Histoires de bons plaisirs – 4 – Rosie entre de bonnes mains…
Alors comme ça la p’tite Dame, on n’a pas mis de culotte ce matin ?
C’est du beau de surprend son mec en plein travaux d’intérêts, pour vous jeter dans les bras de Tantine qui vous ouvre les fesses comme un bijoutier un écrin pour montrer une perle rare à un bon amateur !
Mais je crois que votre homme a sûrement l’intention de la ravir cette petite perle !
Ola ! Voilà mon histoire qui démarre sur les chapeaux de roues si j’en crois l’attitude de l’insolente Rosie qui se trimbale avec son cul trépidant sous le nez de son amoureux dont la bite éconduite tourne autour d’une destination apparemment précise. Lucien cherche à la saisir (Rosie, pas sa bite).
Poussée par ce sentiment de vouloir à la fois résister et s’abandonner à ses envies lubriques, la Belle refuse un peu l’empressement de Lucien. Elle s’échappe, se réfugie dans les bras d’Huguette tout en rigolant, en remuant son petit cul et en jetant des coups d’œil furtifs et intrigants à son chéri…. (divine salope !).
Tantine en profite pour commencer à lui enlever ses fringues. Elle rigole la Rosie en se débâtant, mais pas si innocente que ça elle vire elle-même sa chemise et va se coucher en 69 sur Huguette qui s’est allongée la tête au bord du lit.
Celle-ci, le nez entre les cuisses de son élève lui passe une langue baveuse sur son anus et précautionneuse, la tante a déjà prévu un tube de vaseline pour apprêter d’un doigt vicieux et attentionné le lieu du sacrifice avec une bonne noix de l’excellente pommade qui va faciliter et radoucir les investigations d’un Monsieur fort bien emmanché et très pressé….Alors elle enfourne dans l’étroit pertuis son index et y ajoute même son médium afin d’élargir un peu plus le délicieux chemin parfumé.
– Hum que c’est bon ce que tu me fais Tatie !
Ah quel délicieux moment, quelles délicieuses sensations que ce bout de doigt qui lui bichonne le petit trou. Elle le serre son anus, que c’est bon ce délicat doigté qui passe et qui repasse sur son petit trou plissé. Un petit tour autour, un petit tour dedans….hum ! Avec le bout de son ongle et très délicatement, Huguette écarte les petits bourrelets de chair du fameux bijou pour faire pénétrer le membre digital. Elle apprécie la cochonne Rosie qui enfouie dans les rondeurs moelleuses de ce corps mature se laisse congratuler, masser, caresser et pousse son cul vers les mains de sa bienfaitrice qui lui ouvre les fesses….hum !
Entre l’envie de s’en séparer et le plaisir que cela lui fait, elle n’hésite pas la Rosie, elle remue son cul pour bien faire entrer les deux bons intrus. Hi, Hi ! Que c’est drôle ces deux doigts crochetés dans le fond de l’anus. Ça l’excite, ça la chauffe, ça la chatouille tellement qu’elle en pisse la cochonne, un bon jus doré qui s’écoule sur les nichons d’Huguette qui du bout de la langue cherche à se désaltérer en buvant à la source bouillonnante de la bonne pisse de salope en chaleur.
Lucien tourmenté par le spectacle de ces deux garces qui se chevauchent en 69 et se roulent sur leurs seins, bande de plus en plus, il ne tient plus en place.
La position de la jeune femme est stimulante. Sur Huguette elle est à l’aise, excitée, prête à dépasser le frein de ses appréhensions. Elle se sent en sécurité sur les gros mamelons de sa tante. Elle sait bien ce qui va lui arriver mais oui elle le veut bien.
L’intensité érotique est à son comble. La vue, l’odeur de pisse sont euphorisantes. Derrière Rosie, Lucien s’apprête maintenant à glisser son sexe bandé dans sa chatte baveuse pour en recueillir les délicieuses humeurs.
– Hum ! Oh oui c’est bon murmure Rosie chamboulée par l’introduction de cette grosse pine qui flatte et remplit son minou. Elle resserre son vagin, elle veut garder la chose dans son ventre.
Mais son diable de mari ne l’entend pas de la même façon. Il se retire, laissant sa Chérie un instant frustrée, et brandit son gros vireton vers le virginal croupion grand ouvert grâce aux bons soins de la Tatie. Consentante la coquine se met en boule, puis la croupe bien levée elle attend, les dents serrées, le cœur battant, et les cuisses écartées.
Huguette en profite pour bouffer les couillons qui bringuebalent au-dessus de son front. Ça dope Lucien dont la verge sortie luisante du conin de Rosie se présente sur la petite rondelle. La fraîcheur de la vaseline et le délicat baiser du gland que Lucien dépose sur son anus tout chaud, lui donnent de délicieux frissons. C’est une sensation merveilleuse pour Rosie si bien préparée à cette pénétration.
La pression de Lucien sur le docile orifice ouvre le passage au gros bouchon qui entre majestueux par la petite porte. Elle le sent qui avance dans son corps avec ce rude frôlement que fait le gland dans son anus et qui l’entraîne déjà dans un état second de jouissance… toutes ses craintes s’estompent.
Il pousse davantage, elle s’abandonne…. Elle est à lui…. Elle le reçoit.
Saisissant la jeune femme par ses poignées d’amour, avec élégance Lucien enfile alors délibérément l’ambitieux d’un seul coup, d’un seul !… Elle a dit :
– Aye !… Oh là mais tu m’encules !
– Si peu ! Si peu, qu’il lui répond l’obsédé, d’un petit air narquois, satisfait et fort occupé…. C’est-y donc pas pour ça que tu as le cul en l’air ma Salope ?
– Mais c’est qu’elle est bien grosse !
C’est que l’occasion étant bonne et grâce à la complicité de la Tante, le Lucien ne s’est pas attardé à quelques formules de politesse qui souvent rompent le charme d’un bon dévergondage et ce n’est pas la récipiendaire qui s’en offusque… bien au contraire…. instruite et consentante elle ouvre le bocal…
Ça devait arriver, c’est dans l’ordre des choses, se dit-elle non sans quelques grimaces et une bonne dose d’émotions.
Car une fois enculée, elle prend, elle apprécie dirait-on, elle lève sa croupe en redressant la tête pour gémir des » Oh oui ! « , des » Oh non ! » Et puis elle baratine un tas de balivernes que l’on ne comprend pas mais que toutes Dames disent en telle situation. Car on sait bien que l’homme étant à ses affaires sérieusement occupé, il ne peut être distrait par tous ces bavardages.
D’ailleurs il ne va pas s’arrêter en si bon chemin et il en rajoute :
– Oh ce putain de cul ! (et il l’encule), …Oh qu’il est bon ! (et il recule)… Ouvre-le donc Salope, tu la voulais ma bite, tu la sens bien, aller remue ton gras ! (et il l’encule de nouveau)…Elle est trop grosse ! Va donc elle est bien bonne ! Dis-moi qu’elle est bien bonne !
– Ouille ! Bien sûr qu’elle est bonne mais putain qu’elle est grosse !
Il la bourre comme ça pendant un bon moment à grand coups de reins, il la tient par les hanches, il claque son pubis contre ses fesses. Il ne dit plus rien, il savoure. Elle aussi. Dessous je ne vous dis pas ce qu’encaisse Huguette ! Mais tout de même elle est à la bonne place, c’est elle qui l’a choisie. La vue est magnifique et quelle femme un tant soit peu salope ne serait pas envoûtée par la vue de ce généreux sexe entrain de pilonner le joufflu d’une amante voire celui d’une rivale !
Rosie relève son cul, arrondit son dos et se tend davantage en s’agrippant aux cuisses d’Huguette pour s’enfoncer sur cette bonne pine. Lucien jouit très fort et elle aussi sans doute mais elle ne le sait pas, tant il se la secoue. Elle a l’impression qu’il lui éclate le cul, qu’il lui remplit le derrière, elle se sent encombrée, écrasée sur le matelas, ça lui fait mal aux seins. Ça lui fait des frissons. Oh diable ! Mais il n’en finit plus, il va aller jusqu’où ? Elle tape avec ses mains sur le matelas.
– Arrête ! Arrête…Oh non, oh oui, continue, continue…..c’est bon !… .c’est bon….c’est bon ! Mais putain qu’il est gros ! Qu’il est long ! Qu’il est dur !
Un peu sadique, Lucien prend plaisir à sortir son vié pour le rentrer de nouveau fermement. C’est si bon de sentir la rosette s’ouvrir au passage du gland pour se refermer aussitôt sur sa tige turgescente !
– Oh !… Ouille !… Hum ! qu’elle dit à chaque fois.
Tantine la caresse, l’embrasse, lui tapote les fesses….l’encourage.
– Oui vas-y ma chérie, laisse-toi faire, offre-la ta rondelle ! tu as un bon mari, il te fait ça si bien !
Vraiment salope la Tatie : Vas-y ma chérie !… , ben quand ce n’est pas son cul….pas de raison de s’en faire !….et puis elle mouille aussi….un brin de jalousie ne serait pas étonnant, n’aimerait-elle pas prendre la place de sa nièce la lubrique Tatie !
Il s’emballe le Chéri, il sort, il entre dans le p’tit trou béant. Il la chamboule Rosie et n’en finit pas de rentrer sa pine et de la ressortir emmouscaillée, jaillissant de l’œillet, encapuchonnée comme un moine. Replonge dans le décor !
Tantine méticuleuse rattrape le bel engin chaque fois qu’il dérape et le remet en place. Non sans se gaver du plaisir de saisir et de voir cette grosse gaillardise faire un si beau travail. Il faut dire que la Rosie a le trou qui s’y prête, ébahi, rondelet, docile et insolent, il a cette élégance qui plaît bien aux messieurs.
Allongée sur Huguette qui tient bien le coup malgré le poids des deux amoureux sur son ventre et sur sa poitrine Rosie ne vit plus, elle ne sait plus où elle est… sur un nuage peut-être, dans l’océan, ailleurs, elle flotte, épinglée, fendue par quelque chose qui l’encombre divinement.et qui soudain ne bouge plus après une immense poussée de son Lucien qui semble la pénétrer jusque dans l’estomac.
Encore deux ou trois coups pour bien finir la tâche….et voilà c’est fini, il lui a tout donné, il ne bouge plus, elle souffle…
Bon sang ce qu’elle est bien, la tête ballante, le nez enfoncé dans l’échancrure broussailleuse et humide de sa belle Tatie.
L’agrément terminé, Rosie est toujours là sur son petit nuage, affalée sur les seins et le ventre d’Huguette, elle se détend, elle ronronne. Elle sent qu’on la cajole, qu’on lui masse les fesses elle ressent un grand frisson quand Lucien lui fait glisser ses doigts du creux de ses épaules jusqu’à la commissure des fesses. Ensuite elle le sent qui se retire. Encore un peu bandé, il l’encule à l’envers, l’impoli, en retirant son gland encore bien ferme qui dilate de nouveau sa rondelle assoupie qui se referme de suite pressée de conserver quelque flot des humeurs dont elle fut gratifiée et dont quelques perles d’argent fusent encore insolentes.
Placée aux premières loges devant ce beau spectacle, la gourmande Tantine a la joie de laper le fuyard laqué de quelques étourderies dont la Dame novice au petit cul malpropre sera bien pardonnée :
– C’est qu’une pine qui sort d’un petit cul tout neuf, ça ne se mégote pas, ça a des saveurs de jouvencelle, qu’elle s’écrie la mature, le visage aspergé par les dernières giclées de l’outil bienfaiteur.
Sur les conseils de sa bonne maîtresse, pour apprendre le métier, Rosie la remplace et fait la même chose avec beaucoup de tact. Elle adore retenir le gland turgescent qui devenu très sensible cherche à se sauver, mais elle le retient entre ses lèvres, histoire de taquiner un peu son mari qui n’a pas eu de meilleurs égards tout à l’heure pour son p’tit trou du cul.
Bon, laissons-la s’essuyer la bouche et se jeter de nouveau dans les bras de Tantine.
Lucien s’est redressé et se glisse entre elles ses mains posées sur leurs têtes, laissant son sexe un peu moins fier et ses roubignolles, batifoler dans la voluptueuse profondeur de leurs seins et la chaleur de leurs lèvres.
– Vous avez été superbes mes Chéries !
Ah ! Tiens, revoilà ma cocasse voisine. Elle m’a l’air tout excitée…Elle a les yeux qui brillent… bof, c’est souvent comme ça chez elle.
– Hello qu’est-ce qu’il t’arrive ?
– Ce soir j’ai un beau noir qui vient me voir !
– Oups ! Un beau noir ! Bravo, mais attention à tes miches, ils sont bien équipés ces gars-là !
– Hé ! J’en ai vu bien d’autres…Tu en douterais peut-être !
– Non loin de ça, » je vous sais capable de tout ‘Mademoiselle’ « …Je t’attends pour connaître la suite…
Elle est repartie ma p’tite vieille en remuant son cul comme une jeunette.
Oui, je suis impatient de connaître la suite…et vous ?… ..
12.08.21
Quel style ! Des histoires comme cela ça se déguste !
Encore un bon moment de lecture, mais attention, il va falloir se renouveler sous peine de tourner en rond !