Les Collines d’Odile 6 – Le palier par Bernard_le_photographe

Un jour que j’appelais Odile, car je devais passer dans sa ville, elle me
dit que ce ne serait pas possible, ils étaient en plein déménagement et
qu’on se verrait dans une dizaine de jours. Par chance elle me donne sa
nouvelle adresse et lorsque j’appelle après ce laps de temps, c’est le
silence alors que le numéro devait rester le même. Je décide donc de passer
à cette nouvelle adresse, un petit immeuble récent de quatre étages, mais en
prenant toutes les précautions vu ce qui m’était déjà arrivée !
Je me gare loin, viens à pied, un cartable à la main, sérieux, quoi, et
pouvant donner le change le cas échéant !.
Mais la voie est libre pour accéder au dernier étage ou en plus il n’y a
aucun vis-à-vis. Je trouve donc sa porte sans trou de serrure, hélas !
J’écoute… Un peu de musique, j’entends des pas, pas de voix d’enfant ni
d’homme, j’hésite un peu puis je tape :
– Oui ! Qui sait ?
Entendant mon prénom, j’entends moi la clé, un verrou et cette belle
miniature qui apparaît en tunique courte !
– Tu es fou ! Si on te voit ?
– j’ai fait attention et ton téléphone ne répond pas !
– Il n’est pas encore branché, je croyais d’ailleurs que c’était eux, entre
un peu
C’est encore en travaux et des cartons traînent ! Qu’importe, je la vois et
l’embrasse à peine rentré !
On s’enlace étroitement, je sens ses seins s’écraser sur moi, son ventre…
elle rend mes baisers, puis je lui demande si elle peut sortir l’après midi.
Elle accepte tout de suite et me dit :
– D’autant plus qu’on ne pourra plus se voir, Bernard !
– Qu’est ce qui se passe ?
– Mon mari veut repartir au pays, il va travailler avec un oncle qui lui
donne du travail et on déménage peut-être pour rien, je suis triste, tu ne
peux pas savoir !
Ca me fit moi aussi quelque chose d’apprendre qu’on serait séparé pour
toujours, on se consola en s’embrassant, plus émus que d’habitude.
Enlacés, je lui caresse le dos sous la tunique, puis mes mains  »
naturellement  » touchent ses fesses, elle aime ça et bientôt je la pousse
vers la table ou son buste bascule… Je vois son superbe petit cul, je
m’accroupis devant et l’embrasse, le mordille et n’ayant pas trop de temps,
je lui passe ma langue là où elle aime tant et il me fallut que peu de temps
pour l’entendre gémir de plaisir.
Je me relevais pour baisser mon pantalon, mais elle se retourna :
– Non Bernard, si quelqu’un vient, on l’entendra pas !
J’allais protester mais aussitôt elle ajoute :
– Viens ! On va sur le palier
Je n’en revenais pas ! Mais aussitôt dit, aussitôt fait, c’était plus
piquant encore ! Elle me prend la main, on sort sur le palier, on s’embrasse
encore, puis elle se tourne, s’appuie sur le muret du palier, sa tunique se
relève. Mon sexe est déjà dressé rien qu’à cette jolie vue et je le frotte
sur son entrecuisse où presque aussitôt je m’introduis doucement ! C’est
sublime !
Je lui relève totalement la tunique, ses seins pendent et se balancent,
seule sa tête est visible de l’escalier et ses avants bras. Je la caresse
partout, lui pétris les seins, les étire en pensant que je n’aurais bientôt
plus ce petit corps à ma disposition, il ne me restera que des supers
souvenirs, des photos et quelques films et aujourd’hui je n’ai rien pour en
faire, hélas !
Puis le désir monte, monte et nous atteignons le plaisir maximum ensemble
restant pétrifié quelques secondes, puis, je me détache d’elle :
– Va prendre un sopalin, s’il te plait !
Quand je reviens la vision est presque obscène : Encore plus penchée, les
genoux très ouverts, cambrée, ma semence lui coule sur les cuisses et aussi
par terre, et surtout sa main droite s’agite sur son clito ! Je suis très
surpris, ne dis rien, la laisse faire et comme je sens qu’elle faiblit, je
pose ma main gauche sur la sienne et je glisse trois doigts de la droite
dans son trou béant et l’encourage de la voix et en dix secondes, elle se
met à jouir de nouveau. Elle se redresse péniblement s’accroche à moi !
– Tu avais encore envie, coquine, hein ?
– C’est trop bon, ça m’a plu de le faire dans l’escalier, hum !
Après l’avoir un peu essuyée je l’abandonne jusqu’à l’après midi.
– Je vais vite m’habiller, s’il vient quelqu’un !
J’ai croisé les télécoms en retournant à ma voiture.

Je vais la chercher vers 14 h, le petit en maternelle, nous étions
tranquilles, mais le fait de savoir que c’était là dernière fois sans doute
nous perturba. J’avais eu le temps de lui acheter une petite bague qui
heureusement lui allait bien.
Elle avait eu cette idée aussi avec un petit mot gentil, mis j’ai totalement
oublié l’un et l’autre.
On fit l’amour, oui, mais presque tristement avec quand même deux faits
intéressants : elle accepta de me faire une petite gâterie toute petite et
bien agréable et surtout elle accepta de me masturber à nouveau. Je l’aidais
pour qu’elle puisse jouir et elle me promit de le faire en pensant à moi.
Je la raccompagnais à proximité de son immeuble sans reparler ou presque et
on se donna un dernier baiser les larmes aux yeux. Je la vis s’éloigner, se
retournant plusieurs fois et Odile disparut de ma vie.

Trois au quatre ans plus tard, le  » chasseur  » que j’étais aborde une jolie
créature dans le but de la photographier.
La fille est sympa, me dit qu’elle a déjà fait des photos pour un copain,
bref je l’accompagne chez elle (on était quand même plus confiant à
l’époque) où elle me fait voir quelques vues en couleur, habillée, en
maillot, rien de terrible, je parle de sous-vêtement et parle d’une amie,
toute petite brune repartie dans son pays…
– C’était comment son prénom ? Ce n’était pas Odile ?
– Mais oui ! Vous la connaissez ?
– C’était une copine, mais elle est revenue, elle travaille au marché !
Quelle surprise ! On en parla un peu, je ne fis jamais de photos à cette
fille pour diverses raisons et je cherchais à nouveau ma petite Odile. Une
fois, deux fois, cinq fois j’allais à ce marché à chaque visite dans sa
ville, je ne la vis jamais…
Encore un ou deux ans s’écoulèrent ou plus ? Et un jour je traverse un tout
petit village. Pourquoi ai-je regardé à gauche, une placette où un étal
était installé ? Pourquoi n’y avait-il personne devant cet étal et pourquoi
la personne qui le tenait a-t-elle regardé dans ma direction ? MYSTERE !
Mais je me garais immédiatement pour revoir Odile. C’était elle en effet !
Quelle surprise ! On parla très vite entre deux clients.
Le boulot de son mari ne marchait pas et la mort dans l’âme il revint ici,
mais pour le grand plaisir d’Odile qui préférait être ici ! Spontanément
elle accepta de me revoir le jour même. On calcule l’heure ! Vers 14 h 30,
on se retrouve sur un grand parking et à peine sortis de nos véhicules, on
s’enlace comme si les années passées s’oubliaient déjà et bien sûr elle
monte dans ma voiture, direction, nos chères collines varoises.
Elle me parle de sa vie la-bas sans joie, son mari travaillant douze heures
par jour, fatigué, ne s’occupant plus d’elle, puis le retour, obligé de
retrouver un appart… Mais comme elle était heureuse de me revoir ! Moi
aussi, sauf que tout de suite elle me dit qu’on ne pourrait plus faire comme
avant à cause du travail, l’enfant qui avait grandi, je ne pourrai pas
l’appeler…
– Et puis tu sais, j’ai vieilli, j’ai été opéré, tu va être déçu !
Elle préfère qu’on se voit aujourd’hui pour la dernière fois et qu’on se
fasse nos adieux en s’aimant et ce sera fini !
Quel programme ! J’acceptais, me disant  » on verra bien  » et tout de suite
en roulant, je voulus voir ses seins !

Elle déboutonna elle-même son petit tricot et sans crier gare sortit les
deux seins du soutien-gorge ! Ils n’étaient pas plus moches du tout qu’après
la naissance de l’enfant, un peu mous mais des tétons très gros, surtout que
je m’empressais de les titiller, et à chaque trou de la route je me régalais
de voir ses chairs molles tressauter. Puis, je lui dis (on quittait les
lieux habités) d’enlever son pantalon, elle le fit en disant que j’étais
aussi fou qu’avant ! Je bandais en la voyant les seins à l’air et la culotte
à côté de moi. Je le lui dis.
– Tu bande toujours autant, toi, hein ?
– Ben, regarde, curieuse !
Elle passe sa main sur moi et entreprend d’ouvrir ma braguette et de sortir
mon sexe. Hum ! Très agréable de faire ça en roulant, mais pas de gâterie,
elle aurait mal au cœur !
Au point où nous en étions, je la touche sous la culotte et elle est déjà
mouillée, je lui fais enlever et la renifle, puis je lui demande de me
masturber avec la culotte, oui je suis fou, mais elle le fait pendant que je
touche son intimité.
Et enfin, on trouve un coin tranquille. J’avais un appareil photo, elle
refuse au début  » vu son âge etc…  » mais finit par être persuadé qu’elle
est encore belle ! Le plus curieux c’est qu’elle refusait alors qu’à ma
demande elle avait prit quelques tenues dont une guêpière ! Je fais donc une
ultime séance de photos de plus en plus osées jusqu’à revoir dans mon viseur
cette chatte très poilue entourant une fente rouge violacée où me doigts
plongèrent.
Elle était trempée et quatre doigts y glissèrent facilement !
Elle mouilla la pierre plate où elle était assise. Je l’allongeais et je bus
son jus à la source ! Un régal !

On était bien au soleil, nus l’un contre l’autre, plein de désirs et de
tendresse, retrouvant des sensations oubliées dans l’odeur des pins ; puis à
un moment, la tête de côté, je lui présentais mon sexe… Elle me regarde !
– Bernard, tu sais, tu es le seul à qui j’ai jamais fait ça, mon mari ne me
le fait jamais, donc moi, je ne le fais pas non plus !
Elle ouvre la bouche en grand et je sens sa chaleur sur moi, sa langue qui
bouge, un délice. J’en abuse un peu en lui maintenant la tête et fais
moi-même des va-et-vient tout en la masturbant. Mais elle s’arrête :
– Viens maintenant, je veux te sentir !
Elle écarte ses cuisses en grand et je plonge en elle sans retenue aucune,
elle est si mouillée que ça fait des bruits bizarres. Elle a déjà envie de
jouir, pas moi, et je lui dis que je voudrais bien lui arroser le visage et
en faire une photo. Elle accepta en me secouant de plus en plus fort et elle
pousse un cri strident en m’étouffant ses jambes dans mon dos !
Puis elle se calme, j’ai résisté, je ne sais comment et quand je veux
l’arroser, elle minaude, accepte seulement de me sucer ce qui fera de jolies
photos et finalement elle me masturbe à deux mains jointes où elle recueille
mon sperme, surprise de la quantité. Je suis étonné de la voir passer sa
langue sur les dernières gouttes !
– C’est salé !
Je pousse ses mains vers son visage :
– Si tu bois tout je te masturbe à fond !
Elle tombe à genoux écartés, aussitôt je lui glisse trois doigts dedans
pendant qu’elle lape ma semence ! C’est sublime et je la verrais jouir pour
la vraie dernière fois !

UNE TRES BELLE AVENTURE INOUBLIABLE !

Bernard
Première publication sur Vassilia, le 04/06/2001

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Une réponse à Les Collines d’Odile 6 – Le palier par Bernard_le_photographe

  1. Fermont dit :

    Je viens de lire plsusieurs de vos histoires, elles sont exitantes. Je suis à la fois voyeur (mais sans me cacher toutefois) et amoureux des poitrines opulentes. J’espère que vous continuerez à écrire, merci

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