Masculin-Féminin Aventure alpestre par Enzo_Cagliari

Masculin-Féminin
Aventure alpestre
par Enzo Cagliari

Dans les Alpes

Ah ! Je le retiens le Patrick avec ses plans foireux. Mais enfin, bon, ça ne s’est pas si mal terminé que ça…

– J’ai un plan super pour passer dix jours de vacances avec des super randonnées. Nous avait-il annoncé.

Effectivement, il s’agit d’un séjour dans un chalet de haute montagne à un prix défiant toute concurrence. On cherche le piège, « non, c’est très propre », nous a garanti le correspondant de Patrick, simplement l’hébergement est qualifié d’un peu spartiate avec le coucher en dortoir, mais ça on s’en fout, nous avons tous l’âme un peu partouzarde !

Et voilà, nous sommes six garçons et trois filles, tous en dernière année de médecine, à l’exception de Patrick qui est notre jeune prof d’anatomie, ils se connaissent bien entre eux, mais c’est la première fois que j’intègre leur groupe. Nous sommes en train de gravir à pied les deux kilomètres et quelques qui nous séparent de « la Félicité », avec les bagages, les duvets, les chaussures de rando et tout le tremblement.

Il nous a fallu changer de train à Lyon pour aller jusqu’à Briançon, là attendre plus d’une heure un car pour La Génoire, pour nous entendre dire ensuite que pour le reste, il fallait se débrouiller à pied.

Patrick tente de donner l’exemple en marchant en tête, les filles sont à la traîne, moi aussi d’ailleurs ! Je tiens compagnie à Elodie, superbe brune à la bouche pulpeuse et à la poitrine de star. Je l’aime bien, Elodie, j’ai essayé de la draguer dans le train, mais me suis rendu compte que c’était peine perdue, on a quand même fait tout le voyage en train face à face. A un moment, elle m’a demandé de lui descendre sa valise du porte bagage, elle l’a ouverte et s’est mise à chercher je ne sais quoi de façon frénétique. Elle sort des trucs, en met partout, puis range tout ça, referme la valise, et me demande de la remonter. Evidemment, elle a oublié d’y remettre un sachet.

– Tiens, tu peux le mettre dans ton sac à dos, tu me le rendras quand on sera arrivé !

Ben voyons ! Heureusement, c’est léger comme tout son truc !

On décide de faire un petit arrêt et la plupart en profite pour se soulager. Je n’en crois pas mes yeux, Lucia s’est accroupie pour pisser devant nous sans aucune pudeur. Je croise son regard, elle rigole. Jérôme, quant à lui urine à deux mètres de moi, sans se tourner, il a une jolie queue assez longue, quand elle bande elle doit être magnifique !

– Humm ! Ça te plaît bien de mater la queue à Jérôme ? Me lance Sophie.
– Ben quoi, elle est belle ?
– Tu aimes les bites, alors ?

Aïe, me voilà sur un terrain glissant… D’autant que Jérôme s’est approche de moi et me propose carrément.

– Caresse-là si tu veux !

Je cherche une phrase qui me permettrait de me sortir de cette situation embarrassante, mais Sophie en remet une couche.

– Je parie que t’es pas cap’ de le sucer ?

Tout le groupe est maintenant autour de nous. Jérôme s’est un peu masturbé et arbore maintenant une magnifique bite en érection. Je décide de faire front :

– Ben, si ! Je suis cap’. Vous voulez voir ?
– Oui, oui, vas-y suce-le !

Et je me retrouve avec sa queue qui sent le pipi dans la bouche. Manifestement, personne ne s’attendait à ce que je me lance aussi facilement. Je prends plaisir à sucer cette belle bite en de longs va-et-vient de mes lèvres. La situation doit exciter les filles puisque Elodie et Lucia se roulent une gamelle en se tripotant partout. Sophie m’a baissé mon pantalon et m’introduit son doigt mouillé dans mon trou du cul. Cinq minutes plus tard la bite de Jérôme explosait dans ma bouche, j’avalais une partie de son sperme, tandis que Patrick donnait le signal du départ, mon érection non calmée me faisait mal.

Enfin, on arrive à la Félicité, on tambourine à la porte, ça ne répond pas, on retambourine, on s’énerve, et ce n’est qu’au bout de dix bonnes minutes (c’est quoi d’abord des bonnes minutes ?) que la porte consent à s’ouvrir, nous laissant découvrir un moine en aube de bure, le type doit avoir au moins soixante-quinze ans, il a dû se peigner avec un crayon, et se raser avec une râpe à fromage :

– Soyez les bienvenus ! Dit ce dernier sans conviction, je vais vous montrer le dortoir des hommes, celui des femmes est à vingt minutes de marche à « l’étape », je vais vous confier la clé, je vous conseille d’y aller avant que la nuit tombe !
– Comment ? On n’est pas tous ensemble ? Proteste Sophie.
– C’est le règlement de notre communauté !
– Les règlements, c’est fait pour être adaptés, objecte Patrick, personne ne nous avait précisé ce point, on est crevé, on reste ensemble.
– Ici, le dortoir n’a que six places ! Réplique le moine.
– Et bien dans ce cas, quatre garçons vont rester là avec deux filles, et les autres vont monter à l’annexe, on va tirer au sort ! Propose Lucia.

Le moine devient rouge comme une tomate.

– Il n’en est pas question, votre hébergement suppose que vous acceptiez notre règlement.
– Bon on laisse tomber pour ce soir, on avisera demain ! Décide Patrick de guerre lasse.

On dit aurevoir aux filles, le moine nous présente sa communauté, en fait trois autres moines, deux d’entre eux ont un âge canonique, le dernier est plus jeune mais ne semble pas avoir toutes ses billes. Pour le confort on a des chiottes à la turque à l’extérieur, et un lavabo dans le dortoir caché derrière un rideau. Rien n’est prévu ni pour le repas de ce soir, ni pour le petit déjeuner du matin. Le moine nous explique qu’il nous faudra faire nos courses au village, donc plus de deux kilomètres plus bas. Personne n’a envie de redescendre. Le moine nous propose de nous avancer douze pommes de terre qu’il faudra lui remplacer demain, il nous montre la cuisine, le réfectoire (collectif, il faudra donc manger avec les moines) et la minuscule chapelle.

– Nous allons y prier quatre fois par jour, nous dit-il en ayant la bonté de nous en indiquer les horaires, nous vous invitons à nous rejoindre.

Ils nous attendent encore !

Il y a une certaine tension, Patrick se sent un peu péteux. On fait bouillir nos patates, on boude le réfectoire et on les mange dans le dortoir.

La nuit tombe vite, on est crevé, on se couche, mais avant on sort pisser chacun à notre tour en s’aidant d’une torche électrique.

Je ne suis pas pressé, j’irais en dernier. Auparavant je sors quelques bricoles de mon sac à dos, et je m’aperçois que j’ai oublié de rendre le petit sachet en plastique qu’Elodie avait omis de remettre dans sa valise. Je l’ouvre !

Glups !

Un soutif, deux strings et une paire de bas autofixant.

C’est ce qui s’appelle se faire rejoindre par son destin.

Explication et présentation

Je me prénomme Corentin, 29 ans, célibataire malgré quelques liaisons assez éphémères. Je mesure 1 m 70 pour 65 kg, cheveux noirs, yeux marrons. J’ai un penchant pour tout ce qui touche la lingerie féminine, et depuis une dizaine d’années je me suis fait une belle garde-robe de ce côté-là. Cela a commencé il y a plusieurs années quand alors que mes parents venaient d’emménager en pavillon, j’ai vu notre voisine pendre ses sous-vêtements dans son jardin. Elle avait toujours des dessous de dentelles et en couleur. A son insu, je me branlais chez moi en pensant à son beau linge. II faut dire que notre voisine était très mignonne et le montrait assez bien. Je continuais donc à épier ses sous-vêtements qui séchaient, jusqu’au jour où je décidai de m’en acheter pour me branler avec.

Quelle super sensation que de porter un soutien-gorge, un porte-jarretelle, des bas et une culotte de dentelle. Au début je les mettais dans les W-C et je me masturbais. Je ne jouissais pas longtemps après avoir commencé mes va-et-vient. Cela a continué jusqu’au jour où pris d’une pulsion incontrôlable je réussis à m’introduire dans le jardin de la voisine afin de lui piquer une culotte de dentelle bleue qui m’excitait. Arrivé chez moi, je l’ai mise sur mon visage et je me suis caressé furieusement J’ai joui comme jamais je ne l’avais fait. Le lendemain, la voisine est venue demander si par hasard le vent n’aurait pas fait voler une culotte jusque chez nous. Si elle savait que c’était moi qui l’avais !

Cet épisode m’a fait réfléchir, j’étais sur une pente un peu compliquée, et je pris la décision de ne me masturber qu’avec des sous-vêtements que j’aurais achetés et portés.

C’est ainsi que quand l’envie me prenais, je revêtais des dessous féminins sous ma tenue d’étudiant décontracté. Le soir, après les avoir portés toute la journée, je me masturbais comme un dingue.

Lors de ma première liaison sérieuse avec une fille, je cru judicieux de jouer la carte de la franchise et après une quinzaine de jours, je lui avouais mon fantasme et allais jusqu’à lui demander qu’elle me prête son string afin que je le porte. Elle m’a ri au nez, et je ne l’ai plus jamais revu. La seconde a été plus tolérante, elle n’est pas partie, mais a refusé de me prêter sa culotte, et s’est mise à me regarder d’un drôle d’air, c’est moi qui ai cassé. Quant à la troisième, ça l’indifférait complètement, et comme rien n’est pire que l’indifférence, je laissais également tomber. Je me suis dit alors que puisqu’aucune femme ne voulait partager mes fantasmes, je me ferais femme un jour et comme il faut bien commencer par quelque chose je décidais de me raser le corps intégralement et régulièrement.

J’ai ensuite essayé de voir sur Internet comment se débrouillaient les hommes qui avaient le même fantasme que moi. Cela m’a permis de rencontrer en réel Michael dabs son petit studio. Il avait mon âge et pour lui comme pour moi, c’était une première. On a essayé des tas de fringues chez lui, il en avait une sacrée collection ! Puis excités comme nous étions on s’est tripoté mutuellement, et je me suis retrouvé avec sa jolie bite dans la bouche. J’ai aimé le sucer, on s’est mis en soixante-neuf, puis je lui ai proposé de m’enculer. J’ai aimé sentir sa bite dans mon cul aussi bien physiquement que psychologiquement. Il a joui rapidement tandis que je me branlais à fond. Belle expérience gâchée par l’attitude finale (stress post éjaculatoire sans doute) de ce garçon qui s’inventa ensuite un rendez-vous imaginaire afin que je libère rapidement les lieux.

Une deuxième expérience avec un homme plus mûr fut plus intéressante, il portait remarquablement la lingerie pour un homme et ses jambes étaient fabuleuses. Quant à sa bite, c’était un petit bijou, un joli cylindre bien droit parcouru par une veine bien visible et terminé par un gland bien formé et de belle apparence. C’est avec une réelle gourmandise que je l’ai sucé plusieurs fois et puis d’une façon presque naturelle, il s’est occupé de mon petit trou, y mettant la langue et les doigts avant d’y enfoncer sa bite bien profondément. Il fit ça tellement bien que j’ai failli pleurer de bonheur. Nous ne souhaitions ni l’un ni l’autre donner suite à cette aventure, et nous ne nous sommes jamais revus.

J’assumais donc ma bisexualité, en plus de ma passion pour les sous-vêtements. J’obtins l’adresse de quelques boites et y allait de temps à autres sucer de la bite, en attendant de trouver l’hypothétique femme idéale, celle qui saurait m’accepter « en l’état » !

A la fac je m’efforçais de ne rien laisser transparaître de mes penchants. On disait Patrick bisexuel, et c’est vrai qu’il me regardait parfois d’une curieuse façon, mais cela n’alla guère plus loin. Un jour cependant, j’étais venu paré de mes sous-vêtements souhaitant me rendre en club dès la fin des cours. Et là l’enchaînement de circonstances : envie d’aller aux toilettes, celles des hommes inaccessibles, je crois m’enfermer dans une cabine de femme mais ferme mal le loquet, une nana se pointe, pousse d’abord une exclamation de surprise et se met à rigoler comme une bossue. J’ai fui sans croiser son regard espérant qu’elle ne raconte pas ça à toute la fac. J’avais honte et décidais de redoubler de prudence et donc de ne plus porter de sous-vêtements n’importe quand.

Retour dans les Alpes

Et voilà qu’aujourd’hui, suite à un concours de circonstances je me retrouve avec les sous-vêtements d’Elodie !

La tentation est trop forte, je sors pour pisser avec l’un des strings, l’enfile sous mon caleçon ridicule, puis au moment de me coucher, je m’arrange sans être vu pour me mettre à poil sous le duvet à l’exception du string ! Je me branle alors en pensant à Elodie, je ne l’ai retiré que quand l’excitation devenant trop forte, mon plaisir montait, il n’était pas question que j’éjacule dans son string !

Le lendemain matin, je me réveille le premier, je vais au lavabo en emportant mes vêtements de rechange mais aussi le fameux sac en plastique, après m’être rasé et lavé sommairement j’enfile le second string ainsi que les bas autofixants, je mets aussi le soutien-gorge, mais sans le rembourrer. Personne ne m’a vu, tout cela est planqué sous mes fringues « traditionnelles ». Quelle sensation !

Je rejoins mon lit, les autres se réveillent. Et là j’ai conscience d’avoir fait une bêtise. Il est quasiment certain que dans la journée Elodie va me réclamer son sachet de sous-vêtements. Il faudra bien que je lui rende, et pour lui rendre, il ne faut pas que je les porte sur moi. Je cherche à m’isoler, mais il y a toujours quelqu’un… Même la cabane de WC qui ne possède aucun système de fermeture n’est pas la solution !

Patrick pris la parole !

– Bon, je suis conscient de vous avoir entraîné dans un plan foireux, j’en suis seul responsable et je vais tâcher de trouver une solution. On ne va peut-être pas s’éterniser ici, mais pour aujourd’hui, on va commencer par assurer la bouffe. Je vous propose qu’on descende tous au village pour faire des achats. Ah ! Au fait, j’ai eu les filles au téléphone, elles sont furieuses, rien à bouffer hier soir et ce matin non plus. Je leur ai dit qu’on s’occupait du petit dej’ et on ira leur monter et on le prendra tous ensemble, que les moines soient d’accord ou pas !

On est tous d’accord, on descend, on achète plein de trucs à bouffer, du jambon, du saucisson, des chips, des patates pour remplacer celle que les moines nous ont « prêtés », de la bière, du pinard, et pour le petit-dej’, de quoi faire du café, des croissants et des brioches. Tout ça dans nos sacs à dos.

Sur le chemin du retour, on avise une petite baraque abandonnée. L’idée de loger là-dedans plutôt que chez les moines nous effleure, mais c’est vraiment trop pourri. On hésite quand même, on tournicote un peu dans la cabane… et soudain…

– Attention !

C’est Jérôme qui perd l’équilibre et qui m’entraine dans sa chute, j’essaie de me contrôler, mais je n’y arrive pas, je dégringole sur une vielle planche. Rien de grave, je vais m’en tirer avec un hématome.

Les autres arrivent, nous entoure :

– Rien de grave ? demande Patrick
– Non, non, répond Jérôme !
– Montre-nous on ne sait jamais !

De bonne grâce, ce dernier baisse son pantalon, effectivement, il n’a rien… Je panique en me disant qu’après ce sera mon tour et qu’on va me découvrir avec les sous-vêtements d’Elodie, je ne sais plus où me foutre !

– Et toi Corentin, tu n’as rien ?
– Non, non, plus de peur que de mal !
– Fais voir quand même ta jambe, on ne sait jamais
– Non, non, je vous assure, je n’ai rien du tout…
– Fais voir quand même ! Parfois on croit qu’on a rien et il y a quand même quelque chose et après il peut y avoir des complications.
– Bon, je vous dis qu’il n’y a rien, je ne vais quand même pas vous signer une décharge de responsabilité, non ?
– Pourquoi tu ne veux pas nous montrer tes jambes, ce ne sont que des jambes, non !
– Parce que j’ai pas envie !
– Tu as fini de faire ta chochotte. Après tout c’est moi le responsable du groupe, s’il t’arrive quelque chose, ça peut me retomber sur le dos, donc je veux voir ! Reprend Patrick
– Non !
– Bon on va un peu t’aider, les gars vous m’aidez à lui retirer son pantalon !

J’ai cinq mecs qui sont autour de moi, ils ne sont pas vraiment menaçants, ni méchants, mais ils vont me déculotter, ça c’est sûr !

– Bon, vous l’aurez voulu !

Je baisse mon pantalon, et je me suis retrouvé debout devant eux en string blanc, les bas autofixants et le pantalon aux chevilles.

– Whah ! C’est quoi ce délire ?
– C’est MON délire, je fais ce que je veux, et ça ne fait de mal à personne. D’accord ?
– Regardez ça, les gars, on a un travelo dans notre groupe. C’est marrant comment sa bite tend le string !
– Et alors ?
– Tu aimes te sentir femme, mon petit cochon. Est-ce que tu voudrais qu’on s’amuse ? Demande alors Patrick.
– Qu’on s’amuse à quoi ? Demandais-je.

Mais, ils avaient tous compris le message et se retrouvèrent vite les pantalons aux chevilles et les queues à l’air.

– Ça te dirait de nous nous sucer, petite salope ? Demanda Patrick sans aucune méchanceté dans le ton de sa voix
– Pourquoi pas ?

Je pris le gland de Patrick en bouche, un peu maladroitement au début, mais très vite ma caresse buccale se précisa. II faisait le commentaire aux autres qui se paluchaient devant nous. Je me suis mis à sucer les autres à tour de rôle. Lionel avait une queue raisonnable, celle de Jérôme (que je suçais donc pour la deuxième fois) était longue et large, Philippe était le moins pourvu, François lui avait la queue qui sentait fort.

Les commentaires allaient bon train : « Qu’est-ce qu’elle suce bien, la salope ! », « Hum ! Une vraie petite langue de pute ! »

J’ai appris plus tard que pour au moins deux d’entre eux (Lionel et Philippe) c’était la première fois qu’ils faisaient des trucs entre garçons. Mais ils avaient l’air de prendre goût à ces jeux puisque le premier suçait maintenant la bite de Jérôme et que Patrick se régalait de la queue de Philipe.

Un randonneur nous aurait aperçu, il se serait surement demandé si nous étions tous membre de l’amicale des suceurs de bites !

La partie battait son plein quand j’ai senti un doigt plein de salive sur ma rosette, c’était Patrick qui me préparait l’anus.

– Tu voudrais que je t’encule ?
– Bien sûr !

Ravi de cette perspective, je poussais pour ne pas souffrir. Il approcha son sexe et pénétra mon petit cul d’un seul coup, j’ai failli mordre la queue de François que je suçais toujours. J’étais pris en sandwich pour la première fois et c’était bon.

Au bout de quelques minutes les deux garçons échangèrent leur place. Je me retrouvais avec la bite de François dans l’anus et celle de Patrick parfumée à l’odeur de mon cul dans la bouche. Ils ne tardèrent pas à décharger pratiquement en même temps. François me demanda de lui nettoyer sa bite gluante de foutre et de merde et je m’exécutais de bonne grâce. Lionel et Jérôme m’arrosèrent ensuite de leur sperme sur le visage, alors que Philippe voulut jouir entre mes fesses. J’étais le seul à ne pas avoir joui, mais je m’étais fait enculer par trois bites différentes. Patrick eu alors la bonté d’offrir sa bouche à ma queue afin que je puisse exploser à mon tour.

Quand l’orgie fut terminée, ils m’ont dit qu’ils avaient une surprise pour moi. Ils m’ont offert un porte-jarretelles blanc, une culotte de soie, un soutien-gorge à balconnets et des bas, le tout assorti.

– Mais ça sort d’où ?

J’ai compris alors que cette scène avait été préméditée. Comme avait été prémédité l’épisode du petit sac en plastique d’Elodie.

Quand nous sommes arrivés au chalet des filles, Patrick les salua :

– Bonjour les filles, on vous apporte le petit déjeuner, alors comment s’est passé votre soirée ?
– Rien à bouffer, juste quelques restes de biscuits, et rien pour s’occuper : Répondit Lucia, heureusement Elodie nous a bien léché toutes les deux, si elle fait des pipes aussi bien que les broutes-minous, vous ne devriez pas être déçus, les garçons !
– Hum ! On a aussi une surprise. Allez Corentin montre leur comme tu es belle !

Je ne me décidais pas et j’étais rouge de confusion, partagé entre le risque d’être un sujet de moquerie de la part des filles et l’éventualité de faire des trucs avec elles.

Patrick raconta tout, les filles m’encouragèrent alors à me montrer en sous-vêtements. Puis Elodie décida de me maquiller, tandis que Sophie me vernit les ongles. Ensuite, Lucia, la plus cochonne, sortit un gode de son sac, me demanda de me mettre en position et sans trop de ménagement me l’introduisit dans le cul.

– Regardez comme il aime bien se faire enculer ! Dit-elle, allez dis-le nous que tu aimes ça !
– Oui, oui, j’aime ça !

Quand le gode ressortit, il était un peu merdeux

– Regardez-moi ce cochon, il m’a tout sali mon gode. Nettoie-le ! Me demanda-t-elle en l’approchant de ma bouche.

Cela ne me gêna pas du tout de le nettoyer

– Allez, montre-nous comment tu fais la salope ! Nous on veut voir ! Allez les garçons sortez vos bites !

Je recommençai à sucer les garçons quand Elodie haussa le ton :

– Applique-toi ! Je crois qu’on va bien s’amuser avec toi, tu vas être notre petit esclave. A genoux, viens me lécher mon cul.

Elle me précisa qu’elle était probablement très mal essuyé le derrière, les WC locaux étant démuni de papier toilettes. Je m’exécutais de bonne grâce et après avoir nettoyé quelques inopportunes taches brunes de ma langue, je léchais le troufignon au goût âcre de la belle Elodie. Hum, délicieux ! Puis les filles voulurent me voir en action avec les autres garçons.

Je suçais donc Lionel, puis Philippe pendant que Jérôme m’enculait avec de grands coups de bite Puis Sophie me fit coucher sur le sol et vint s’empaler le cul sur ma bite dressée comme un mât de cocagne, pendant ce temps Lucia me donnait sa minette à lécher.

J’étais la vedette du moment, cinq garçons aux bites fièrement dressées et trois jolies filles m’entourent. Et soudain Patrick se mit à me pisser dessus, le jet atterrit sur ma bite, puis Lionel pissa à son tour, j’ouvrais la bouche pour recevoir cette offrande, tout le monde se mit alors à pisser, j’en avais partout en avalait de grandes rasades.

Quelle récompense !

Et j’en eu droit à une autre, car les filles m’ont ensuite fait cadeau de leurs dessous féminins. Et en écrivant ce récit, je porte les bas et le porte-jarretelles d’Elodie, la culotte de Sophie et le soutien-gorge bleu de Lucia.

Enzo Cagliari
30/10/2010

Ce récit est une réécriture d’un récit homonyme publié par le site de Sophiexxx en 1999. Certains passages ont d’ailleurs été laissés intacts. La publication sur ce site aujourd’hui disparu était elle-même une copie d’une lettre publiée par une des nombreuses revues de correspondances érotiques telles qu’ils en existaient dans les années 1990, elle était signée « Claude, 25 ans »

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4 réponses à Masculin-Féminin Aventure alpestre par Enzo_Cagliari

  1. Transmonique dit :

    Complètement improbable mais l’érectométre fonctionne a donf

  2. Jean-Loup dit :

    Je me suis bien branlé en lisant toutes ces belles évocations cochonnes

  3. Flavio dit :

    Etonnant, original, excitant

  4. Muller dit :

    Quelle ambiance, quel beau récit, que c’est excitant tout ça !

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