Le chasseur devient la proie par Pascal_G

C’était samedi soir et je m’ennuyais profondément. Pour mettre fin à cette
morne soirée de solitude, j’ai décidé de sortir au Kryos, une boîte de nuit
dans le quartier chaud de la ville. L’endroit est un peu glauque et on y
croise de drôle de personnages, mais pour moi, du moment que la musique est
bonne et que les filles sont chaudes, le reste n’a pas vraiment
d’importance.

Je suis arrivé à la boîte vers 1h du matin. A cette heure là, la fête bat
son plein et les filles sont déjà moins farouches. Je me suis installé à ma
table habituelle, tout prêt de la piste. Personne ne se met jamais là à
cause de l’énorme baffle qui se trouve prêt de la table et qui crache ses
décibels en permanence. Ce n’est pas que le bruit soit dérangeant, mais si
on veut avoir une conversation, c’est tout bonnement impossible. Après
quelques bières, je me sentais on ne peut plus zen et prêt à affronter les
tigresses de la piste. J’étais bien décidé à ne pas terminer la nuit tout
seul dans mon lit.

Je ne suis pas mauvais danseur et généralement quand je monte sur la piste,
on me remarque très vite. Il y a toujours une fille qui fini par me
rejoindre dans la danse, emportée par la frénésie des rythmes endiablés de
la musique. On est là pour s’éclater et c’est toujours le pied de tomber sur
une fille qui danse aussi bien que vous, si pas mieux. Au bout d’un moment,
les corps se rapprochent naturellement. Ils finissent par se frôler. La
danse se fait alors plus que suggestive et les deux danseurs en parfaite
symbiose offrent alors un spectacle chargé d’érotisme. C’est comme si on
entrait en transe. Une fois la danse terminée, il faut un peu de temps pour
revenir sur terre. Moi c’est mon trip, il y en a qui préfèrent la drogue et
l’alcool, moi c’est la danse.

Ce soir là, j’étais plutôt en vaine car ce sont deux créatures de rêve qui
sont venues me rejoindre.

L’une avait de long cheveux roux, très fin qui ondulaient à chacun de ses
pas. Elle portait un petit top moulant, couleur vert d’eau et légèrement
transparent. Elle ne portait pas de soutien-gorge et on voyait très bien les
aréoles rosées de ses seins. Ses petits bouts étaient tendus au maximum.
Cette érection était sans aucun doute le résultat du frottement du tissu sur
ses tétons. Elle portait encore un short en cuir tout aussi moulant avec une
ceinture fermée par une large boucle argentée et, une paire de bottes noires
sans talons en guise de chaussures.

L’autre était une grande brune avec des mèches blondes. Elle portait un
chemisier blanc encore plus transparent que le top de sa copine et bien sur
sans rien en dessous. Elle avait une forte poitrine qui se dressait
fièrement. A la forme générale de ses seins, j’étais pratiquement sûr qu’ils
étaient vrais. Elle portait une jupe marron coupée dans un tissu léger et
fendue sur le devant jusqu’à quelques centimètres de son entrecuisse. Juste
ce qu’il faut pour qu’on ne voit rien sauf si elle le décide. Elle avait
opté pour des bottines en daim légèrement plus claires que la jupe.

Le DJ venait d’annoncer une demi-heure de musique latine. Très vite la piste
fut dépeuplée. Seuls restaient les bons danseurs et ça promettait du
spectacle. Ce type de danse est un exutoire à la violence physique. Les
danseurs se défient les uns les autres par leur habileté sur la piste. Le
public choisira ses lauréats.

La rousse était devant moi et la brune derrière. Elles ondulaient autour de
moi, me frôlant des mains, des cuisses, des fesses et de la poitrine. La
chaleur montait en moi, c’était très excitant ! J’étais caressé de toutes
parts sans que personne d’autre n’en soit conscient. Ces deux filles me
travaillaient au corps à corps. D’habitude, c’est moi qui mène la danse,
mais cette fois j’étais leur pantin et elles savaient comment exciter un
homme. C’était plus que de la danse, c’était presque un acte sexuel
dissimulé.

Lorsque la musique a changé, elles m’ont tirés par la main jusqu’à leur
table. Elles avaient choisi un coin sombre à l’abri des regards indiscrets.
Elles m’ont payé une bière. La rousse se nommait Laure-Anne mais préférait
qu’on l’appelle Lana, la brune c’était Shana. Elles m’ont complimenté sur ma
façon de danser. Une fois l’échange des politesses habituelles passé avec
ses phrases toutes faites sur la pluie et le beau temps, Lana me dit :

– Ca fait plusieurs fois qu’on vient et on t’observe depuis un moment.
Apparemment, tu n’as pas de copine régulière et tu butines de fleur en fleur
au grès du vent. Tu nous plais beaucoup et on voudrait te ramener à la
maison. Mais avant, il faut que tu saches que nous sommes toutes les deux
portées sur le SM et l’uro. Nous aimons souffrir et faire souffrir à tour de
rôle. Je te rassure, on n’est pas des cinglées qui prennent leur pied en
torturant le premier mâle venu. Tout cela reste un jeu très jouissif. Si tu
joues avec nous, tu décides si tu veux le rôle du Maître ou de l’esclave. De
plus, Shana te réserve un bonus en prime dont tu n’as même pas idée.

Là au moins ça a le mérite d’être direct. Je me fais dragué par deux
superbes nanas et elles me proposent tout de suite le grand jeu. Pas du
banal, non ! Une expérience SM comme maître ou comme esclave. J’ai souvent
joué à ce genre de jeux et c’est la place de l’esclave que je préfère. En
fait j’ai trop peur de faire mal aux autres. Je suis plutôt costaud et un
mauvais coup est trop vite donné. Je préfère laisser ça aux gens qui savent
se maîtriser en toute circonstance.

Alors j’ai dit :

– Voilà une offre alléchante. Je vais essayer d’être un bon esclave
Maîtresses !

Nous avons quitté la boîte et j’ai suivi leur voiture jusque dans le
quartier sud de la ville. C’est le quartier huppé, les villas sont toutes
plus grosses les unes que les autres. Nous sommes entrés dans une propriété
et nous avons suivi une grande allée bordée de réverbères pour arriver
devant une somptueuse villa. J’ai garé ma voiture à côté de la leur. Nous ne
sommes pas entrés dans la villa, mais nous l’avons contournée. A l’arrière
trônait une immense piscine et à l’autre bout de la piscine il y avait un
bâtiment de plein pied. C’était apparemment notre destination. L’intérieur
du bâtiment était en fait un grand donjon SM équipé de tous les jouets
nécessaires à la pratique de ce jeu.

Le jeu a commencé dès l’entrée dans le donjon. Shana me dit :

– Déshabilles toi complètement esclave ! Je te veux nu comme l’enfant qui
vient de naître !

Comme je ne suis pas pudique et qu’en plus je suis fier de mon corps, je me
suis exécuté et je suis resté planté là les mains sur les hanches dans
l’attente de la suite. C’était la phase d’observation, Shana et Lana
tournait autour de moi en scrutant la moindre parcelle de mon anatomie. Lana
me dit :

– Tu es bien équipé, on va voir si tout ça est en état de marche !

Lana et Shana se sont rapprochées l’une de l’autre et ont commencé à
s’embrasser tout en se caressant mutuellement. Shana a effeuillé Lana très
lentement ! Chaque parcelle révélée de son corps était embrassée, palpée ou
caressée par la bouche avide et les mains expertes de Shana. Ce spectacle
aurait fait bander un mort. J’avais maintenant le sexe tendu et gonflé de
désir.

Lana dit :

– Mais disent donc mon cochon, tu bandes sans autorisation ! On va déjà être
obligé de te punir ?

Je réponds tout penaud :

– Je suis désolé Maîtresses, c’est plus fort que moi !

Lana a pris un petit martinet. Elle s’est placée sur mon côté droit et a
frappé mon sexe dur à plusieurs reprises. Mais les coups cinglants n’ont pas
réussi à me faire débander. Chaque coup me fait l’effet d’une brûlure et ma
verge est maintenant rougie à souhait. J’adore cette sensation, l’impact est
douloureux puis vient un effet de chaleur qui vous envahit le membre suivi
de picotements qui s’estompent rapidement. Survient alors le coup suivant
qui vous replonge sans répits dans cette divine sensation.

Lana me regarde en souriant :

– Ce n’est pas la première fois que tu joues au chat et à la souris ! Il
t’en faut plus, n’est pas ? Je sens qu’on va bien s’amuser ! S’il y a
quelque chose que tu ne veux absolument pas faire tu le dis, sinon tu te
tais, ce n’est pas ce que tu pourrais nous dire qui nous intéresse. Tu as
compris esclave ?

Je réponds les yeux baissés :

– Oui Maîtresse !

Elles décident alors de me suspendre, les bras et les jambes bien écartés, à
quelques centimètres du sol. La barre supérieure qui retient mes poignets
est fixée à un palan dont le crochet est équipé d’un roulement permettant de
me faire pivoter sur moi même sans effort. Lana se met devant et Shana
derrière. Une petite poussée sur ma jambe suffit pour que la situation
s’inverse et je me retrouve face à Shana.

Elle mordille mes bouts de seins pour les durcir. Une fois le résultat
attendu obtenu, elle s’empare d’une paire de pinces. Elle tire sur mon
mamelon avec deux doigts et place la première pince ensuite, elle tourne la
vis et la pince se resserre encore plus sur mon sein meurtri. La douleur est
aiguë et ma respiration se fait haletante. J’ai du mal à contenir mon envie
de crier. Ca fait mal, mais j’aime çà. Elle fait de même avec l’autre
mamelon.

Lana me retourne vers elle. Elle a pris un bassin d’eau, de la mousse à
raser et un rasoir. Je vais terminer la soirée sans un poil sur le sexe.
Elle applique la mousse en prenant bien soin de me masser les couilles. Elle
fait plusieurs allées et venues sur ma verge qu’elle tient dans sa main
fermée. C’est délicieux et ce n’est pas ça qui va me faire débander. Après
elle entreprend un savant rasage, même les poils entre les fesses y passent.
De même que les poils des aisselles et ceux autour des seins. Pour ces
derniers elle retire une pince à la fois puis la remet en place. Un bon
rinçage pour terminer la séance et popol se retrouve chauve comme un
caillou. Elle me passe une huile qui a un effet thermique incroyable et qui
dégage une odeur enivrante, mettant tous mes sens en éveil.

Shana me retourne à nouveau :

– Tu dois être habitué à tes pinces maintenant, on va t’aider à te souvenir
qu’elles sont toujours là.

Et elle joint de suite le geste à la parole en ajoutant un poids de chaque
côté. J’ai de nouveau le souffle coupé, mais je sens monter en moi des
vagues de plaisir puissantes.

Shana s’empare alors d’une des grosses bougies qui éclairent la pièce et qui
participent à la mise en place d’une atmosphère confinée, intimiste, mettant
en valeur les moindres détails du donjon par un jeu d’ombres complexes. Elle
commence par verser un peu de cire sur mes pieds. C’est chaud et à chaque
goutte qui me touche c’est comme si on me piquait avec une aiguille.
Soudain, Je lâche un cri plus de surprise que de douleur. Lana joue elle
aussi avec une bougie mais comme je ne la vois pas, je n’ai pas pu anticiper
son action. Elle me couvre les fesses de cire puis le bas du dos, les
omoplates pour finir par les épaules. Devant, j’ai maintenant de la cire sur
le ventre et sur les seins. Et le sommet de la jouissance ne tarde pas à
arriver, Shana s’attaque maintenant à ma verge en remontant depuis mon bas
ventre vers le gland. Je n’en peux plus, je me tortille tant bien que mal,
cherchant désespérément à fuir les gouttes qui tombent pour épargner mon
gland. Mais rien n’y fait, Shana atteint sa cible sans problème et je n’ai
plus qu’à prendre sur moi pour supporter le traitement qu’elle m’applique.
Ce qu’il y a de déroutant lorsque j’ai ce type de relation c’est que d’un
côté j’espère que cela va s’arrêter bien vite alors qu’une autre parcelle de
mon esprit en redemande et c’est généralement cette dernière qui prend le
dessus et m’amène peu à peu vers une jouissance certaine.

Lorsque c’est terminé, je les remercie car j’apprécie le fait qu’elles aient
pensé à me raser avant. Si vous vous êtes déjà arraché un poil, vous
imaginez sans peine la douleur qui aurait été mienne au moment d’enlever
toute cette cire séchée. Elles ont retiré toute la cire, j’avais des plaques
rouges sur tout le corps.

Lana m’a ramené au sol et m’a détaché. Ma liberté ne fût que de courte durée
car j’ai du me coucher sur un petit cheval d’arçon. J’étais debout la croupe
offerte, le dessus du corps arqué par dessus l’engin, les bras tirés vers le
bas et rattachés aux chevilles par des cordes tendues aux maximum.

Elle me dit alors :

– On va un peu s’occuper de tes fesses et de ton petit trou ! Tu aimes ce
qu’on te fait mon mignon ?

Je répond par une phrase de circonstance tel que :

– Oui Maîtresses, c’est très bon et je vous en remercie.

Elles ont chacune pris un martinet avec plusieurs de lanières de cuir.
Placée de part et d’autre de mon corps, elles frappent à tour de rôle mes
fesses en m’ordonnant de compter les coups en ajoutant chaque fois

– Merci Maîtresse, j’en mérite encore un !

J’ai les fesses en feu lorsqu’elles décident enfin de s’arrêter. Rien de tel
qu’une bonne fessée pour vous chauffer le corps et faire monter encore un
peu plus le plaisir qui ne demande plus qu’à exploser. Lana me caresse les
fesses avec de l’huile pour apaiser la douleur. Elle glisse alors un doigt
bien lubrifié entre mes fesses et cherche le chemin de mon anus. Habitué à
ce genre de visite, il n’oppose guère de résistance et très vite plusieurs
autres doigts viennent rejoindre le premier. Elle s’arrête soudain et va
chercher un gode ceinture sur une étagère. Le gode est très réaliste, on
peut voir le dessin des veines le long du manche, le gland est très marqué
et sa taille est plus que respectable. Elle ajuste alors un préservatif sur
le sexe de latex et s’enfonce en moi d’un coup sec. Quel délice, ses coups
de reins sont puissants, mais elle prend son temps pour bien ressortir tout
le gode de mon cul et l’enfoncer à nouveau de plus belle jusqu’à la garde
dans mon anus dilaté.

Shana est venue se mettre à genoux devant moi et me dit :

– Maintenant tu vas sucer mes seins et me mordiller les bouts

Je m’applique alors et très vite ses pointes se dressent fièrement. Elle se
relève en me disant :

– Maintenant tu vas avoir ta surprise.

Et qu’elle surprise ! Lorsque Shana laisse tomber sa jupe au sol, elle ne
porte rien en dessous et je me retrouve nez à nez avec un sexe d’homme
gonflé de plaisir. Shana est une transsexuelle, la plus belle que je n’ai
jamais vue. Je ne l’aurais d’ailleurs pas cru si je ne me trouvais pas en
face de cette verge tendue. Elle avait tout de féminin, sa voix, sa
démarche, son regard et ses manières ! Elle me dit alors :

– Fais moi plaisir, suces moi !

Et sur ces mots, elle me libère une main.

Je n’en espérais pas tant en ayant accepté de suivre ces deux créatures de
la nuit, et c’est sans hésitation que j’ai sucé ce cadeau du ciel. J’adore
les femmes, mais j’aime aussi les belles bittes. Et celle-là était un
morceau de choix, ni trop grosse, ni trop longue. Je léchais son dard sur
toute sa longueur tout lui en caressant d’une main les bourses car c’est une
zone très érogène pour qui sait y faire. Je poussais de temps en temps mon
exploration plus loin entre ses jambes pour caresser d’un doigt le pourtour
de son anus, autre zone sensible par excellence. Je suis allé jusqu’à lui
gober les oeufs en alternance. Je lui ai arraché de force des petits
murmures de plaisir et aux pincements de ses ongles dans la chair de ma
nuque je savais qu’elle ne simulait pas. Après quelques minutes de ces
préludes, j’ai littéralement avalé ce membre de chair. Les succions que je
lui infligeais le gonflait d’avantage et je sentais ce sexe tendu au
possible palpiter dans ma bouche. Il était brûlant et prêt à exploser. Il
dégageait une odeur très puissante. Les premières gouttes, prémices à la
jouissance, se mélangeaient dans ma bouche à un petit arrière goût d’urine.
Je ne saurais dire pourquoi, mais cette odeur et ce goût m’excitait encore
plus. Pendant ce temps, je continuais à subir les coups de buttoir de Lana,
mais mon esprit était ailleurs. Je me concentrais sur le plaisir que j’étais
en train d’offrir à Shana. Shana était au bord de la jouissance, elle
respirait comme un petit chien et ses murmures avaient laissé la place à des
cris non retenus. Elle sursauta, à la fois de surprise et de plaisir,
lorsque j’enfonçais d’un coup sec un doigt dans son cul. C’était le coup de
grâce, elle ne pouvait plus se retenir et je récoltais enfin sa semence
chaude et onctueuse dans ma bouche. J’avalais jusqu’à la dernière goutte et
je léchais le membre, maintenant tremblant, à la recherche des gouttes
égarées. Shana ne bougea plus, les yeux clos, elle profitait au maximum des
sensations qui envahissaient son corps tout entier. Lana s’était arrêtée
elle aussi.

Une fois revenue à elle, Shana me dit :

– Tu ne peux pas savoir le pied que je viens de prendre. Je n’aurais jamais
cru un homme capable d’une telle prouesse. Ils ont tellement l’habitude de
se préoccuper de leur plaisir personnel que nous restons trop souvent sur
notre faim. Mais là, même une femme ne m’avait jamais emmené si loin dans le
plaisir. J’ai cru m’évanouir en jouissant tellement l’onde de plaisir qui
m’a parcourue était puissante. Merci esclave !

J’étais heureux d’une telle confession. Pour l’heure, j’avais le cul en feu
et le sexe au garde-à-vous mais je n’avais toujours pas eut mon compte.

Après m’avoir détaché à nouveau, j’ai du m’allonger sur le dos sur une table
comme on en voit chez le gynécologue. Mes pieds solidement fixés dans des
étriers. Lana est venue se placer jambes écartées au dessus de mon visage.
La table était manifestement réglée à sa taille. Elle me lança :

– Montres moi si tu es aussi doué pour faire jouir une femme !

– Il ne fallait pas m’en dire plus.

J’ai tendu mes bras en arrière de sorte que mes mains pouvaient caresser ses
fesses, les masser, les écarter ! De ma langue tendue, je léchais le moindre
recoin de son sexe offert en évitant à tout prix le clitoris car elle
méritait de souffrir un peu elle aussi. Elle ne goûterait ce plaisir qu’une
fois trempée de plaisir. Après avoir explorer tous les replis de sa chatte
maintenant baveuse à souhait, j’ai tiré sur ses fesses pour les écarter au
maximum tout en la tirant vers l’avant. De la sorte, je me trouvais en face
de son anus et je lui ai prodigué une feuille de rose qui ne l’a pas laissée
indifférente. Je léchais le pourtour sans appuyer ma langue, juste pour
effleurer les poils. Elle avait la chair de poule et la respiration
haletante. J’investi alors son anus de ma langue. Elle m’implora de ne pas
m’arrêter. J’ai stoppé net ! Elle m’avait mis au défi et elle devait jouir
maintenant. J’ai reculé son corps à nouveau pour retourner à la rencontre de
sa chatte. Deux de mes doigts se sont égarés comme par hasard dans son cul
et j’imprimais à ma main un mouvement très lent, presque au ralenti. Ma
langue titillait son bouton turgescent. Je le mordillais, je le léchais et
chaque fois que je sentais son corps se tendre, prêt à jouir, j’abandonnais
ma caresse en m’éloignant volontairement de cette zone en feu. Pas trop
longtemps, juste ce qu’il faut pour couper l’onde de plaisir sans supprimer
l’envie. J’ai fini par lui donner le coup de grâce. Elle a joui en grognant
et en me griffant le torse de ses ongles acérés, en me pinçant les tétons
comme pour me punir car elle avait perdu son défi. Elle n’avait pas pu se
retenir. Des flots de cyprines coulaient de son sexe ouvert, j’en avais sur
tout le visage. Une fois calmée, elle m’a dit :

– J’ai besoin de pisser, ça te dégoutte que je te pisse dessus ?

J’ai répondu :

– Pas du tout Maîtresse, c’est même un honneur pour moi.

Elle ne s’est donc pas gênée pour m’arroser le torse et le visage de son
urine tiède. J’ai ouvert la bouche pour recueillir quelques gorgées de ce
divin breuvage. Une fois son envie terminée, elle s’est retournée pour me
lécher le visage et goûter elle aussi à son champagne intime.

Elle a disparu un instant pour revenir avec un nouveau gode presque
transparent. C’était bizarre car j’aurais juré voir des volutes de fumée
s’échapper du gode. Et pour cause, c’était un gros glaçon en forme de bite.
Lana le présenta devant ma bouche :

– Suces !

J’ai ouvert la bouche et j’ai sucé ce gode improvisé. Elle l’a retiré de ma
bouche pour me caresser les bras et les aisselles. Puis elle s’est attaquée
à mes seins. Mes mamelons se sont dressés d’un seul coup. Elle a alors pris
un malin plaisir à rester sur ces derniers. La sensation au contact du froid
vous fait passer rapidement du simple picotement à l’impression de brûlure.
Une douleur lancinante similaire à un pincement vous envahit. Pour celui qui
sait apprécier ce traitement, c’est délectable ! La course du phallus de
glace se poursuit irrémédiablement vers mon sexe dont aucune partie n’est
épargnée, le rendant dur comme le roc et aussi brûlant qu’un volcan proche
de l’éruption. Mais Lana me fait languir, elle prend sa revanche. Le gode
atteint maintenant sa destination finale. Elle joue avec les replis de mon
anus, s’arrête un instant sur la rosette pour me donner un avant goût du
supplice qui m’attend. Puis enfin elle force mon intimité et l’obélisque
gelé s’enfonce au plus profond de mon être. Après quelques vas et viens,
elle abandonne son complice dans mon cul. J’ai l’impression de brûler de
l’intérieur. Elle me masturbe alors lentement pour faire durer le plaisir.
Je suis emprisonné entre la douleur et le plaisir sans pouvoir déterminer
lequel des deux est le plus fort. Je finis inéluctablement par jouir et elle
se sustente de ma semence jusqu’à la dernière goutte. Elle retire de mon
tréfonds ce qu’il reste encore du gland éphémère. Nous nous regardons tout
les trois et nous éclatons de rire.

Après cette séance des plus récréatives et des plus jouissives que j’ai
connue, nous finissons dans le jacuzzi un verre à la main sous le regard
bienveillant de la lune et des étoiles. Je les abandonne à grand regret aux
premières lueurs du jour non sans qu’elles m’aient fait jurer de revenir
très vite leur dire bonjour.

Pascal G.

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