de son comptoir. Elle portait un joli jeans bleu foncé moulant un petit cul tout à fait adorable. Ella avait à la main tout une série de magazines qu’elle remettait en rayon. Ne souhaitant pas poser un regard trop insistant sur elle, j’essayai de me faire discret. Elle prit quelques journaux et les plaça en complément des autres déjà installés.

Elle prit une position accroupie afin de ranger les journaux sur l’étagère la plus basse, en se baissant légèrement, son pantalon descendit quelque peu et laissa entrevoir un joli string rouge et noir pour le plus grand plaisir de mon petit côté voyeur.

Rassasié et ravi de ce petit spectacle, je remerciai et saluai au loin la serveuse. Je repris ensuite la direction de ma voiture afin de parcourir le reste de ma route.

Après plusieurs centaines de kilomètres dévorés, j’arrivai vers 15 h 30 à Sainte-Croix, surplombant le lac du même nom. L’endroit était magique il faisait beau, chaud et le décor était vraiment paradisiaque. Une petite terrasse trônait tout en haut du village, offrant un point de vue splendide. J’en profitai pour m’y poser et me commander une bière.

Quelques minutes à peine après m’être posé, un serveur vint me saluer et me demanda ce que je voulais boire.

– Une grande bière s’il vous plait
– Avec plaisir

Il avait la vingtaine, pantalon noire et chemisette d’un blanc éclatant.

Une fois le jeune homme revenu avec le breuvage commandé je lui demandai s’il était possible de naviguer dans les gorges.

– Bien sûr c’est même magnifique à faire, vous prouvez louer des petits bateaux qui se conduisent sans permis. Cependant vous êtes presque un peu tard je vous conseille de commencer cette activité demain plus tôt dans la journée car ça vous prendra pas mal de temps.

Je le remerciai pour ces précieux conseils et bu une grande gorgée de bière. Je restai près d’une demi-heure à savourer ma boisson, à analyser les gens de la terrasse et contempler les paysages qui m’entouraient.

Avant de repartir, je pris la précaution de passer au WC. Pas besoin de poser la question au serveur, le panneau  » WC au sous-sol  » laissait peu de place à l’interprétation. Je passai devant le bar et m’engagea dans l’escalier. Arrivé à la fin des marches, un grand mur se dressait face à moi avec deux ouvertures, hommes à gauche et femmes à droite. Une fois l’ouverture franchie je remarquai qu’aucun mur ne séparait ces deux parties. Je me retrouvai face à quatre cabines, dont les deux de gauche, dans la logique des ouvertures était réservées aux hommes et celles de droites pour les femmes. Cachés derrière la cabine tout à gauche se trouvaient deux urinoirs. Alors que je m’apprêtai à me soulager devant l’un d’eux, j’entendis un bruit de chaussures à talon descendre tranquillement les escaliers. Rapidement je me déplaçai dans la cabine la plus à droite, voisine des toilettes dames, et j’attendis que mon inconnue vienne.

Le bruit des pas devenait de plus en plus audible, soudain la porte d’une cabine s’ouvrit. Pas de doute elle a choisi la cabine située juste à côté de la mienne. Je puis donc aisément entendre la porte se rabattre et le verrou se fermer.

Je l’entendis ensuite relever le couvercle et faire glisser son pantalon. Quelques secondes de silence puis, le doux clapotis de son jet atterrissant dans la cuvette se fit entendre, provoquant chez moi un durcissement immédiat de mon membre. Certes je n’avais que le son de cette situation mais je m’en faisais une magnifique vision. Les dernières goutes étaient à peine tombées que j’entendis déjà le bruit du rouleau de papier se déployer, suivi par le bruit de ce dernier frottant son intimité à la recherche des gouttelettes restantes.

Le fait de savoir cette situation se passer à quelques centimètres et n’avoir qu’une petite cloison pour me séparer de ce spectacle audio-non visuel me mettait dans un état second.

Souhaitant voir à quoi ressemblait celle qui venait de m’offrir ce spectacle musical, je décidai de faire comme si j’avais terminé mon petit pissou, je tirai la chasse d’eau et sortis. Le cylindre était toujours au rouge sur la porte d’à côté. Je me présentai devant le lavabo et commençai à faire couler l’eau sur mes mains. Cela a duré presque une minute jusqu’à ce que Madame daigne sortir. A croire qu’elle attendait que je m’en aille pour ne pas avoir besoin de se montrer. Elle finit finalement par sortir.

Montée sur de jolies bottes à talon noires cirées, elle portait un pantalon slim vert olive avec un pullover rose pale. Une jolie jeune femme rousse, 25-30 ans, qui me salua d’un air un peu gêné.

Avec tout ce cinéma je n’avais pas encore pu me soulager. Je fis donc mine de m’observer dans la glace d’ajuster mon pull afin de la laisser remonter avant moi. Elle me souhaita tout de même une bonne journée avant de prendre la direction des escaliers.

Rapidement, je m’assurai de ne plus l’entendre, pour retourner à l’urinoir et vider enfin ma vessie. Mon sexe était encore bien raide et ce fut compliqué de m’exécuter. Quand enfin j’eus terminé, je me lavai les mains, les sécha, monta les escaliers et après avoir souhaité une bonne journée au personnel, je repris la direction de ma voiture.

Une bonne heure me séparait de Castelane destination finale de cette journée, et après un ou deux arrêts photos, j’arrivai à destination sur le coup des 18 heures. Je cherchai parmi les quelques hôtels de la grande rue, le nom de celui que j’avais réservé.

Ça y est  » ma petite auberge  » j’y suis. Après avoir aperçu un parking non loin, je m’engageai avec mon véhicule. Une fois le moteur coupé, je sortis de la voiture et là, je ne pouvais la rater. Seule face à tout le village, perchée à environ 200 mètres au-dessus de moi, « Notre Dame du Roc ». Je ne suis pas particulièrement attiré par tout ce qui est église ou cathédrale, mais là il faut le dire je n’avais qu’une envie c’était d’aller la voir de plus près.

Je pris mon sac de voyage fermai le coffre de la voiture et me dirigeai jusqu’à l’hôtel. Arrivé devant le bâtiment je jetai un œil à la carte du restaurant, le voyage m’avait donné faim je me réjouissais de passer à table. Je poussai la porte en verre de l’hôtel et pris la direction de la réception. Deux femmes étaient en train d’être renseignées par la réceptionniste.

– Le petit déjeuner sera servi dès 8 heures
– Impeccable en revanche, pour la formule on doit vous redire jusqu’à quand ?
– Vous pouvez sans autre me le dire ce soir au souper
– C’est parfait et pour la place de parking ?
– Vous pouvez stationner dans la cour intérieure de l’hôtel, venez je vais vous montrer.
– Je suis à vous tout de suite Monsieur

Elles partirent les trois en direction de la terrasse et la réceptionniste revient seule quelques secondes après.

– Monsieur ?
– J’ai fait une réservation dans votre hôtel pour une nuit

Dans le même élan je tendis le document imprimé

– Oui en effet vous avez la chambre 104 elle se situe au premier étage en quittant les escaliers elle se trouve en face de vous tout au fond. Vous l’avez peut-être entendu le petit déjeuner est servi les matins à partir de 8 heures, le soir le repas est servi dès 20 heures Je vous laisse du coup me suivre pour que je vous montre où vous pouvez stationner.

Le temps de remettre mon mail dans ma poche, de prendre la clé de ma chambre et je me mis à suivre l’employée de l’hôtel. Nous fîmes à peine 10 mètres et là elle me montra la petite cour où était déjà stationnées quelques voitures.

– Si jamais le grand portail est fermé dès 23 heures vous avez un digicode à la sortie et le code se trouve au dos de la clé de votre chambre, dans le cas où vous revenez plus tard que la fermeture.

Je remerciai mon interlocutrice et pris congé d’elle afin de monter à ma chambre.

104 nous y sommes. Ce n’est pas très grand mais la salle de bain à l’air propre le lit aussi et ça suffira amplement pour passer la nuit.

18 h 15 j’avais largement le temps de visiter les alentours.

Après avoir posé mes affaires je refermai la chambre à clé et descendis à la réception

– Excusez-moi on peut visiter l’église en haut du rocher ?
– Oui bien sûr, mais vous ne pouvez y accéder qu’à pied et il faut au minimum compter 45 minutes à une heure pour monter et pareil pour descendre. Je vous conseillerai plutôt de vous y rendre demain.
– Très bien et dans le village il y a quoi de sympa à visiter ?
– Le village en lui-même est magnifique avec de petites ruelles pittoresques
– Merci je vais aller visiter. A tout à l’heure.

Je pris donc la direction du village. C’est vrai qu’il était beau avec ses toits plats aux briques arrondies, ses façades clairs la carte postale typique de la Provence. Je fis quelques pas au travers des petites rues, scrutai différentes vitrines et pris quelques photos. Après une heure de balade je décidai de reprendre la direction de mon hôtel.

A peine arrivé que la réceptionniste me demanda :

– Alors comment trouvez-vous Castellane ? c’est joli non ?
– En effet c’est très joli mais j’ai hâte d’aller voir Notre Dame demain. D’ailleurs est-ce que mes chaussures suffisent pour m’y rendre ou faudrait-il des chaussures de marche ?
– Non, non vos baskets iront très bien.. Je vous sers un petit quelque choses en terrasse ?
– Oui une grande bière avec plaisir !
– Je vous amène ça

Je m’avançai jusqu’à la terrasse profitant de regarder dans le couloir de l’entrée et de feuilleter différents prospectus sur les gorges et sur les nombreuses activités à faire dans la région. Une fois arrivé sur la terrasse je m’installai à une petite table située juste en dessous d’un gigantesque arbre posé là en plein centre de la terrasse.

Non loin de moi étaient assises les deux femmes qui étaient arrivées avant moi. Elles avaient toutes les deux entre 35 et 45 ans, L’une (la plus âgée des deux) était plutôt fine avec de longs cheveux châtains des yeux clair, elle portait un chemisier blanc et un jeans alors que l’autre fille était plus ronde des cheveux clairs presque blonds, un peu plus court, elle portait un pull zébré style marin blanc et bleu avec une jupe noire. Juste le temps de les saluer que ma bière arrivait.

– A votre santé, me fit la serveuse
– Merci

Elles avaient l’air de bien rire, et de bien boire également.

Une fois ma bière terminée je demandai la carte. Mon choix s’est porté sur un risotto aux champignons. L’agréable température me permit de rester en terrasse pour savourer mon souper (eh oui en Suisse le diner français s’appelle le souper) (salutations à tous les vassiliens helvétiques). Ma faim de loup additionné de ma fatigue, je dévorai mon assiette en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. La serveuse passant à proximité de ma table je lui demandai un café accompagné d’un petit digestif et de mettre la note sur mon compte. Une fois mon verre vidé je me levai, saluai poliment mes voisines de table et parti en direction de ma chambre. Un petit tour au WC, un bon brossage de dent et me voilà déjà en tenue d’Adam prêt à passer ma première nuit provençale. Malgré les quelques bruits de la route, située juste à côté de ma chambre, je ne mis pas longtemps avant de m’endormir.

8 heures : me voilà déjà douché, habillé devant les portes ouvertes de la salle à manger, les pots de cafés fumaient, les paniers étaient remplis de croissants et de pains au lait, il y avait du fromage, du jambon du pain complet. Tout pour faire du repas le plus important de la journée un vrai régal.

Quelques tables étaient déjà occupées mais la grande majorité étaient encore libres j’avais donc l’embarras du choix. Je m’installai donc près de la fenêtre, le ciel était d’un bleu immaculé et le soleil brillait de tous ses rayons. Je posais mon sweet-shirt afin de réserver ma table même si ce n’était pas franchement nécessaire. Je me dirigeai ensuite vers le buffet et lorsque je pris ma tasse pour me servir un café, je vis entrer les deux femmes qui mangeaient à côté de moi le soir d’avant.

– Bonjour
– Bonjour

Contrairement à moi elles se dirigèrent directement vers le buffet. Nous partageâmes un moment commun devant les viennoiseries.

– L’ennui c’est que quand il y a autant de choix on ne sait pas quoi choisir.

Je venais de faire une tentative de contact avec la plus fine et la plus âgée des deux

– Oui c’est vrai que le buffet est assez complet.
– Allez bon appétit et bonne journée
– Merci pareillement

De retour à ma table j’avalai rapidement mon petit déj, avant de remonter dans la chambre afin de prendre quelques affaires pour mon ascension jusqu’à Notre dame. Il était à peu près 8 h 30 quand je sortis de l’hôtel.

Il faisait déjà 25° selon l’indication de l’affichage public. Je pris la direction du sentier qui menait à l’église. Avant de commencer ma montée, je lus les quelques informations sur le chemin qui menait à l’édifice. Le parcours était un chemin de croix avec pas moins de quinze stations représentant les étapes de la crucifixion du Christ.. Je ne suis pas très croyant mais ce n’était pas inintéressant.

Les premiers mètres étaient très escarpés et ma vitesse de montée n’était pas folle, surtout que je voulais garder un peu d’énergie pour la suite. Le parterre était caillouteux et des marches avaient été façonnées pour aider les promeneurs. Amateur de photos et de vidéos je gardai mon portable à la main. La nature était tellement belle.

Mon rythme étant ce qu’il était je me fis dépasser plusieurs fois, parfois par des personnes seules, des couples ou même des groupes. Peu importe je montais avant tout pour mon propre plaisir. Arrivé environ au tiers du chemin, deux nouvelles personnes me passèrent à côté. Je reconnus très vite les deux femmes de l’hôtel. Nous nous sommes poliment salués d’un  » rebonjour  » amusé, puis, marchant d’un pas plus soutenu que le mien, elles ne tardèrent pas à prendre une certaine distance avec moi.

Elles avaient maintenant environ dix mètres d’avance sur moi, j’avais par conséquent tout loisir de les mater discrètement. Elles s’étaient changées depuis le petit déjeuner et portaient maintenant des tenues un peu plus sportives, qui épousaient agréablement leurs formes.

Notre Dame se rapprochait de plus en plus et la vue sur le village était splendide. 20 minutes plus tard alors que j’arrivai aux trois-quarts du parcours j’aperçu, non loin de moi, nos deux sportives marquer un temps d’arrêt. Elles étaient en train de lire une des stations, mais je ne voulais pas les dépasser, d’une part parce qu’elles m’auraient certainement rendu l’appareil quelques secondes plus tard, mais surtout parce que je souhaitais pouvoir continuer à les mater.

Je fis semblant de faire quelques photos. Du coin de l’œil je les observais, leur lecture était terminée mais elles n’avaient pas l’air décidées de repartir, elles discutaient tout en regardant tout autour, comme si elles cherchaient quelque chose. A un moment nos regards se sont croisés et après avoir murmuré une phrase à son amie, la plus forte se mit en marche donnant l’élan à l’autre. Elles me précédaient toujours d’une dizaine de mètres mais cette fois leur cadence était beaucoup moins soutenue. Elles marchaient au ralenti toujours en train de scruter à gauche, à droite et derrière. A chaque fois elles me regardaient.

La chapelle était juste au-dessus de nous, le chemin devenait de plus en plus serré, si bien que nous devions parfois, telle deux voitures, se mettre sur le côté pour laisser passer les personnes qui redescendaient.

Quelques minutes plus tard je me trouvai enfin au pied de l’édifice, trônant sur son rocher imposant, surplombant le village. Malgré la beauté des lieux, ma préoccupation actuelle était de savoir ce qui se passait chez nos deux copines. Elles n’étaient qu’à quelques mètres de moi admirant également le panorama.

J’essayai de regarder ailleurs faignant un intérêt pour l’endroit, sans les lâcher d’une semelle. Elles s’éloignèrent tout à coup pour rejoindre un belvédère situé tout au bout du rocher. Quelques buissons séchés par les fortes chaleurs se trouvaient de chaque côté du petit chemin menant au point de vue. Elles étaient arrivées à la barrière et de mon côté je m’approchai gentiment. A un moment j’étais même juste derrière elles en évitant un maximum de croiser leur regard.

– Là-bas…, …mais tu t’en fous

J’étais presque sûr de comprendre ce qui était en train de se passer et si mon intuition était bonne j’avais intérêt à les suivre comme mon ombre.

– Tu me rejoins dans l’église

Elles s’éloignèrent les eux de la barrière, mais la plus ronde dévia sur la droite alors que sa copine partait tout droit vers la chapelle. Je suivis la première en respectant une distance aussi sécure que possible. Elle se mit soudain à regarder dans tous les sens, revenant parfois sur ses pas. Il faut dire que la plateforme où nous nous trouvions n’était pas immense. Alors qu’elle jeta encore un regard en arrière je vis sa tête disparaitre derrière une grosse pierre d’environ 1,50 mètre de haut pour environ deux de large. J’avais vu juste, depuis le début, Madame avait un besoin pressant.

Faisant mine de rien, je poursuivis ma visite des lieux. Je me décalai un peu et je la vis au loin, elle me tournait le dos, son legging abaissé jusqu’aux chevilles m’offrant le spectacle de ses jolies fesses nues. De la main droite elle se tenait à au gros caillou de l’autre elle tenait un mouchoir en papier. Il y eu quelques secondes sans qu’il ne se passe rien, cela me parut une éternité. Puis tout à coup je vis une zone foncée se former sous elle, son urine coulait lentement sur le côté. J’étais cependant trop loin pour entendre quoi que ce soit. Mon smartphone à la main faisant semblant de lire un message j’immortalisais ce spectacle sans en perdre une miette.

Je m’attendais ensuite à ce qu’elle s’essuie et se relève, mais rien ! Elle ne bougeait pas. Cela dura presque 20 secondes puis je vis une masse brunâtre sortir de son cul puis une puis deux, puis trois. Magnifique, je n’aurais jamais imaginé pouvoir assister à un tel spectacle. Mon cœur devait battre à 100 à l’heure. De sa main gauche elle prit le kleenex qu’elle avait en main pour s’essuyer, et là je ne sais pas pourquoi elle tourna brusquement la tête balayant les alentours avant de me fixer dans le blanc des yeux me voyant mon téléphone à la main.

– Ehhhhhh ça va oui ? Vous voulez que je vous aide ?

Deux personnes non loin de moi furent interpellées par ses cris et me dévisageaient d’un regard accusateur.

Rapidement je rebroussais chemin, effrayé d’imaginer recroiser son regard ou celui de son amie à qui elle allait rapidement tout raconter. Je décidai d’écourter ma visite et redescendis rapidement les deux cents mètres de dénivelés, sans prendre le temps de faire ne serait-ce qu’une seule photo. 25 minutes après j’étais au village.

Un peu pris de panique, tel un gosse qui se fait prendre en train de voler un bonbon, je ne savais ni ce que je devais faire ni où aller. Au moins je savais qu’elles ne seraient pas à l’hôtel maintenant. Allez j’y vais. Je traversai la place principale ainsi que la route qui bordait l’hôtel, poussai la porte du bâtiment et me retrouvai nez à nez avec la réceptionniste.

– Ahhh vous êtes de retour. Alors comment avez-vous trouvé Notre Dame ?
– Oui faut reconnaitre qu’elle est magnifique, je ne regrette pas d’être monté.
– Il y avait du monde en haut ?
– Une petite dizaine de personnes
– Ahh ça va encore. Imaginez-vous quand c’est la pleine saison…

Je n’arrivais pas l’arrêter. Je n’avais nullement envie de parler avec elle en ce moment même. Les deux femmes devaient être sur le chemin du retour et pouvaient arriver à tout moment. Je prétextai donc un coup de fil à passer.

– Excusez-moi il faut juste que je fasse un appel important
– Oui oui pas de problème, à tout à l’heure

Je montai quatre à quatre les marches qui permettaient d’accéder au premier étage, je parcourus le couloir et retournai rapidement dans ma chambre. D’un geste vif, je refermai à clé la porte dernière moi.

Excité malgré tout par ce que j’avais vu 30 minutes avant, je pris mon smartphone afin d’admirer mes prouesses de cameraman voyeur. une minute et 35 secondes de vidéo un vrai régal. Les dernières secondes sont assez mouvementées avec une caméra qui bouge dans tous les sens.

Bon ! Je ne pouvais rester plus longtemps dans l’hôtel. J’avais la chance d’avoir une des chambres qui donnait côté route… je regardai pour voir si je n’apercevais pas mes deux acolytes. On dirait bien qu’il n’y a personne.. j’en profitai donc pour rapidement reprendre mes affaires. Une fois mon sac fermé je regardai à nouveau par la fenêtre.

Oohhh non elles sont là !!

Elles étaient en effet en train de traverser la place principale, et d’un pas assuré s’approchaient de l’hôtel.

Pas de panique, je ne bouge pas de là et je reste derrière la fenêtre. Je ne sortirai que quand je les verrai repartir.

Je pris donc la chaise située dans le coin de la pièce, saisis mon smartphone et m’installa jute derrière la fenêtre. Il ne fallait pas que je loupe leur départ. Je fis quelques petits jeux en essayant d’avoir un œil régulièrement à la fenêtre. Environ 15 minutes venaient de s’écouler quand :

– Toc, toc, toc

Impossible pour moi de savoir qui était derrière la porte, il n’y avait pas de judas, ça pouvait aussi bien être elles que le service d’étage pour les chambres, ou un autre employé de l’hôtel ou même la réceptionniste qui savait très bien que j’étais dans ma chambre.

J’ouvre ? je n’ouvre pas ? j’ouvre ? je n’ouvre pas ? Mon cœur battait à nouveau la chamade.

Je me dirigeai doucement vers la porte en me disant que les deux femmes ne pouvaient pas savoir où était ma chambre et que par conséquent c’était surement une personne de l’hôtel.

Je pris la poignée, l’abaissa et ouvrit la porte.

Elles étaient là devant moi le visage froid, la bouche pincée les yeux plissés lançant des éclairs. J’ai très certainement dû devenir livide, je sentais l’angoisse me monter à la tête. Si j’avais pu me cacher sous le plancher je l’aurais fait.

– On peut vous parler 5 minutes ?
– Bien sûr, entrez
– J’imagine que vous savez pourquoi on est là ?

C’était la plus âgée qui venait de prendre la parole, alors que celle que j’avais filmée restait silencieuse et venait de s’adosser contre le mur.

J’avais l’impression de me retrouver dans un interrogatoire avec deux flics devant moi, sachant pertinemment que c’est eux qui avaient raison.

J’étais partagé entre tenter de tout nier et jouer celui qui ne comprenait pas, ou d’avouer ma culpabilité. Finalement la raison pris le dessus.

– Je vous prie de m’excuser j’ai honte de ce qui s’est passé je ne sais pas ce qui m’a pris.
– Ça te plait d’espionner les gens dans leur intimité hein ? Allez montre-moi cette vidéo

J’ai remarqué que quand une personne est énervée contre vous, le tutoiement est souvent de rigueur.

– Promis je vais la supprimer
– Arrête et montre-nous cette vidéo !!

Celle que j’avais filmée restait les bras croisés, toujours appuyée contre le mur juste à côté de la porte d’entrée. Elle n’avait pas encore dit un mot. Son amie prenait sa défense en appuyant sa voix comme pour m’intimidé, ce qui fonctionnait assez bien je l’avoue.

Je sortis rapidement mon smartphone et à sa demande je lui montrai la vidéo.

– Putain et bien zoomée en plus. Tu fais ça souvent de filmer les gens à leur insu ? Dit-elle d’un ton de plus en plus énervé (et je reconnais y avait de quoi)
– Non non je vous promets c’est la première fois !
– Ben voyons prends-nous pour des connes.
– Voilà c’est fait ! vidéo supprimée !
– Allez c’est bon on y va !

Toujours dans la même position qu’à son entrée, la lésée venait de prononcer ces premiers mots depuis son arrivée dans ma chambre. Elle avait l’air d’être mal à l’aise, pourtant c’était surtout à moi d’être dans mes petits souliers.

– Attends, je trouve un peu facile, je n’ai pas envie qu’il s’en sorte à si bon compte. il t’a tout de même espionnée dans une situation gênante et intime
– Et alors ? c’est bon je m’en fous.

Elle semblait vraiment vouloir mettre fin à cette situation.

– Eh ben pas moi, j’ai bien envie de lui faire passer le gout de réessayer. Tu t’es amusé à filmer et ben à notre tour de te filmer tu vas voir comme c’est agréable. Tu as vu son cul et bien tu vas nous montrer le tien !

Sans aucune opposition, presque amusé par la situation, je leur tournai le dos, décrochai ma ceinture, déboutonnai le bouton de mon pantalon et l’abaissai le vêtement jusqu’à mes chevilles. Puis je pris mon caleçon et fit de même.

– Putain et il le fait sans broncher, avoue ça te plait hein ? Tu n’es pas seulement voyeur tu es aussi exhib ?
– Sans plus… Dis-je d’une voix peu assurée –
– Sans plus, sans plus mon œil ouais… !! Il faut qu’on trouve quelque chose qui le gêne pour lui rendre vraiment la monnaie de sa pièce !! Tiens, écarte tes fesses que l’on voie vraiment ton petit trou du cul.. Vas-y Laura filme le comme il t’a fait !
– C’est bon je crois qu’il a compris
– Tu oublies que ce vieux voyeur dégelasse t’a espionnée alors que tu étais en train de chier.. Tu ne vas pas le laisser s’en sortir comme ça ? Tiens mets lui une fessée !
– Non c’est bon, vas -y toi

Elle avait à peine fini sa phrase que je sentis un immense coup sur le cul, puis un deuxième, puis un troisième

– Tu vois ce n’est pas difficile…
– Ça t’apprendra vieux pervers à espionner les gens à leur insu.

Cette fois-ci je senti une nouvelle claque sur les fesses mais beaucoup moins forte que les 3 premières. La deuxième fille s’était prise au jeu.

– Ben voilà tu vois. Ne te gêne pas il n’a que ce qu’il mérite.

Je les sentis à tour de rôle me frapper le cul. J’aurais aimé extérioriser le plaisir et l’excitation que je ressentais mais je me suis dit que le moment n’était peut-être pas bien venu.

– Vu que tu aimes voir des culs tu ne verras pas d’inconvénient à ce que je te montre le mien ?
– Alors là je n’en croyais pas mes oreilles. Elle voulait me montrer son cul ? Ai-je bien entendu ?
– Allonge-toi sur le dos, je vais te donner l’occasion de le voir de près.

Pendant que je m’exécutais je jetai un regard à son amie qui restait passible, mais qui commençait malgré tout à être amusée par la situation.

Une fois sur le dos je la regardai abaisser son leggings qu’elle jeta sur mon lit avant de retirer son tanga vert bouteille, légèrement dentelé.

Elle mit ses jambes de chaque côté de mon corps et me tournant le dos, s’accroupit posant ses fesses sur mon visage.

– C’est bon tu le vois bien hein ? toi qui aime voir des culs tu dois apprécier non ?

Elle faisait le yoyo décollant ses fesses de 10 cm avant de me planter à nouveau sa rondelle sur le nez. On aurait dit une petite fille qui faisait  » A dada  » sur les genoux de ses parents.

– Alors ça sent bon ? tu t’éclates là-dessous ? ohhh attends je crois que j’ai une petite surprise pour les sales de ton espèce.

Je sentais qu’elle se concentrait, après quelques secondes de silence elle lâcha un gros pet, le cul toujours posé sur mon visage. Son amie se marrait discrètement comme si elle ne voulait pas qu’on voie que la situation l’amusait.

– Tu vois c’est comme ça qu’on les punit les gros pervers de son espèce. Viens Laura fais toi plaisir !

Elle se leva d’un bon. Le doux fumet du pet qu’elle venait de faire flottait toujours dans l’air. Après s’être complètement relevé elle se tourna et me fit face.

Son sexe n’était pas épilé je dirai même qu’il ressemblait un peu aux toisons des films porno des années 60. Elle s’accroupit vers moi et sans que je m’y attende, me colla une baffe.

– Vieux porc ça te passera peut-être le goût de tes vieux jeux de pervers.

Laura, (puisqu’apparemment elle s’appellerait ainsi), assistait à la scène sans bouger. Elle semblait hésiter à m’humilier à son tour.

– Voilà je crois qu’il a compris, allez on y va
– Ma parole tu as un train à prendre ? Je trouve au contraire que l’on commence à peine à s’amuser
– Bon ben je vais vite à la chambre moi
– Mais qu’est-ce que tu as ?
– Je dois aller aux WC
– Tu dois encore chier ?
– Non … pipi
– Eh ben ? Monsieur doit certainement avoir réservé une chambre avec toilettes

Elle semblait hésiter à utiliser mes waters. Après 5-6 secondes de réflexion sa copine s’exclama :

– Attends !! On va lui donner la chance de pouvoir te voir te soulager de près.. de très très près !
– Tu veux qu’il me regarde pisser aux chiottes ?
– Non il va te servir de chiottes !!
– Attend mais c’est dègueu !
– Et lui il n’est pas dègueu ? Tu ne partiras pas de cette chambre tant que tu ne lui auras pas pisser dans la gueule !

Au final j’avais l’impression que nous étions deux à subir les exigences de cette femme.

Sentant son besoin augmenter et sachant qu’elle n’avait pas d’autres choix que de répondre aux idées de sa pote, elle s’avança vers moi et m’enjamba tout en me faisant face.

– Vas-y ouvre ta gueule vieux cochon

Laura regardait en souriant sa copine qui venait de me donner cet ordre.

Contrairement à sa pote, Laura avait une petite chatte beaucoup plus entretenue avec un léger ticket de métro bien aligné au-dessus de sa fente. Elle s’avança et colla son sexe juste au-dessus de ma bouche. Apparemment la situation ne la bloquait pas le moins du monde puisque quelques secondes après s’être immobilisée elle se vida, inondant ma bouche se son urine tiède.

Il faut bien l’avouer, même si j’avais réussi à avaler quelques gorgées, il y en a avait plus sur mon t-shirt et parterre que partout autre ailleurs. Après vingt bonnes secondes, quand elle eut fini, je me léchais les lèvres récoltant les quelques gouttes qui y étaient restées. Alors que dans un bon porno la situation aurait été rêvée pour que l’on me demande de l’essuyer avec la langue, là elle préféra remonter rapidement sa culotte comme si sa pudeur reprenait le dessus.

– Très bien Laura ! Tu vois, pas besoin de retourner dans la chambre quand nous avons des toilettes aussi formidables ! d’ailleurs avant de laisser notre ami je vais également profiter de me soulager à mon tour.

Elle revint s’accroupir au-dessus de mon visage, les poils de sa toison touchaient presque mon nez.. elle sentait fort.

Même si elle mit quelques secondes de plus que Laura à lâcher son jet, la puissance et la quantité furent tout aussi importants. J’en avais plein le visage et à nouveau j’en bu quelques gorgées. Son urine était d’ailleurs nettement plus forte que celle de Laura.

Elle resta immobile pendant un moment comme si elle n’avait pas fini. Elle respirait fortement.

Rapidement elle s’avança de 20 cm, libéra un énorme pet sonore et dans la lancée me déféqua dans la bouche faisant sortir de son petit trou dilaté une énorme saucisse brune qui après être sortie d’environ 15 centimètres se cassa en deux. Ensuite tout a été très vite. Tout comme Laura elle se rhabilla sans s’essuyer.

Elles allaient quitter la chambre me laissant dans l’état que vous pouvez imaginer quand celle qui venait de me chier dessus me dit :

– On a encore une dernière surprise pour les salauds comme toi !

Sans en dire plus, elles prirent congé de moi. Ne sachant si elles allaient revenir ou non, je restai un instant couché sur la moquette inondé de pisse avec de la merde toujours plein la bouche.

Après deux minutes, pensant que je n’allais pas les revoir tout de suite, je me levai et pris la direction de la salle de bain ou je crachai les selles que j’avais en bouche dans la cuvette des WC et tirai l’eau.

Je me déshabillai et pris une bonne douche chaude. Repensant à la situation que je venais de vivre je me masturbai et rapidement j’éjaculai contre la paroi en plastique de ma douche.

De retour dans la chambre je constatai que l’immense auréole sur la moquette, n’avait pas disparu par magie. Je pris des habits propres dans la valise, m’habillai et descendit au rez-de-chaussée. Là je croisai la réceptionniste qui me dit :

– Elles ont de la chances vos amies de connaitre un gentleman comme vous. Du coup vous voulez payer les deux chambres séparément ou sur le même compte ?

Ahhh les petites garces !!

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4 réponses à Notre Dame du Roc par Zazou

  1. Dumigron dit :

    Une fois une copine me pissait dessus, quand elle eut terminé, elle conserva la position et me fit cadeau d’un joli boudin bien moulé. Elle me le tendit afin que je le lèche. Je l’ai fait, je bandais comme un cheval. quel souvenir !

  2. Dominguez dit :

    Un petit bijou de Revenge Porn

  3. Orane dit :

    Délicieux récit qui m’a fait terriblement bander.

  4. James01 dit :

    Beaucoup trop de digressions qui ne servent pas le récit
    La fin est correcte, mais j’ai lu mieux

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