Le passage de la rivière par Pilouface

 


J’ai toujours adoré les longues balades en solitaire dans la forêt jouxtant la petite maison de campagne dans laquelle je passe mes week-ends. Aujourd’hui pourtant, je ne suis pas seul. Le rai de lumière transperçant la canopée me dévoile en transparence les longues jambes de Capucine sous sa robe légère. Rien de tel pour me faire oublier le charme de mes promenades de rêveur solitaire.

Ils sont arrivés hier soir « sans crier gare », Capucine, une amie de ma femme et son mari.  » Passez nous voir un de ces quatre », leur avait sans doute dit ma chère et tendre, sans y tenir vraiment.

Nous avons passé une soirée agréable. Capucine était une jeune femme adorable, intelligente et son mari un homme cultivé sachant s’adapter à tous les sujets de conversation sans en revendiquer le monopole. Nous avons parlé musique, cinéma et littérature. Nous avons, quelques bouteilles plus tard refait le monde à notre façon. Jérôme raconta quelques histoires coquines qui eurent un franc succès. Il avait un réel talent de conteur, imitant à la perfection les voix de célébrités, hommes ou femmes, les plaçant dans des situations cocasses et souvent grivoises. Plus nous riions, plus il en rajoutait. Marie était sous le charme de Jérôme, de son humour et de son talent.

Je racontai ensuite l’anecdote de notre dernier week-end. Nous étions allés Marie et moi, acheter une tondeuse à gazon. Marie qui portait le même jean taille basse qu’aujourd’hui, s’était accroupie pour regarder la notice attachée à la machine d’exposition. Son tee-shirt assez court découvrait le bas de son dos et surtout la naissance de la raie de ses fesses. En raison de mon esprit polisson, j’appréciai le charmant tableau sans en être choqué, d’autant plus que le vendeur, subjugué par l’exhibition involontaire de Marie, accepta sans même discuter la demande de remise que j’avais formulée sans vraiment l’espérer.

Jérôme proposa alors de faire une reconstitution de la scène afin que nous puissions juger de l’effet magique du haut de la raie de Marie. De l’ambiance de franche rigolade générée par ce jeu un peu leste, se dégageait un léger parfum d’érotisme toutefois maîtrisé.

Marie fut à la hauteur de la situation en s’accroupissant, pour nous faire reluquer le bas de son dos dénudé.

– Est-ce vraiment provoquant ? Demanda Marie.
– Cela dépend du lieu et de la situation, répondit Capucine. Pour ce soir c’est simplement émoustillant.
– Moi je trouve cela excitant, reprit Jérôme, et quelle que soit la situation.
– Il faudrait être Tartuffe, rustre ou aveugle pour rester insensible à cet échantillon de paradis qui ferait tourner la tête à n’importe quel homme, ajoutai-je.
– Et peut-être à certaines femmes ? Me répondit Capucine.
– Tu apprécies aussi le corps des femmes ?
– A l’occasion, oui. C’est le cas en ce moment. Mais je n’en tire sûrement pas le même plaisir qu’un homme.
– Le plaisir d’une femme est moins rapide que celui d’un homme, lui répondis-je.

Tout le monde partit d’un grand éclat de rire. Marie se releva et servit à boire à chacun de nous. Nous n’allâmes pas plus loin dans la grivoiserie et la conversation tourna ensuite sur les nouveautés de la mode, les tailles basses et les mini jupes. Je fis remarquer à Capucine que sa robe était un peu trop longue pour être en accord avec la tendance actuelle. Celle-ci me relança la balle en remontant le bas de sa robe de dix centimètres.

– C’est encore un peu long pour les hommes, dis-je en riant.
– Si je remonte encore un peu, on verra ma culotte dit Capucine en s’esclaffant.
– Personne ne t’en tiendrait rigueur, chère Capucine.
– Jérôme, peut-être ? Me répondit-elle.

Nous plaisantâmes ensuite pour savoir si une cuisse découverte était plus sexy qu’un haut de raie des fesses dévoilé. Nous nous amusions beaucoup mais l’ambiance bien que chaude, restait bon-enfant. Nous en revînmes alors à des sujets moins scabreux. Je leur proposai de venir avec moi en forêt le lendemain dès l’aube cueillir des champignons pour le repas de midi.

 » Avec ce que j’ai bu ce soir, dit Jérôme, je ne serai pas en forme pour crapahuter dans les sous-bois, même pour dénicher ces merveilles de la nature. »

A l’inverse de son mari, Capucine manifesta tout de suite beaucoup d’enthousiasme pour ma proposition, Marie quant à elle préférant rester pour préparer le déjeuner. Nous convînmes donc de partir à deux, Capucine et moi. Je soupçonnai un instant que le refus de Jérôme, le mari de Capucine, pouvait être dû au sourire enjôleur de Marie ma chère compagne et à la vision de la raie de ses fesses qui lui avait chauffé le sang. Avait-il envisagé un brin de cour en notre absence ? Je m’en amusais intérieurement.

Nous partîmes le lendemain dès l’aube. Capucine n’avait emporté pour ce week-end, que la robe de cotonnade légère qu’elle portait en arrivant. Si la tenue n’était pas très adaptée pour la marche en sous-bois, elle me réservait des surprises agréables dès qu’elle apparaissait en contrejour entre le soleil et mon regard gourmand.

Capucine s’émerveillait de tout ce qu’elle découvrait autour d’elle. Elle riait comme une enfant quand je tentais des explications fantaisistes à ses interrogations.

Alors qu’une trouée de lumière la traversait de part en part, elle surprit mon regard fixant intensément ses charmes suggérés.

– Oh ! Me dit-elle en plaquant sa main contre sa bouche, je me demande si ma robe n’est pas un peu transparente dans ce contrejour ?
– Tellement peu, mais très joli à contempler, répondis-je.
– Mais ce n’est pas convenable de ma part, je suis désolée Jeff. J’aurais dû prévoir un bon jean bien épais pour cette promenade.
– Tu ne pouvais le prévoir et j’en aurais été le premier déçu.
– Dois-je prendre ta réponse comme un compliment ?
– Bien sûr, mais je ne voudrais pas te mettre dans une situation délicate vis à vis de Jérôme, que j’estime beaucoup.
– Je me demande,dit-elle d’un ton enjoué, si tu n’as pas une petite idée derrière la tête.
– Ne bouge pas ! Le tableau que tu m’offres est superbe. Je veux le graver à jamais dans ma mémoire. Si un jour je me mets à la peinture, je le reproduirai de mémoire.
– Je suis certes flattée, Jeff mais aussi un peu gênée.
– Gênée de quoi Capucine ?
– Pas de ton regard comme tu pourrais le penser, mais des conséquences éventuelles de la situation.
– Les conséquences ne concernent que nous deux.
– Oui justement, c’est bien ce à quoi je pensais.

Nous étions arrivés au bord d’une rivière, que nous devions traverser à gué. Les dernières pluies avaient fait monter le niveau et le passage s’avérait bien plus délicat qu’à l’habitude.

– Les champignons sont de l’autre côté. C’est le seul endroit pour passer.
– Mais ça me paraît profond, dit Capucine un peu anxieuse.
– Non je ne pense pas, mais nous allons devoir nous mouiller quand même jusqu’en haut des cuisses.
– Pour toi ou pour moi ? Demanda Capucine.
– Pour moi. Je passerai le premier pour tester le gué, et je te guiderai pour passer.
– Mais nous sommes habillés !
– Ce ne sera pas un trop grand problème pour toi, tu n’auras qu’à relever ta robe, quant à moi, je suis dans l’obligation d’ôter mon pantalon. Tu ne t’en offusqueras pas ?
– Non, je trouve même la situation amusante et piquante. Je voudrais simplement ajouter, qu’ôter ton pantalon ne suffira pas. Tu devras aussi ôter ton slip si tu veux le garder au sec.
– C’est en effet plus prudent et toi jolie Capucine tu devras aussi te séparer de ta petite culotte.
– Tu n’auras ainsi plus besoin de la complicité du soleil pour violer du regard mon intimité… Mais finalement ce sera pour moi l’occasion de faire un peu d’exhibitionnisme sans aucun sentiment de culpabilité.

J’enlevai chaussures, chaussettes et pantalon.

– Tu as oublié le slip Jeff, dit Capucine d’un air moqueur, serais-tu atteint soudain de pudibonderie ?

Je fis glisser mon slip rapidement sans chercher à dissimuler mon sexe pointant bien raide vers le haut.

– Jeff, la figure de proue que tu ne peux plus cacher, en dit long sur ton état d’esprit. Dans quel état seras-tu lorsque j’aurai retroussé ma robe ?
– Commençons par passer le gué, nous aviserons du reste en temps utile chère Capucine. Je vais passer tout d’abord en éclaireur, je viendrai te chercher ensuite.

Mes vêtements dans une main, mes chaussures dans l’autre, je m’engageai dans la rivière. Je sentais le regard de ma compagne sur mes fesses. Au plus profond, j’en avais jusqu’au bas des fesses, mes grelots bien immergés.

– Tes fesses seront bien mouillées, lançai-je à Capucine d’une rive à l’autre. Tu peux commencer à retrousser ta robe au moins jusqu’à la taille.

– Oui et pendant que je me rincerai les fesses, toi Jeff, tu te rinceras l’œil.
– J’avoue que mon plaisir esthétique sera comblé.
– Et ton plaisir érotique ?
– Mon plaisir de voyeur ne sera qu’à la hauteur de ton désir d’exhibitionnisme.
– Comme tu y vas ! Qu’est-ce qui te fait dire que j’en ai le désir et que j’y éprouverai du plaisir.
– Le petit éclat au fond de tes yeux, jolie Capucine.
– Viens donc me chercher et donne-moi la main pour traverser.

J’ai pris ses chaussures tout en la regardant retrousser légèrement sa robe, faire glisser sa culotte en se contorsionnant un peu. Un joli petit slip blanc bordé de dentelle tomba à ses chevilles. Je lui tendis la main pour l’aider à se débarrasser du petit bout de tissu en levant un pied puis l’autre.

– La partie cachée de tes jambes est encore plus belle que ce que j’imaginais, Capucine, mais je pense que tu n’as pas relevé suffisamment ta jolie robe pour passer le milieu de la rivière.

Elle plongea ses yeux dans les miens et remonta lentement sa robe, dévoilant peu à peu ses cuisses magnifiques puis une belle touffe brune soigneusement épilée pour le maillot. Elle n’était pas adepte du bronzage intégral et la blancheur de son ventre resplendissait au-dessus du hâle de ses cuisses. Ma queue de plus en plus raide était tendue vers cette chair appétissante et alors que j’allais lui dire que…

– Ne dis rien surtout, Jeff, ce serait déplacé et inutile. Laissons nos sens s’apaiser un peu, et traversons la rivière.

Je lui pris la main en tenant ses chaussures et son slip de l’autre. Nous nous engageâmes prudemment dans le courant. A plusieurs reprises nos cuisses nues se pressèrent l’une contre l’autre à l’occasion de légers déséquilibres. Soudain elle trébucha et je dus la retenir à bras le corps pour éviter sa chute. Nous restâmes ainsi au milieu de la rivière, étroitement enlacés. Elle se dégagea doucement en me remerciant :

– Je te remercie pour la qualité de tes réflexes. Tu m’as évité un naufrage certain.
– Tu n’as pas à me remercier pour ces quelques secondes d’étreinte inopinée. Ce fut pour moi un vrai délice, un peu court mais tellement bon.
– Rejoignons la rive, je te donnerai quelques secondes supplémentaires sans risquer de trébucher à nouveau.

A peine avions nous mis les pieds sur la rive opposée qu’elle se blottit contre moi. Je retins à temps sa robe alors qu’elle allait la laisser retomber sur ses hanches mouillées.

– Tu es complètement trempée, il vaut mieux que tu gardes ta robe retroussée.

Elle ne répondit pas mais pressa la peau de son ventre nu contre mon sexe raide. Nul besoin de paroles pour accorder l’attrait irrésistible de nos bouches l’une vers l’autre. Mes mains se plaquèrent sur ses fesses nues, tandis qu’elle me tenait la tête pour emprisonner le ballet de nos langues. Mon corps et mon esprit partaient déjà pour une fête charnelle complètement débridée. Mes doigts glissaient entre ses fesses pour plonger vers une autre humidité quand se détachant de moi, elle me demanda :

– Ne sommes-nous pas venus ici pour une cueillette de champignons, Jeff ?
– Malheureusement, oui, répondis-je un peu dépité.
– Nous avons toute la matinée devant nous. Moi aussi j’ai une folle envie de
jouir de l’instant en faisant une grosse bêtise, mais jouons un peu, laissons progresser notre désir et… remets ton bel engin à l’abri… pour l’instant, dit-elle en empoignant ma queue d’une main assurée.

Elle amorça un petit va et vient sur mon pénis congestionné, qu’elle interrompit immédiatement pour attraper mon pantalon posé sur l’herbe.

– Tu peux garder mon slip dans ta poche, je me sens plus… érotique, les fesses à l’air sous ma robe.
– J’y mets aussi le mien, ils se mélangeront ainsi avant nous.

Je portai son slip à mes narines en humant avec satisfaction l’odeur discrète mais enivrante qui s’en dégageait. Après quelques minutes de marches dans les taillis de plus en plus épais, nous arrivâmes à une petite clairière.

– C’est ici que commence la cueillette, dis-je.
– Mais où sont les champignons ? Interrogea Capucine.
– Viens voir ici.

Je m’accroupis et lui montrai un petit monticule de feuilles mortes d’où émergeait une parcelle de chapeau de cèpe de Bordeaux. Elle vint s’accroupir devant moi pour voir de plus près comment se cachait cette merveille gastronomique. Je découvris du bout du doigt les feuilles qui cachaient le champignon. Sa robe remontée jusqu’en haut des cuisses ne cachait plus rien de sa touffe brune. Elle surprit mon regard concupiscent.

– Oui, je sais, je ne suis pas très discret, mais avoue que la vue d’une jolie fille accroupie devant moi, cuisses ouvertes, ne peut me laisser indifférent.
– Je ne t’en veux pas, j’ai même fait exprès de me placer comme cela pour t’offrir une vue imprenable sur mon intimité. Dis-moi ce que tu ressens, maintenant.
– Tu ne sais pas pourquoi cette situation m’excite particulièrement ?
– Dis le moi.
– Ta position accroupie, cuisses ouvertes, est celle que prend une femme quand elle veut satisfaire un besoin naturel dans la nature. C’est pour moi extrêmement troublant.
– Tu aimes regarder une femme faire pipi ?
– J’adore.
– Je trouve cela étonnant, mais pourquoi pas, après tout ?
– Jérôme ne te l’a jamais demandé ?
– Demandé quoi ?
– De faire pipi devant lui.
– Si bien sûr. Il m’a aussi demandé de tenir sa queue pendant qu’il pissait.
– Et tu as aimé ?
– J’ai trouvé ça rigolo, de jouer avec son jet. Mais ça ne dure jamais longtemps car il bande trop vite et c’est dur pour lui de pisser en bandant.
– Moi j’y arrive.
– Je serais curieuse de voir ça, tu veux bien essayer ?
– Tout le plaisir sera pour moi, jolie Capucine.
– Enlève ton pantalon, Jeff ainsi que ton tee-shirt. Tant qu’à tenir ta queue, je préfère te voir nu pour cette expérience.
Nous nous sommes relevés. Quelques secondes plus tard j’étais complètement à poil alors que Capucine avait gardé sa robe. Elle empoigna mon sexe raide en me disant :

– Je suis prête, tu peux y aller quand tu veux.
– Facile à dire, mais c’est quand même plus dur à exécuter comme cela sur le champ.

La coquine tirait sur mon prépuce, tendant mon gland au maximum. Je faisais en sorte de me concentrer mais rien ne venait. Elle se pencha, le visage à quelques centimètres de mon sexe tendu, lorgnant le méat duquel perlait une petite goutte.

– Alors, Jeff, me dit-elle en riant, le pisseur est en panne sèche ?
– Je me concentre, le jet ne devrait pas tarder.
– Préviens-moi quand même au moment de gicler, je ne voudrais pas le recevoir en pleine figure.
– Si tu restes juste devant ma queue, c’est ce qui arrivera sûrement.
– J’aime regarder en gros plan les palpitations du petit trou au bout de ton gland. On dirait la bouche d’un petit poisson.
– Petit, petit ? Répondis-je en faisant semblant de m’offusquer, pas si petit que ça quand même ?
– Petit pour un poisson mais de belle taille pour une belle bite bien dure. Alors Monsieur le vantard toujours à sec ? Le jet se fait bien attendre.
– Je n’y peux rien, d’habitude j’y arrive, mais tu m’excites trop. Ma queue est trop raide et je ne peux pas pisser.
– Dommage ! Je vais rater une expérience insolite.
– On pourra tenter l’expérience à nouveau dans la matinée, si tu le veux.
– Et si tu le peux, Jeff. Mais en attendant si nous commencions notre cueillette de champignons ?
– Je me rhabille et on s’y met.

J’étais un peu dépité de n’avoir pas réussi le petit numéro, mais je me consolais en regardant Capucine se pencher pour cueillir les champignons. Elle m’appelait en riant en disant :

– Regarde Jeff.

Et elle relevait sa robe jusqu’en haut des cuisses à la limite de sa chatte. Je lui répondais :

– Plus haut, je ne vois rien.

Elle troussait alors sa robe jusqu’à la taille en se tournant pour me montrer son cul.

Ses fesses étaient sublimes et l’arrondi parfait. En se baissant les cuisses bien écartées, elle me tendait son cul merveilleusement fendu.

Son abricot parfait, sans un poil superflu, son petit cratère foncé harmonieusement froncé, furent le détonateur d’une explosion irraisonnée de mes sens. Je perdis toute idée de convenance et ne cherchai en cet instant que la seule satisfaction de ma pulsion sexuelle.

– Écarte tes fesses Capucine, ouvre-moi ta chatte adorable et pousse bien fort sur ton petit trou.
– Comme cela ? Me répondit-elle en écartant les lèvres de sa chatte inondée.
– Oui, mais pousse encore un peu sur ton anus, fais le sortir de son retranchement.
– Mais Jeff, si je pousse trop fort, je risque de ne pas pouvoir retenir la nature. Je vais gicler !
– C’est encore plus jouissif pour moi.
– Malgré mon envie de te donner du plaisir, je ne peux m’y résoudre. Il y aurait le risque d’une expulsion concomitante à mon jet doré. J’en serais morte de honte et je ne suis pas sûre que tu en retirerais un réel plaisir.

Une vraie merveille que son anus ! Un cône parfait, et la coquine me faisait le cadeau de renfler légèrement son trou en poussant dessus.

– Ce n’est pas facile de faire pipi dans cette position, mais ne t’en fais pas, dit Capucine, je pousse fort, je me concentre et j’y arriverai.
– Je vois bien que tu pousses, dis-je en me branlant la queue, je vois ton petit trou du cul qui s’enfle sous la poussée. J’y mettrai bien la langue.
– Si tu t’allonges sous moi pour me lécher l’anus mon bel amant, je serais obligée de t’arroser de mon jet doré.
– Ce n’en sera que meilleur, on le fait ?
– Mettons-nous complètement nus alors. Nos vêtements pourraient en être aspergés.

Capucine ôta sa robe, son soutien-gorge, et moi mon tee-shirt. Elle avait des seins magnifiques, ronds comme des pommes avec des bouts pointus comme des obus. Tout comme son ventre et ses fesses, ses seins s’étaient manifestement toujours tenus à l’abri du soleil, en total contraste avec la peau dorée de son ventre bronzé. Je m’allongeai sur le dos et Capucine vint au-dessus de moi jambes écartées. Elle me parlait tout en s’accroupissant juste au-dessus de ma tête :

– J’aimerais que tu me lèches un peu avant, vraiment partout, et ne délaisse rien.
– Tu veux que je glisse aussi ma langue dans ton cul ?
– Oui, et enfonce la bien profond, c’est à ce moment que je me laisserai aller à t’arroser. Commence quand même par ma chatte et mon petit bouton, pour me mettre en appétit.

Quelle vision superbe ! Capucine écartait ses cuisses et ses fesses de ses deux mains pour s’ouvrir sur ma bouche dans l’impudeur la plus totale. J’enfouissais ma bouche dans sa chatte dégoulinante, le nez planté contre son trou du cul. La coquine Capucine prit alors ma bite raide à pleines mains et entreprit une masturbation vigoureuse. Il n’y eut que quelques gouttes annonciatrices. Un torrent chaud et doré gicla soudain contre ma langue. Je n’en continuai pas moins à lécher avidement la source en écartant largement ses fesses de mes mains. Capucine accélérait de sa main droite le branle de ma queue et de la gauche se frottait le clito au même rythme. Au moment où son jet de pipi cessa, elle enserra violemment ma tête entre ses cuisses en laissant éclater son orgasme à l’unisson de mon éjaculation.

Aux derniers soubresauts de sa jouissance, Capucine s’allongea de tout son long contre moi. Nous sommes restés immobiles, tête bêche, encastrés l’un dans l’autre, ses seins contre mon ventre, ma tête entre ses cuisses, sa joue reposant contre mon sexe mollissant. Nous baignions dans nos jus, savourant nos odeurs et goûtant sur nos peaux nos excès de plaisir.

Capucine, la première revint à la réalité. Son visage illuminé par un sourire radieux, la bouche arborant une moue innocente, elle me demanda :

– L’amour, c’est quand même un peu sale, non ?
– Oui, quand c’est bien fait, répondis-je malicieusement.
– La rivière va pouvoir effacer toutes les traces de nos turpitudes.
– Et c’est bien dommage, j’aurais aimé garder ton odeur pendant des jours sans me laver.
– Ta femme n’apprécierait sûrement pas.
– Qui sait ?

Nous avons profité de l’eau de la rivière pour nous caresser mutuellement. Nous n’avions pour nous sécher que la serviette devant servir à envelopper les champignons. Le soleil fit le reste. La cueillette fut bonne et nous rentrâmes vers midi retrouver nos conjoints respectifs.

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4 réponses à Le passage de la rivière par Pilouface

  1. Darrigade dit :

    Jolie façon d’aborder le fantasme

  2. Claire dit :

    J’aime beaucoup ce récits qui flattent les odeurs naturelles

  3. ducatel dit :

    C’est très bon et très bien raconté, j’aime bien cet auteur

  4. rebel dit :

    Très bon récit uro et belle illustration

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