Foulard et massage par Muriel De Lorient

Foulard et massage par Muriel De Lorient


Nous sommes à la mi-mars, entre froid et printemps. Il n’est pas tard mais la fraîcheur est là. L’excitation et l’appréhension aussi. Comme d’habitude je suis en avance à mon rendez-vous. Je suis garée devant l’hôtel en pleine lumière pour ne pas louper ton arrivée. J’écoute une musique entraînante comme pour me donner du courage.

J’ai fait en sorte de me vêtir conformément à tes souhaits. Une paire de chaussures féminines me changeant de mes habituelles bottes ; j’ai mis une jupe, un haut noir très échancré comme tu les aimes. Pour ce qui est de dessous, j’ai un ensemble bleu tout en dentelle, n’étant pas adepte des bas et porte-jarretelles, je me contente d’un collant résille. Je me sens presque nue dans cette tenue féminine mais qu’importe j’ai promis. J’ai bien pensé à porter un foulard pour que tu me bandes les yeux en arrivant dans la chambre ainsi que l’huile de massage sous laquelle je dois succomber de plaisir.

Ce soir tu as décidé d’arriver en voiture, laissant la moto pour une prochaine fois…je guette donc toutes les voitures entrants dans ce parking Enfin je crois te reconnaître, il est vrai qu’il existe toujours un décalage entre photos et réalité. Mais je ne suis pas déçue. Je sors de ma voiture, le ventre noué, gauche comme une débutante et pourtant bouillonnante d’envie. Une fois garé, tu t’avances vers moi, un sourire au coin des lèvres. Je ne sais pas ce que tu penses, tu me détailles, suis-je à ton goût ? J’articule un timide bonsoir que tu t’empresses d’étouffer par un baiser. Déjà je sens ta langue écarter mes lèvres comme pour prendre possession de moi, et me montrer qui est le maître.

Tu me glisses alors à l’oreille un bonsoir rempli de promesses. Mon ventre se dénoue un peu. J’ai aimé ta langue, j’ai aimé la façon dont elle a fouillé ma bouche, la manière dont elle a caressé la mienne.

Nous rentrons main dans la main dans le restaurant. Nous aurions pu directement aller dans notre chambre pour venir dîner ensuite, mais nous avons convenu de faire durer l’attente et d’allumer la flamme peu à peu par des regards, des mots, des frôlements.

L’employé nous dirige vers une table isolée des regards, je me dis alors que tu vas prendre plaisir à me troubler sans aucun remord…

Après avoir pris place en face de toi, un silence s’installe, nos regards se croisent, je ne baisse pas les yeux. Ta main se pose sur la mienne, enfin sur ma paume que tu commences à caresser doucement tout en me souriant, ce qui a l’effet immédiat de me donner la chair de poule.

Je suis à ton écoute, à tes ordres, à tes désirs. Mon décolleté attire ton regard ; j’ai réussi mon effet, tu vois la naissance de mes seins, le sillon qui n’attend que ta langue, que tes mains expertes. Je te dévisage sans gêne, plutôt avec envie, un message muet que tu décryptes sans peine. Je me sens comme nue devant toi, attentive au toucher de tes doigts, aux caresses dont tes yeux m’enveloppent. Nous parlons de tout et de rien, plutôt de rien, les silences entre nous étant aussi parlant que de longs discours inutiles.

Le repas suit son cours ; je t’ai confiée être plus à l’aise, plus entreprenante sous l’effet de quelques verres. Donc tu me sers généreusement. La réaction ne se fait pas attendre, me voilà un pied sans chaussure en train de te caresser la jambe, montant au plus haut que je puisse faire. Tu as compris là, à cet instant, que la partie commence véritablement et que les allusions, les effusions vont fuser.

Sur un ton mi-tendre, mi-autoritaire, tu me réclames ma culotte, tu veux sentir son humidité sur ton gland qui gonfle peu à peu, la glisser au vu et au su de tout le monde dans ton pantalon qui devient de plus en plus étroit…

Tu me regardes dans les yeux et par moment ton regard descend sur mes seins moulés que tu imagines gonflés, n’attendant que tes mains, ta bouche gourmande ; le repas dure un peu, tu as chaud, la nappe descend assez bas sur les côtés de la table et je sens ton pied venir au contact du mien… et tu me dis : « ouvre tes cuisses doucement pour moi » et ton pied accompagne tes paroles. Tu me sens de plus en plus troublée….

Tu me dis doucement : « Ecarte toi encore plus ». Tu lis dans mon regard que je suis très troublée… ta main passe sous la table et je devine que tu la poses sur ton sexe gonflé…

Entre cette vision de ton excitation qui vient frapper mon esprit, ton pied que je sens monter de plus en plus, mes cuisses suivant le mouvement, j’ai une montée d’adrénaline et d’excitation mêlées qui font que d’un coup, comme une vague je me sens dégouliner de plaisir, d’une humidité qui n’est que trop parlante au vue des actes que nous faisons, là, innocemment à la vue de tous.

Je ne peux alors que m’exécuter et aller aux toilettes, je sens ton regard sur mes fesses et le plaisir n’en est que plus intense. Je sens cette humidité à chacun de mes pas, je sens mes seins se tendre impudiquement vers les gens que je rencontre, j’ai l’impression que tout le monde voit sur mon visage que je suis un peu éméchée, très excitée et très humide…

J’enlève cette culotte qui brille d’une lueur lubrique à mes yeux. Je ne m’essuie pas comme tu as bien précisé, je dois rester mouillée. Je roule ma culotte en boule, j’évite de me toucher le sexe car je sais qu’un rien, à ce stade peut me faire partir…Je garde ce plaisir pour toi.

Je reviens rouge de honte ou rouge d’envie je ne sais plus trop, je me dis que nous n’avons pas encore fini de dîner et que je vais remonter dans la chambre avec la jupe complètement trempée si notre petit jeu continue…

Je m’assois, troublée et en attente de ta réaction, je viens de glisser ma culotte dans ta main tendue qui a l’air de rien rejoint sous la nappe ton sexe que je devine tendu sous le boxer qui n’en peut plus de te compresser. Calmement je reprends mon repas, pourtant je sens que ton regard ne quitte plus mes seins, je sens ton pied monter vers mon intimité trempée, ma jupe est complètement relevée afin d’éviter quelques traces fâcheuses.

Mes seins sont tendus, ils vont s’échapper eux aussi et tu le sens aussi bien que moi, c’est pour cela que tu me demandes, si possible de les libérer, mais ici, à table, je savais que tu me le demanderais et j’aurais pu le faire avant, dans les toilettes, mais là encore je joue le jeu.

Je regarde autour de moi l’agitation des gens, je te regarde dans les yeux, ton regard  » amoureux  » m’y encourage, je te suis tellement soumise à cette instant que je ne réalise pas trop comment je m’y prends mais me voilà, lentement, qui dégrafe mon soutien-gorge faisant mine de le rajuster…voilà un coté qui lâche puis voilà l’autre, j’attends quelques instants et là faisant mine de me frotter l’épaule je fais successivement descendre les bretelles jusqu’aux coudes.

Discrètement tu as ouvert ta braguette et glissé ma culotte dans ton boxer déjà très tendu, c’est carrément obscène…

Tu vois le bout de mes seins pointer à travers le tissu… Je me demande si tu ne fais pas durer le repas exprès pour faire encore plus monter la pression…Ton pied remonte entre mes cuisses, jusqu’à effleurer mon sexe. Et tu me dis doucement : « Je ne pense pas que tu sois assez écartée, ouvre-toi largement ». J’ai prévu à cet effet un de mes collants résille ouvert en son milieu de sorte que ton pied peut s’y introduire sans difficulté.

D’un geste presque anodin je récupère une à une mes bretelles et subrepticement j’enlève mon soutien-gorge que je glisse dans mon sac. J’espère que personne ne m’a vu. Si c’est le cas, ils doivent bien se douter du ballet érotique qui se joue à cette table.

Me voilà offerte à ton regard, nue sous mon chemisier et nue sous ma jupe… je vois à tes yeux que tu apprécies ce que je viens de faire, j’avais promis et j’ai tenu mes promesses. J’ai les cuisses complètement ouvertes sous la longue nappe qui recouvre la table. J’ai comme l’impression de fondre, de me vider de l’intérieur ; je suis si humide que je crains de ne pouvoir me lever tout à l’heure, et cette pensée te fait sourire, tu aimes à me torturer ainsi, allumant mon désir, cultivant mon plaisir pour ta plus grande satisfaction. Ton boxer n’en peut plus de rétrécir sous le gonflement de ton sexe enveloppé dans ma culotte humide. C’est ma seule vengeance…

Ta main ne lâche pas la mienne. Ton autre main caresse ton sexe, je le devine dans ton expression de béatitude. Je ne dois pas me toucher, je dois subir la montée de mon désir, la montée du tien que je devine et qui m’excite aussi. Le serveur nous regarde, je le sens du coin de l’œil, il devine la scène et n’ose pas s’approcher ou en profite, va savoir…

Le repas s’est passé sans que nous ne fassions vraiment attention au contenu des assiettes. Je sais seulement que mon verre était toujours plein. Mes yeux pétillent maintenant, mes lèvres s’entrouvrent pour être caressées par ma langue et mordillées par mes dents, j’ai envie de toi et tu le vois mais tu n’en pas encore fini de me torturer.

Mais l’heure est enfin venue de rejoindre notre chambre. Moment délicat dans la mesure où déjà à l’étroit dans ton pantalon tu as de la visite en la personne de ma lingerie. Moment délicat car j’ai l’impression que tout le monde remarque que je n’ai pas de soutien-gorge, mes seins tendus et les tétons saillants à travers mon corsage.

Tu me proposes de quitter la table en me regardant dans les yeux… tu imagines, à raison que je vais être très gêné au moment de me lever avec mes seins libres et mon entrejambe trempée.

Tu me prends la main pour quitter la table et nous sortons de la salle de restaurant.

Notre chambre est à l’étage, nous empruntons l’escalier, je passe devant toi, ton regard se pose sur ma croupe… que tu n’avais jusqu’à présent qu’entrevue.

J’ai l’impression d’être nue sous ton regard, je sens mes cuisses glisser l’une contre l’autre. .mes seins ballotter au rythme de mes pas. Tu me suis de près, de très près, je sens ta chaleur animale m’envelopper, me happer pour un corps à corps voluptueux.

Pourtant je sais que tu ne pas va céder si facilement. Nous avions convenue d’une chose auparavant et je sens que tu vas t’y tenir…Tu m’ouvres la porte de la chambre, tu me prends mon sac à main pour y chercher ton objet de torture, de douce torture. Tu me demandes alors de stopper là. De rester sans bouger, tu sens mon cœur battre la chamade, mon ventre palpiter, mes membres trembler. Tu passes alors derrière moi et tu me bandes les yeux, d’une main douce mais ferme.

Là je comprends que je suis à ta merci, corps et âme. Je ne dois pas parler non plus, tu commentes un à un ce que tu vas me faire subir. Habituellement je suis complexée par mon physique mais là, l’alcool aidant, toute honte bue, je me laisse déshabiller, en pleine lumière sous ton regard expert.

Tu es à mes genoux, me soulevant pied après pied pour ôter mes souliers. Tes mains montent tout doucement vers mes hanches pour m’enlever ce collant. Tu passes tes doigts sur mes mollets, caresse mes genoux, effleure mes cuisses pour arriver à mon entrejambe plus que trempée à présent. Tu n’y touches pas, pas encore, tu me tortures, tu te contentes tout simplement de descendre ce collant aussi doucement que tu as levé les mains sur moi….

Je ne bouge toujours pas. J’ai maintenant les jambes nues sous ma jupe. Une fois le collant jeté dans un coin tu entreprends de me caresser les seins sur le chemisier. Tes mains remontent doucement le long de mes formes généreuses, un peu trop peut-être mais là n’est plus la question, je dois en oublier ma gêne et m’offrir à ta vue, à tes mains…tu t’attardes sur mes fesses, mes reins pour passer devant, caresser mon ventre et enfin, oui enfin toucher mes seins. Ils sont tendus, ils pointent, ils palpitent…un à un tu les soupèses, délicatement, un à un tu les palpes plus fermement, je gémis sous la caresse ou la torture, je ne sais plus, je ne dois toujours pas bouger, je suis devant le lit. Tu me regardes tu cherches les bouts dressés et puis soudainement, tu me les prends à travers le tissus, complètement, dans tes deux mains, tu ne peux résister, tu les enserres, tu les presses contre moi…je lâche un soupir d’aise, de douleur et d’envie mêlés, je ne vois pas ton sourire satisfait, je devine ton envie, tu viens te frotter contre moi, rapidement mais assez pour que je sente ton sexe dur et gonflé dans ton pantalon…

A ce moment-là tu m’enlèves mon chemisier et me laisse quelques instants, toute pantelante, le souffle court. Tu viens les soupeser à nouveau et tu y pointes un bout de langue sur chaque téton, rien que cette caresse m’arrache un frisson de la tête au pied. Je demande silencieusement à ce que tu m’ôtes le reste, enfin le peu, tu fais donc glisser ma jupe jusqu’au sol. Là, je suis complètement nue, je n’ose penser ce que tu peux penser de moi, de mon physique tout en rondeur ou trop, la question ne se pose plus, toute honte bue, je m’offre à toi, seins tendus et entrejambe luisante de plaisir…

Tu t’assoies sur le lit et tu m’attires à toi, debout. Entre le moment où tu m’attires à toi et le moment où tu me touches, tu me demandes, à tâtons, de te déshabiller, juste te déshabiller, obéissante, je m’exécute. Tu es donc aussi nu que moi quand tu m’approches de toi. Tu as les jambes ouvertes, le sexe tendu je le sens contre ma cuisse. J’ai les seins à hauteur de ta bouche. Tel un nouveau-né, tu viens téter ; tes mains enserrent mes larges hanches contre ton torse. Tu me presses contre toi, tu mordilles, tu suces ; tes mains vont et viennent, malaxent mes fesses et mes seins alternativement. C’est une sensation exquise qui me donne un plaisir non dissimulé qui font retentir dans la chambre des gémissements des plus troublants. Tu fais exprès ne de pas toucher mon sexe qui est pourtant à ta merci. Tu me fais asseoir à ta place ensuite et me fait ouvrir grand les jambes ; offerte à ton regard, j’ai une posture complètement impudique. Tu mesures alors l’étendue de mon excitation, j’ai le sexe brillant, gonflé, le clitoris saillant dans cette humidité.

Tu regardes mon clitoris gonflé, tu me demandes d’écarter mes lèvres pour qu’il sorte encore plus… Je m’exécute et c’est totalement impudique que je sens ton regard posé sur moi, tu aperçois mon miel qui commence à ruisseler à la naissance de mon sexe… tu veux que j’écarte plus… j’obéis… et à ce moment-là tu approches ta bouche sur ma chatte offerte… u entreprends de lécher ce qui est brillant sur le haut de mes cuisses, pour me faire languir… encore. Je tends mon corps vers toi, je m’avance sur le bord du lit pour mieux être offerte à ta langue, avoir mes fesses offertes à tes mains, avoir mes seins sur toi.

Soudainement tu t’arrêtes, et je comprends soudain que nous allions trop vite, comme emportés dans notre élan, par une vague de plaisir incontrôlable ; tu me demandes si j’ai pensé à prendre l’huile de massage, et d’un hochement de tête j’acquiesce. Tu vas alors, me laissant là, pantoise et tremblante de désir, chercher un drap de bain que tu poses sur le lit. Je suis obéissante, je ne bouge pas, ayant toujours le bandeau sur les yeux. Tu m’aides alors à m’allonger sur la serviette au milieu du lit ; pour faire encore durer mon attente, tu me fais mettre sur le ventre afin de me masser le dos, les fesses, les cuisses.

Tu débouches le flacon, une senteur d’herbes aromatiques emplies la pièce. Petit à petit tu poses tes mains enduites d’huile sur mes mollets et mes cuisses, imperceptiblement j’écarte les jambes, je cambre les fesses, mes soupirs se font plus longs, plus lents, tes caresses plus précises. Je sens aussi ton souffle devenir court, tes mains plus fébriles. Je sens ton sexe palpiter contre ma hanche, son humidité me caresser la peau y laissant sa trace ; nous sommes tendus mais nous jouons le jeu. Tu viens maintenant me masser le dos, les épaules ; pour cela tu te mets à genoux sur moi et le va et vient de tes mains est coordonné au va et vient de ton sexe dans mon sillon fessier, mais à peine, il l’effleure et cela n’en est que plus excitant et plus insupportable à la fois. Pourtant tu sens que mes fesses se tendent vers toi, réclamant leur dû, criant leur faim de toi…. C’est à la fin du massage, à plat ventre, juste avant de me retourner sur le dos, que tu craques mais si peu et si intensément, qu’un sentiment bref et intense de plaisir me submerge pour laisser place à la frustration, d’un coup de rein bien ajusté et sans aucune difficulté vu l’humidité régnante, tu viens me pénétrer, un seul coup de rein, un seul va et vient, bref, violent, intense qui m’arrache un cri de plaisir puis un soupir de déception. Tu émets un grognement bref mais tout aussi puissant que le sexe que je sens, trop brièvement, en moi.

Puis me voilà sur le dos, offerte à ton regard, je ne rougis plus, ma honte est passée. Je ne vois pas ton regard mais je sens ton sourire prédateur, je devine ton sexe brillant de mon excitation tout autant frustré que le mien, j’attends que tes mains se posent sur moi, un peu d’huile en leurs paumes.

Cette fois ci tu vas commencer par les épaules me dis tu, tu t’assoies à mes côtés de façon à masser facilement mais avant tu me  » récompenses  » je sens ton souffle s’approcher de mon visage, j’ai les lèvres entrouvertes et humides. Nous entamons alors un baiser doux et chaud, lent et profond, câlin et tendre. Nos langues se mêlent, s’entremêlent, se cherchent, se taquinent, nos lèvres s’entrouvrent et se mordillent…..c’est un baiser sans fin qui décharge un peu d’adrénaline mais qui est si long, si bon, si intime, il dévoile nos envies profondes, un abîme sans fond…Tes mains n’ont pas quitté mes épaules, ton torse n’a cessé de caresser mes seins tendus, par de douces pressions. J’aime ta langue, j’aime ce baiser qui n’en finit plus, qui me fait devenir liquide…une intimité nouvelle se crée, un baiser si long, tendresse entremêlée de fougue, quel mélange, je savais que tu aimais ça et inversement mais franchement je n’imaginais pas un ballet si sensuelle, un échange si… .Je n’ai pas de mot… enfin nos lèvres se détachent, nos souffles sont courts, nos mains moites….

Toujours les yeux bandés je ne peux voir le regard satisfait et gourmand que tu poses sur moi, mais je le devine et les traits de mon visage exprime sans doute la même satisfaction. Tu entreprends alors de laisser tes mains aller sur mon corps, peu à peu, par touches légères et pressions sensuelles alternées. Tu masses silencieusement chaque parcelle de mon corps, tu t’attardes avec délice sur les aréoles et mes tétons dressés.

Muriel

 

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