Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 14 – La mère d’Isabelle par Maud-Anne Amaro

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 14 – La mère d’Isabelle par Maud-Anne Amaro

Epilogue

Rentrés en région parisienne, Martinov et Béatrice ne se précipitèrent pas pour la mise en place des protections des fausses peintures murales. Les cotes ayant été prises, il laissèrent le soin à Justin Verrier de sous-traiter l’affaire.

– Ce serait des vrais peintures, j’aurais été superviser ! Déclara Béatrice, mais on ne va pas se prendre le chou pour des faux machins.
– Nous voilà presque complice d’une escroquerie ! Fit remarquer le professeur.
– Complice de quoi ? Ils voulaient des caches, on leur a fait des caches, on n’était pas censé se demander si les dessins étaient authentiques ou pas… Au fait, on est invité à l’inauguration, c’est mardi prochain.
– Tu y vas, toi ? Moi ça ne me dit rien !
– T’as pas envie de revoir Isabelle ? Et puis Solène est invitée aussi.
– Dans ce cas, je vais me faire violence.
– Il y aura aussi la mère d’Isabelle.
– La mère d’Isabelle ? Qu’est-ce qu’elle vient faire là-dedans ?
– Ah, si tu savais…

Sur place, une table d’honneur avait été dressée au pied de l’ascenseur végétalisé, il y avait quelque beau monde : Monsieur le maire et ses adjoints, le représentant de la chambre de commerce et quelques notables locaux. Le champagne attendait qu’on le débouche, Justin Verrier prononça un discours qui n’excéda pas trois minutes.

Et Béatrice, Martinov et Solène purent apercevoir trois jeunes femmes revêtues d’un tee-shirt vert sur lesquels étaient imprimé une tête d’ours surmonté d »un casque romain.

– Ce sont nos billettistes qui travailleront en alternance !

Alors ils embrassèrent Dorothée, Vicky et Mariette.

C’est à ce moment que Béatrice sentit qu’on lui mettait la main aux fesses. Elle se retourne courroucée et prête à tancer l’insolent quand elle réalise que cette main importune n’est autre que celle d’Isabelle.

– Ah tu es là, toi, je me demandais… Lui dit Béa.
– Ces cérémonies m’énervent, heureusement Justin a fait court… T’as un peu de temps, là ?
– Oui !
– Tu es notre invitée ce soir avec le professeur, mais en attendant je vais te présenter quelqu’un, viens ma voiture est à côté.

Et c’est ainsi que Béatrice se retrouva devant la propriété que monsieur le maire avait prêté à Justin.

– Eh, oui, il nous a dit que si on avait besoin… on n’a pas voulu abuser, on est pour un bout de temps ici et on a loué un petit truc un peu plus loin… Mais comme j’avais suggéré à Maman de prendre quelques vacances dans le coin… et que le maire ne peut rien nous refuser…

On entre !

– Je présente ma Maman !

Pas mal la maman, la cinquantaine passée, cheveux blond décoloré dans le vent, elle est en maillot deux pièces violet, elle a belle allure.

– Bonjour Madame !
– Non pas madame, tu m’appelle Delphine et on se tutoie ! Dit-elle en l’embrassant chastement.
– Eh bien, bonjour Delphine !
– Ma fille m’a parlé de toi ! Elle ne m’avait pas menti, tu es une belle femme !
– Bof !
– Et toi, tu me trouves comment ?
– Belle, désirable !
– Eh bien, on va pouvoir s’amuser un peu, tu veux bien ?

Béatrice fit un petit signe de tête accompagné d’un sourire. Bien sûr qu’elle voulait bien !

– Enlève moi mon haut, on sera tout de suite dans l’ambiance ! Propose Delphine.

Béa accède de bonne grâce à cette demande et libère la jolie poitrine laiteuse de la mère d’Isabelle.

– Allez mes chéries, chacune son téton, léchez-moi !

Situation très excitante, c’est la première fois que Béatrice voit une femme accomplir des actes sexuels avec sa propre mère.

– Oh là là , qu’est-ce que vous me faites toutes les deux ? Vous êtes des vraies salopes. ! Attendez on va toutes se mettre à l’aise !

Isabelle et Béatrice se déshabillent en toute hâte, tandis que Delphine retire son bas de bikini, dévoilant son sexe glabre.

Puis cette dernière s’allonge sur la canapé.

– Viens Béatrice, viens continuer à me lécher les seins, ma fille va s’occuper de ma chatte.

Le trio se met en place, Isabelle prodigue de grandes léchouilles sur la chatte maternelle, tandis que Béa se régale de ce téton qui est maintenant tout dur.

Et soudain la mâture se met à haleter, son corps se tétanise, elle crie, souffle un coup puis demande aux filles d’intervertir leurs places.

Voilà donc notre Béatrice entre les cuisses de Delphine.

– Occupe-toi un peu de mon petit trou ! Lui suggère cette dernière.

Voilà qui n’est pas un problème pour la jeune chimiste qui s’en va butiner de sa langue l’œillet fripé.

– Tu aimes le goût de mon cul ?
– Bien sûr !
– Il sent fort ?
– Il sent le cul !
– Alors régale toi ma bibiche, et tu as la permission d’enfoncer un doigt ! Même deux !

Béatrice obtempère et pilonne à qui mieux mieux le trou du cul de la mature qui ne tarde pas à se taper un deuxième orgasme.

– Whah, quel pied ! Asseyez-vous mes chéries, l’une à côté de l’autre, voilà, embrassez-vous maintenant comme des gouines en chaleur, plotez-vous les nichons, je vais m’occuper de vos chattes.

La main gauche dans le con de Béatrice, la main droite dans celui de sa fille, la Delphine branlotte les deux femmes avec une énergie qui fait plaisir à voir.

Quand elle sent sa fille près de l’orgasme, elle remplace sa main par sa langue et vient lui titiller le clitoris. Résultat garanti, Isabelle prend son pied, Delphine peut alors se consacrer pleinement à Béatrice jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour.

Moment calme, enfin relativement calme parce que ces dames se roulent des galoches, se caressent, se plotent.

Et maintenant, la surprise ! Dit soudain Delphine.

Béatrice se demande ce que ça peut bien être ? Un gros gâteau glacé ? Un vibro masseur à douze vitesses ? Une entrée gratuite dans une boite coquine ?

Eh bien non ! La surprise est un gros chien, un Bobtail noir et blanc plein de poils qui entre dans la pièce avec un air débonnaire.

– C’est Fuji ! Nous précise Delphine ! Vous voulez jouer avec ? Lui il veut bien jouer avec nous ! N’est-ce pas Fuji ? Viens lécher la moule de ta maîtresse ! Lui demande-t-elle en écartant les jambes et en se tripotant la foufoune.

Le chien déboule et se met à lécher

– Mettez-vous à côté de moi les filles, Béa à gauche, Isabelle à droite.

Delphine après s’être fait copieusement lécher, dirige le chien de façon à ce qu’il prodigue ses services à ses voisines. Puis elle passe sa main sous son poitrail dévoilant la bite bandée sortie de son fourreau, elle la tripote un moment avant d’inviter Béatrice à prendre le relais.

Isabelle fait coucher le chien afin que l’accès soit facilité, le visage de Béatrice, irrésistiblement attirée, s’approche de la bite du chien et ne peut s’empêcher de la porter en bouche.

Le chien excité émet en continu des filets de liquide préspermatique et la jeune femme s’en régale.

– Je crois que j’aimerais bien me faire prendre ! Dit Béatrice.
– Vas-y, nous on connait ! Répond la mère.

Béatrice se met à quatre pattes, Delphine lui enduit le croupion de sa propre moulle et fait venir le chien lequel pris d’une véritable frénésie sexuelle couvre Béa en un ballet infernal la faisant jouir plusieurs fois de suite.

Elle sent le nœud gonfler dans son intimité et se dégage de crainte de rester collée plusieurs minutes. Mais elle n’abandonne pas le chien pour autant et finit de le sucer.

– Alors elle était belle ma surprise ?
– Super !
– Mais j’en ai une autre ?

Béatrice se demande ce que ça peut bien être, et manifestement Isabelle aussi, qui ne semble pas être au courant.

Les femmes se rhabillent et sortent dans le village, Delphine qui tient le chien en laisse les conduit jusqu’à une petite fermette un peu en retrait.

– Père Gauthier, vous êtes là ?
– J’arrive !
– On vous a ramené votre chien, on a fait une grosse balade avec lui, il en a bien profité.
– C’est une brave bête ! Commente l’homme. Ça lui fait du bien, moi je suis trop vieux pour le faire courir.
– Cadichon est là ? Je voudrais le montrer à ma fille et ma copine.
– Il est dans la remise là-bas, vous pouvez aller le voir, moi je vous laisse faut que j’aille chercher des œufs… Fermez bien derrière vous en repartant.

Comme le lecteur l’aura deviné, Cadichon est un âne. Il est tout gris, tout mignon.

Delphine le caresse, Cadichon réagit bien en pointant ses oreilles en avant. Alors la mère d’isabelle passe sa main sous le flanc de la bête et lui caresse le sexe.

L’animal se met à bander et offre à la vue des trois cochonnes le spectacle d’une bite d’environ 30 centimètres de long !

– Je n’y crois pas ! S’étonne Béatrice !
– Tu n’en n’avais jamais vu ?
– Tu sais les ânes à Paris, ça ne court pas les rues !

Delphine caresse à présent l’insolent phallus.

– Allez-y mes chéries, faites-vous plaisir.

Isabelle y met la main, Béatrice l’imite aussitôt.

– Lèche maintenant ! Dit alors Delphine à sa fille.

Celle-ci après avoir léché un peu la hampe attrape le sexe par l’extrémité et se met à le suçailler. Béatrice à la tête qui tourne, ne réalise pas vraiment ce qui se passe mais rejoint sa complice dans cette fellation insolite.

Delphine les rejoint, baisse son pantalon sous lequel elle n’a mise aucune culotte et frotte son pubis avec la bout de la bite du chien.

Et soudain l’âne éjacule dans un déluge de foutre, les femmes ont le temps de se reculer, mais Delphine en a avalé un peu et arbore une mine hautement satisfaite. Elle ne remonte pas son pantalon.

– Ça m’a trop excité, viens me lécher la moule, ma fille !
– Bien sûr Maman !

Et tandis qu’Isabelle se régale entre les cuisses de Delphine, Béatrice lui suce les tétons.

– Qu’est-ce qu’elle est bonne la chatte de ma mère ! S’exclame Isabelle, on va permuter…

Et c’est au tour de Béa de lécher l’abricot de cette jolie mature incestueuse.

– Attends, il faut que je pisse ! Dit soudain cette dernière.
– Vas-y je vais te boire !

Le jet doré fuse dans la bouche de la jeune chimiste qui s’en régale, qui en avale mais qui en fait aussi dégouliner sur son corps.

– Elle en garde un peu en bouche et quémande un baiser à sa partenaire qui accepte volontiers ce baiser doré. Isabelle, jalouse vient quémander sa part.

– T’es presque aussi salope que moi, Béatrice ! Lui dit Delphine.
– Y’a pas de mal à se faire du bien !

Et le soir, le professeur Martinov et Béatrice étaient invités chez Justin Verrier et Isabelle dans la location qu’ils avaient dégoté à la sortie de Glandville.. Delphine et Solène étaient aussi de la partie.

– Je suis contente de te revoir ! Déclare cette dernière à l’attention de Béatrice
– Et moi donc ! T’as retrouvé du travail ?
– Oui, je suis hôtesse d’accueil dans une multinationale.
– Et ça consiste en quoi ?
– On me demande d’être gentille avec certains visiteurs, en fait je fais la pute mais ça ne me dérange pas, ces gens-là sont parfois généreux.
– Je vois…
– Ça m’emmerde un peu cette invitation, j’aurais préféré qu’on se retrouve toutes les deux dans une chambrette pour se lécher la minette.
– On pourra toujours s’éclipser si besoin est, mais vu la composition de l’assistance ça devrait tourner en partouze.
– Mais la dame, là ?
– Delphine, c’est une coquine, pas de soucis de ce côté-là.
– Mais elle est là à quel titre ?
– Je ne sais pas trop, mais qu’importe !

Béatrice rechignait à lui dire qu’il s’agissait de la mère d’Isabelle, de peur que cette révélation puisse la choquer.

Justin avait commandé chez un traiteur de Briançon un colossal plateau de fruits de mer.

Celui-ci eut un beau succès et fut copieusement arrosé, on dégusta au dessert une excellente tarte aux myrtilles, il n’y avait plus qu’à attendre le déclic.

Et c’est Delphine qui le déclencha

– Savez-vous cher professeur que votre réputation est venue jusqu’à moi ?
– C’est Isabelle qui vous a raconté des choses ?
– Les démentez-vous ?
– Comme je ne sais pas ce qu’elle vous a raconté, ça va m’être difficile.
– Embrasez-moi Professeur.

Martinov se lève.

– Non, restez assis, c’est moi qui vais venir.

Et les voilà qui s’embrassent sur la bouche comme deux collégiens consommant leur premier flirt.

La main de Delphine vient tâter la braguette de notre vert professeur. Justin qui a compris ce qui se passait joue les grand seigneurs.

– Vous avez le canapé à votre disposition, mais si voulez vous isoler, Isabelle peut vous montrer les chambres.
– On va se mettre là un moment ! Suggère Delphine en conduisant son partenaire jusqu’au grand canapé.
– Le professeur est un gros coquin, il aime sucer des bites ! Indique Isabelle à sa mère.
– Non ?
– Si ! Tu veux voir ?
– Il va sucer qui ? Julien ?

Ce dernier qui a entendu la conversation se pointe après avoir retiré son pantalon et offre sa bite demi-molle à la bouche gourmande de Martinov qui a tôt fait de le faire bander correctement.

Eh, c’est que c’est un artiste de la pipe, notre vert professeur, titille le gland, lèche la hampe et bien sûr effectue de long va-et-vient entre ses lèvres.

– Eh bien dis donc, t’es un sacré suceur de bites ! commente Delphine tout excitée.
– Je te la fous dans le cul ! Propose Julien.

Pour toute réponse, Martinov se redresse, se retourne et offre ses fesses à son complice qui après s’être protégé comme il se doit, l’encule bien profondément.

Toutefois, Julien ne fit pas durer sa sodomie, la soirée pouvait être longue et il n’allait pas jouir déjà !

– Je vous le rend, il est à vous ! Dit-il à Delphine.

Voyant l’ambiance chauffer, Solène s’est jetée au cou de Béatrice et les deux femmes s’embrassent et s’enlacent.

Justin Verrier et Isabelle se regardent, amusés, le couple qu’il forme à la ville se retrouve ici sans mélangisme

– Après tout, pourquoi pas ? dit Justin en prenant sa compagne dans ses bras. Et ils s’installent sur la partie gauche du canapé, la partie droite étant occupé par Martinov et Delphine.

Et justement qu’est-ce qu’ils nous font ces deux-là ? Delphine a pris la direction des opérations. Elle eut tôt fait de baisser le pantalon du professeur et de mettre son vit en bouche afin qu’il bande correctement, et pour que la chose soit encore plus parfaite, deux doigts viennent farfouiller le troufignon du sexagénaire.

Martinov essaie de ploter, d’atteindre un bout de chair, mais n’y parvient pas, il décide donc de laisser passer l’orage, un orage bien sympathique, vous en conviendrez.

Delphine finit par fatiguer de la mâchoire, délaisse momentanément sa pipe, retire nerveusement sa robe sous laquelle il n’y a aucune culotte, en revanche elle a un soutien-gorge ! Va-t-elle le garder comme dans le cinéma hollywoodien ? vous pensez bien que non. Elle grimpe sur les genoux de Martinov en position de lap-dance, et demande à son partenaire de dégrafer le soutif.

Delphine se débrouille ensuite pour mettre son téton dans la bouche du professeur, lequel ne saurait refuser une telle offrande et se met à sucer avec gourmandise, et quand le téton droit fut suffisamment léché, ce fut au tour de l’autre. Elle n’est pas belle la vie ?

La belle mature ouvre la chemise du professeur et se met à lui tordre les tétons. Une caresse que l’homme adore et qui offre l’avantage de maintenir l’érection. Elle sort d’on ne sait trop où une capote lubrifiée et en recouvre la bite de son partenaire, puis s’empale dessus quelques minutes avant de ressortir. Mais c’est pour changer de trou ! La voilà qui s’encule sur la bite raide comme un bout bois de ce bon vieux Martinov.

Celui-ci tente de retarder la montée de sa jouissance.

– Je vais venir… Prévient-il
– Moi aussi ! Aaahhh ! Tu m’as bien enculé mon salaud !

Exténué et repus, le professeur s’endort, alors Delphine se blottit dans ses bras et le rejoint dans le sommeil.

– Mais c’est qu’ils ronflent ! Se gausse Justin.
– Et alors, ils sont mignons, non ? Répond Isabelle Libère ta queue, je vais faire comme ma mère, ça m’a donné des idées.

Alors Isabelle après avoir usé de son talent pour sucer le bite de son compagnon procéda comme sa maman, lap dance, déshabillage, empalement et jouissance.

Quant à Béatrice et Solène…

Mais où sont-elles passées ces deux-là ?

Chut ! Elles sont montées dans une chambre, elle savent qu’elles ne se verront sans doute plus de si tôt, alors elles en profitent, se lèchent, se caressent, se donnent du plaisir… Mais ne les dérangeons pas… et c’est d’ailleurs la fin de cette histoire !

Fin

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9 réponses à Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 14 – La mère d’Isabelle par Maud-Anne Amaro

  1. Brunet dit :

    La mère d’Isabelle est une salope, mais ce n’est pas un reproche 😉

  2. Marylu dit :

    Maud-Anne nous gâte, la maman, le chine, Oh lala !

  3. Georges dit :

    Quelle ambiance de dingue, un récit qui m’a foutu la trique à 4 heures du matin (j’arrivais pas à dormir avec cette chaleur!)

  4. Bureau dit :

    Une histoire taboue très bien raconté ! J’ai bandé !

  5. Lucia dit :

    Dommage que ça aille un peu vite et que le récit ne nous laisse pas souffler, sinon quelle ambiance… se gouiner avec sa mère, puis sucer la bite du chine et quand on croit que c’est terminé, ça continue encore, Bravo Maud Anne !

  6. Chastaing dit :

    Bravo Maud-Anne de t’être lâché ainsi pour notre plus grand plaisir !

  7. Irma dit :

    Une très belle histoire se terminant en apothéose perverse !

  8. Belinda dit :

    Un soupçon d’inceste… j’adore…

  9. Darrigade dit :

    Ainsi se termine cette très belle histoire qui nous aura offert un scénario passionnant et des moments d’érotisme intense. Merci Maud-Anne

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