Margot et l’Etalon par Verdon

Margot et l’Etalon par Verdon


Margot et l’Etalon

Margot un jour très court vêtue
Et sous sa jupe, presque nue
Se promène le long d’un champ
Où paissent deux chevaux normands.
L’un d’eux fringant et sémillant
Ayant senti dans la nature
Quelques effluves affriolants
S’approche d’elle en présentant
Une insolente disposition
Qui ne voilait ses intentions.

La Dame paraît incommodée
Par cet égard à son sujet
Que l’animal débridé
A le toupet d’envisager
Mais dans l’état où est la bête
Elle sait bien que, sous sa jupette
Telle visite pernicieuse
Serait sans doute désastreuse.

Bien protégée par la barrière,
Elle lui tripote la bannière
Et encourage l’animal
A satisfaire à son devoir,
En allant joindre sa compagne
Qui, impatiente à recevoir
Si vigoureuse et belle empoigne,
Caracole devant le mâle.

Margot apprécie le moment
Et dans ses yeux brille cependant
Comme un regret, comme une envie
Peut-être un peu de jalousie
Car tout de même la jument
Profite d’un fort bel outil
Que n’a pas dans son pantalon
Son p’tit mari à la maison.

Dessous la jupe, le membre équin
A éveillé tant d’émotions
Que la Dame en ébullition
A inondé son p’tit conin.
Et dans la paille elle s’accroupie
A moitié nue, le cul en l’air
Rêvant de gestes interdits
Et de plaisirs imaginaires.

 » Dieu qu’il est doux, dieu qu’il est beau
Bel étalon, votre barreau
Venez remplir mon abricot.
Mais surtout n’allez pas plus haut
Car votre membre est bien trop gros
Pour le trou du bas de mon dos « .

Mais rien n’y fit, car aussitôt
Elle fut enfilée tout de go !
Pourtant elle n’en pris pas ombrage
Car l’instrument ne fit carnage
 » Et, se dit-elle, mon alésage
Est bien doué pour cet usage
Car sûrement bel outillage
Procure en fait bon culbutage. ».

 » Mais nom de dieu que faites-vous ?  »
S’écrie Margot en découvrant
Que son commis gaillardement
A pris la place de l’étalon
Pour l’enculer sans sourciller
En préservant son p’tit œillet
D’être élargi comme un tromblon.

Depuis ce jour, la châtelaine
Sous son commis bien équipé,
Se fait baiser chaque semaine
Et enculer quand ça lui plaît.
Tandis que l’étalon dopé
Très excité mais à l’écart,
Brandit un sacré braquemart
Dont la patronne s’imagine
L’avoir au cul, mieux qu’une pine.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Poèmes, avec comme mot(s)-clé(s) , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

5 réponses à Margot et l’Etalon par Verdon

  1. Harivel dit :

    Margot la cochonne
    devant l’étalon se donne
    Quand la bite nous surprend
    Il faut en lécher le gland

  2. Joiry dit :

    ça fait du bien de lire ça
    parce que c’est excitant
    parce que ça emmerde les bien pensant

  3. Berling dit :

    Cheval dire à ma mère !

  4. Firex dit :

    Fallait oser, bravo et merci, c’est bien torché !

  5. Verdon dit :

    Merci Eddy la photo est bien choisie. La taille du poulain, la croupe de la bête et celle de la fille, la candeur du visage, la volupté de ses chairs et sa naïveté…tout contribue à flatter la libido du lecteur et son imagination qui voit à travers cette image des joutes amoureuses d’une intensité érotique et d’un naturel à vous couper le souffle !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *