La vendeuse – 2 – Dita, Julie et moi par Fabien

La vendeuse – 2 – Dita, Julie et moi par Fabien

Tout ceci n’est que fiction et fantasme. Mais n’oubliez pas de vous protéger pour continuer à vous amuser et jouir !

Dita, Julie et moi.

Le samedi qui a suivi notre visite dans la boutique de lingerie, Dita sonna à ma porte.

Elle était magnifique ou devrais-je dire il était magnifique.

Nous nous sommes bisé comme si nous étions de vieilles connaissances. Pourquoi pas, après-tout je l’avais bien sucé et il avait joui dans ma bouche.

– Tu es prêt me demanda-t-il ?
– Prêt à quoi lui répondis-je ?
– A venir t’amuser.
– Soit et comment dois-je m’habiller ?

Il me regarda et eu l’air satisfait.

– Tu es parfait. Nous formons un très beau couple. Qu’en penses-tu ?
– Si tu le dis ma chérie !

Il éclata de rire.

– Où m’emmènes-tu ?
– Tu verras mon chou.

Tu parles d’une surprise. J’imaginais plein de lieux coquins, de restaurants, de boîtes de nuit à thème. Rien de tout cela.

Nous avons atterri dans son appart. Sympa.

– Sers-toi un verre me dit-il en me désignant un coin bar. Il y a des glaçons au congélateur. J’en ai pour un quart d’heure et je suis à toi.

Il me planta là sans d’autres explications.

J’allais fouiller dans son frigo et y trouvais du jus d’orange.

Rhum et orange, rien de plus. J’adore.

Je regardais son appart bien rangé.

– Je suis presque prêt Benoît, me lança-t-il.

Comment savait-il mon prénom ? Le chèque, j’avais payé par chèque dans l’espoir qu’il donné signe de vie. Et cela avait marché.

Putain, quel choc ou devrais-je dire, quelle surprise. Ce n’ai pas Dita qui débarqua dans le salon, mais un bel homme d’une trentaine d’années.

– Je suis prêt, on y va ?
– Tu n’es plus Dita ?
– Dita ?
– Oui, tu sais la stripteaseuse Dita Von Teese.
– C’est très flatteur, elle est très belle. Ça me va Dita, mais mon vrai prénom c’est Jérôme.
– J’adore, très sexy.

Il nous conduisit à une soirée très barbante. Chaque mois, la chambre de commerce de la ville organisait une petite soirée de bienvenue pour les nouveaux entrepreneurs/commerçants.

Ce mois-ci, il n’y avait eu que huit nouvelles entreprises qui avaient ouverts.

Un cocktail et des amuse-gueules en guise de repas.

J’aurais voulu l’étrangler pour m’avoir amené ici. Les cocktails étaient non alcoolisés. Bienvenue, bla-bla-bla, URSSAF, bla-bla-bla, cela a duré quarante-cinq minutes, une éternité pour moi. Jérôme s’excusa, et prétextant une soirée tardive en famille, nous quittâmes enfin les lieux.

– D’accord, je sais c’était chiant à mourir, mais je voulais être sûr de te trouver chez toi…
– Ah oui et pourquoi ?

Il se pencha à mon oreille et m’y souffla quelques mots. Putain, oui ça avait l’air très intéressant.

– D’accord tu es presque pardonné.

Nous avons repris sa voiture et nous nous sommes dirigés vers une petite rue du centre-ville. En fait de rue c’était une impasse où se trouvait de vieux bâtiments qui avaient abrités quelques fleurons du temps jadis. Aujourd’hui c’était désert ou presque. Nous nous présentâmes à la porte d’un des bâtiments. Jérôme frappa à la porte. Un jeune mec juste vêtu d’un short en cuir rouge nous regarda et nous fit entrer. Le lieu était vaste avec une lumière tamisée. Une quinzaine de personnes à tout casser.

– Viens, je vais te présenter le patron des lieux. Jérôme fit un signe de la main au serveur qui le lui rendit. Nous avons suivis un couloir et avons stoppé devant une porte. Sur celle-ci, il y avait une pancarte avec le règlement intérieur d’écrit.

Pas de pipe, pas d’augmentation !

Ça avait l’avantage d’être clair. Jérôme ouvrit la porte sans frapper.

– Salut Stéphane, je vois que tu es en plein travail !

J’ai supposé que le gars Stéphane était celui assis dans le fauteuil, le bénouze sur les chevilles en train de se faire avaler le chibre par un jeune mec à la nudité indécente.

– Jérôme, vieux frère, sympa d’être venu, asseyez-vous. Je suis en train de finaliser un entretien d’embauche. Je crois que ce jeune mec, va être une des attractions de la boîte.

Je jetais un coup d’œil à la scène. Stéphane devait avoir la cinquantaine. Le jeune mec devait avoir la majorité ou pas loin. Il avait un corps imberbe. Une peau hâlée. Fine musculature. Il s’appliquait à faire ce qu’il faisait. Il avait un sublime cul juvénile. J’ai senti mon sexe s’enfler. Le Stéphane a dû s’en apercevoir car il m’invita à me joindre à eux.

Je ne me le fis pas répéter une seconde fois. J’ai jeté un coup d’œil vers Jérôme qui me lança un clin d’œil.

– Benoît, on ne refuse rien au boss ici, allez vas-y !

Je me suis approché du jeune gars et j’ai posé mes mains sur ses fesses. Il continua à sucer son patron ou son futur patron. Je dégrafais mon pantalon et le fis glisser le long de mes jambes, mon caleçon suivit le même chemin. Je me plaçais tout près de ce joli cul et fis glisser ma bite le long de son sillon. Le mec réagit en écartant les jambes. Comme invitation il n’y avait pas mieux. Je glissais en lui tout en douceur, arrivé à mi-chemin, je poussais un peu plus violemment.

– Hey, doucement mec me lança le boss, sinon il va me la mordre.

Je m’excusais tout en commençant à baiser le jeunot. Oh, putain, ça glissait tout seul. Si jeune et déjà si ouvert. Le Stéphane se dégagea de la bouche de son suceur de bites.

Il se leva de son fauteuil et s’approcha de moi. Il me regarda un instant, puis se plaça derrière moi. D’accord j’avais pigé, il voulait jouer au petit train. Tout en restant bien profondément ancré dans le cul du gamin, qui n’en était pas un, je sentis une chose me chatouiller mon petit trou. Pas sûr qu’il puisse me pénétrer aussi facilement que je l’avais fait moi-même auparavant. Il n’eut aucun problème. Putain que ça faisait du bien cela faisait au moins six mois que je n’avais pas baisé avec un mec. D’accord j’avais taillé une pipe à Jérôme. Mais sucer n’est pas baiser. Le Stéphane savait y faire. C’en était trop pour moi, je voulais en profiter au maximum. Je me retirais du jeune gars et m’ouvrir au maximum aux assauts de Stef. Le jeune gars me regarda envieux. Je lui désignais du regard Jérôme. Je ne sais pas trop ce qui s’est passé entre eux deux. Stéphane me tenait par les hanches et maintenait un rythme rapide. Je commençais à sentir un orgasme venir en moi. Ma queue était bien raide, mais je ne la touchais pas. Stef accéléra l’allure, de mon côté je poussais de vrais râles de plaisir. Qu’est-ce que ça me faisait du bien.

– Continues mec lui hurlais-je. Vas-y je vais jouir !

Les deux autres s’approchèrent de nous et leurs visages convergèrent vers ma bite.

Stef, le seul actif, augmenta la cadence. Cela eu pour effet de me faire hurler de jouissance. Du sperme gicla de ma bite. Stef se dégagea et attira le jeune qui avala tout. La bite violacée et le foutre qui en gicla.

Une fois remis de nos émotions, le jeune fut engagé comme serveur. Théo était son nom.

Jérôme me regardait.

– Hé bien dis donc mec quelle chevauchée !

Après avoir remis un peu d’ordre dans mes fringues, nous regagnâmes la salle en compagnie de Stéphane. Celui-ci pris une bouteille de champagne bien fraîche et trois verres. Nous nous sommes assis dans un coin et avons bu.

– A la santé du con qui paye, lança-t-il.

Il y avait un peu plus de monde. Théo pris son service complètement nu. Il faudrait lui trouver un petit short rouge.

Jérôme s’excusa et se dirigea à une table où quelques mecs buvaient un verre.

Stéphane se leva et alla faire son boulot de patron. Je restais un moment seul. Je me resservis un verre de champagne. Les bulles me firent un peu d’effet.

Je me levais de table et ôtais tous mes fringues. Je me mis à danser lascivement. Un mec s’approcha de moi et colla sa main sur mon cul. Je lui souris et lui glissais un mot à l’oreille. Il se déshabilla et là devant tout le monde je lui taillais une pipe. Je finis par me mettre à quatre pattes et il glissa sa bite en moi. Cela dura une bonne partie de la nuit. Combien ? Quinze, vingt mecs m’ont baisé, et se sont vidé les couilles en moi. J’ai dû jouir trois ou quatre fois de plus. Jérôme me baisa aussi.

Stéphane me supplia de venir quand je voulais et ce serait champagne à volonté pour moi.

Jérôme resta silencieux durant le trajet de retour. Il me déposa chez-moi.

– Mec, tu es fou ! Non mais tu te rends compte de ce qui s’est passé là-bas ?
– Je crois que j’ai été l’attraction de la soirée. Hey mec, tous ces gars ont joui comme des malades dans mon cul et tu sais quoi, j’ai adoré ça. J’étais dans un état second.
– Tu crois qu’on t’a drogué ?
– Ecoutes, j’ai mangé des petits fours et bu un cocktail de jus de fruits. Et un peu de champagne. Rien d’autre.
– Comment te sens-tu ?
– Bien, mais je crois que je vais pioncer jusqu’à demain matin après m’être fait couler un bon bain.
– Je te comprends et je crois que je faire la même chose.
– Tu peux rester ici si tu veux.
– Pourquoi pas, je crois que je me suis vidé les couilles pour une semaine !
– Très distingué mon cher, tu pourrais dire autrement, je ne sais pas, j’ai tant joui cette nuit que je suis repu…
– Tu vas pas me la jouer Cyrano de Bergerac, non ?
– Très drôle !
– Je peux te poser une question Benoît ?
– Oui
– C’était la première fois que…enfin je veux dire autant de mecs ?
– Oui, c’était la première fois. Tu veux que je te dise ? Et bien je suis bisexuel, j’adore les femmes, en fait je les aime. Avec les mecs c’est pas pareil. Chez-moi c’est pour le sexe. Quelque chose que les femmes ne peuvent pas m’apporter, car elles n’ont pas ce qu’il faut. Tu vois ce que je veux dire ?
– Oui
– Je peux rester des mois sans avoir envie de faire l’amour avec un mec. Et je vais te dire autre chose, je n’ai jamais fait l’amour avec plus d’un mec à la fois. Alors ce qui s’est passé cette nuit je ne peux pas l’expliquer. Une espèce de frénésie sexuelle. Je ne sais même pas combien de mecs m’ont baisé.
– Pas tant que tu penses. Dix avec moi.
– Que dix ? Enfin je veux dire, j’ai eu l’impression qu’il y en avait quinze ou vingt.
– Tu le regrettes ?
– Non, absolument pas, je suis heureux d’avoir donné du plaisir à autant.
– Tu as envie de recommencer ?
– Le champagne gratuit ça me tente bien, mais honnêtement je ne vais pas me bourrer la gueule pour remettre ça. Non je crois que j’étais vraiment dans un état second. Comme je te l’ai dit, j’ai des périodes gays. Et je suis plus passif qu’actif. Quoique quand tu suces un mec, tu es actif. J’ai lu dans un roman de John Irving, que les gays américains dans les années soixante avaient une autre expression que actif ou passif ? L’un des sports rois là-bas c’est le baseball, et bien ils disaient, catcher ou pitcher ?
– J’aime bien cette formule. Et Julie ?

Là j’étais hors du coup ?

-Julie ?
– Tu sais le jeune mec qui était avec dans mon magasin.
– Ah oui, Julie. Très mignon, troublant et j’aime bien aussi me parer de vêtements féminins.
– Du travestissement.
– Si tu veux, on dit aussi crossdressing.
– Quel est la différence ?
– Pas la moindre foutue idée. Et toi tu es quoi ? Tu n’es pas un transsexuel. Mais quand même tu es un travelo.
– Oui
– Tu, tu veux devenir femme ?
– Non. C’est juste que j’aime jouer ce rôle.
– Tu es gay…
– Oui je suis gay…
– Te fâches pas, juste…et puis merde on s’en fout, je suis crevé. Tu es un pédé, moi à moitié et après ? On s’est bien amusé cette nuit, non ?
– Ça pour sûr. Bon on se le prend ce bain ?

Nous avons pris un long bain moussant et relaxant. Puis nous sommes allés nous pieuter.

En fait nous avons émergé vers dix-huit heures le dimanche soir.

Il est rentré chez-lui.

J’ai commandé une pizza. Plein de choses me sont venues à l’esprit. Qu’est-ce qui c’était passé ? Et puis l’autre un peu plus terre à terre, je bosse dans un grand magasin et si jamais un de mes amants m’avait reconnu ?

Bah, tant pis.

Tout en mangeant ma pizza, je contactais Loïc en direct sur I. Il était là. Je lui dis que j’avais quelque chose à lui dire. Il me fila son numéro de portable.

– Julie, Loïc ?
– Oui, qu’est-ce que tu as à me dire ?

Je lui ai tout raconté. Il y eu un long silence.

– Tu veux que je te dise ? C’est un fantasme chez-moi de me faire baiser par plusieurs mecs. Merde il faut que tu m’y emmènes.
– Dis donc mon mignon, tu es mineur je crois’
– Oui, c’est juste un détail, je te rappelle que sexuellement je suis majeur. Allez, dis-moi oui.

Je commençais à regretter de lui avoir tout dis.


– Ecoute, Loïc, j’ai très envie de faire l’amour avec toi.

À suivre.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *