La sorcière de la bibliothèque par Marie-Paule Perez

La sorcière de la bibliothèque par Marie-Paule Perez

Vous croyez aux histoires de sorcières, vous ? Non bien sûr ! Moi je n’y croyais pas non plus… mais lisez plutôt…

J’ai 39 ans, je me prénomme Julie et je suis professeur d’université. divorcée, sans enfants.

La préparation de cette conférence est décidément plus difficile que prévue, Internet ne m’aide pas, et je n’ai pas les bouquins qu’il me faut sous la main, je décide donc de me rendre à la Grande Bibliothèque pour me documenter.

Je voulais aussi avoir la paix. Je me suis déniché un coin assez isolé, sans personne dans les environs. Donc, je me suis installée et je commençais à bouquiner quand, étant très absorbée par mon ouvrage, je ne me suis pas aperçu qu’une jolie demoiselle s’était installée à la table, juste devant moi. J’ai senti qu’on posait les yeux sur moi et c’est à ce moment-là que j’ai vu cette superbe fille. Elle avait l’air assez grande, les cheveux en longues boucles noires, des yeux d’un bleu profond, des lèvres pulpeuses et un teint très pâle. Elle me regardait sans cesse et je dois dire que j’essayais d’éviter son regard, car elle me mettait mal à l’aise.

Je me replongeais dans mon livre mais je sentais toujours ce regard perçant. Je relevais parfois la tête et elle me regardait toujours, avec un petit sourire en coin et des yeux remplis de désir. Je me demandais bien ce qu’elle voulait. En vain, j’essayais de me concentrer sur ma lecture.

Tout à coup, elle se lève, contourne la table et vient vers moi :

– Je vais aux toilettes, tu viens avec moi ? Me demande-t-elle.

Hein ? Elle est folle celle-là ! Et qu’est-ce qui lui prend de me tutoyer ? Elle ne dit plus rien, me regarde avec des yeux de braise et un sourire conquérant. Je me lève, je la suis comme dans un état second. Nous voilà dans les toilettes, elle avise une cabine de libre et me l’indique du doigt, j’y vais, elle me suit, elle verrouille la porte. Je m’assois sur l’abattant de la cuvette, tout habillée

Elle glisse entre mes jambes. Déjà, de ses mains expertes, elle avait retroussé ma jupe. J’ai senti contre mes cuisses un souffle brûlant qui remontait tout doucement jusqu’à mon ventre. Oh ! J’avais déjà chaud. J’étais déjà tout excitée.

Elle m’a descendu ma petite culotte. Je n’ai même pas eu le temps de m’indigner. Quelque chose de doux, de brûlant, d’insinuant et de tendre venait de se poser sur moi. Je me suis senti raidir. J’ai voulu refermer mes jambes, mais je ne pouvais pas résister à cette douce sensation. Surtout que je sentais que cette caresse se faisait plus profonde. Hmmm ! … J’ai laissé échapper un faible gémissement. Tout à coup, je me suis mise à penser qu’il y avait peut-être des gens qui nous avaient vu entrer à deux dans cette cabine, cette pensée m’a alors excitée davantage. En ce moment, je sentais sa langue s’enfoncer en moi, quel délice, et remonter sur mon petit bouton de plaisir pour bien le titiller et l’aspirer. Je sentais que ma pêche devenait de plus en plus juteuse, mais elle prenait bien soin de tout effacer avec sa langue.

Elle m’a écarté délicatement les lèvres du vagin et m’a murmuré :

– Tu as une chatte splendide !

Et elle a plongé sa langue plus profondément dans ma fente pour la ramener rapidement jusqu’à mon petit bouton de plaisir, qu’elle s’est mise à lécher sauvagement. Voyant que je m’abandonnais à ses avances, elle s’est mise à mordiller doucement mon clitoris, puis à l’aspirer plus fortement entre mes lèvres. Je contractais légèrement mon ventre, sentant les premières montés de la jouissance m’envahir. Elle se régalait comme une gloutonne à dévorer ma pêche douce et bien humecté tout en explorant ma petite grotte avec un doigt inquisiteur. Elle m’a fait me relever un peu pour pouvoir me glisser un doigt derrière les fesses, afin d’aller me chatouiller délicatement l’entrée de mon anus.

Je n’ai pas pu retenir plus longtemps, les fortes sensations de plaisir, qui ne cessaient de traverser tout mon corps. Les caresses perverses de cette fille dans mon vagin et dans mon anus me faisaient littéralement monter au septième ciel. Sentant que je me crispais de plus en plus, elle a accéléré davantage le tournoiement de sa langue et les mouvements de va-et-vient dans mon vagin et mon anus. Tout à coup, j’ai senti une vague se déverser à travers tout mon corps et j’ai joui avec une intensité impensable. Mon ventre se secouait interminablement, mon corps se tordait contre ma volonté.

Elle se relève, me sourit; je lui souris, j’ai envie de l’embrasser, j’ai envie de lui rendre ces minutes de bonheur intenses et si particulières. Mais j’ai aussi une envie beaucoup plus urgente et prosaïque, je me redresse, relève l’abatant, me rassoit et attend que mon petit pipi veuille bien jaillir. Mon inconnue s’est de nouveau baissée. Elle veut donc me voir uriner. Pourquoi lui refuserais-je ce plaisir ? Ça y est, je pisse, elle s’est approchée encore plus près de façon à ce que sa bouche rencontre le jet. Elle me boit et je suis infiniment troublée.

C’est fini, elle approche son visage pour m’embrasser, sa bouche a le goût si particulier de mon urine, Qu’est-ce que c’est bon !

On sort de la cabine, une dame d’un certain âge est en train de s’essuyer les mains, elle nous jette un regard outré.

La belle inconnue me tend une carte.

– Tu viendras à 18 heures.

J’ai acquiescé comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.

A l’heure convenue, Sardonia m’a entraînée dans sa chambre, a étalé une grande serviette éponge sur le drap et a préparé un gros coussin. Elle m’a demandé de me dévêtir complètement et de m’allonger.

– Je reviens dans un quart d’heure, le temps de préparer le matériel et le lavement.
– Un lavement ?
– Tu vas adorer !

Quand elle est enfin revenue, elle portait un broc relié à un long tuyau terminé par une canule souple d’une taille impressionnante en épaisseur et en longueur (vingt centimètres de long et quatre de diamètre). Sardonia m’a fait allonger sur le côté, les fesses surélevées par le coussin et une jambe repliée.

Doucement, elle a enduit mon petit trou du cul de vaseline, a fait entrer et sortir son doigt. Elle m’a offert des tas d’agaceries pour me préparer au plaisir. Elle a enduit la canule de vaseline, et a suspendu le broc au-dessus du lit. Elle a purgé le tuyau, et la canule est entrée en moi très lentement. Sardonia a commencé à faire des allers et retours de plus en plus profonds. J’étais déjà folle d’excitation mais je n’osais rien dire. De toute façon, mon sexe parlait pour moi. De l’autre main, Sardonia a caressé mes grandes et petites lèvres, puis mon clito. A ce moment, mon plaisir s’est mis à grandir, grandir. Je me sentais pleine et épanouie.

– Allez, ma chérie, m’a dit Sardonia, le lait est à la bonne température. Maintenant, ouvre-toi bien, cambre bien ton dos, et tends tes fesses vers moi.

J’ai senti le liquide tiède me remplir, puis devenir petit à petit plus chaud, de plus en plus chaud, jusqu’à l’insupportable. La canule s’agitait en moi. J’ai joui longuement, le lavement n’en finissait pas. Mon orgasme s’est prolongé, c’était incroyable. Sardonia m’a demandé d’attendre pour tout rejeter.

Cinq minutes plus tard, je n’en pouvais plus. Sardonia, bouche ouverte m’a écarté mes petites fesses, m’a demandé de me laisser aller et s’est régalé de tout ce qui sortait de mon cul.

Elle m’a ensuite prêté un balai que j’ai chevauché comme il se doit, ma mouille m’aidant à m’accrocher au manche, nous avons ouvert la fenêtre et elle m’a raccompagné jusqu’à chez moi par-dessus les toits de Paris.

Alors, vous ne croyez toujours pas aux sorcières ?

Fin

Merci à Céline du magazine Union à qui j’ai quelque peu emprunté le passage « lavement »

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3 réponses à La sorcière de la bibliothèque par Marie-Paule Perez

  1. Roques dit :

    Les sorcières sont des cochonnes

  2. Olivia dit :

    Une touche fantastique, deux doigts de sexe extrême = cocktail gagnant

  3. Baruchel dit :

    Très original et très hot, j’ai adoré

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