Ma concierge, Manuella par Mondoi

Ma Concierge, Manuella
par Mondoi

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Manuella, c’est ma concierge, d’origine portugaise, petite femme brune aux formes rondes, la trentaine, nous avons sympathisées depuis longtemps et prenons parfois le café ensemble dans son logement quand son mari travaille, nous sommes devenues assez confidentes et l’autre jour, elle m’a parlée de nos poils, étant aussi brune qu’elle, Manuella voulais mon avis sur l’épilation totale, savoir si j’avais des problèmes de peau quand je me fais le maillot et patati et patata.

Ayant une dizaine d’années de plus qu’elle, elle voulait profiter de mon expérience en la matière, quoi de plus naturel entre femme (brunes), mais là où les choses se sont corsées, c’est quand elle a voulue me montrer à quel point elle était envahi par une toison qui la gênait pour se mettre en maillot, je n’ai pas eu le temps de refuser qu’elle avait déjà soulevée sa blouse et sa jupe sur le devant, m’exposant une culotte d’où débordaient des poils hirsutes qui s’étendaient sur l’intérieur de ses cuisses potelées.

Gênée au début par son manque de pudeur et la vision forestière qui s’étalait devant mes yeux, j’ai commencé à partir vers la sortie mais elle m’a rattrapée par le bras et c’est collée à moi, ses effluves corporelles me sont monté aux narines, faisant ressurgir mes vieux démons lesbiens, ça faisait un moment que je n’avais pas eu de relations physiques avec une femme, j’avais aperçu le galbe de sa foune sous le tissu de la culotte et cela avait suffi à m’humidifier le minou, j’ai de suite capté aussi qu’elle avait des envie à mon encontre, elle ne se serait pas montrée aussi impudique autrement, il m’en fallait la preuve avant d’aller plus loin.

J’ai opté pour l’option, « rendons d’abord service, on verra après » et lui ai donné des conseils de base, passer les ciseaux là-dedans afin de limiter les débordements du persil hors du panier, et piquer un rasoir à son mari pour éradiquer la forêt sauvage de ses cuisses, ni une ni deux, elle a été chercher le matériel, une paire de ciseaux, un peigne, un rasoir jetable et du savon liquide, en m’implorant de lui faire une petite coupe comme chez l’esthéticienne, elle nous a servi un alcool du pays pour nous mettre à l’aise, puis elle s’est allongée sur la table de la cuisine, jambes repliées et largement écartées sur sa culotte, qui manifestement était déjà humide.

La mienne l’était également ce qui me convaincu que j’avais envie de lui faire plaisir, comme j’étais en tailleur pour mon boulot et que je commençais à avoir chaud, de partout, je lui demandais une blouse pour être plus à l’aise et enlevais ma veste, elle m’en désignât une qui pendait à la porte de la cuisine, une blanche en nylon à manches courtes, provoquante, j’enlevais aussi mon chemisier devant elle puis ma jupe et enfilais la blouse qui sentait aussi la transpiration de dessous de bras, comme ça, nous étions deux, elle me regardait faire s’en rien dire mais les roulement de ses yeux ébahis indiquait qu’elle appréciait le spectacle.

Je me suis positionnée entre ses cuisses et de suite le parfum de sa vulve m’est montée au nez, je ne dirais pas que ça sentait fort, non, mais je connaissais cette odeur de femme en fin de journée, avec en plus, celle du désir mêlé de nuance de pipi, mon initiatrice lesbienne, quand j’étais plus jeune, m’avait habituée à aimer cela, à me griser de ce parfum qui vous fait oublier vos pudeurs et vous pousse vers toutes les audaces, je commençais par lui tailler les mèches dépassant du maillot, effleurant par instant, les rondeurs de ses grandes lèvres, elle poussait un léger soupir à chaque fois, me faisant comprendre qu’elle était rendue sensible de ce côté-là, j’hésitais encore à lui enlever sa culotte mouillée.

C’est elle qui me le proposa, se justifiant par le besoin de me faciliter la tâche, quelle vicieuse, elle ne disait pas les mots qui excitent, ceux que l’on dit quand le désir est là, elle faisait semblant de ne pas en être, de ne pas vouloir faire l’amour avec une femme, une bi honteuse sans doute, attendant que je fasse les premiers pas, que j’affiche mes envies de gouine, que je l’oblige même, sans doute trainait-elle un vieux fantasme à mon égard, c’est donc moi qui lui enlevais sa culotte, au ralentis, lui griffant les fesses et les cuisses au passage.

Manuella eu un raclement de gorge à ce moment-là, dissimulant son souffle qui s’accélérait et des couinements de souris, je jetais un coup d’œil sur le gousset du tissu, il était propre, seule une petite trace jaunâtre illustrait ses dernières mictions au milieu d’une autre, plus étendue, marque de son mouillement intime, le parfum qui s’est envolé à ce moment-là provenait de sa vulve entre-ouverte, il me montât au cerveau directement, me saoulant quelque peu, je lui ai taillé aux ciseaux tout ce qui était possible de couper, me servant du peigne pour lui relever le poil, lui caressant le pubis avec, elle bredouillait des mots dans sa langue à chaque fois, je la chauffais.

Puis j’allais prendre un peu d’eau chaude dans un bol afin de lui raser tout le reste, du moins sur les cuisses, je voyais maintenant sa mouille dégouliner entre ses petites lèvres qui pendaient d’entre les grandes, à force passer le peigne et la paume de ma main sur son sexe, il s’était ouvert et j’apercevais le capuchon de son clitounet qui semblait bien charnu, je me pressais de finir le rasage, n’en pouvant plus de me retenir de lui sauter dessus, ma chatte était en feu et réclamait du bonheur, Manuella avait passé ses mains sous sa blouse et se touchait les seins discrètement, les bouts en étaient durs, cela se voyait, quelle salope, elle espérait peut-être prendre son plaisir sous mes mains et s’en tirer ainsi, sans passer à la casserole, c’était mal me connaître.

Pour finaliser la séance maillot, il fallait lui laver le minou, la débarrasser de tous ses poils coupés mais je voulais quelque chose qui sorte de l’ordinaire, je suis allée sous l’évier, prendre la cuvette à vaisselle et je l’ai remplie à moitié d’eau chaude, quand je l’ai posée sur la table, elle m’a demandée pourquoi, je lui ai dit que c’était pour lui laver la moule et le cul, elle a parue hésiter puis s’est mise accroupie au-dessus de la bassine, attendant la suite, je lui ai dit de s’asperger copieusement la chatte pendant que je défaisais les boutons de sa blouse, je voulais voir ses gros nichons, j’aime toucher les poitrine, surtout les grosses, moi qui en ai une petite, dessous elle portait un teeshirt et pas de soutif, je lui ai mis les seins à l’air, elle avait des gros tétons avec de larges auréoles, je me suis régalée, je l’ai ai tripotés, pincés, sucés, elle poussait des petits cris et se caressait la fente en se rinçant.

Pour vérifier qu’il n’y avait plus de poils coupés à trainer sur son sexe, j’ai viré la cuvette, je l’ai faite se mettre entièrement nue et je l’ai allongée en lui écartant les cuisses, un coup d’œil rapide en lui ouvrant la vulve, c’était nickel, la raie était velue mais propre, un cercle de poils touffus bordaient son anus, un plaisir pour les messieurs qui passent par-là, j’ai commencée à lui manger la motte, j’avais bien vu, elle avait un superbe clito, un demi cornichon qui est sorti tout droit quand j’ai tiré le capuchon vers le bas, Manuella a poussé un râle, ça ne doit pas lui arriver souvent ce genre de truc, puis après de longues léchouilles, dehors et dedans, sentant que son plaisir montait, je lui ai dit que moi aussi j’aimais les câlins.

J’ai troussé ma blouse afin de me déculotter et je suis montée sur la table, m’accroupir en soixante-neuf au-dessus d’elle, moi aussi j’ai des parfums intimes, moins corsés que les siens tout à l’heure mais odorant, je lui ai collé mes fesses sur sa figure afin qu’elle les respire et qu’elle comprenne ce que j’attendais d’elle, ça n’a pas trainé, une vraie vorace, elle s’est mise à me brouter les petites lèvres et le bouton comme une affamée, elle m’a littéralement mangée la moule, sans compter son attirance pour mon petit orifice qui a eu d’abord le droit à la visite de sa langue pointue puis à celle de ses doigts, je n’étais pas en reste, aillant enfoncé deux des miens dans sa rosace plissée en lui suçant le clit.

Nous nous sommes données du plaisir ainsi pendant un long moment, comme des furies, cherchant à faire crier l’autre plus fort que soit même, j’avais chaud dans la blouse, le tissu m’électrisait les seins, je transpirais fortement, dégageant une odeur de chienne en chaleur, j’ai jouis sous les coups de langues et les succions de Manuella, sans oublier les doigts qu’elle m’enfonçait dans l’anus, j’ai jouis en lui pissant dessus, elle aussi a envoyée plusieurs jets en prenant son plaisir, elle a jouis en parlant sa langue maternel, très touchant.

Pendant les semaines qui ont suivies, elle m’évitait, ne me parlait plus, j’ai finis par la coincer dans le local poubelles, un soir, je lui ai fait cracher le morceau, elle avait honte, honte de s’être gouiner, je lui ai expliqué que cela m’arrivait aussi mais que ce n’était pas la peine de me fuir, ça reviendrait, je lui ai fait un doigtage contre les poubelles pour qu’elle comprenne que ça continuerait entre nous deux, elle a pissée sous elle en prenant son pied.

Elle a fini par oser venir frapper à ma porte quand elle me savait seule, une gourmande, une goulue même, broutages et tripotages profonds étaient nos plaisirs, sans parler des jeux de pipi qui étaient de plus en plus fréquents, j’en étais rendue, et je pense qu’elle aussi, à me retenir pendant la journée quand je savais qu’elle allait venir me voir ou que je passais à sa loge, je gardais même ma culotte de la veille pour ses plaisirs olfactifs, ne m’essuyant plus après mes passages aux WC, au début, seulement la vulve, mais m’apercevant qu’elle aimait me humer la raie et y passer la langue, j’ai tenté l’expérience du négligé anal, Manuella ne m’en fit pas reproche, au contraire, je l’a trouvais plus assidue sur le léchage de cet endroit quand il était extrêmement odorant…

Et ce qui devait arriver, arriva, à force de nous laisser aller sur les plaisirs uro, nous avons glissées progressivement vers les plaisirs scato, c’est moi qui ai provoqué la chose, un jour où, m’étant retenue de faire ma grosse commission, je refusais l’accès de mon anus à ses doigts, lui disant que j’étais encombrée, Manuella me demanda si j’étais constipée, je lui répondis que j’étais peut-être un peu stressée par le boulot, elle me massa le ventre du bout des doigts, allongée sur la table de la cuisine, partant du plexus, elle suivait le circuit du transit, s’arrêtant sur la zone du foie et de l’estomac mais surtout en stimulant les intestins, ce qui eut pour résultat d’augmenter mon envie de faire, j’avais le cigare au bord des lèvres, comme dit poétiquement mon mari, j’étais très troublée par ce sentiment honteux de la chose que l’on ne va plus pouvoir retenir et le désir nouveau, de me vider devant une femme, je ne voulais pas faire le premier pas, j’attendais que Manuella fasse quelque chose, je la regardais me masser avec application, en me disant qu’elle savait ce qu’elle faisait, qu’elle se doutait bien que ses attouchements accéléraient le dénouement intestinal…

C’est un petit incident qui déclencha les choses, à force de me faire palper le ventre, je ne pus retenir un pet, signal que le reste allait suivre, je m’excusais, très gênée, Manuella me sourit, en me disant qu’elle aussi faisait cela, que c’était la nature et elle m’enjoignit d’aller faire mon « popo », je me levais pour me diriger vers les WC, elle me suivit, j’entrais, elle retint la porte en me demandant si elle pouvait rester, je n’en pouvais plus de me retenir, je sentais « la tête du p’tit », encore une vue poétique de mon homme, je la laissais entrer et baissais ma culotte, Manuella me l’enleva et quand j’allais pour m’assoir, elle me fit signe de me tourner et de m’assoir à cheval sur le siège, jambes largement écartées, je la vis s’agenouiller derrière moi, je me cambrais honteusement, lui tendant ma croupe sous le nez, elle posa ses doigts sur mon anus et entama un massage circulaire en me disant que ça allait me détendre la sortie, la chose en moi avait commencée à passer le sphincter interne, je la sentais grosse, dur, chaude, si elle n’enlevait pas ses doigts, j’allais lui faire dans la main, cela m’excitait terriblement et me remplissait de honte en même temps, le massage sur mon petit orifice eu son effet, je ne contrôlais plus rien ou presque, Manuella m’encourageais en portugais

 » Cresce lentamente…crece lentamente… (Pousse doucement) »,

je ne poussais pas, ça descendait tout seul, quand la tête de l’étron m’a écartée le sphincter externe, j’ai ressentis du plaisir, les doigts étaient toujours sur mon anus et j’ai compris que je désirais secrètement lui faire dans la main, qu’elle prenne mon caca, j’étais comme folle, je jetais des coup d’œil derrière moi afin d’observer Manuella, elle était comme hypnotisée par le spectacle…

– » ele vem…ele vem… (Ça vient) disait-elle d’une voix douce,  » dà-me…dar tudo… (Donne à moi, donne tout)  »

Elle avait approché son visage à effleurer mes fesses, je sentais son souffle sur elles, j’ai compris qu’elle aimait faire ce genre de choses, elle n’en était pas à sa première fois, cela me soulageais de ma gêne, je devais lui faire plaisir, lui donner ce qu’elle voulait, en faire un beau, un gros, bien moulé, le genre de chose que l’on pond avec délice et qui vous laisse un souvenir ému et rectal, quand la chose a commencée à me sortir du cul en m’écartelant l’anus, j’ai eu le droit à ses compliments  » é bonito…é bonito…(il est beau) « , elle avait mis ses mains en coupe et recueillait l’étron avec émerveillement,  » é grande…é grande… » (Il est gros), il n’en finissait pas de sortir, son parfum me parvenait aux narines mais cela avait l’air de lui plaire  » a sensação é boa… (Il sent bon), la seule chose qui me manquait, était que je ne voyais rien, du moins pas le cadeau, je me mis à uriner et ma main partit se faire arroser tout en me prodiguant une caresse masturbatoire, je me branlais en faisant mes besoins… Manuella réclamait encore et encore,  » dar tudo…dar tudo… » le premier étron avait fini sa course au creux de ses mains, en poussant, j’en fis un deuxième, moins gros celui-là, mais elle en fut contente,

 » Você é bom comigo… » (Tu es bonne avec moi) me dit-elle en venant me présenter la coupe de ses mains emplie de mes deux cadeaux

je m’astiquais le bouton sauvagement, regardant Manuella dans les yeux, des yeux emplis de contentement, j’eu mon orgasme comme cela, ma première relation scato, avec une femme de plus est, elle portait ses mains à son nez, humant la chose, je m’attendais à ce qu’elle aille plus loin, mais elle se contentât de déposer un baiser dessus…

En la quittant peu après, je lui promettais d’autres cadeaux du même genre, elle me remercia encore et me dit à l’oreille,

– « Tu pourras sur moi aussi, si tu veux…? »

L’idée me plaisait, je n’étais pas encore attirée par des cadeaux venant d’elle mais lui faire dessus, pourquoi pas…

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Une réponse à Ma concierge, Manuella par Mondoi

  1. claire dit :

    pas mal, l’auteur a bien réussi son récit, pour une fois il ne s’est pas emballé et les descriptions sont tout à fait délicieuses pourvu qu’on adhère au fantasme

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