Près de 30° à l’ombre par Manu01 – 2 – Mon premier cheveu gris

Trop empressé que j’étais de vous raconter l’épisode  » Près de 30° à
l’ombre « , je n’ai pas pris le temps de vous décrire ni la situation, ni les
deux splendides créatures avec lesquelles j’ai passé des vacances
inoubliables. Je tiens aussi à préciser que tout ce qui suit est bien réel,
à part quelques petits détails tels que les prénoms et peut-être quelques
raccourcis….

Donc, flash-back…

Je suis sorti pendant quelques semaines avec Nathalie. Relation étrange
puisqu’elle est amoureuse d’un homme marié dont elle ne me parle jamais mais
je sais qu’elle le voit souvent. Quant à moi je viens de rompre avec une
véritable chieuse avec un cul tellement extraordinaire qu’il me faisait
oublier son fichu caractère. J’essaie de me détacher d’elle comme d’une
drogue et Nathalie, véritable bombe sexuelle, arrive pile au bon moment.
Nathalie, c’est 1m78 de lubricité. Un rien trop ronde (mais je suis très
critique) et un petit quelque chose de masculin dans le visage qui m’empêche
d’écrire que c’est une beauté rare, mais elle n’en est pas loin.
Seuls mon lit (qui s’est rompu sous nos assauts) et mes voisins se plaignent
de nos bruyants ébats. A chaque fois, j’ai l’impression d’être passé dans
une moissonneuse-batteuse, tellement elle m’épuise. Elle a une façon que
j’adore de me réveiller le matin : elle me prend dans sa bouche alors que je
dors encore et me suce jusqu’à ce que je sois complètement éveillé. Ensuite,
elle vient sur moi, me fait l’amour et me susurre à l’oreille son fantasme
du jour. Ca fait au moins deux semaines que je ne suis pas arrivé à l’heure
au bureau. J’ai connu quelques véritables cochonnes mais là, c’est le
nirvana.

Un soir, elle me propose d’aller manger un petit bout avec une amie, Marie,
un peu délaissée par son mari et qui a envie de sortir de chez elle.
Restaurant très branché, ambiance feutrée, nous nous installons à une table
un peu retirée, à l’opposé de la porte d’entrée, et elle commande bouteille
de champagne. Merde, dans quoi je me suis embarqué ! Je suis complètement
fauché pour le moment et ça n’a pas l’air donné

L’alcool fait son effet et comme je suis de nature exagérément optimiste, je
me détends.
Pas pour longtemps car j’aperçois une fille sublime qui entre. Très grande,
mince, bronzée, des jambes interminables et une poitrine énorme que son
tailleur a beaucoup de mal à dissimuler. Tout le restaurant l’observe.
Certains font de leur mieux pour être discrets, d’autres n’y parviennent
pas. Elle vient s’asseoir à notre table, tout sourire, visiblement
consciente de plaire. Elle me fixe dans les yeux, j’ai l’impression d’être
une proie et je soupçonne Nathalie d’avoir un plan diabolique. Elle n’en
serait pas à sa première aventure avec une fille et elle sait que, comme
pour la majorité des hommes qui peuplent cette terre, faire l’amour à deux
filles reste pour moi un fantasme inassouvi.
Deux heures plus tard, je suis conquis. Marie règle discrètement l’addition
(ouf !), je me bats pour la forme ( je suis fou, je serais bien incapable
d’en payer la moitié) mais elle m’explique que c’est la carte de son mari et
que même si elle invitait le restaurant entier il ne verrait pas la
différence…
Contre tout attente Nathalie se lève et, prétextant une fatigue soudaine,
m’embrasse à pleine bouche, embrasse beaucoup plus chastement Marie et s’en
va. C’est raté pour le trio et, comme Marie m’impressionne un peu, si ça
continue je vais terminer la nuit tout seul.

Nous sortons du restaurant , suivis du regard de tous, et à peine dehors,
alors que je suis très indécis sur la suite du programme, Marie m’enfonce sa
langue dans la bouche. Mon appartement n’est qu’à quelques minutes de là,
nous y filons.
Nue, elle est encore plus splendide. Des jambes extraordinaires, un petit
cul musclé, un ventre plat et des seins refaits mais tellement bien  » faits
 » que, à part leur taille impressionnante, on dirait des vrais.
Nous faisons l’amour des heures durant dans mon lit, sur le canapé, sur la
terrasse, dans la cuisine. Elle suce comme une déesse, baise comme une
reine. Je suis aux anges. C’est fou ce qu’elle mouille. Mes mauvaises
manières refaisant surface, j’ai très envie de la sodomiser. Que
voulez-vous, j’ai pris de sales habitudes avec Nathalie. Je me glisse
derrière elle et lui lèche l’anus. Puis me place contre son petit trou et
m’apprête à m’enfoncer.
– Doucement, mon mari ne me l’a jamais fait, ni personne d’ailleurs.
Je m’enfonce pourtant, tout doucement, et le fait de savoir son petit cul
encore vierge, ça m’excite encore plus. Pour ne pas lui faire mal, je ne
rentre pas trop loin et bouge très lentement, tout en la caressant.
Manifestement, elle adore ça et c’est tant mieux car je sens que ça va
devenir une habitude.
Peu à peu, j’accélère le rythme mais alors que ça devient vraiment trop bon,
elle se dégage, se place derrière moi et me lèche le cul, puis m’enfonce un
doigt :
– Je voulais que tu saches à quel point c’est bon.
Cette nuit, je pense que nous avons réveillé tout Paris.

Vers 3 heures du matin, épuisés, nous discutons, affalés dans le canapé.
– Je pars en vacances deux semaines à ST-Tropez avec Nathalie, et mon mari
nous rejoint la deuxième semaine. Elle tient absolument à ce que tu viennes
mais voulait d’abord que je te rencontre.
– Tu sais, je suis un peu fauché pour le moment et je ne pense pas que…
– Nathalie m’avais déjà beaucoup parlé de toi et j’étais sûre qu’on
s’entendrait à merveille. J’en ai parlé à mon mari et il est soulagé de ne
pas nous laisser partir seules et comme tu es le petit-ami de Nathalie, il
te paie l’avion et pour toutes les dépenses sur place …j’ai sa carte.
– Tu trouves pas ça un peu lourd ?
– Oh, tu sais, il a aussi une maîtresse et il dépense une fortune pour elle.
D’ailleurs il paie aussi son avion et ses vacances à St-Tropez.
– Quoi ? Elle sera aussi là ?
– Bien sûr, et tu la connais très bien…
– …?
– Nathalie.

Vous comprenez maintenant pourquoi je tenais absolument à commencer cette
histoire en insistant sur le fait que tout dans cette histoire est vécu car
si je l’avais lu dans un roman, je me serais dit que c’était vraiment trop
gros. J’ai dans mon lit une femme dont le mari à pour maîtresse ma petite
amie. Vous suivez ?
On dirait un mauvais vaudeville du début du siècle dernier.

Je me doutais bien que Nathalie avait en tête un plan diabolique en me
présentant Marie ce soir au resto, mais j’avoue que pas une seconde, je
n’aurais pu imaginer cela.
Je n’avais d’ailleurs aucun indice.
Marie m’a expliqué qu’elle avait découvert que son mari avait une maîtresse,
qu’elle avait tout fait pour la rencontrer et que contrairement à ce qui
aurait dû arriver, elles se sont très bien entendues. Elles ont même fini
par devenir copines. Mais Marie se sentant malgré tout un peu délaissée,
elle avait envie, elle aussi, de rencontrer quelqu’un. Nathalie, un peu par
jeu et sûrement beaucoup par perversité, avait trouvé ce quelqu’un…la boucle
était bouclée. Même le mari était dans la combine. C’est Dallas, en pire.
Dans deux semaines, je partirais en vacances, le tout offert par un homme
que je ne connaissais pas alors que je baisais sa femme et sa maîtresse.

– Nathalie est avec lui pour le moment ?
– Oui

Je comprends mieux sa fatigue soudaine au resto.

– Mon mari voudrait te rencontrer. Si ça ne te dérange pas. Il organise une
petite fête à la maison demain soir. Tu seras là ?
– Impossible, j’ai un truc demain soir. (Ca m’arrange bien car je ne vois
pas du tout faire la fête avec ce type et en plus, c’est vrai j’ai un  » truc
 » : je dîne avec mon ex, mais ça je me garderai bien de lui dire).
– Tant pis, passe après.
– Heu…OK. (là je suis coincé).

Le dîner avec mon ex s’est plutôt mal passé et c’est un peu énervé que
j’arrive à l’adresse donnée par Marie, à une cinquantaine de kilomètres de
Paris. Une très belle et certainement très ancienne maison, énorme, style
cottage, perdue au milieu d’un immense parc. Quelques voitures parquées dans
la cour toutes plus somptueuses les unes que les autres. Je souris en
regardant la vieille Citroën de Nathalie qui dénote complètement.

C’est Marie qui m’accueille, tout sourire.
Mon appartement rentrerait dans le hall d’entrée. Tout est beau, pas une
faute de goût. Tout est simple et doit être réellement hors de prix, sans
être tape-à-l’œil.
J’aperçois dans le salon Nathalie qui discute avec homme d’une quarantaine
d’année. Bel homme, très classe, élancé, cheveux très courts, yeux bleus et
sourire digne d’une pub pour dentifrice.
Marie me le présente, Olivier.
Malgré la situation, je me sens parfaitement à l’aise avec lui, il est très
sympa et on se découvre des tas de passions en commun. J’ai l’impression de
me reconnaître en lui avec quelques années de plus (j’ai 28 ans).
Deux autres couples, tous les quatre d’une trentaine d’années, très beaux
surtout une fille avec un fort accent qui doit être slave. Superbe, très
sensuelle.
Olivier nous fait goûter des vins extraordinaires, nous sommes tous un peu
éméchés et personne ne semble s’étonner lorsque, vers 2 heures du mat’, il
nous propose de plonger dans la piscine. Il est fou, nous sommes en avril et
il fait vraiment froid dehors. J’ai failli faire remarquer que je n’avais
pas de maillot mais j’ai bien fait de m’abstenir car en quelques secondes,
ils sont tous nus et plongent dans la piscine. Bon, je suis pas trop pudique
mais il y a quelques heures je ne les connaissais pas. C’est pourtant nu que
je plonge. L’eau est chaude, ça fait un bien fou. On fait des jeux style  »
les garçons prennent les filles sur les épaules et on fait tomber les autres
« . Ca parait con mais un peu éméché, à jouer comme un gamin en pleine nuit
dans une piscine, au mois d’avril, avec des inconnus, ma petite amie sur les
épaules d’un type dont la femme est sur les miennes, je me suis marré comme
un fou. Puis, petit à petit, ça devient un peu chaud. La superbe slave, qui
est en fait polonaise, commence à sucer son mec sous l’eau. Ce qui aurait pu
être discret si elle ne l’avait pas annoncé haut et fort. Vu la tête de son
mec, ça a l’air vraiment très bon. Puis, comme si c’était tout à fait
naturel, toutes les filles s’y mettent. Nathalie avec Olivier et Marie avec
moi. Le mec de la polonaise émet quelques gémissements, puis elle sort de
l’eau, monte sur le plongeoir d’un pas peu assuré, je pense qu’elle est
réellement saoule. Elle prend une pose de statue de parc public, en plus
vulgaire, une main écartant les lèvres de son sexe entièrement rasé et du
haut de son plongeoir fait pipi dans la piscine.

Le temps est littéralement suspendu, tous la regarde, certains
applaudissent. Dieu, qu’elle est belle.
Si je ne devais garder en tête qu’une seule image de cette soirée, ce
serait certainement celle-là. Inoubliable.
Elle regarde son mec, lui crie  » je t’aime  » et se laisse tomber dans l’eau.

C’est marrant, mais pas une seule fois pendant cette soirée, je me suis dit
que ça allait tourner en partouze. Nous sortons de l’eau et transis de
froid, nous courons jusqu’à la maison.
– Tous dans le sauna !
C’est un peu juste pour huit mais pas dérangeant. j’ai perdu toute trace de
pudicité. Les couples se caressent entre eux. Nathalie est un peu distante,
c’est à peine si elle m’a regardé ce soir, mais Marie compense à merveille.
Olivier a les yeux fermés et Nathalie le masse. Enfin, masser est un bien
grand mot puisqu’elle s’occupe de l’intérieur des cuisses, de sa queue et de
ses couillles. Marie est collée à moi, je transpire très fort mais ça n’a
pas l’air de la déranger. Elle me masturbe très lentement, comme si la
chaleur du sauna ralentissait le temps. Tous les mouvements sont très
lents.
La polonaise est couchée sur le dos, les jambes repliées sur son ventre et
se fait lécher par son mec. Elle se caresse les seins. Comme il est un peu
de côté, j’ai une vue imprenable sur sa chatte rasée. Elle me regarde, voit
que je la regarde, me sourit et écarte un peu plus les jambes. Cette fille
ne connaît certainement pas le sens du mot  » pudeur « . Elle me fascine.
Parfois, elle laisse échapper un petit gémissement.
Mes yeux glissent à nouveau vers Olivier. Je ne suis pas attiré par les
hommes, mais ce type est un véritable apollon.
Marie sort du sauna, je m’empresse de la suivre. Elle me prend par la main,
m’entraîne vers un canapé dans un salon, se couche sur le dos. Je plonge en
elle. J’ai très envie de son cul, je sors de son sexe et descends vers son
petit trou.
– Non, pas ici. J’ai toujours refusé ça à Olivier. S’il voit ça, il va nous
faire une grosse crise.
Tant pis, je replonge dans son sexe, un peu frustré.
J’entends des voix. C’est la polonaise et son mec qui viennent s’installer
juste à côté de nous. Dans la même position. Elle n’a pas le moindre regard
pour moi. Comme si nous n’étions pas là. Seul son bras touche le mien et je
suis sûr que c’est fait exprès. En tout cas ça n’a pas l’air de gêner Marie
qui commence à gémir de plus en plus fort. Pour le couple qui partage notre
canapé, aussi, ça a l’air bon. Le bras de la déesse frotte de plus en plus
fort contre le mien. Elle me regarde enfin et me sourit. Nous jouissons tous
les quatre en même temps, suivi d’un éclat de rire général.

Olivier et Nathalie ont disparus, j’embrasse Marie et m’enfuit comme un
voleur. Je suis crevé et je travaille demain matin, il ne me reste que
quelques heures de sommeil…
Sur le chemin du retour, je ne pense qu’à la polonaise. Je ne connais même
pas son nom. Je ne lui ai même pas parlé. A peine dans mon lit, on sonne à
la porte. Nathalie.
Elle entre comme une furie dans mon appart. Elle vient de s’engueuler avec
Olivier car il ne supporte pas l’idée que je couche avec elle. Sa femme, il
s’en fout mais pas elle.
C’est pourtant ce qui est arrivé cette nuit-là. Je n’ai dormi qu’une petite
heure.
Peut-être l’origine de mon premier cheveu gris.

Voilà comment je me suis retrouvé deux semaines plus tard à St-Tropez
avec Marie, dont je suis officiellement l’amant, et Nathalie, que je suis
sensé ne pas toucher puisque c’était la seule condition pour qu’Olivier nous
laisse partir à trois. Nous n’avons pas tenu très longtemps mais ça, c’est
une autre histoire…
Si, d’aventure, la splendide polonaise se reconnaît, qu’elle sache que j’ai
essayé de la revoir. Je crois savoir qu’elle est toujours avec son mec et
qu’elle a une petite fille. Je laisse mon adresse e-mail ci-dessous.
Pour les autres, si vous avez des commentaires ou des questions, n’hésitez
pas. 

Manu

Phry12@hotmail.com

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Une réponse à Près de 30° à l’ombre par Manu01 – 2 – Mon premier cheveu gris

  1. Lise du Sud dit :

    J’ai adore

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