Histoires de bons plaisirs… Mâles habiles… par Verdon

Histoires de bons plaisirs… Mâles habiles… par Verdon

Pour toutes celles ou ceux qui, ce matin, ouvrent difficilement un œil, avec la chatte qui colle ou le zizi dans les chaussettes, parce qu’ils se sont masturbés toute la nuit, sachez (si vous n’avez pas lu le chapitre précédent), que nous avons trois amis qui, après une petite soirée des plus lubriques, récupèrent un peu de réconfort, dans un profond sommeil.

L’un s’est endormi sur le canapé de la salle de séjour, tandis que sa bonne salope d’épouse profite de se faire peloter par le second, en haut, à l’étage, dans leur lit conjugal ! (Ben…oui, du moment qu’il n’y a pas de ‘mâle’ ! Hi ! Hi !).

C’est Victor, le mari, jambes ébahies et couilles au frais, il ronfle comme un cochon gavé. Tandis que Georges, son neveu, s’endort, collé au dos de Vivianne, sa chouette d’épouse infidèle qui sommeille en appréciant la moiteur de son amant contre ses fesses.

Nos trois personnages jouissent donc d’un repos bien mérité et relaxant… quelque peu encore imprégnés de ces fameuses effluves âcres et capiteuses, derniers souvenirs suaves et aromatiques de leurs joyeuses lubricités.

(Voyez-vous, il y a tout de même, des gens qui ont du savoir vivre. Vous iriez bien les rejoindre, je parie !).
…………………………………..
Bon, mais ce n’est pas le moment de les importuner…Quoique, je pense que vous devez avoir envie de connaître la suite de leurs petites apartés…

Or, justement, il me semble que le Georges, ou Gégé pour les intimes, commence à bouger, agréablement éveillé par une main ferme mais câline, qui lui taquine délicieusement, la zigounette…

Oui, ce genre de caresses très agréables, que nous avons tous, la si bonne façon de nous faire, dès que nous ouvrons l’œil.

D’abord, entre le pouce et l’index, on se tripote doucement la verge, histoire de réveiller la flemmarde. (Pour se rassurer et sentir sa présence.). Une petite pression sur le prépuce pour le faire sortir de sa cachette. On trousse un peu le couvre-joint !

Ça y est, il montre le bout de son nez. On en profite pour retirer un peu sa cagoule…Hi ! Hi…il aime ça le coquin ! Il se laisse faire le fainéant… Il prend l’air ! Mais il ne s’émeut pas pour autant ! Bon, puisqu’il en est ainsi, on lui rabat le chapeau sur le crâne, et on le pince avec trois doigts sur le bout de son nez ! Ah ! Ah !… Prisonnier ! On le secoue.

Eh bien, cette fois-ci, il se rebiffe… Il étouffe dans sa muselière… Il fait la grosse tête !… Il sort sa trombine de dessous son cache-nez !… Il n’est pas très fier le monocle…Plutôt mollasson !

Eh bien, astiquons donc un peu la tige qui est bien molle
.
Voilà, comme cela…Un peu en avant, un retour en arrière…Humm ! C’est-y pas bon cela !… Allons, encore une fois, puis deux, puis jusqu’au bout et…un retour en arrière !

On sent que ça fait du bien… (Vous aussi ?… Vous m’étonnez !).

En tout cas, Georges, il apprécie. Bien sûr que c’est bon, quoiqu’elle est un peu rude ce matin, la main de la coquine !

Et ce doigt au cul…Pourquoi ce doigt ?… et si gros en plus !

– Oh que tu as un gros doigt, ma Tantine, ce matin !

Intrigué et curieux…Il se retourne.
– Non mais qu’est-ce que c’est ?
C’est toi Tonton ?…Mais qu’est-ce que tu fous là, putain !
– Merde ! Qui est-ce qui est dans mon lit ?
– Oh pardon…C’est sans faire exprès !… Je veux dire…C’est par courtoisie …Tu l’avais laissée seule, Vivianne …Alors je lui tenais un peu compagnie.
– Bien sûr, voyons, histoire de boucher un trou ! Non ? Tu serais tombé dedans par hasard, sans doute !
– Oui, juste un petit tour…Tu ne m’en veux pas au moins ?
– Pas du tout, on a passé une bonne soirée, n’est-ce pas !
– Oui. Mais, qu’est-ce que tu es en train de me faire ? Tu me branles !
– Oui, ça te déplaît ? J’arrête ?
– Oh non continue, c’est tellement bon…Oui, comme ça…Humm !… Tu as déjà branlé des mecs ?… Tu fais cela si bien !
– Ça m’est arrivé, mais pas depuis que nous sommes mariés.
– Ben, vois-tu, je rêvais que je me faisais branler par un jolie fille !
– Hélas, tu te réveilles avec un vieux croûton qui ne bande même pas !
– C’est dommage…Mais veux-tu que je te fasse la même chose ?
– Chiche ! Tiens prend-la, ma bite.

Alors, ils se placent de façon que le neveu soit juste à la hauteur du ventre du tonton, pour lui câliner sa jolie pine qui en effet, n’a pas l’air de vouloir se dégourdir ce matin.

– C’est bon ce que tu me fais là, bonhomme !
– Tu ne bandes pas !
– Mets moi un doigt au cul…ça va venir….

Il hésite le jeune homme…un doigt dans le cul…Sans trop oser, il y va quand même…

C’est vrai qu’il a déjà fait cela avec Vivianne hier soir. C’est la première fois qu’il mettait un doigt dans le trou du cul d’une nana…ça l’a surpris, c’est plus serré qu’une chatte, c’est doux et quand on le remue, le doigt, ça donne l’impression qu’elle en veut encore plus profond !

Alors il pousse davantage et elle mouille…ça doit être bon !

Quand il l’a ressorti…iii…non ce n’était pas du chocolat….Cochonne !

Alors pourquoi pas ce matin avec l’oncle, puisqu’il en a envie.

Bon, voilà que trou-là est encore plus serré !…Allons, une sucette sur l’index et…hop, ça entre… (Il apprend vite le métier, le jeune homme…). Putain ça entre mais ça ne bande pas pour autant !

– Suce-la, suce-la…
– Que je suce quoi ! S’écrie Georges !
– Ma bite, suce ma bite, couillon…fais-moi plaisir ! Regarde, fais comme moi, et du coup le tonton avale la pine dure de son neveu qui en reste estomaqué. Il n’en croit pas ses yeux. Mais il referme vite sa bouche sur le beau membre qui s’y présente.
– Oh salopard !… .Je te suce la bite !… Je n’ai jamais sucé une bite !… Mais que c’est bon !!

C’est à ce moment-là que Vivianne débarque dans la chambrée, vêtue tout simplement d’une nuisette qui ne cache rien de tous ses avantages et en particulier de son joli cul.

– Oh ! Mes gamins…à quoi jouez-vous. Vous vous paluchez l’os à moelle, mes amoureux ! Oh comme des pédés…de vrais tapettes, hi, hi !
Allez-y. Que vous êtes beaux, les mecs !
Tu as l’air de bien aimer cela, mon coquin de neveu!
– Oui Tatie…C’est bon une queue ! C’est moelleux…Oh putain que c’est bon ! Elle est molle celle de tonton, aussi c’est agréable à mastiquer.
Je suis bien con d’avoir jusque-là, refusé de sucer une bonne pine !

Il suce le neveu, et quand on suce on ne peut pas parler. Quand on a une bonne pine entre les dents, il ne faut pas être dérangé. Il s’applique, il salive, il lui met un doigt au cul et avec la langue il vire, vire autour du gland.

Ça fait du bien au sucé…

– Oh oui que ça fait du bien ! Qu’il dit le tonton.

Comme il est prêt à jouir, il laisse s’échapper un petit jus sucré-salé…humm !

Et l’odeur ! Que c’est bon ce parfum un peu brut, un peu sauvage ! (Ce sont surtout les Dames qui aiment cette odeur du mâle ! Et quand l’amant vient de faire des faveurs au cocu…Je ne vous dis pas l’engouement de la salope !).

Il s’y met de bon cœur le Gégé. Bien sûr, il écoute les conseils de Vivianne.

– Sucez-vous mutuellement, l’un sur l’autre… Gégé, grimpe lui sur le ventre, met-lui un doigt dans l’anus, il aime cela !

Eh bien il y retourne au charbon le vicieux neveu et il te lui fourre bien profond…il en met même un deuxième (Il apprend vite ce garçon ! Ben oui, je vous l’ai déjà dit ! Ce sont des choses que l’on n’oublie pas…). En le ressortant, il te lui laisse quelques virgules sur les fesses, mais il s’en fout, il remet ça !

Ça ne bande toujours pas.

– Bon Eh bien descend sur le tapis, Victor et retourne-toi ! On va passer à des choses plus sérieuses. Montre-nous ton cul, chenapan !
Allez viens Gégé on va l’enculer cette lopette !… Tu vas voir, c’est la bite au cul qu’il lui faut…Avec la tienne, il va aimer. Il va crier c’est sûr, mais il va aimer, il t’attend.

En effet, à quatre pattes sur le tapis, il est déjà en levrette et la Tantine revient avec un tube de vaseline qu’elle lui care dans le trou du cul…

Je ne sais pas si vous avez vécu un tel moment…Bite tendue, derrière un beau mec (un peu gras de préférence) qui vous tend en levrette, sa rondelle écarlate.

En dessous de la cocarde, les roustons. Oui de bons gros roustons à faire sauter à la poêle avec une noix de beurre…Non, je déconne…ce n’est pas les roustons qui nous intéressent. C’est le petit trou…C’est là que votre biroute va atterrir, pilotée par je ne sais quel instinct qu’on dit ‘bas’ mais qui haut en sensualité, va booster votre libido comme un obus dans le canon !

Et va s’y qu’il pousse le neveu, pendant qu’elle écarte bien les fesses de son chéri.

– Oh Tata, ça ne rentre pas …il est bouché son trou de balles…
– Mais pousse, je te dis…
Regarde, il a l’anus qui commence à s’évaser !
Pousse que je te dis !… Il va souffrir, il va s’ouvrir ! Il aime ça…

Et elle lui tape sur les fesses. Elle a l’habitude, elle lui enfile souvent un godemiché en bois d’olivier.

Ben oui, il s’ouvre…D’un coup, d’un seul, ça glisse…Il plonge, ras ses couilles dans le troufignon du bon monsieur qui s’arrête de gueuler, le souffle coupé, pour finalement jouir de ce bonheur de sentir qu’il a un bon morceau dans le cul (Il adore !).

– Aïe ! Salaud d’enculeur… Oui c’est bon…Putain tu l’as grosse…Oui pousse encore, secoue-moi les couilles…tu me casse le cul…putain c’est bon ! Fais des va et viens. Oh qu’elle est bonne la pine de mon neveu !

Pendant ce temps, Vivianne, toute guillerette leur tripote les roustons… (Ah oui ! c’est bon ça !). Elle caresse le dos de Gégé et ne peut s’empêcher de lui mettre le doigt, là où ça fait du bien. (Non seulement elles sont vicieuses les nanas, mais en plus elles sont curieuses et touchent à tout ! ça les amusent de titiller un peu l’amour-propre de certains machos qui ont peur de paraître pédés, alors que la plupart…mais il ne faut pas le dire… adorent !).

Vraiment il a une belle pastille le jeune homme. Elle est lisse, ombrée, un peu boudinée et légèrement ouverte, juste pour laisser entrer l’index fripon de la coquine. Quel plaisir de doigter un homme de vingt ans ! Il a de l’avenir ce trou de balles !

Et ses roustons ! Bon dieu quel chef d’œuvre ! C’est tellement bon de les prendre dans la main. Ce sont les couilles qui font l’homme, et là ils sont tous d’accord pour se les faire tripoter ! Et quand elles sont vaches, les mignonettes, elles ont le plaisir sadique de les tortiller leurs ‘coucougnettes’ ……………

Bon, alors, nous en étions où ?… .

Ah oui, Georges était en train d’enculer son oncle qui gueulait. Maintenant, ce n’est plus de crainte mais de plaisir qu’il ronronne. Avec son gros gland Gégé a perforé l’œillet parental et il lui bourre le colon comme bouc en bique !

Il s’y fait le petit trou. On voit qu’il s’est élargi comme celui de sa femme, il prend des airs d’oisillon affamé lorsque la pine se retire !

Alors là, Vivianne, elle se régale, elle se venge…

– Remet-lui la gomme…
Oui, bourre-le, ce cochon ! Fou-lui ta bonne pine, casse-lui la rondelle comme il a fait de la mienne…Va s’y ! Oh que vous êtes beaux, tous les deux !
N’est-ce pas que c’est bon !

Ainsi, la récréation dure un bon moment et nos trois amis se font poliment de bonnes affaires. Gégé décharge dans l’accueillant postérieur de son oncle, une sacrée purée. Ça en bave de toutes parts. L’anus déborde et la pine crache ses derniers jets sur le dos de l’enculé.

Vivianne se précipite pour laper la semence et tout ce qui va avec, sur les fesses de son mari qui, éduqué maintenant comme une ménagère experte, fait la toilette de la pine de son bienfaiteur (ça lui fait quelques moustaches…mais c’est si bon !).

Victor souffle, il se retourne et s’étend sur le dos, pour respirer un peu mieux.

Mais Vivianne n’a pas eu son compte, en dehors d’enfiler son doigt dans les combles du neveu. Elle quitte sa nuisette et s’accroupit au-dessus du visage de son mari, tournée vers ses jambes, en lui présentant son cul, fesses écartées, pour se faire lécher l’anus, comme un toutou qui lèche sa femelle après l’avoir sautée.

– Veux-tu me lécher, couillon, qu’elle lui dit en lui collant son anus sur la figure.

Bien sûr qu’il lui lèche sa jolie rondelle, il ne va pas s’en priver le fouineur ! (Et vous n’en auriez-vous pas fait autant !… ).

Ça lui fait tant de frissons, dans le bas du dos, qu’elle en pisse la salope…comme une jument, à gros flot, sur le visage de Victor qui s’abreuve directement à la source.

Le neveu s’extasie devant cette avalanche de bon jus ! Puis, chevauchant lui aussi le mari, il présente sa pine toujours bien raide, dans le museau de la tantine.

Elle aime, elle raffole. Quels plaisirs, nom de dieu…que de sucer ne si belle pine ! Et par la bouche et par l’anus…un mec, c’est bon, mais deux…c’est le summum.

Fatigués d’être accroupis, nos amoureux se redressent et elle se plante, jambes ouvertes sur le sexe rigide de Gégé qui la soutient par les fesses. Suspendue par ses bras, autour de son cou et les chevilles plantées dans son dos elle s’accroche à lui.

Mais, déséquilibrés par le poids et leur emportement, ils basculent sur le lit, toujours l’un dans l’autre, et Gégé se met à baiser sa tante, avec une fougue dont il ne se saurait jamais cru capable.

Oh que c’est bon !… Oh qu’il est bon !… Oh qu’elle est bonne !…

Ils vont mourir de plaisir.

Elle s’ouvre au maximum, crie, le griffe dans le dos, elle le mord dans le cou, lui fait un bouche à bouche en lui avalant la langue…

Il la bourre, lui rabat les cuisses au-dessus de la tête, les jambes au plafond, elle s’ouvre comme une moule de Bouzigues, fendue de chairs rouges. Puis il s’affaisse sur elle en lui écrasant les seins…Elle crie son orgasme !

À son tour, elle se prend une grosse giclée de foutre dans la chagatte et les draps s’en souviendront longtemps, tant ils se retrouvent barbouillés de mouille et de jus d’homme.

Victor, assis sur un coin du lit, (toujours en se branlant), n’en revient pas ! Ça lui rappelle des moments aussi intenses vécus avec sa facétieuse épouse. Il en est admiratif et tout émotionné, non sans une toute petite pointe de jalousie (c’est si bon la jalousie, c’est le bonheur du gentil cocu !… ).

Alors il laisse les deux amoureux récupérer en se câlinant sur le lit et il descend, à poil, préparer dans la cuisine un bon repas pour remettre tout ce gentil monde, en forme.

– A table ! les enfants, venez refaire le plein, vous en avez besoin !

Nos deux fripons vont donc le rejoindre au rez-de-chaussée, il a simplement revêtu un tablier qui laisse découvert son postérieur…hi, hi ! Il est marrant comme ça, il joue à la soubrette avec le cul nu. Gégé ne peut pas s’empêcher d’aller lui flatter l’arrière-boutique…voilà qui lui plaît bien au cuistot qui frétille du cul comme une fille du Crazy Horse…une bonne claque sur les fesses et ça le calme ! (Ben zut alors !).

Bon dans l’après-midi, c’est le moment d’aller faire un tour dans la nature, histoire de changer d’air.

Et justement, question d’air, il y a Lucie, la femme de ménage qui arrive faire son service hebdomadaire et aérer la maison…Alors là, elle va être servie en ce qui concerne les bonnes odeurs et la propreté des draps et du tapis !

– Oh, mes salauds ! Ils se sont fait une sacrée virées mes cochons !… Ils ont débloqué à fond les cochons…Et qui c’est qui va éponger tout cela ! Bien sûr c’est la belle Lucette, c’est moi…Ah les crado.

Elle a l’habitude Lucie ! Elle les connaît ces gens-là…Oh ils ne sont pas méchants…au contraire il est même gentil le patron…un peu trop quand même…Il touche un peu à tout le fouinard et sa greluche qui ne dit rien !

C’est vrai qu’elle est jolie, la conasse…Bon le mari, encore passe, on doit pouvoir faire joujou avec lui…Il a du fric…Mais elle ?… Quoiqu’avec elle !… sait-on jamais ! Mais le jeune homme !… Ben oui le jeune homme….
…………………………………
Ainsi, notre petit monde lui laisse la place pour la laisser seule à son agréable travail.

Chacun sort de la maison en la croisant dans le couloir, avec un petit mot gentil, …

– Bon après-midi, Lucie et bon courage (il va lui en falloir !), lui dit la tante…
– Attention de ne pas glisser !… (ça c’est bien de l’oncle !…).

Quant à Gégé qui a pris de la graine en quarante-huit heures. Il craque devant le divin sourire de la boniche et vue l’insolente éloquence de son petit cul à peine camouflé par une jupette raz-mini, il se permet, tout guilleret, de lui flatter un peu le chose !

– Paff !!

Oh la putain de claque !
Quelle hardiesse !
Quel affront !
(Pourtant, une si petite gentillesse !)

Et vlan elle te le pousse dehors et elle claque la porte, la furie !…….

– La garce ! Qu’il s’écrie en se tenant la joue, hébété et vexé, devant l’oncle et la tante qui le narguent, en souriant gentiment…
– Tu viens d’apprendre, lui dit Vivianne, qu’une Femme, c’est comme une porte, il faut frapper avant d’entrer…Hi ! Hi !…

A-t-il compris la leçon…On verra bien !

Demain elle doit revenir pour faire une lessive…

……………Parions qu’elle aura toujours la jupe aussi courte !… …

09/06/2025

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Une réponse à Histoires de bons plaisirs… Mâles habiles… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Gaudriole et famille tuyau de poêle, l’esprit de Rabelais n’est point mort !

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