Je fais mon dernier stage dans un hôpital privé, pour ma dernière année
d’étude de sage-femme. Je suis tombée amoureuse du chirurgien !
Depuis deux mois maintenant, nous faisons l’amour régulièrement. Il me
domine et j’aime me soumettre à ses envies. Il est beau comme un dieu.
Grand, brun, les yeux bleus qui vous sondent et vous font craquer quand il
plonge son regard dans le vôtre. Je craque pour lui et cède à toutes ses
demandes. Quand je suis de garde avec lui, à sa demande je ne porte plus de
culotte sous ma blouse. La nuit, régulièrement le scénario suivant se
reproduit :
Il me donne une fessée pour me punir de mes fautes.
Rassurez-vous ! Elles sont fictives car je suis particulièrement
consciencieuse dans mon métier. Ensuite je dois le sucer à genoux devant
lui. Puis il me prend plus ou moins brutalement. J’adore ça. Lui est debout,
moi pliée en deux ou à genoux sur le lit, les fesses offertes à ses asseaux.
Parfois, il m’attache debout aux pieds du lit, les jambes écartées. J’aime
les liens, car je me sens alors que plus soumise et plus disponible.
Nous sommes hélas souvent dérangés par son biper. Dans ce cas, il m’enferme
dans sa chambre et je dois attendre qu’il revienne. A cause des urgences, il
revient parfois me libérer pour que je retourne à mon travail. Je reste
alors sur ma faim de plaisir……
Malgré tout j’ai un peu honte car je sais qu’il est marié. Il m’a dit
qu’avec sa femme ils étaient très libres, mais c’est ce que disent souvent
les hommes pour se justifier.
Aujourd’hui, nous sommes de garde jusqu’à 20 heures. Il m’a demandé de
l’attendre dans une des nouvelles salles d’accouchement. Elles sont
terminées et il ne manque plus que la conformité pour les ouvrir.
Je l’attends depuis un moment avec impatience assise sur une table
d’obstétrique. L’heure tourne, il est presque 21 heures. C’est comme ça les
urgences ! On ne sait jamais réellement à quelle heure on va terminer. Mon
excitation demeure malgré cette ambiance clinique sans vie.
Je craque devant son sourire lorsqu’il arrive enfin. Nos bouches se
rejoignent, nos langues se cherchent et jouent entre-elles. Je fonds
lorsqu’il caresse ma poitrine à travers ma blouse.
– Ce soir, nous avons tout notre temps, et j’ai une surprise pour toi.
Allonge-toi sur la table !
Je m’exécute aussitôt pendant qu’il fixe des tringles aux deux côtés de la
table d’examen. Il dispose chacune de mes jambes dans les étriers. Il les
attache par des sangles puis lie mes poignets sous la table au moyen d’une
corde.
Après avoir ajusté les tringles des étriers, il me positionne les jambes
grandes ouvertes. Quand il dégage la partie basse et amovible de la table,
je me sens terriblement indécente. Je me sens femelle prête pour la saillie.
Ca m’excite, ça me fait planer.
Précision pour ceux qui ne connaissent pas une table d’accouchement. Une
partie du » lit » se libère et glisse dessous. La patiente est installée,
jambes écartées et posées dans des étriers sur les cotés. C’est comme si
vous vous allongiez sur une table, les fesses sur le bord et les jambes
écartées et relevées.
– Ne bouge pas, je reviens !
– Soit tranquille, je ne le peux, ni ne le veux !
Les minutes s’égrainent doucement. Je commence à avoir froid. Soudain,
j’entends des voix. Une trouille viscérale monte en moi. Je me suis mise
dans un sacré merdier. Je suis aussitôt rassurée lorsque je le vois entrer,
mais mon cœur se met à battre à tout rompre lorsque je vois une femme
arriver derrière lui.
– Je te présente Marie, mon épouse, elle brûlait d’envie de te rencontrer !
Et c’est là que je commence à comprendre. Non il n’a pas osé. Oh non pas ça
! C’est la gynécologue responsable du service de l’hôpital et c’est elle qui
me suit ! Elle a fouillé dans mon ventre là où son mari me prend
régulièrement. Ils sont particulièrement pervers ! Sa femme me lance :
– Je vais m’occuper de toi. J’aime bien voir le sexe de mes patientes rasé
avant de les baiser ! »
– Non je ne veux pas, libérez-moi !
– Ecoute petite gourde ! Non seulement tu abandonnes ton poste mais en plus
tu baises avec mon mari pendant les heures de travail. A cela, on va
rajouter que tu travailles particulièrement mal et que tes inattentions
auraient pu tuer des patientes !
– C’est faux ! Vous savez que ce n’est pas vrai !
– Tu as raison, mais tu as baisé avec mon mari. Je pense qu’entre son
rapport et le mien, tu devras prochainement aller chercher un travail de
caissière.
– Salauds !
– Non, tu as le choix, comme tu avais le choix quand tu as essayé de me
voler mon mari !
Elle pose sa main sur ma vulve, écarte mes lèvres et plonge un doigt dans
mon vagin.
– Tu es trempée ! Tu mouilles comme une garce en manque et tu fais du cinéma
! ! ! Il avait raison mon chéri. Tu es jolie et je suis sûre que tu vas
choisir de nous laisser te faire l’amour à notre façon.
– Ai-je le choix ?
– On a toujours le choix dans la vie !
Eric s’approche de moi avec un masque à oxygène. Je cris » non » mais il me
répond :
» soit tu te tais, soit je t’intube ! »
Après quelques bouffées d’oxygène, je me décontracte. Effectivement, j’ai
une envie profonde de faire l’amour malgré la situation. Il retire le masque
et me sourit. Sa femme ouvre ma blouse avec un sourire pervers. Elle se
penche pour embrasser et caresser ma poitrine. Mes tétons pointent fièrement
sous ses mains.
– Tu as de très jolis seins, mon mari a bon goût. On continue ?
Je me mords les lèvres un instant, et, réponds un petit » oui » honteux
avant de m’abandonner totalement sur la table.
Eric se rapproche, ouvre la braguette de son pantalon et libère son sexe
tendu. Elle s’est installée entre mes jambes avec le nécessaire à raser.
Pendant que je fais une fellation à son mari, elle débarrasse mon sexe de
tous ses poils. Je n’ose pas bouger ( d’un poil ) pendant que le rasoir
glisse sur ma peau.
J’appréhende un peu de me voir intégralement nue comme un bébé. Lorsqu’elle
a terminé, Eric m’invite à me regarder. Comme la table d’obstétrique est
positionnée, je peux me voir. Mon entre-jambes m’apparaît agréablement lisse
et juvénile. J’ai l’air d’une vrai gamine !
Sa femme me lave le sexe. Je suis blême de honte. Même si je l’ai fait à
beaucoup de femmes après ou avant leur accouchement, la situation présente
n’a rien de médical. Lorsqu’elle m’estime propre à son goût, elle s’assoie à
nouveau entre mes jambes. ! Sa langue est précise et agile.
Je comprends alors pourquoi, elle me préfère lisse et parfaitement rasée.
C’est pour le plaisir de sa langue et de ses caresses buccales. De la fière
sage-femme que j’étais, il ne reste qu’un pantin pathétique dont elle tire
malicieusement les ficelles. Son doigt expert, agrémente ses baisers. Elle
connaît à fond les cajoleries qui falsifient les règles du jeu. Je me meurs
dans l’attente du plaisir.
Lorsque celui pointe son nez, elle se recule avec un regard pervers qui
m’inquiète. Tout en me souriant, elle enfile une paire de gants médicaux et
mets un peu de gel lubrifiant sur son index, avant d’enduire généreusement
mon anus.
– Non ! S’il vous plait, je suis vierge de ce coté là.
– Plus pour longtemps ma belle !
Je vois avec horreur qu’elle tient à la main un spéculum anal. Le contact
froid du métal sur ma rosette me fait frissonner. Lentement mais avec un
geste d’experte, elle l’introduit dans mon fondement. Lorsqu’il est en
place, elle commence à tourner la molette qui distant mes spencers. Elle me
regarde avec un regard de louve. Je commence à avoir peur.
Eric, qui observait ses gestes, s’approche d’elle. Il caresse sa poitrine et
l’embrasse tendrement. Elle ouvre encore le spéculum pendant son baiser. Mon
anus devient douloureux car elle le dilate largement.
Elle se lève pour qu’il l’aide à retirer sa blouse. Elle est intégralement
nue et se positionne entre mes jambes puis s’allonge sur moi. Sa bouche
cherche la mienne. Je ne résiste pas et me laisse embrasser. Nos langues
jouent un moment comme prises dans une valse érotique.
Je vois par-dessus sa tête qu’Eric se positionne derrière elle. Lorsqu’il la
prend aussi sauvagement qu’il le fait avec moi. A chacun de ses mouvements,
sa femme se plaque entre mes jambes et m’enfonce le spéculum. Cela me fait
un peu mal, et je suis prise d’un horrible sentiment de jalousie.
Plus il la besogne, plus elle m’embrasse. Ses seins s’appuient et caressent
les miens. Au bout d’un moment, elle s’abandonne totalement. Sa tête se pose
dans mon cou, elle crie de plaisir sous les asseaux. Eric a saisit sa femme
par les anches et la prend maintenant comme un fou. Le bruit de ses cuisses
qui heurtent les fesses offertes résonne dans la salle. Soudain, il se met à
ahaner, son visage se crispe. Il laisse échapper un grand râle et jouit dans
un grand cri.
Au bout d’un instant, il se retire et vient vers moi. Je me plais à espérer
qu’il va m’embrasser, mais non, il se penche sous la table. La tête de la
table d’obstétrique se met à descendre. Sa femme se relève. Je la vois venir
vers moi et monter sur la table. Ses cuisses passent au-dessus de mon
visage. Je reçois une goûte de sperme. Sans me laisser le temps de réagir,
elle s’assoie sur mon visage en écartant ses fesses.
Je sens l’odeur ensorcelante de son intimité. C’est comme une sueur marine
qui émane de sa chair excitée. Ses mains se saisissent de mes tétons et les
malaxent rudement.
» Lèche-moi » me dit-elle en les pinçant.
Comme je résiste, elle me pince sauvagement les seins. Entre mes jambes,
Eric desserre mon spéculum anal puis le retire. J’ai l’horrible impression
de rester ouverte.
Le sperme d’Eric s’échappe du sexe de sa femme et coule sur mon visage. Je
ferme la bouche, mais ses fesses emprisonnent mon nez. Comme je ne peux plus
respirer, je vais être obligée d’ouvrir les lèvres. Alors que je suis
toujours en apnée, je sens qu’il lubrifie mon fondement.
Sans tarder, Eric, qui a des ressources insoupçonnées, se positionne contre
ma rosette grande ouverte et s’enfonce en moi. Lors de mon cri de surprise,
plus que de douleur, j’ai ouvert la bouche. Du sperme s’y écoule. Je suis en
train de boire la liqueur de leur amour. Je m’abandonne totalement à cette
obligation de partage de son intimité souillée qu’elle m’impose.
Finalement, emportée par les sensations, je déguste sa femme comme une
folle. Au bout de quelques instants, sous les ruades d’Eric je flotte comme
dans un brouillard cotonneux. Je suis en plein délire. Leurs mains se font
caresses et mon corps réagit très favorablement.
Ravagée par le plaisir, je constate que je ne suis agréablement sensible à
la sodomie. J’ai envie de lui au plus profond de moi. Je me noie avec délice
dans l’intimé de sa femme tandis qu’il me prend comme un sauvage.
Je n’entends plus rien, je ne vois plus rien. Je déguste au sens propre et
au sens figuré du terme. Je sens que je vais exploser et elle aussi. Son
bassin ondule sous mes coups de langue, le mien sous les asseaux.
La situation humiliante m’excitant totalement, il ne faut que quelques
secondes à la main délicate et talentueuse de la gynécologue, pour me faire
craquer en un orgasme foudroyant. Je jouis, autant pas le cul que par le
sexe. C’est divin ! Je la sens qui se raidit, tout d’un coup, elle jouit
m’inondant la bouche et en m’écrasant de tout son poids.
Elle crie de plaisir tandis qu’Eric s’acharne encore sur moi. Il jouit enfin
et s’enfonce au plus profond de mes entrailles.
Ils s’embrassent par-dessus moi je le sens. Puis elle s’agenouille et
descend de la table. Mon visage est dégoulinant de leurs sécrétions. Elle se
penche au-dessus de moi et m’embrasse tendrement. Même si je n’ai pas l’âme
d’une lesbienne, je lui rends volontiers son baiser.
Ils se rhabillent, réajustent la table puis me libèrent les jambes. Comme
ils ne m’ont pas libéré les bras, je m’inquiète un peu. Vêtus de leurs
blouses, ils sont debout à mes cotés. Ils me regardent étrangement. Mon sang
se glace !
Eric me lance avec son plus beau sourire : » Tu as été extraordinaire ! » Ma
gynéco me dit en souriant : » Cela te plairait de venir dîner chez nous ? »
Dans ma tête les questions se bousculent. Comment peut-elle m’inviter alors
que j’ai tenté de lui voler son mari ? Que va t-il encore m’arriver ? J’ai
envie d’y aller, mais j’ai peur de ses représailles. Quel va être mon avenir
professionnel maintenant ? Je me sens totalement perdue !
La gynéco : Rassure-toi ! Tu l’auras ton diplôme, même si tu refuses notre
invitation.
Eric : L’année prochaine, je demanderai ton affectation dans mon service.
Moi : Vêtue comme je le suis et attachée sur la table, je vais avoir du mal
à accepter votre invitation !
Ils éclatent de rire et me détachent. Une fois rhabillée, je titube un peu
lorsque je me mets à marcher.
Eric : Si je peux me permettre, je pense qu’après l’opération « câlins » une
visite médicale s’impose !
La gynéco : Je te prescris un apéritif corsé ?
Moi : Je dois passer au bureau des entrées ou vous m’acceptez comme ça ?
TSM
La suite prochainement
Savez-vous comment on dit » gynécologue » en Provençal ?
Escartefigue !
Original mais écrit un peu vite