Nanou femelle vicieuse – 1 – par FétichOdeurs

Nanou femelle vicieuse
(ou l’histoire d’une grosse cochonne gourmande et sale)
ch 1
par Fétich Odeurs

 

 

1) Préambule

Je me nomme Anne, et on me surnomme souvent  » Nanou  » . J’ai aujourd’hui 39 ans et me propose de vous raconter tout au long de l’année mes découvertes en matière de sexe qui font de moi aujourd’hui une femme épanouie et d’une perversion diabolique.

Je suis brune, mes cheveux longs et ondulés descendent jusqu’aux fesses. J’ai des yeux bleus, et mon regard est renforcé par des cils assez longs, et des sourcils plutôt fournis.J’ai un visage plutôt rond et toujours souriant avec des lèvres assez charnues faites pour embrasser et sucer.
Je mesure 1 m 62 et pèse aujourd’hui 79 kg. Vous aurez compris je suis une femme ronde et gourmande de tout. Mes rondeurs ont toujours attirés même si beaucoup n’osent pas s’afficher avec une  » grosse « , et mon 115E actuel est un pousse au crime, même si à 18 ans avec mon 105 C-D suivant les marques, les mains pelotteuses se trouvaient déjà aimantées : C’est fou ce qu’une paire de gros nichons peut donner du pouvoir.
J’ai les hanches  » Vendéennes « , c’est à dire très larges un gros avantage pour mes deux accouchements qui se sont passés très biens. Par contre ce n’est pas toujours facile de s’habiller, car malgré mon gros cul, j’avais jusqu’à 32 ans une taille assez fine.
J’ai donc des fesses et des cuisses larges qui restent malgré tout assez ferme par la pratique régulière du jogging. Enfin, je suis une adepte du naturel, et malgré une pilosité importante, je ne me suis jamais rasée ni épilée les aisselles, la chatte, les fesses, les cuisses pour le plus grand bonheur de Paul mon mari.

Pour terminer ce préambule de présentation je terminerai par mes goûts dans les pratiques sexuelles :
– les mots crus : ils sont un très fort existant chez moi et j’aime les entendre comme les prononcer. L’homme est un être doué de parole et d’imagination, il faut s’en servir.
– L’exhibition : je n’ai plus aucune pudeur aujourd’hui, et m’exhiber, ou avoir une pratique sexuelle devant les autres me donne une impression de puissance et de pouvoir, car je sais que peu en sont capables.
– Les odeurs naturelles : je hais les parfums, ils cachent les arômes naturels du corps, les odeurs de sexe d’hommes comme de femme, d’aisselles provoquent chez moi une excitation sexuelle, qui se traduit par une liquéfaction de mon intimité.
– Les jeux de rôles : Jouer des personnages permet de renouveler régulièrement les pratiques sexuelles et les lieux.
– Les jeux de nourriture : la cuisine le frigo, les restaurants sont des sources d’accessoires sexuels infinis
– Sperme et urine : Si j’aime le sperme et les douches de sperme, je pratique l’uro tous les jours, en commençant la journée par boire un grand verre de mon pipi du matin, sauf lorsque Paul a le temps le matin pour se vider dans ma bouche, plaisir qu’il me rend en buvant à ma source mon urine fraîche.

Par contre, je ne prend pas de plaisir à la sodomie, refuse la violence physique, le fist, et dans la scatologie, je joue avec la matière, je lèche ou suce mes partenaires, mais n’arrive pas à avaler, contrairement à ma cousine Sophie et à mon mari

Pour finir, je suis évidemment bi, et depuis trois ans avec ma cousine Sophie nous pratiquons la zoophilie

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Ch. 1 Découverte de nos corps à l’internat

En classe de première, j’étais encore totalement ignare des choses du sexe. Mon corps s’était modifié, mais il m’était encore inconnu ou presque.

Interne pour la première fois de ma vie je partageais ma chambre avec Martine une élève de ma classe, toujours gaie et vite nous sommes devenues inséparables.
Martine était grande 1m 79, plutôt maigre, et rousse au cheveux courts. Une vraie rousse avec la peau laiteuse, les taches de rousseurs, et des yeux verts.
Elle avait rejoint notre classe en févier, et le proviseur m’avait demandé de l’accueillir dans ma chambre pour faciliter son intégration et l’aider pour les cours où elle aurait du retard du fait de son changement de lycée. Il faut dire qu’étant dans les trois premiers de la classe, on me faisait confiance.

J’était plutôt pudique, et n’avait pas l’habitude de me déshabiller devant les autres, même les filles de mon age. C’était sûrement le problème d’accepter mes seins déjà volumineux, mon excès de poids et ma pilosité brune déjà abondante. D’ailleurs personne ne me connaissait en jupe ou short.

Ma première surprise avec Martine, commença dès le premier soir. On travaillait l’une à côté de l’autre, elle venait de finir un exercice de physique et me demanda de venir voir si c’était juste. Debout derrière sa chaise et légèrement penchée au dessus d’elle, je fus frappée par l’odeur animale qu’elle dégageait. C’était très fort et pourtant mon ventre faisait des nœuds, et je sentais mon intimité se liquéfier.
A partir de ce soir je profitais dès que je pouvais de sa fragrance de rousse. Ma deuxième surprise vint au moment de se coucher. Alors que j’avais enfilé très très vite mon pyjama, je vis Martine, se foutre à poil et aller se brosser les dents, nue. Ce qui, m’étonna c’est son naturel. Elle se baladait nue, avec la touffe flamboyante à l’air et ses petits seins pointu et agressifs. J’était rouge comme une pivoine mais hypnotisée par se corps nu qui s’offrait à mon regard. Et elle se coucha à poil en me disant

–  » Ça ne te gène pas que je dorme nue j’espère, mais je ne supporte pas les pyjamas ! »

Je répondis que non, mais que j’avais jamais dormi ainsi personnellement. Ce à quoi elle me répondit

–  » Tu devrais essayer, tu verra on se sent plus libre…  »

Pendant plusieurs soirs l’idée fit son chemin, et le samedi soir chez moi je fit ma première nuit nue et trouvait très agréable le contact direct des draps sur ma peau. Du coup, le lundi suivant je pris mon courage à deux mains, et me glissait à poil sous mes draps, sous le regard et la mine réjouie de Martine, qui me dit

–  » Comme tu as de la chance d’avoir des gros seins comme ça !  »

J’était écarlate et lui demanda pourquoi. Elle s’avança, Vers mon lit

–  » Regarde, moi je n’ai rien, deux pointes ridicule, ça n’intéresse personne ! « .
–  » Parce que tu crois qu’avec mes grosses cuisses, mes grosses fesses et mes gros nichons j’intéresse les garçons, ils ont tous peur que les autres se foutent de leur gueule,  » oh il sort avec la grosse Nanou « . Une fois qu’ils m’ont roulé une pelle et tripoter les fesses et les nichons, c’est je fuis ! Alors tu sais, je ne suis pas pressée, mais je suis encore vierge « .
–  » Moi aussi, et pourtant j’ai faillit cet été, mais on n’avait pas de capote  »

Elle me dit bonne nuit et se glissa dans son lit

Petit à petit je pris l’habitude de me balader aussi à poil ; c’était bizarre nous prenions un réel plaisir à regarder nos corps à l’insu de l’autre. Nos corps se touchaient parfois ce qui me procurait à chaque fois une décharge de plaisir ;

C’est donc le 22 avril que tout bascula. La prof de Bio qui n’avait rien de sexy, nous fit un cours sur la reproduction, les maladie sexuellement transmissibles, et termina en disant :

–  » Voilà je doit maintenant vous faire un cours d’éducation sexuelle, je vais essayer de répondre à toute vos questions, mais je vais vous demander de poser vos question de façon anonyme sur des petit morceau de papier, car je vous connaît personne n’osera parler de peur d’être la risée des copains. Je vous demanderai juste d’être discret, après le cours  »

Elle tria les question sourit de nombreuses fois, puis attaqua :
Elle commença à expliquer aux garçons qu’ils étaient trop rapides, que la femme avait besoin de préliminaire…Elle expliqua le rôle des caresses, de la lubrification. Que le sperme cela n’avait rien à voir avec du pipi. Que les femmes jouissaient souvent plus fort que les hommes mais que le corps des femmes avait souvent besoin de plusieurs années avant d’atteindre un orgasme vaginal. Je découvris l’existence de mon clitoris à ce cours.

Puis la prof respira un grand coup et répondit à des questions plus osées :

 » Bon, maintenant je vais répondre aux questions des garçons :

– la masturbation est quelque chose de naturel chez les hommes, mais vous aussi les filles, vous avec le droit de vous faire du bien et ceci tout en restant vierge.
– la  » pipe  » : messieurs écrivez fellation ce sera mieux : Bon je crois que c’est une des caresses que préfèrent les hommes. Mais, deux choses messieurs, soyez propres, je ne vois pas la plupart de vos copines prendre du plaisir à prendre votre sexe dans leur bouche, si ça pue la pisse. Deuxièmement, ne prenez pas vos désirs pour une réalité, c’est à votre partenaire de décider si elle accepte que vous jouissiez dans sa bouche et si elle a envie d’avaler votre sperme, ou que vous jouissiez sur son visage ou ses seins. N’oubliez jamais, vos partenaires étant souvent inexpérimentées que la pratique du sexe est un long apprentissage ; vous allez devoir apprendre la patience et oubliez l’idée que  » c’est une salope et elle adore ça  » « .
– le cunnilingus : messieurs il faut apprendre à donner si vous voulez recevoir. Au début c’est sûrement comme cela que vos copines prendront du plaisir.
– Ah, je l’attendais celle là :  » la sodomie « . Soyons clairs, je sais : une paire de fesses bien ronde vous fait bander messieurs. Mais contrairement à vous nous n’avons pas de prostate qui peut déclencher comme chez vous un orgasme. Ensuite, cela peut faire très mal à votre partenaire. Enfin, avez vous envie d’être sodomisées ?
– Enfin pour les questions qui concernent mes propres pratiques sexuelles, premièrement ça ne regarde que moi, deuxièmement comprenez que l’expérience permet de prendre plus de plaisir et de faire des choses qu’on n’ose pas à 20 ans. Le sexe est un long apprentissage, qui doit se faire dans le respect de l’autre et surtout en restant protégé. Et quand il y a de l’amour, une véritable écoute de l’autre alors ça devient sublime. Bonne journée  »

Après ce cours, tout le monde dans la classe a voué une sorte de respect à cette prof pour son courage.

Le soir nous avons parlé avec Martine. Je lui ai avoué que je ne m’étais jamais masturbé.
Elle s’est levée dans son lit et m’as dit :

–  » C’est pas possible ! Moi je suis accros, et bien ma vieille tu dormira pas ce soir sans avoir jouit !
– t’est folle, je vais pas faire ça devant toi
– si  »

Et elle alluma la lumière fit voler mes couvertures et s’installa à l’autre bout de mon lit écartant les cuisses de façon provocante m’offrant une vue imprenable sur sa chatte de rousse

– Fait comme moi dit elle d’un ton autoritaire qui ne supportait pas la contestation  »

Comme face à une glace je la suivis, me caressant les seins, titillant mes tétons si sensibles, glissant une main sur les poils déjà fournis de mon pubis. La main de Martine écarta sa touffe rousse, puis sa fente qui brillait de cyprine, je mouillais abondamment et j’écartais à ma toison brune pour ouvrir mes lèvres intimes. Nos respirations étaient bruyantes avec des feulements et des miaulements de plaisir. Puis léchant mes doigts je parti à la recherche de mon clitoris, J’appris à doser mes caresses et finit par jouir m’écroulant dans le lit en tremblant de plaisir. Martine vint près de moi me caressa la joue avec tendresse

–  » C’était bien ?
– mieux que ça !  »

Elle m’embrassa sur la joue avec douceur et lorsque je voulu lui rendre son baiser mes lèvres trouvèrent les siennes dans un baiser chaste. Nous nous arrêtâmes ouvrirent les yeux, nos yeux brillaient. C’est moi qui repris l’initiative et notre baiser devint fougueux et à pleine langue.

Le sommeil nous rattrapa et on s’endormit dans le même lit.

marc.marc15@voila.fr

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5 réponses à Nanou femelle vicieuse – 1 – par FétichOdeurs

  1. caroline beck dit :

    Je suis une fille et j’aime la sodomie ; avoir une queue entre les fesses me procure beaucoup de plaisir

  2. Kerry dit :

    Un récit prometteur qui tient mal ses promesses

  3. Lucia dit :

    Donc je lis cette phrase qui m’interpelle : « Pour finir, je suis évidemment bi, et depuis trois ans avec ma cousine Sophie nous pratiquons la zoophilie ».
    le soucis c’est que ce n’est développé nulle part, ni dans le présent texte, ni dans les autres récits de cet auteur
    C’est frustrant. Ça m’aurait pourtant bien plus de lire un passage dans lequel Nanou aurait sucé la bite d’un chien !

  4. hagamen dit :

    Il est dommage qu’après une intro très prometteuse comme catalogue de fantasmes, on soit forcement deçu par la seconde partie.

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