Je suis une serveuse 7 – La soirée Matrix partie 1 par Trinity

Je suis une serveuse
Chapitre 7 – La soirée Matrix, 1ère partie
par Trinity

Réveil à 10 heures, petit déjeuner, une bonne douche, avec nouvelles caresses sur tout le corps. Mon père était parti au travail, la maison était toute à moi. Il devait rentrer pour le midi, je ne serais pas là.

Vers 11 heures, direction le centre-ville de Lille, ballade puis repas rapide. Je repartais chez mon père, sachant qu’il était reparti au travail. Arrivé là-bas, je partais dans ma chambre, et comme la veille au soir, je me mettais nu en vue de faire une bonne sieste, mais avant de m’endormir, je me donnais à nouveau du plaisir. Que m’arrivait-il ? Ces sensations nouvelles me donnaient toujours l’envie d’aller plus loin dans l’exploration de mon corps. J’éjaculais rapidement, et m’endormais tout aussi vite.

Debout à 16 heures, encore une douche, puis un petit encas. J’allumais la télévision sans vraiment la regarder. A 17 h 10, j’enfilais un blouson et me dirigeais vers le bar, avec une boule au ventre, l’appréhension certainement.

A 17 h 30 précise, Sophie était devant la porte, m’attendant. En m’apercevant, elle me gratifia d’un joli sourire. Elle portait une jupe bleue nuit arrivant à mi-cuisses plutôt moulante, un blouson beige serré ainsi qu’une paire de bottes fines à talons aiguilles. Quel joli brin de fille vraiment. Un maquillage léger, et les cheveux attachés en un chignon, elle rayonnait. De mon côté, je devais paraître bien fade. Pas le temps de m’attarder sur ce fait qu’Annie apparaissait à la porte.

– Bonjour vous deux, entrez ! Ce soir, vous allez être les reines de la soirée !

A ces mots, je rougissais et ne savais plus où me mettre.

– Décontracte toi Eric, il te suffit juste de rentrer dans le personnage, de bien jouer le rôle, je ne vois pas ce qui te gêne. En plus, deux belles femmes rien que pour toi et tu rougis !
– Oui madame, il va juste falloir se faire violence mais ça devrais aller.
– Mais non, disait Sophie. Tu verras, une fois passée la tenue de Trinity, ça te paraîtra de plus en plus naturel au fur et à mesure de la soirée, j’en suis sure.
– J’espère que tu as raison Sophie.
– Allez, trêve de bavardage, passez au dressing, je dois me préparer chez moi, je vous laisse, vous avez de quoi faire, mais pas de folie ok, ajoutai Annie en se fendant d’un clin d’œil à nous deux.

———————-
Je suivais Sophie dans le dressing des filles. Nous arrivions devant les tenues en latex. Le vert transparent de la tenue que devait porter Sophie détonnait avec le noir brillant de ma future tenue.

– Madame Annie m’a montré hier l’ensemble que tu devais porter, tu vas être charmante, sexy à souhait.
– Je suis un peu gêné Sophie, je ne sais pas comment je vais accepter de me voir ainsi vêtu et les gens vont réagir de quelle façon en me voyant ainsi accoutré ?
– N’ai crainte, je m’occupe de tout. Après être passé entre mes mains, tu seras méconnaissable, en plus ton personnage est très androgyne, comme toi d’ailleurs, ainsi tu ne devrais avoir aucun mal à te fondre dans le personnage. Nous allons commencer par nous mettre à l’aise, ensuite tu passeras ta tenue, je t’y aiderais.
– D’accord Sophie.

Je me déshabillais devant elle, je tentais d’être décontracté, je restais en boxer. Elle m’ordonnait de le retirer, ce que je faisais rapidement, tout penaud.

– Ne fais pas cette tête. J’ai déjà vu d’autres sexes avant le tien, je suis une fille assez ouverte, crois-moi.

Elle faisait le tour de moi. Derrière moi, je sentais une de ses mains me caresser les fesses. Je me tendais brusquement, elle laissait néanmoins ses mains se balader sur mes cuisses et mes fesses.

– Je vois que madame t’a déjà bien préparé, par contre tu n’as pas rasé tes fesses, pourquoi ?
– Je ne le souhaitais pas, c’est tout !
– Comment ça, c’est tout ?!!! Tu ne vas tout de même pas laisser un endroit avec des poils alors que tout le reste est épilé, c’est ridicule. D’autant plus, cet endroit-là, je ne supporte aucun poil personnellement, et tu as bien du te rendre compte de la multitude de sensations nouvelles lorsque l’on est totalement nue ?
– Oui, je dois bien avouer que les caresses n’ont rien de comparable.
– Alors, n’hésites pas, tu as bien plus à y gagner qu’à y perdre. Et puis, au point où tu en es …

J’hésitais un moment, puis me lançais :

– Et, que me donneras-tu en retour ?
– Eh bien, si tu es sage, je pourrais bien te faire une petite gâterie dont j’ai le secret, une spéciale Sophie, hihi !

En fait, je ne m’attendais pas à une telle réponse, du tac au tac. Ça devait se voir, car Sophie ne pouvait plus s’arrêter de rire.

Alors, on fait moins le malin, hein ?!!
– En effet, oui.

Il fallait bien me rendre à l’évidence : elle avait brisé mes dernières réticences.

– Allez, on fonce aux douches, je vais m’occuper de ces petites fesses qui ne demandent qu’à être lisses et douces au toucher. Tu ne t’en plaindras pas.
– Ok.

Je la suivais donc. Avant de pénétrer dans les douches, Sophie prenait une bombe de mousse à raser ainsi qu’un rasoir jetable. Elle semblait pressée. Elle me demandait de me dépêcher. Je passais donc sous la douche, et après un passage rapide sous l’eau, elle m’ordonnait de me retourner, de me pencher en avant en m’appuyant contre le mur, passait la mousse et rasait rapidement, ouvrant fortement mes fesses. Au bout de quelques minutes de ce traitement, très long pour moi, Sophie m’annonçai que c’était terminé :

– Tu peux te rincer, Eric ! Et apprécier enfin une douceur totale, comme une jeune fille !
– D’accord Sophie. Tu sais, je suis quand même gêné de me montrer comme cela devant toi.
– Il n’y a pas de raison, je te trouve plutôt craquante ainsi. D’ailleurs, chose promise, chose due : approche toi que je m’occupe de toi !
– Je trouve étrange que tu parles de moi au féminin.
Eh bien Eric, si tu te voyais, tu n’en serais pas si troublé, crois-moi. Dans un peu moins d’une heure, tu seras méconnaissable. Essaie de rentrer complètement dans le personnage de Trinity, et tu verras que tu passeras une excellente soirée. Je vais t’appeler ainsi à partir de maintenant.
– D’accord Perséphone, hi hi !
– Bien ! Alors tu te décides à venir ou j’annule ma proposition de petite gâterie ?

A suivre

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