Les aventures d’Andry 4 – le cadeau par Andry

Les aventures d’Andry
4 – le cadeau
par Andry

Le soir nous nous étions mit au lit tous nus et elle vint se blottir contre moi, ses petites fesses dans le creux de mes cuisses. Je passais un bras au dessus d’elle et lui caressais les seins. Je sentis mon sexe se raidir contre elle, elle le prit prestement en main, m’autorisa la pénétration de son petit nid doux, puis paisiblement s’endormit rapidement après.

Drôle de bout de femme, me dis je, malgré sa domination et le fait que je sois obligé de me soumettre, je l’aimais.

Peut être était ce à cause de cela.Je reconnais que dans mes rêves les plus enfuis, les moins avoués, ça me fascinait et j’étais très attiré par une femme qui me dicte sa loi, me punisse impitoyablement.

Obéissant à ses ordres, je lui avais procuré et offert la fine et souple cravache, outil de mon éducation. La jouissance qu’elle avait exprimée lors du déballage du cadeau en disait long sur l’aspect sadique de sa personnalité.

Elle avait aussi un autre côté beaucoup plus tendre voire même fleur bleue, la délicate attention qu’elle porta au bouquet offert en témoigne.

Elle me fendit le cœur lorsqu’elle m’avoua avoir tout préparé le matin pour le dîner et me supplia de rester dîner dans notre petit donjon, de passer la soirée et la nuit ensemble. Ainsi donc, mon amour était partagé et elle aussi m’aimait.

Mon sexe à l’intérieur de l’âtre tant désiré m’empêcha de m’endormir. Je repassais sans cesse notre journée dans ma tête mais réfléchissais aussi à la lettre que j’avais signée et ceci commença à me turlupiner. Je m’endormis finalement en rêvant de ma Maîtresse et faisant des rêves érotiques dont un me réveilla, je m’aperçus que j’avais joui en elle sans son autorisation et qu’elle ne s’en était pas rendue compte. Pourvu qu’elle ne s’en aperçoive pas ! Me dis je, sinon ! Cela m’était interdit et quelle serait sa réaction ? En faire le nettoyage cette fois ne serais pas pour me déplaire, mais quelle punition subirais je ?

C’est seulement là à ce moment en pleine nuit que je me rappelais que j’aurais dû prévenir ma femme que je ne rentrerais pas cette nuit. Elle devait s’inquiéter maintenant et me le reprocherait certainement. Quoique sa réponse équivoque à ma justification m’avait laissé sans voix. Peut être n’est elle pas dupe de mon mensonge et a-t-elle envie d’autre chose aussi. Je me mis à craindre le pire. Si je continue ainsi je vais retrouver mes valises devant la porte La maison lui appartient et je n’aurai rien à dire. Qu’à m’en aller.

Je me voyais déjà obligé de quitter ma femme et subir la dure loi de ma Maîtresse qui punirait impitoyablement toutes mes bévues.

Je me sentais pourtant incroyablement bien dans ce lit avec cette superbe créature dans les bras et l’envie de malgré tout partager sa vie me tenaillait. Elle me l’avait d’ailleurs proposé. Je devrai lui obéir bien sûr et subir son autorité voire, me faire corriger sec, mais j’avais tellement envie d’elle que j’accepterai sa loi. La lettre que j’avais signée en attestait évidemment ? Il était trop tard maintenant pour faire marche arrière.

Je compris où tout cela m’avait mené et il ne me restait plus qu’à subir la dure loi de ma Maîtresse. Curieusement ces pensées me firent bander à nouveau et je compris que c’était là un signe du destin. Je serai donc son soumis, son esclave, je serai tout ce qu’elle veut puisque je l’adore.

Je me rendormis une seconde fois pour ne me réveiller qu à passé dix heures du matin. Elle n’était plus à mes côtés et sans doute comme samedi dernier a t elle préférer me laisser bien récupérer et préparer le petit déjeuner. Pour l’instant elle était probablement en train de m’attendre.

Curieusement je ne ressentais guère plus de douleur. Ça avait pincé ferme, j’avais eus le feu au cul et je serais bien grimpé au mur. La nouvelle cravache y était pour quelque chose mais aussi le savoir faire de ma mignonne. Si elle avait voulu, je serais dans un autre état, mais ça, elle l’avait évité. Rassuré je me dis que ce n’était pas une dingue mais une bonne Maîtresse sachant sévir avec discernement.

Je passais rapidement à la salle de bain, puis me rendis à la cuisine où m’attendais une femme radieuse. Non seulement très joliment habillée, mais son sourire sincère me transperça le cœur.

– As tu bien dormi mon chéri ?

Tout étonné de m’entendre appelé, chéri, j’osais

– Oh oui ! Ma petite Maîtresse.

Elle ne me reprit pas mais riait de bon cœur.

– Assieds toi, je t’ai attendu pour le petit déjeuner. La table était bien garnie et ça sentait bon le café frais et les croissants chauds. Nous avons déjeuné en tête à tête et nous nous sentions heureux comme si c’était le premier matin du monde.

La cravache traînait sur la table du salon et comme je ne l’avais pas encore touchée (sauf mes fesses) je m’en emparais pour la découvrir réellement. Elle était toute d’une pièce, la poignée imitait un sexe masculin en érection et était étrangement douce au toucher. Le cuir était très fin et quand on la prenais en main on avait la sensation de tenir une réelle queue d’homme. Le reste de l’instrument était complètement conçu de cuir fin aussi. Souple à souhait, elle était l’intermédiaire idéal entre la cravache et le fouet. La facilité de la cravache, mais la sensation du fouet. Je fouettais l’air et un swiffftt qui en disait long cingla au travers de la pièce.

Ma Maîtresse m’observait d’un regard étrange qui me rappelait la jeune dame du sex shop. Celle que la maîtresse de la boutique fouetta pour me faire une démonstration de la cravache. Je ne saurais l’expliquer, mais on aurait dit que la jeune dame était émoustillée et salivait à l’idée de tester le fouet, puis après avoir été cinglée, remercia gentiment sa Maîtresse et, rayonnante, les fesses marquées, passa devant moi. Il était évident qu’elle adorait, ça se lisait sur son visage.

Et ma Maîtresse venait d’avoir exactement le même regard.

-Tu sais Andry, il y a des fois, je t’envie. Finit elle par dire.

Que répondre à ça ? J’en restais muet.

– Quand je te vois te tortiller suspendu à l’anneau, recevant de cinglants coups de cravache je me dis que tu dois avoir bien bon et j’en mouille comme une folle.

Changeant de sujet, elle entama une autre conversation.

– As tu pris une décision au sujet de ma proposition ?
– Maintenant que j’ai signé, je n’ai plus le choix, me semble t il.

Médusée elle me regarda attentivement, puis amusée me dit

– Ah bon ! Tiens…tiens… en effet. .

Manifestement elle pensait à quelque chose qui m’échappait. Lorsque je pris congé d’elle, elle me remit une nouvelle lettre.

– C’est pour samedi et sois à l’heure sinon !!! Tout en me faisant ce sourire dont elle avait le secret.

Une fois dans la rue je m’empressais avec nervosité d’ouvrir la lettre mais il n’y avait simplement qu’une petite phrase.

Andry
J’accepte ton invitation pour le restaurant samedi prochain
Ta Maîtresse

J’étais presque déçu de ne pas recevoir de nouvelles exigences de sa part et de nouveaux défis à relever, mais content tout de même parce que samedi prochain j’aurais l’immense joie de la sortir et je m’en réjouissais.

Quand je rentrais chez moi, ma femme était toujours au lit et comme il était midi passé, je me mis en charge de préparer le déjeuner.

J’entendis ma femme se lever et passer à la salle de bain pour finalement arriver au living. Je fus très surprit à la vue de son visage. Elle avait pleuré toute la nuit ou bien avait fait la bringue car d’énormes poches pendaient en dessous de ses yeux. Elle ne dit rien et ne posa pas de questions.Nous prîmes donc le déjeuner dans un silence radio total.

Finalement elle m’avait dit,

– Comme tu ne rentrais pas hier soir, je suis sortie avec un ami et rentré tard.

Ça devait évidemment arriver, j’avais ce que je méritais. Si un jour je trouve mes valises sur le seuil de la porte je l’aurais bien cherché. Je suis resté sans voix et elle n’ajouta plus rien.

La semaine se passa sans encombre, sauf qu’avec la gêne qui s’installait nous ne nous parlions guère.

Par contre ce qui me donnait beaucoup de moral, c’était l’idée de sortir ma maîtresse samedi prochain. De ça j’en avait très envie, mais si j’y retourne je savait les risques que je prenais.

Je réservais quand même une table pour deux personnes dans un très bon restaurant que je connaissais pour y avoir été plusieurs fois accompagnant mon directeur et des clients de la société où je suis cadre. C’était un restaurant un peu à l’extérieur de la ville dans un endroit idyllique pour une première sortie avec ma Maîtresse. J’ai insisté pour être bien placé.

Quand le samedi après midi arriva enfin, c’est tout joyeux que je me préparais avec grand soin, je tenais à lui faire honneur et voulais qu’elle soit fière de moi. Et c’est en voiture que je me rendis au parking de son immeuble, en faisant bien sûr un crochet chez la fleuriste où je choisis un bouquet de roses rouges symbole de ma passion.

Je sonnais à l’interphone et supposais que je n’aurais pas à m’introduire comme samedi passé. De fait une voie enjouée me répondit,

– Montes vite, Andry, j’ais le temps long après toi.

Je montais à toute vitesse et me retrouvais devant la porte entr’ouverte. Je pénétrais et cette fois elle me sauta au cou.

– Je suis si heureuse que tu sois là, c’est que tu me manques tu sais, dit elle en prenant les fleurs.

C’est avec grand soin qu’elle déballa le bouquet et le déposa dans un vase qui n’attendait que ça.

– J’adore, fit elle, j’adore que tu m’offres des fleurs et celles ci sont superbes.

Elle s’était manifestement vêtue pour la circonstance et semblait toute heureuse de l’invitation. Elle avait revêtu une mini robe argentée d’aspect métallique qui lui donnait un aspect de femme du futur. L’ensemble moulait parfaitement sa plastique qui eut pour effet de me donner une première érection, tant je la trouvais désirable.

Comme il était bien trop tôt pour aller au restaurant nous avons bavardé, je lui ai décrit le resto où nous irions, bu un peu de champagne, écouté de la musique et passé une bien agréable après midi.

Puis comme il était presque temps de partir elle me dit :

– J’ai un petit cadeau pour toi, et elle me présenta un petit paquet joliment emballé d’un papier noir glacé. Je tenais à te faire un cadeau personnalisé.

Je l’ouvris avec précipitation et trouva un très beau collier d’esclave à l’intérieur du colis. Un très bel objet.

– Tu m’as offert une très jolie cravache qui m’as fait tant plaisir que maintenant je l’emporte partout avec moi, et je tenais à te rendre la pareille, aussi ais-je pensé à t’approprier ce collier que tu pourras porter en toutes circonstances.

Le collier était superbe, de bonne largeur, un cuir doux tapissait l’intérieur du collier, tandis qu’un métal jaune cerclait l’extérieur. Mon nom, Andry- était gravé sur le métal. L’avant était garni d’un bel anneau de dimension appréciable et muni d ‘un système de fermeture à code.

– Mets toi un peu à genoux me dit elle gentiment, je vais te le faire essayer.

Elle me le présenta autour du cou et j’entendis le clic de la fermeture emprisonner mon cou.

– Voilà ! Tu es mon esclave maintenant ! Je suis la seule à pouvoir t’en délivrer. Ce soir, reprit elle, tu m’accompagnes en tant qu’esclave.

La sensation du collier était bien agréable mais elle ne pensait quand même pas que j’irais avec ça au cou au resto. Il n’en était pas question et je protestais.

– Dites, vous n’ y pensez quand même pas ?
– Silence ! Fit elle, le jeu est commencé, tu dois être fier de porter ce collier et avoir l’honneur de me servir ! M’obéir c’est ta loi, un point c’est tout ! Sinon c’est la correction ! Tu y as consentis et signé.

Je savais que pour elle le jeu était tout ce qu’il y avait de plus sérieux, que je ne rigolerais pas et qu’il me faudrait plier à toutes ses fantaisies. Je n’y échapperais pas.

– Je vais me préparer pour sortir avec toi, mais pendant ce temps, tu vas me servir de desserte, dit elle en me tirant par l’anneau du collier vers sa chambre où je n’avais d’autre solution que de la suivre sur mes genoux. – Les bras tendus en avant !

Elle enleva ses chaussures dorées et me les déposa dans les mains, retira sa mimi robe qu’elle déposa avec précaution sur mes bras, ôta ses bas pour les déposer sur mes épaules, et ôta sa petite culotte qu’elle déposa sur ma tête avec bien sûr la partie sexe sur mon nez. Je n’y voyais plus rien et respirais en humant l’odeur de son intimité. J’avais l’air ridicule comme ça, mais comme je bandais, j’avais bien bon.

Mais me rendre avec ce collier dans un restaurant où l’on me connaît ? Je voulais bien subir tous ses caprices ici, mais pas à l’extérieur. Il n’en était pas question. Mais il n’ y avait qu’elle qui connaissait le code pour me délivrer.

Je réfléchissais au moyen de m’en sortir mais n’en trouvais pas. M’enfuir et rentrer ainsi chez moi ? Je n’oserais jamais rentrer chez moi avec ça au cou. La situation n’était pas drôle du tout et le pire (ou le mieux) je bandais. Peut être qu’au restaurant penseront ils qu’il s’agit d’une minerve que je dois porter suite à une blessure, me dis je. C’est ce que je dirai en tout cas si on me le demande. Mais l’anneau ? J’essaierais de le dissimuler en remontant ma chemise le plus possible.Tout compte fait avec un peu d’astuce ils ne verront rien.

Une bonne demi heure plus tard ma Maîtresse me débarrassa et m’apparut dans une de ces tenues que j’adore, mais qui pour l’accompagner au resto me fera mourir de honte.

C’était le cas de le dire.Toute vêtue de rouge, les cuissardes rouges, la très courte mini jupe en cuir rouge et une petite veste en cuir rouge. Seuls ses bas résilles noir, son petit top noir et sa chevelure noire tranchaient avec le rouge.

Elle était bandante à souhait. Mais pas pour aller au resto ! Comment échapper à ça, je n’en ai aucune idée. D’abord je n’oserais rien dire et ensuite quelle volée de coups de fouets je recevrais. Obéir et laisser faire, telle était l’unique solution. D’autres dirais, je ne bandais plus, mais moi je bandais de plus belle.

– Alors ! Je te plais ?
– Vous êtes toujours superbe mais cette fois Maîtresse, vous êtes sublime.
– Alors allons y ! On prends ma voiture et elle s’empara de la redoutable cravache qu’elle glissa dans une de ses cuissardes.
– On ne sait jamais dit elle, en me regardant sévèrement.

La suivant je remarquais que la poignée en forme de bite de la cravache dépassait de sa cuissarde et que ça se voyait mais je n’osais rien dire.

Sa voiture de sport rouge, attribuée par la société pour laquelle elle travaillait, nous attendait au parking de l’immeuble, elle se mit au volant tandis que je prenais place à ses côtés. Nous partîmes pour le restaurant mais l’aventure ne prenait pas la tournure que j’avais imaginé.

J’avais la frousse de rencontrer quelqu’un que je connaissais et qui raconterait tout autour de lui et surtout pas quelqu’un de la société où je travaille sinon c’en sera fini de mon autorité. J’étais moins fier de sortir ma belle et affichait un profil bas. Mais je bandais comme ce n’était pas possible. Et ça c’était bon.

Comme je ne parlais pas elle dit,

-Tu ne dis rien, tout va bien ? Et elle palpa mon sexe gonflé. Mais oui, il va bien mon esclave, tout émoustillé de sortir avec sa Maîtresse.

Elle ne pensait pas si bien dire. Si elle savait seulement ce que je pensais, elle me corrigerait durement d’avoir honte de l’accompagner.

On arriva devant la grille ouverte du manoir transformé en restaurant, elle s’engagea dans la cour parsemée de gravier et se parqua juste devant.

Discrètement je relevais le col de ma chemise et me tassais un peu pour dissimuler au mieux ce que je portais au cou. Comme je voulais prendre la parole à l’accueil pour renseigner ma réservation, le patron du resto, m’ignorant s’avança vers ma maîtresse et,

– Madame Catty ! Quelle surprise ! Toujours aussi belle ! Vous êtes Ravissante !

Ma maîtresse le remercia gentiment et dit,

– Une table pour deux personnes a été réservée au nom de Andry.

Il nous conduisit vers la table réservée, tandis que je regardais rapidement s’il n’y avait personne qui me connaissait. Apparemment tout allait bien, mais notre entrée avait fait fureur car en un instant tous les regards se tournèrent vers nous, et je remarquais des personnes qui se chuchotaient des choses à l’oreille.

La table réservée ne semblait pas convenir à ma belle, et rouspétant,

-Vous n’en auriez pas une à un endroit plus intime ?

Le patron réfléchit un moment puis ?

– Pour vous il y aura toujours la table que vous désirez. Il y a celle là dans le coin si vous aimez mieux.
– Ce sera parfait, répondit elle.

Ouf ! Elle a choisi un coin pour plus de discrétion.

Ainsi ils se connaissaient et elle ne m’en avait rien dit, et puis le compliment du patron me rendait jaloux. Il ne m’avait jeté le moindre regard et appréciait, lui, qu’elle vienne dans cette tenue. Moi j’en avais été gêné, j’étais vraiment nul.

– Toi tu vas là ! Fit elle en me désignant la place derrière la table du coin.

Comme discrétion c’était raté, j’étais dans le coin de la pièce face à la vue des clients tandis qu’elle leurs tournait le dos. Leurs regards me transperçaient et je me sentais nu. Ils n’avaient d’yeux que pour mon collier me semblait il. Et instinctivement je descendis ma tête sur mon cou. Je me mis à rougir.

Le garçon apporta les cartes des menus et des vins, nous proposa un apéritif,

– Deux flûtes de champagne ! Et puis tant que vous y êtes mettez la bouteille et reprenez la carte des vins, on le fera au champagne, lança t elle sans hésiter.

Le garçon me jeta un regard inquisiteur. Je rougissais encore un peu plus.

Ca commençait fort, la garce avait prit les choses en main et je n’avais qu’à la fermer. Pour le choix des menus, c’était exactement pareil.

– Tiens toi droit ! mais qu’as tu là pour une attitude, tu as l’air gêné et puis donne moi cette carte c’est moi qui choisit.

Je me redressais et sentis le col de ma chemise glisser sur le collier, ma Maîtresse s’aperçu de mon geste et,

– Mais enfin, tu le caches, on dirait que tu n’es pas fier de le porter et sans hésiter elle dégrafa et entrouvrit ma chemise, exposant ainsi mon collier au regards de tous.

– C’est bien mieux ainsi, c’est une belle pièce tu sais, est ce que je suis gênée moi de montrer ma cravache ? Et sans hésiter, elle retira sa cravache de sa cuissarde pour la déposer à ses côtés sur la table.

Au point où j’en étais je me dis que j’étais bien bête de m’en faire ainsi puisque personne n’avait l’air de me connaître il n’y avait qu’à me laisser aller et je me détendis un peu. J’arborais fièrement mon collier, symbole de ma soumission, ne regardant que ma Maîtresse, fière d’elle et me fichant du reste.

Ma Maîtresse prit la commande, constitués de plusieurs plats, j’en salivais déjà.

– Et pour le dessert ? Entendis je dire ?
-Je choisirai à la fin, répondit elle.

Les plats se succédèrent et étaient des plus succulents les uns après les autres. J’étais arrivé à me détendre complètement et prenais un réel plaisir à dîner en sa compagnie, même si je me rendais compte qu’on nous observait étrangement.

Nous arrivions tout doucement à la fin du repas quand le garçon vint demander ce qu’on avait choisi pour le dessert.

– Une coupe de glaces aux fruits, commanda t elle.
– Et pour lui ? Demanda le garçon.
– Pour lui, rien, reprit elle.

Je la regardais plein d’interrogations.

– J’ai un dessert pour toi que tu adores, une minette à sucer ! Régale-toi.

Je bandais plein de désir, certes, mais ici en plein restaurant ?

Je remarquais que la nappe était longue et que si je me glissais en dessous de la table personne ne le verrait.

J’en avait tellement envie que discrètement je me laissais glisser le long de ma chaise et me retrouvais sous la table, espérant l’avoir fait de manière inaperçue.

Je m’avançais entre ses jambes ouvertes, et remarquais l’absence de culotte, le sexe offert à ma gourmandise.Ah la garce ! Me dis je, elle avait tout préparé.

Mais pas fâché du tout du tour qu’elle m’avait joué, j’entamais de lui prodiguer une minette dont elle se souviendrait. Je commençais par lui brouter le minou, puis introduisis ma langue entre ses petites lèvres et titillais son petit bijou.

Je la sentais frémir sous mes chatouilles, tandis qu’elle était occupée à déguster sa glace, elle mouillait à souhait et je la buvais à pleine gorgée. C’était mon dessert après tout. Je la suçais jusqu’à la dernière goutte et tout d’un coup elle déclencha en se retenant comme elle pouvait, mais non sans lâcher un cri à peine étouffé.

Tandis que le patron vint la trouver pour voir s’il y avait un problème, elle me caressait la tête de ses deux mains pour marquer sa satisfaction.

– Ce n’est rien, j’ai seulement avalé un peu vite. Entendis-je dire.

Avec précaution je refis surface au grand jour. Radieuse, elle me souriait.

-Tu as été magnifique, tu seras récompensé ! Finit elle par me dire.

Oui mais récompensé comment, avec elle il faut s’attendre à tout.

Elle demanda l’addition, mais quand la note arriva, elle ne broncha point, si bien que je sortis ma carte de crédit et réglais le dîner. En sortant le patron lui fit des salamalecs, puis me regardant enfin,

– Remettez mes salutations à votre Directeur.

Le salaud, il m’avait bien reconnu.

Et nous sortîmes, moi devant, et ma Maîtresse derrière la cravache à la main. Reprenant place dans la voiture, elle me prit par le cou, m’enleva le collier,

– Tu as été sublime Andry, j’ais passé un merveilleux moment grâce à toi, je mouillais comme c’est pas possible et j’ai joui terrible, je croyais que tu ne pourrais jamais faire ça. Tu dois m’aimer beaucoup ?
– Oh oui, je vous adore serais plus exact.
– Je t’aime tant, reste avec moi, je te rendrai heureux.

On s’embrassa passionnément.

– Vite rentrons, ajouta t elle.

Pendant que nous rentrions je lui dis,

– Vous m’aviez bien caché que vous connaissiez le patron.
– J’y vais parfois avec des clients, dit elle simplement, quand tu m’as raconté où tu voulais m’emmener j’ais imaginé ce petit scénario. Tu as aimé ?
– J’étais bien coincé au début, on m’observait mais vous seule comptait à mes yeux et j’ai joué le jeu.
– Rassures toi, dit elle encore, ce sont des gens discret, je les connais.

Une fois, rentrée elle se déshabilla complètement et me dit,

– Je t’avais promis une récompense, alors tu fais de moi ce qui te plais.
– Oh moi, vous savez, c’est tout simple, je n’ais qu’une seule envie c’est de pénétrer dans votre petit nid douillet.
– Accordé Andry chéri, fais moi bien jouir encore, mais s’il te plais, arrêtes de me vouvoyer, ça m’énerve à la fin.

Nous nous sommes mit au lit et comme la semaine passée elle mit son petit cul dans le creux de mes cuisses et prenant mon sexe en main le dirigea vers l’âtre désiré. Très émoustillés tous les deux il ne nous fallu (malheureusement trop court) pas longtemps pour exploser en un feu d’artifice des mieux réussis.

Elle se retourna et nous nous prîmes dans nos bras respectifs. J’étais si heureux.

Andry

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