L’amant de ma mère par Elian Lvekman

L’amant de ma mère par Elian Lvekman

J’ai 23 ans et j’habite toujours chez mes parents. Cette histoire a commencé le jour où mes horaires ont changé, mon patron m’a fait passer en quatre-cinquième et je libérais les après-midi du jeudi et du vendredi.

N’ayant rien d’autre à faire ce jour-là, et le temps étant incertain, je rentrai donc à la maison et je vis dans l’entrée une voiture que je ne connaissais pas, je pensais à un voyageur de commerce ou à un réparateur quelqconque quand j’entendis des bruits caractéristiques venant de la chambre parentale. Je m’approchais à pas de loup et entrebâillais la porte.

Et là je vis ma mère se faire culbuter par un bonhomme que je n’avais jamais vu.

Je matais…

Ma mère… ah oui, il me faut la décrire… 53 ans, belle brune, cheveux mi-courts, bien charpentée, peut-être quelques petits kilos de trop. Donc ma mère disais-je, complètement nue se faisait prendre en levrette par un ce grand brun moustachu qu’on ne m’avais jamais présenté.

L’homme y allait de ses coups de boutoir avec une telle énergie que le couple finit par pivoter légèrement sur la droite ce qui me permit de mieux distinguer le détail de la pénétration. Je pu alors constater que c’était dans l’anus de ma génitrice que le salopard s’astiquait la queue.

En un mot comme en cent, ma mère se faisait enculer… et moi au lieu de m’en offusquer, je bandais comme un malade.

Ma mère piaillait comme un damnée et finit par pousser un cri guttural. Elle fit un geste à l’homme que je ne compris pas, mais celui-ci sortit sa queue et la donna à ma mère qui la pris en bouche.

La chose se termina assez vite, l’homme se raidit dans un spasme. Du sperme coula des commissures de lèvres de ma mère.

Non mais quelle salope !

Ne pouvant plus tenir, je montais dans ma chambre et me branlais comme jamais, puis au bout d’un moment, alors que j’étais soulagé, j’entendis en bas, le type prendre congé en disant.

– A jeudi prochain même heure !

Voilà qui n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. C’est ainsi que pendant cinq semaines si j’ai bien compté, je matais ma mère en train de forniquer.

Et ce soir-là, ma mère m’interpella

– Dis donc petit cochon, tu pourrais être plus discret !
– Pardon ?
– C’est pas joli, joli de jouer au voyeur.
– Je ne sais pas ce qui m’a pris… balbutiais-je
– Peu importe, ce n’est pas grave ! Dis-moi ça t’a excité de regarder ta mère faire l’amour ?
– Euh !
– Figure-toi que mon copain, il s’appelle Marc, il a un fantasme, il aimerait qu’on le regarde quand il est en train de me baiser. Il m’a proposé de faire venir un ami, mais j’ai refusé, les gens sont tellement peu discrets. Mais si c’est toi, ça ne sortira pas de la famille.
– Non, mais t’es sérieuse, là ?
– Evidemment que je suis sérieuse, et puis je vois que ma proposition t’excite, n’est-ce pas ? Me dit-elle en me mettant la main à la braguette.
– Mais enfin maman !
– Ben quoi t’es majeur, on ne fait de mal à personne. Et puis tu verras mieux, tu seras tout près, tout près de moi. Touche-moi les seins , je suis sûr que tu en rêvais depuis longtemps.

Comme dans un rêve, je caressais ses gros nichons par-dessus son petit haut imprimé et j’ai donc accepté, mais les choses se sont passées un peu différemment que ce que j’imaginais.

Marc arrive, on se serre la main, et je m’installe avec lui sur le canapé. ma mère se dandine un peu et nous fait un rapide strip-tease

Je commençais à me sentir très à l’étroit dans mon pantalon, et mes mains ne savaient pas où se poser. J’étais tellement fasciné par le corps de ma mère que j’avais oublié où j’étais. Je fus très surpris lorsque je sentis une main se poser sur ma nuque. Ma mère s’était installée à ma droite sans que je m’en aperçoive ! Elle approcha sa bouche de la mienne et nous échangeâmes un baiser délicieux. Mon sexe commence à étouffer et elle pose une main dessus. Elle regarde son amant et lui dit :

– Je crois que l’on peut commencer, il est chaud !

Elle libère ma bite de sa braguette, pose ma main dessus, la masturbe un tout petit peu et me dit à l’oreille :

– Regarde-nous maintenant, tu es là pour cela non ?

Ma mère s’installe alors entre les genoux de son amant et commence à défaire son pantalon. On devine l’érection de Marc, son boxer est tendu et elle le mordille doucement. Elle sort une belle queue et la lèche, en prenant le temps de l’humidifier avec la langue. Toute la verge devient luisante de salive et ma mère ne manque pas une occasion de nous regarder avec un œil vicieux, son amant et moi. Mon sexe raide est caressé par ma main, qui entame une lente masturbation.

Le spectacle de cette fellation me fascine. Marc semble planer, il regarde son amante avec des yeux pleins de gentillesse et de plaisir. Ma mère revient vers ma bouche, ses lèvres sont blanchies par une liqueur particulière que je trouve, à ma surprise, délicieuse.

Elle m’embrasse à nouveau et me demande de me placer derrière elle pour la caresser. Je me régale du spectacle offert, une superbe croupe nue. Mes doigts confirment mon impression : Ma mère est aussi excitée que nous. Ses lèvres luisaient et mes doigts glissaient sans peine. Marc bandait fermement sous l’action de ma mère qui avait repris sa fellation. Elle le caressait à la base des testicules et sa verge disparaissait dans une bouche exquise. Je posais mon sexe à l’entrée de celui de ma mère et je me penchais sur son cou pour sentir son parfum envoûtant. Ses cheveux caressaient ma tête et je l’embrassais sur la nuque en me perdant dans sa chevelure. Je lui caressais ses seins. Ses tétons avaient durci et je bandais en elle. Je sentais une chaleur torride qui enveloppait mon sexe et je me battais contre moi-même pour ne pas jouir. Mais une de ses mains agrippa mes couilles et je ne pus me retenir. Nos sexes étaient inondés par mon sperme et je m’allongeais sur elle, la tête contre son visage. Elle suçait toujours Marc.

Pour la première fois de mon existence je sentais une queue proche de moi. Elle me glissa quelques mots à l’oreille, me demandant de l’aider à lécher Marc.

– Laisse glisser ta langue en mouillant son sexe.

Je n’avais pas bien compris; elle recommença, après avoir mouillé mes lèvres de sa langue trempée :

– Pose tes lèvres sur son sexe et embrasse-le. Ensuite branle-le doucement et remonte avec ta langue le long de sa bite.

Elle me caressait maintenant la nuque et accompagna ma succion de la sienne. De temps en temps nos lèvres se rencontrèrent. Elle me dit que Marc allait jouir et qu’il fallait que je laisse venir dans ma bouche.

– Tu vas sentir son sperme jaillir. Ta bouche sera inondée.

En effet, Marc éjacula et je sentis le sperme venir sur mes lèvres et ma langue. Pendant ce temps ma mère m’embrassait et me branlait doucement.

– Maintenant tu le suces avec tes lèvres pleines de sperme et tu nettoies tout… Fais le doucement…

Marc gémissait et je bandais en sentant ce plaisir partagé.

Mais elle ne put s’empêcher de le sucer elle aussi. Elle posa sur cette belle verge une main trempée de foutre et de mouille… Je léchais ses doigts avec une délectation que je ne connaissais pas… J’avais adoré faire une fellation à un homme sous les ordres de ma mère.

– La prochaine fois, il t’enculera ! Me dit ma mère ! Tu verras c’est bon.
– Oui maman !

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3 réponses à L’amant de ma mère par Elian Lvekman

  1. Biquet dit :

    Quel exemple pour les jeunes générations ! Vous n’avez pas honte ?
    Non je déconne ! Ce petit récit m’a bien plu !

  2. Denise dit :

    Fallait oser ! Bravo !

  3. Lucia dit :

    Pas mal, mais cela aurait pu être davantage développé

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