La consultation par Maîtresse_Laura

Deux Versions pour une seule histoire, l’une vécue et racontée par la
maîtresse et l’autre par le soumis.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
Il est a genoux au sol devant moi, le visage écrasé sur une moquette
meurtrière, dure et rase, rêche à souhait, a genoux et attaché rapidement
car le temps m’est compté.

Il est complètement nu au milieu d’une pièce ou trône la médecine, pour un
chirurgien c’est normal mais il n’a certes pas l’habitude d’y trôner dans
cet état. Le cul relevé et attendant simplement ce que je voudrais bien en
faire.

J’aime ses fesses rondes et fermes, son corps grand et puissant, malgré mes
talons ce chien me dépasse et ça me plait. La joue touchant le sol, il
attend ne sachant quoi, subissant ses peurs, mais sa peur n’est pas si forte
car depuis le début il bande, le stress ne lui a rien enlevé de sa virilité.
Les fessées, pincements ou griffures n’ont en rien altéré son ardeur.

Je le sens offert, soumis, prêt a tout et ça me plait.

J’aime l’être malléable qui ne demande qu’à être modelé, ma suprématie
s’instaure dans de tels individus. Quand je suis arrivée, n’ayant pourtant
aucune appréhension de cette rencontre, je n’étais pas à l’aise. Je n’y peux
rien mais je venais avant tout comme patiente et les médecins en général
m’intimident. Me savoir à sa merci en tant que patiente me mettait mal à
l’aise, ses questions d’ordre privées pour remplir la paperasse, son examen
sur ma personne avait un coté embarrassant… je devais me vider la tête et
oublier qu’il allait tout à l’heure à son tour devoir se soumettre.
Son sourire a été la compagne de toute la visite et ça ne m’a pas aidé du
tout car je savais que lui y pensais, je me doutais de ses pensées… et pour
l’instant c’était moi qui devais me plier à ses instructions puisqu’il était
le médecin et moi la patiente…

La visite pris fin et nous avions décidé d’un code de fin de visite médicale
et de début de consultation SM.

– La visite est terminée, je me tiens a votre disposition pour quoi que ce
soit si tel est votre plaisir.

J’attendais cette phrase impatiemment, et elle a sonné comme résonnerait le
glas de la fin de son règne. Non pas que je n’aime pas les médecins mais j’y
vais le moins souvent possible toutes catégories confondues. Les chirurgiens
ont de plus la dureté de leurs actes quand le patient est endormi… j’imagine
trop bien la blouse blanche des anciens temps recouverte du sang de ceux qui
ont bravé leur propre peur pour s’en remettre en des mains soit disants
expertes, être saigné, être livré nu à la merci d’un scalpel ou on ne sait
quoi.

Il venait de finir sa journée avec moi, j’avais été la dernière patiente
mais c’était volontaire et à présent la patiente avait disparue. La patiente
avait fait place à la maîtresse, le décor était planté, les accessoires
prêts à servir mais ceux la n’étaient pas médicaux.
Le médecin était devenu patient, j’aurais peut-être du prendre le rôle de
médecin ? Mais cette première rencontre était surtout une prise de contact
destinée à faire connaissance.
Il n’était plus médecin, il n’était plus rien, mettre un homme nu,
l’attacher et le placer ainsi au sol cul offert enlève tout statut ou
dignité à n’importe qui.

Je l’avais attiré au centre de la pièce en le tirant par la queue comme si
elle n’avait qu’une laisse. Je m’étais pourtant montré douce dans mes
caresses, tendre aussi mais pour mieux le surprendre, je jouais du contraste
de la douceur et de la douleur. Je lui avais bandé les yeux pour mieux le
fragiliser et surtout qu’il ne sache pas à quoi s’attendre. Les yeux bandés
développent tous les autres sens mais aussi réveillent la ou les peurs. Ne
pas voir pour un voyant c’est la vulnérabilité et c’est surtout
l’appréhension, devoir regarder à travers un son, un bruit, guetter des pas
pour savoir où est l’autre…. La moquette ne l’aide pas. Il n’était pourtant
pas maladroit, il est resté assez longtemps confiant.

Au début il était sur mon image de patiente réservée et souriante, fragile
peut-être ? Douce ou timide ? Mais son temps avait sonné et la maîtresse
avait pris sa place sans laisser aucun doute possible. Il a perdu son
sourire en sentant d’ailleurs le changement. J’avais très vite gagné mes
galons et pas questions de les laisser en équilibre. Il était à moi
dorénavant même si il ne savait pas encore à quel point.

Il était mon chien, mon objet, obéissant et soumis.

Quelques minutes auparavant, il était nu debout encore mais il était digne,
il se tenait bien droit, tête relevée, certes il avait peur mais dressé
comme un coq qui aurait encore voulu se prouver qu’il était un homme. Je
n’avais eu aucun mal néanmoins à le plier, à le courber, le jeu avait
commencé et pourtant même dans cette position il bandait encore.
J’entrepris donc de le fesser avec ardeur mais rien ne lui fit perdre sa
raideur, les griffures qui pourtant le faisaient frémir et serrer les dents
non plus.

Je me demandais s’il aurait bandé autant si il ne m’avait pas vu avant …
j’aime les rencontres à l’aveugle, mais j’aime aussi le jeu et venir en tant
que patiente réelle avant avait un peu de piquant qui n’était donc pas pour
me déplaire.

Ce chien bandait toujours, je lui fis remarquer le fait, il s’en excusa en
précisant que c’est l’effet de ma personne qui le conditionnait ainsi… je
devais donc le prendre comme un compliment ? Cette rencontre n’étant
destinée qu’à être une prise de contact, je décidais de laisser couler, je
n’avais décidément pas le temps, notre rencontre dura 1 h 30 en ce qui
concerne la domination et dans ces moments là, la trotteuse défile trop
vite.

Le voir ainsi si petit à présent me plaisait, je le voyais diminué et
surtout à ma merci, me dirigeant vers son bureau, j’enfilais un gant
médical, y versais un peu de lubrifiant et entreprit de fouiller moi aussi
dans son intimité. M’avait-il ménagé tout à l’heure quand je n’étais que sa
patiente ? Mon doigt doucement s’introduisit dans son intimité, tâtant la
dilation de son sphincter, remuant délicatement pour l’ouvrir afin qu’il
s’offre confiament à plus. Je le sentais s’abandonner et je ne voulais
pourtant pas aller trop vite, je lui rajoutai donc quelques claques qui
eurent pour effet de le contracter, il réagissait très bien à mes attentes,
la prochaine fois sera la bonne même si il ne le sait pas encore. Bientôt ce
fût deux doigts puis trois, son anus était dilaté pour à présent recevoir un
gode ou même un sexe. Je suis une maîtresse phallique et la prochaine fois
il goûtera certainement a une ceinture gode sinon un gode.

Tu te caches à me lire dans l’ombre de ton écran, toi !!! Oui toi qui en ce
moment lis les mots que j’écris mais si tu penses que certaines choses ne
doivent pas êtres dites alors il ne faut pas les faire non plus ? On a le
droit de faire mais pas de le dire ? Dans ce cas ne me lis pas car ce sont
mes mots et je les aligne, je les couche comme toi tu te couches avec ta
misère et si tu baves d’envie devant mes mots, quitte ton coté virtuel et
passe de l’autre coté de l’écran. La vie c’est aujourd’hui et demain tu
n’auras que tes regrets, tu diras  » si j’avais su « , mais il sera trop tard
car on ne revient jamais en arrière. Je vis mes fantasmes, je les assume, je
les raconte et si je dois avoir honte ? Alors, c’est bon la honte !

Certains en font moins mais le font avec grossièreté en parlant de cul, de
bites, d’enculer, de baiser… je ne baise pas je fais l’amour, je n’encule
pas je sodomise, je ne pisse pas j’urine. Je n’ai rien contre les mots crus,
il m’arrive également de les utiliser mais les mots chantent, ils sont comme
un murmure, ils caressent les oreilles sans les écorcher, ils frôlent tes
lèvres quand tu les murmures. J’aime composer avec les mots, ils
m’accompagnent, j’ai besoin d’eux comme ils ont besoin de moi.

Bien sur dans l’action il y a quelques mots qui se promènent mais dans
certains moments les mots ont le charme d’exciter, de faire monter un peu
plus la pression ou la tension, ils accompagnent le plaisir ou le désir. Et
toi soumis j’aime t’entendre t’humilier quand je t’oblige a me dire ce que
tu ressens, quand je te possède et que malgré ta honte ou ta gène tu te
doives de me dire que tu aimes ça… oui tu n’es qu’une grosse chienne en
chaleur qui veut se faire enculer par moi. Ça ce sont des mots crus, des
mots durs mais c’est ceux là que tu aimes et que tu recherches.

Devant ce soumis indécent et lubrique toutes pensées seraient ouvertes du
style :

 » Alors salope, je vais te défoncer le cul et tu vas t’enfoncer sur mon
pieu. Je vais te traverser et tu vas aimer ça putain.  »

Il est vrai que j’utilise peu de mots mais je les choisis, je les utilise à
bon escient, ce sont surtout souvent des ordres mais ça peut également être
des compliments ou des encouragements…

A présent je le détache, il ne sait pas ce que c’est le face seeting alors
je vais lui apprendre, couché sur le dos, je m’agenouille au dessus de lui,
l’ordre est simple mais clair

– Lèche !

Il y met beaucoup d’ardeur et je n’ai pas besoin de lui répéter, il se
débrouille parfaitement sur le sujet et je lui en fais la remarque. Je ne
veux néanmoins pas jouir ainsi maintenant ni aussi facilement, il n’aura pas
ce plaisir. De nouveau je me redresse et reprend un peu la fessée mais il
m’a trop excité depuis tout à l’heure et le temps hélas tourne… trop envie
je ne peux pas rester comme ça, envie de jouir et mon objet est bien la pour
ça après tout ? Il est là pour mon plaisir ou mes désirs. Je m’assois à
présent sur une chaise, ce n’est pas ce qui manque dans un cabinet, je le
traîne à mes pieds et lui fait terminer ce qu’il avait si bien commencé. Je
lui demande en même temps de se branler, si il me suce bien il aura le droit
de jouir, je sens que c’est humiliant pour lui mais atténué par le fait
qu’il me lèche en même temps, mon plaisir apparemment augmente le sien, je
lui interdis de décharger, il doit attendre mon autorisation. Je prends sa
tête entre mes mains et un moment je lui caresse les cheveux comme on
caresserait la tête d’un chien.

– Oui vas y mon brave toutou, lèche, lèche bien ta maîtresse.

Quand je sens mon plaisir venir, alors je l’autorise au sien.

Il est temps a présent, je me rhabille tandis que lui reste dans le même
position au sol jusqu’à ce que je décide qu’il se relève.
Je lui fais remarquer que le plaisir étant venu, les sensations ne sont plus
les mêmes, néanmoins, son sexe n’est pas réellement mou, il suffirait de peu
pour qu’il reparte et je n’ai pas le temps. L’homme est ainsi fait qu’une
fois le plaisir atteint il se sent mal de poursuivre, il n’a plus
l’excitation, il a honte mais cette honte là le gène… moi elle m’amuse, ce
n’est pas le genre de problème que nous les femmes connaissons. Si il est
soumis avant le plaisir, il doit l’être après, je sais que c’est différent
mais je me moque de ce qu’il pense, ses tétons sont toujours aussi
vulnérables a mes impulsions sadiques… n’est ce pas cher docteur ?

Ma consultation ne se termine pas sur une feuille de soin ni un règlement
avec carte vitale… pourtant ces genres de rencontres ne sont t’elles pas
vitales ?

Il semble satisfait de notre rencontre, moi je le suis, on se retrouvera sur
le net.

Aveu :

2 ou 3 fois je lui ai volontairement demandé si ça allait, heureusement il
ne voyait pas mon visage car je souriais de malice… je savais qu’il
détestait ça ayant eu d’autres maîtresses qui s’inquiétaient sans arrêt de
savoir s’il allait bien… je savais car il m’en avait parlé et espérait que
je ne lui pose pas la question, comment donc résister à ne pas le faire ?…
j’ai l’esprit de contradiction. De toute façon quelque fut sa réponse, je
n’en ai a aucun moment tenu compte… mais chut ! Ne lui répétez pas. Il est
inscrit sur le site donc il le découvrira bien assez vite. De plus il écrit
sa version et j’ai hâte de la lire. Gare à lui si ses propos me déplaisent,
c’est la saison des orties, il faut bien quelques fois payer un tribut… et
je sais qu’il détesterait les orties donc ça n’en sera que plus plaisant
pour moi.
Cette année je n’ai hélas pas eu l’occasion de punir ainsi un soumis… fasse
le ciel qu’il mérite une punition, puisque je suis, je crois dans la
catégorie des maîtresses justes… hélas !!!

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
Que dire de cette rencontre ?

Quand trouverai-je enfin une Maîtresse qui ne pense qu’à elle ? Quand
trouverai-je une Maîtresse qui ne me demande pas si tout va bien ?

Et pourtant cela a été si bon…

Tout a commencé par un bandeau, un bandeau trop petit alors qu’il me
paraissant si grand… Et j’ai perdu la vue pour découvrir le monde des
sensations… D’une patiente réservée, je suis passé à une dominatrice qui
avait envie de me faire gémir… J’ai enfin découvert ce qu’être dominé
voulait dire !

Le premier ordre a été de ne conserver que le bandeau. Et je me suis
retrouvé nu devant la Maîtresse, mal éduqué car déjà bandant… Debout les
yeux bandés, prêt à servir… J’ai dû aller au centre du cabinet d’examen tiré
par la queue… D’une main ferme, j’étais guidé… A nouveau immobile au milie
de la pièce, ne voyant rien mais entendant tout… Ne sachant pas ce qui
allait m’arriver… Inquiet, tendu et excité… Puis sont venues les caresses
délicates pour commencer puis plus appuyées… Le souffle de cette Maîtresse
inconnue dans mon cou… Puis ses griffes qui m’ont fait tressaillir … La
douleur qui engendre le plaisir !
La pointe de mes seins a été maltraitée faisant naître en moi des douleurs
offertes à la Maîtresse ! Elle a su me faire gémir très vite, me montrer à
quel point j’étais un jouet entre ses doigts… Me tortillant sous ses
douloureuses caresses, je me vis immobilisé par un bondage rapide mais
expert… Une nouveauté pour moi tant les nœuds étaient fait avec précision et
m’ôtaient toute possibilité de résistance. Je me demandais, angoissé, si
elle allait prendre dans son bondage mes couilles mais elle ne le fit pas…
Soulagé, je m’inquiétais du retour inopiné de l’un de mes confrères,
l’imaginant bloqué devant la porte verrouillée, se demandant pourquoi je ne
venais pas lui ouvrir immédiatement !! Comment aurais-je pu me libérer de
cette toile de corde dans laquelle j’étais pris… Bras et mains derrière le
dos, je ne pouvais plus esquiver les griffes et les pincements sauvages de
la Maîtresse ! Je gémissais à chaque présent douloureux qu’elle m’accordait
! Et à nouveau sa fermeté parla : je me retrouvai à genou. Elle prit mes
poignets et tira vers le haut pour me faire plier et me faire mettre face à
terre… J’avais une position méritée : à ses pieds, cul offert, laboratoire
de ses désirs ! Elle frappa… Une fessée pour me stimuler, pour me rappeler
qui dominait… Comment aurais-je pu l’oublier !?

Ma position était inconfortable. Mon front était écrasé au sol, meurtri par
une moquette rêche, tout comme mes genoux. Mais ces douleurs furent bien
vite oubliées quand la Maîtresse décida de me fouiller d’un doigt expert…
L’entendre mettre ses gants de latex fut déstabilisant car habituellement
c’est dans le bloc opératoire que j’entends ce bruit, un endroit où c’est
moi qui domine ! Son doigt viola mon intimité qui tentait de résister…

(…)

Je me retrouvais donc à quatre pattes, visage plaqué au sol,
genoux meurtris par la moquette, cul ouvert et levé, offert devant Vous. Je
sentis Votre doigt me forcer doucement mais avec fermeté. La sensation était
agréable… Je me suis même surpris à penser que c’était la première fois que
cela me semblait aussi agréable… Mais très vite, Vous m’avez forcé avec un
autre objet, sûrement un petit gode spécial… Je sentais un relief le long de
cet objet, comme des facettes… Encore une fois lentement mais fermement vous
l’avez introduit très loin en moi, me faisant gémir et me tortiller sous ces
assauts auxquels je ne pouvais me soustraire ! J’ai espéré le plaisir mais
c’était plus de la souffrance qui montait en moi… Je suis si serré et
tellement tendu lorsque que l’on me prend ainsi… Vous m’avez travaillé
longuement, me griffant parfois en même temps pour me sentir me tendre et
m’empaler un peu plus… J’oscillais entre des sensations agréables et
d’autres beaucoup moins… A la fin mon trou me brûlait et j’espérais que tout
cela cesse… Et Vous vous êtes arrêtée, cela a été un véritable soulagement…
De courte de durée car les fessées ont commencé, fortes, cinglantes, de
celles que l’on oublie pas… Je ne savais pas si je devais Vous dire merci à
chacune d’elle : merci de me faire comprendre qui menait le jeu, qui
dominait, qui détenait tout le pouvoir… Je sentais mon cul rougir, devenir
sensible à Vos fessées comme à Vos caresses… Puis Vous avez libéré mes
liens, massé mes poignets ce qui m’a surpris… Vous m’avez fait mettre sur le
dos et Vous avez à nouveau joué avec Vos ongles et avec mes tétons déjà
sensibilisés… Je sentais Votre présence… Vous avez fait le tour de la salope
que j’étais et qui était ainsi offerte à vos pieds… Vos ongles toujours en
action… Vous m’avez tenu par les couilles, à Votre totale et entière merci !

Puis j’ai reçu l’ordre de me branler, de prendre ma queue qui n’avait cessé
d’être raide grâce à Vous. Et j’ai dû me caresser devant vous, obéissant au
rythme que vous m’imposiez… sentant le plaisir monter tellement j’étais
excité de vous sentir à côté de moi, prenant plaisir à me soumettre ainsi…
Le délice vint ensuite : un face seeting… Je n’ai pas compris immédiatement
ce que Vous étiez en train de faire… Puis j’ai senti Votre intimité humide
près de mon visage et là ce fût un véritable plaisir tant j’aime lécher ! Ma
langue n’a pas tardé à trouver Votre clitoris et je me suis appliqué à jouer
avec… Comme c’était bon de me sentir plaqué à votre chatte humide et
réceptive… Ces moments ont été magiques… Je m’en suis voulu car j’avais
l’impression de ne pas Vous donner assez de plaisir !! Alors que j’en avais
tant et que j’étais prêt à exploser à chaque fois que vous m’ordonniez de
continuer à me branler !! Vous avez fini par Vous relever pour Vous asseoir
sur une chaise ! J’ai dû me mettre à genou devant Vous et continuer à Vous
lécher tout en me branlant !! Enfin l’ordre de jouir est venu et j’ai
accentué mes mouvements de  » va et vient « . Le visage toujours plaqué à
votre sexe, ma langue toujours active, essayant de vous donner du plaisir,
j’ai explosé répandant mon foutre sur la moquette du cabinet ! Vous m’aviez
fait là un immense cadeau… Vous m’avez laissé ainsi à genou et êtes allée
chercher des lingettes, je me suis essuyé… Vous m’avez fait me relever… Vou
vous êtes glissée derrière moi et m’avez griffé à nouveau… J’ai gémi et
presque crié quand vous m’avez dit et prouvé que la pointe de mes seins
était plus sensible après avoir joui… Vous vous amusiez de ma douleur et de
mes soubresauts, c’est ce que m’a plu en vous tout au long du jeu !!

Encore Merci Maîtresse !

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
resille75@wanadoo.fr

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Une réponse à La consultation par Maîtresse_Laura

  1. Werber dit :

    Le style est catastrophique, il ne suffit pas de savoir écrire pour composer un texte, il faut l’aérer, le rendre vivant, éviter les lourdeurs… En plus c’est incohérent : dans la première partie on utilise le gode ceinture que plus tard, dans la seconde on vient de l’utiliser, faudrait savoir ?

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