L’amour à la campagne par Basket

L’amour à la campagne par Basket

C’est mon premier texte érotique, je suis conscient que j’ai des progrès à accomplir, merci de votre indulgence.

Nous finissions nos premières vacances avec une copine que je connaissais depuis 6 mois et qui depuis est devenue ma femme.

Nous avions fait un petit périple en Espagne où cela avait était bien chaud, et nous remontions vers Paris en faisant une escale dans une maison de famille isolée en pleine montagne dans le sud de la France.

Nous étions seuls, la première maison habitée devait être à environ un kilomètre, et comme il faisait très chaud j’étais juste en short.

Ma femme, elle se promenait quasiment à poil avec juste un string qui lui mettait son beau cul rebondi bien en valeur. Elle boit beaucoup d’eau alors évidemment il faut qu’elle élimine. Quand l’envie la prenait, elle n’usait d’aucune fausse pudeur et se baissait simplement pour accomplir sa miction.

Voir ainsi jaillir son urine, le cul à l’air me donnais constamment envie de la sauter où que l’on soit.

J’avais, dans mon short, la queue comprimée tellement elle était raide, ce qui obligeais régulièrement ma femme à me soulager en la déballant et en se la fourrant goulûment dans la bouche.

Elle adorait ça, au détour d’un chemin, n’importe où.

Une fois, dans un ruisseau elle me suçait la tige sous l’eau et son cul flottait à la surface, moi je n’en pouvais plus et je lui lâchais toute la purée dans la bouche.

Un jour alors que je l’avais bien tripoté elle était à point, chaude comme une salope prête à tout, sa chatte dégoulinait tellement elle était excitée

J’étais assis, complètement à poil dans un hamac devant la maison, ma bite gonflée se dressait, elle, me tournant le dos est venue se mettre à califourchon dessus.

Elle allait de plus en plus vite, pendant que je lui poignais le cul, lui masser les seins, quand soudain on entendit des bruits de cloches qui venaient dans le chemin.

Ma femme paniquée se retira et je la vis toute à poil, les seins ballottant courir vers la maison toute proche, après un bref instant je lui emboîte le pas, ma grosse queue dans la main.

En arrivant dans la maison elle m’attendait penchée devant la fenêtre les cuisses écartées, un doigt dans sa chatte

Dès que je suis arrivé à son coté elle empoigna ma bite à deux mains pour lécher le jus qui coulait sur mon gland gonflé

Puis au moment où le troupeau de bœuf commençait à passer devant la maison je me mis à la baiser par derrière en la fourrant à grands coups

Le fermier qui poussait son troupeau, passait devant la fenêtre au moment où elle a joui et moi je n’ai pas pu me retenir et dans un dernier coup je lui ai lâché tout mon sperme dans son anus.

Elle m’a ensuite nettoyé la bite, se régalant du mélange de merde et de foutre qui la recouvrait.

Par la suite ma femme, un peu gênée de s’être baladée quasiment à poil en pleine nature et se rendant compte que quelqu’un nous avait peut-être vu, se rhabilla de façon un peu plus décente.

Mais au fond d’elle-même cela la fit bien mouiller de savoir que l’on nous avait peut-être surpris en train de baiser.

fin

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Une réponse à L’amour à la campagne par Basket

  1. Biquet dit :

    C’est beau une femme qui pisse, n’est-ce pas ?

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