L’entrée de l’hiver 5 – Dimanche par Lovelace

L’entrée de l’hiver
5 – Dimanche
par Lovelace

Dimanche

Quel réveil, mes amis !

Je sors d’un demi-sommeil, rêvant que je me fais tailler une pipe; j’ai le sexe dur comme du bois ! J’ai la sensation d’une langue sur le bout du gland, me titillant le méat et d’une pression le long de la hampe.

J’ouvre un œil et là, je me rends compte que mon rêve a un visage, celui d’Anne !

– Ça y est ? Tu te réveilles ?
– Agréable d’être réveillé comme ça ! Continue !
– Je voulais savoir où trouver de quoi faire du café.
– Tu es déjà prête ?

Anne est douchée, coiffée, maquillée.

– J’ai l’habitude de me lever tôt, même si je me couche tard !

– Écoute, ce qu’on va faire, c’est que tu vas réveiller Alice, elle te montrera tout ça et moi, je me douche et je file acheter des croissants. OK ?
– OK DAC !

Je me lève et file sous la douche, je me brosse les dents en même temps. Quand j’en sors, je me retourne pour prendre mon drap de bain et là, j’ai une vision céleste de mon lit. Alice est allongée, jambes ouvertes et Anne, entre celles-ci, lui fait un broute minou. Elle est à genoux, les fesses en l’air. Elle a vraiment pris goût au sexe la gamine ! Je remarque aussi que son anus est entre-ouvert lorsqu’elle relâche ses muscles, ce qui est nouveau ! Tant mieux !

J’enfile un pantalon, un pull et je lance :

– Je vous laisse vous occuper du café, je vais chercher à manger. A tout de suite !

Je n’ai pas de réponse, elles sont trop occupées pour ça !

Quand je reviens, une quinzaine de minutes plus tard, la table est mise et ça sent le café chaud. J’amène croissants et autres viennoiseries sur la table.

– C’est super agréable d’être réveillée comme je l’ai été me dit Alice.
– Moi aussi, j’ai été réveillé avec une petite gâterie ! Lui réponds-je. J’aurai bien aimé que ça se continue un peu plus longtemps !
– Ha ! Moi j’ai eu la chance que ça aille au bout ! Et c’était bon !
– Tu lui as rendu son câlin ?
– Bien sûr ! Je ne suis pas égoïste, moi !
– Oui, intervient Anne et je peux dire que c’était super !
– Il me reste des stigmates, reprend Alice, tu veux goûter ?

En disant cela, elle prend un croissant dans la corbeille et trempe un bout dans sa chatte mouillée et me le tend !

Je n’hésite pas et je le prend et lèche le bout avant de le manger.

– Hummm ! C’est vraiment très bon ! Meilleur que trempé dans le café ! Tiens Anne, dis-je en le lui tendant, fais-moi goûter à ta chatte sur l’autre bout, que je compare.

Elle me prend le croissant des mains, et comme Alice s’enfile le bout dans la chatte et me le retend.

Je le goûte et réagis :

– A vrai dire, je suis incapable de dire si un bout était meilleur que l’autre ! J’aime les deux, c’est certain !

En tout cas, c’est une façon originale de manger son petit déjeuner ! Après ce dernier Alice nous annonce qu’elle remonte faire sa toilette.

– Qu’est-ce qu’on fait en attendant ? Demande Anne. On range tout ?
– Pierre et Viviane dorment encore, on leur laisse la table dressée; ils ne vont quand même pas déjeuner debout dans la cuisine !

– Vous n’avez qu’à monter avec moi; vous rangerez la chambre ! Suggère Alice en riant.
– Voilà une bonne idée ! Reprend Anne.

Sitôt dit, sitôt fait, pendant qu’Alice est sous la douche, nous nous occupons du lit. Je remarque tout de suite un jouet traînant sur la couette.

– Vous ne vous êtes pas contentées de vous caresser tout à l’heure dis-je à Anne en le prenant.
– Non, c’est vrai, Alice voulait me montrer l’usage de celui-ci; il est vraiment super !
– Tu veux comparer avec le mien ?
– Ho ! Il n’y a pas de comparaison possible ! Le tien est évidemment meilleur !

Elle s’approche de moi et me défait le pantalon qui tombe à mes chevilles et prend mon sexe en main. Elle commence par tirer dessus, puis malaxe mes couilles pendant que son autre main passe sous mon pull pour caresser ma poitrine. Elle s’agenouille et décide de faire durcir ma verge en la prenant en bouche, ce qu’elle réussit très bien ! Gardant mon sexe à fond dans sa bouche, elle retire le long tee-shirt qui l’habille et se tripote un sein pendant que de l’autre main elle reprend ma queue et la branle.

– C’est bon ? Demande Alice qui sortie de la douche regarde la scène.
– Hummm ! Oui ! Il a une queue très douce ton mari; j’aime beaucoup : taille idéale, passe partout, goût suave, bien charpentée, il a tout pour plaire !
– Pourquoi crois-tu qu’on vive ensemble depuis si longtemps ? Je me demande si je ne préfère pas sa queue à lui ! Dit-elle en se frottant les cheveux avec une serviette

Je la regarde, son corps élancé, précédé de ses deux gros seins ronds qui ballottent au rythme de son massage capillaire; elle m’excite cette garce !

Ma queue est bien raide maintenant, le gland décalotté rouge sombre, bien gonflé n’a plus qu’à trouver un endroit où s’immiscer.

Alice s’approche de nous et derrière moi, me retire mon pull et me caresse les fesses, insinue un doigt le long de ma raie jusqu’à mon anus, qu’elle titille, attrape mes couilles et les tire en arrière, ce qui tend encore plus ma queue.

– Allonges-toi sur le lit Anne et relève bien tes jambes.

Anne obéit et remontant ses genoux à sa poitrine, dévoile largement sa chatte et son cul. Comme elle est bien relâchée, ce dernier est légèrement ouvert.

– Encules-là mon chéri, cette salope ne mérite que ça !
– Pourquoi pas la baiser ?
– Je me réserve sa chatte pour tout à l’heure, tu verras.

Je m’avance donc et glisse le gland au fond de l’anus.

– Hooo ! Oui ! Que c’est bon ! Allez, vas-y à fond, défonces-moi ! Me crie Anne toute excitée.
– Mets-la à fond, vas-y, surenchérit Alice les mains sur mes fesses, en me poussant en avant. Encules-là cette garce !

Je me retrouve au fond du trou, mon pubis collé à sa chatte. Je commence à aller et venir, lentement, sortant entièrement et entrant d’un coup. Le plaisir du contact de son anus sur mon gland se répercute dans tout mon corps et m’envoie des décharges électriques. Je détends les muscles de mes cuisses, desserre les fesses, je concentre toutes mes sensations au niveau de mon sexe.

– Vas-y encore ! Plus fort, plus vite, vas-y, ouiiiii ! Je vais jouir ! Ho, que c’est bon ! Nom de Dieu, baises mon cul ! J’adore ça !
– Tu aimes te faire enculer, maintenant salope ! Tu faisais ta mijaurée au bureau hein ? En fait t’es la reine du cul !
– Regardes, me dit Alice alors que je viens de ressortir, elle est tellement large, que je pourrai y mettre le bras !
– Tu as raison, vas chercher le gel !

Alice file rapidement vers la salle de bains et ramène le pot de lubrifiant. Elle s’en badigeonne la main :

– C’est bon, je suis prête, laisses-moi la place.

Je me retire et m’écarte.

– Vas-y, à toi !

Elle s’agenouille devant Anne et la pénètre avec trois doigts, trifouille, tourne, en met un quatrième. Anne se tortille, avance le bassin comme pour aider à cette pénétration. Alice a passé la paume, accentue son intrusion et d’une dernière poussée, se retrouve avec la main dedans. Je rajoute du gel autour de l’avant bras et par de longs allers-retours, elle s’insère presque jusqu’au coude !

– Haaaa Au secours ! Ho là là ! C’est énorme, mon Dieu, j’en peux plus !
– Ta gueule, salope ! Aboie Alice. Tu veux du costaud, en voilà !

Elle ressort complètement, histoire d’évaluer les dégâts, le cul est totalement dilaté, elle entre et sort plusieurs fois de suite sa main, enfonce à nouveau son bras, le ressort encore, recommence la manœuvre plusieurs fois de suite. Anne souffle, gémit, crie. Est-ce de la douleur, du plaisir, les deux ? On n’en sait plus rien, mais elle continue de réclamer.

– Encore, encore, t’arrêtes pas, vas-y ! Ouiiiiii ! Ouille !

Devant ce spectacle, je suis encore plus excité que tout à l’heure, j’ai envie de jouir. Je me mets derrière Alice et m’enfonce dans l’anus qui m’accueille et m’avale dans un soupir de plaisir de sa propriétaire.

Je m’active rapidement, Alice prend mon rythme et baise le cul d’Anne à la même vitesse. Je laisse éclater ma jouissance et éjacule en elle de plusieurs décharges qui me secouent jusque dans les reins.

– Hummm ! C’est bon ! Dit-elle, je te sens couler, c’est tout chaud !

Elle retire son bras et laisse Anne pantelante, les bras en croix. Puis monte sur le lit, s’assoit sur son visage et pousse pour faire couler mon sperme dans sa bouche. Anne avale, lèche le cul d’Alice pour récupérer les dernières gouttes.

– Voilà une journée qui commence sous les meilleurs auspices, dit Alice en retournant dans la salle de bains.

Je la rejoins, me lave la queue et retourne me rhabiller.

– Alors la belle, comment va ton cul ? Demandé-je à Anne.
– Merveilleusement, je ne le sens plus, je le pense béat !
– Tu ne crois pas si bien dire ! Vas le passer sous l’eau froide, ça contractera les muscles !

Elles me rejoignent dans le séjour quelques instants plus tard, bras dessus bras dessous, seulement vêtues d’un tee-shirt.

Il est dix heures du matin quand Viviane et Pierre apparaissent enfin. Je remarque à leur mine, que leur réveil a aussi été agréable pour eux !

– Bonjour à tous ! Comment ça va ?
– Bien et vous aussi à ce que je vois !
– Désolés d’arriver si tard, mais les cris qui nous ont réveillés, nous ont également donné des idées !
– Pas la peine de le préciser ça se voit ! Pardon pour le bruit, dit Alice.
– C’était toi ? Demande Viviane.
– Non c’était moi ! Répond Anne. Ils m’ont détruit l’anus !
– Ça ne m’étonne pas. Ces deux là, tu leur donne le doigt ils prennent le bras !
– Tu ne crois pas si bien dire !
– Au fait ! Qu’est-ce que vous avez prévu pour la journée ? Le temps semble s’être amélioré.
– En fait, dit Pierre, nous on va rentrer. Viviane reprend une garde, autant qu’elle commence en forme !
– Oui, je comprends. Vous restez quand même déjeuner avec nous ?
– Si vous voulez; on partira après.

La fin de la matinée se déroule tranquillement, la joie et la bonne humeur règnent en maîtres. Pierre et moi allons chercher du bois pour alimenter la cheminée, je réalise une copie de la Vidéo de Viviane et lui remet à l’apéro.

– Tiens, ton souvenir d’éclate de l’été dernier.
– Ho, merci, c’est gentil. Ça c’est du souvenir ! Une telle découverte de soi, il faut la garder active en mémoire !
– Avec ça, tu n’es pas prête de l’oublier ! Allez, on passe à table.

Après le repas, comme ils l’avaient décidé, Viviane et Pierre nous quittent pour rentrer sur Nantes. On s’embrasse, se promet de se retrouver bientôt. Anne ne tarde pas également à vouloir rentrer chez elle. Demain le boulot nous attend. Je sens qu’Alice n’a pas envie que ça se termine maintenant. D’un autre côté, relancer la machine, c’est pas évident, le rythme est tombé.

Nous nous quittons donc et, une fois seuls, nous installons dans le salon et faisons le point sur nous et ce que nous avons vécu depuis les six derniers mois.

Nous avons fait un chemin extraordinaire dans notre quête du plaisir. Depuis le mois d’août nous avons vécu plus intensément que sur l’ensemble de nos presque dix années de vie commune.

Ce que nous imaginions, ou pas, nous l’avons réalisé. Nos fantasmes les plus fous, même ceux des autres partenaires que nous avons rencontrés, un partage total, sans tabous, sans arrière pensées, juste la recherche de notre plaisir et celui de l’autre, des autres. Finalement nous décidons que nous vivons une vie exceptionnelle.

Ce que nous ignorons à ce moment, c’est qu’elle n’est pas prête de se terminer.

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