Femme objet 4 – Vertiges… par Fafalécureuil

Mon majeur disparaissait soit dans mon anus, soit dans ma bouche. Le spectacle plaisait à l’assistance à en juger les queues dressées et les mains disparaissant sous les robes. Une femme entra, me regarda à travers ses lunettes fumées. Elle ôta son imperméable, elle portait une robe moulant son corps, pâle et faite de fins anneaux métalliques jumelés, ses seins superbes, son sexe, ses fesses étaient comme dans un écrin. Elle était superbe. Ses tétons pointaient fièrement hors des anneaux brillants.

Madame accueillit la visiteuse avec joie et me demanda de nous servir à boire. Je me relevais et sur ses indications, trouvais la cuisine où Eva préparait un plateau. La soubrette me fit un clin d’oeil et me montra un plateau de boissons que j’emportais au salon. Une fois là-bas je fis le service, profitant de ma tâche pour détailler les convives de mes maîtres. Ils semblaient triés sur le volet, beaux, plutôt classe, un peu bourgeois en quelque sorte. Mais leur apparente distinction ne me trompait pas, j’était persuadée qu’ils étaient aussi vicieux que moi, sinon… plus.

Madame tapa dans ses mains et Eva arriva.

– Eva, montre nous tes exploits !
– Bien Madame.
– Nous avons tourné un nouveau film avec notre petite Eva, elle s’est surpassée !
– Merci Madame…

Eva chercha une cassette et alluma une télévision, c’était un film amateur qui commençait par un plan sur Eva endormie dans une petite nuisette trop sage. Puis Eva se réveille, va à la salle de bains et se lave, elle ne se caresse presque pas, les convives ne prennent pas vraiment attention au film, ils sont surtout attentifs aux menottes que Madame va me mettre. Mes mains se retrouvent prisonnières dans mon dos et elle me fait me mettre debout devant la femme à la robe en anneaux, je n’en espérais pas tant. Une main vint caresser mes cuisses et mes fesses, elle a des mains douces et elle ne tarde pas à glisser un doigt dans ma chatte. J’écarte un peu les jambes tout en regardant le film.

Eva est habillée, elle ressemble à une petite bourgeoise coincée, jupe stricte, chemisier, coiffure sage. Elle sort de chez elle et monte dans sa voiture. Un court trajet et elle se retrouve à son travail ou elle supporte difficilement les avances salaces de ses collègues. Un jeune homme un peu plus courageux lui passe la main sur les fesses et Eva le gifle. L’homme est aussi surpris qu’Eva qui bredouille des excuses… Je trouve ça un peu niais et pas bien joué. La femme que Madame appelle Emilie me fait mettre à genoux et caresse maintenant mes seins. Ma chatte me brûle presque, ses doigts n’ont pas approché un seul instant mon clitoris captif et je sens la mouille qui suinte des mes lèvres.

Eva assise à son bureau est inquiète, ses collègues la regardent en souriant de façon étrange. Une de ses collègues la réconforte, c’est une jolie brune à la frimousse engageante. Elle lui explique que ses collègues ne pensent pas forcément lui faire de tort mais qu’ils la charrient avant tout. Eva lui demandant les raisons, sa collègue lui explique tout simplement qu’elle est bien foutue et que tout homme doté d’une bonne vue aurait envie d’elle. Eva rougit et à ce moment, une main ferme pousse ma tête vers les pieds fins et délicats d’Emilie. Ses chaussures à talon sont ouvertes et je pose un baiser sur le devant de son pied. Puis j’embrasse son pied, le gauche puis le droit, sa peau est sucrée et douce, je n’entends presque plus rien du film, absorbée par ma tâche.

Emilie caresse maintenant mes seins du bout du talon, je me suis redressée et cambrée en arrière pour lui offrir ma poitrine. Elle me regarde droit dans les yeux avant d’appuyer le fin talon sur mon téton droit. La douleur est vive, elle m’écrase le sein mais je tiens bon et serre les dents. Emilie a glissé ses doigts à travers les anneaux de sa robe et caresse doucement son clitoris. Elle me fait envie, je voudrais plonger ma tête entre ses cuisses et la boire. Mais soudain, elle me repousse et se lève. Elle prend une bouteille de champagne et la pose sur le sol et me la désigne. Je comprends et je m’accroupis au-dessus, le goulot glacé contre ma chatte me fait frissonner. Le goulot vient d’entrer en moi et je m’apprête à continuer mon mouvement lorsqu’Emilie m’arrête, c’est la première fois qu’elle me parle.

– Stop ! Je t’interdis d’aller plus loin, ne bouge plus maintenant.
– Bien….

Mon équilibre est précaire mais je fais de mon mieux, les convives félicitent Emilie pour son idée et proposent aussitôt des gages si j’échoue. Je ne saisis pas tout ce qu’ils disent et je jette un œil sur le film. Eva quitte son travail, elle monte dans sa voiture. J’ai l’impression qu’il ne s’est rien passé jusque là…

Mais lorsque sa voiture stoppe dans le parking souterrain de son immeuble, on sent immédiatement que quelque chose ne va pas. Eva sors de sa voiture, se dirige vers un ascenseur lorsque deux hommes cagoulés s’emparent d’elle et la menacent à l’aide d’un couteau. Eva est surprise, elle se débat sous la poigne d’un des hommes qui la pousse vers une voiture foncée. Sa résistance est vaine, elle ne fait pas le poids. Eva se retrouve bâillonnée et ligotée avant d’être jetée sur le siège arrière. Elle pleure à chaudes larmes lorsqu’on voit une main gantée glisser sous sa jupe sage. La voiture s’arrête, on lui bande les yeux et on la tire hors du véhicule sans ménagement. Elle trébuche jusqu’à un escalier où une main la guide. Elle descend quelques marches et se retrouve dans une cave sombre. On lui enlève le bâillon, Eva supplie ses ravisseurs de ne pas lui faire de mal. Peine perdue, des mains se plaquent sur ses seins et la pelotent rudement. Eva se débat, les mains se font plus rudes encore, Eva crie. On la bâillonne à nouveau. Elle trépigne, lance des coups de pieds. Sans succès, on lui attache les chevilles aux pieds de la chaise avant de l’attacher elle-même au dossier. Les (fausses) larmes coulent sur ses joues. Une main fine ouvre son chemisier, Eva ne peut pas résister, son petit soutien gorge de jeune fille sage et tout simplement découpé et on découvre ses seins menus et appétissants. Les caresses reprennent sur ses seins, un peu moins rudes. On devine des mains de femmes, plus fines et plus douces. Eva se contorsionne dans tous le sens pour échapper à ces caresses mais elle ne peut pas lutter, ses tétons la trahissent. Puis, tout s’arrête et quelqu’un lui dit :

– Eva, nous allons nous occuper de toi, sois docile et tout se passera bien, si tu es d’accord, fais oui de la tête.

Bien sûr Eva nie énergiquement.

– Dans ce cas, nous allons te laisser réfléchir un peu…
– MMM

Une main se glisse entre les cuisses serrées d’Eva qui résiste. On lui lie les cuisses aux pieds de la chaise, de façon à les maintenir écartées. A aucun moment on ne voit ses agresseurs. La main reprend son cheminement, un gros plan sur sa culotte qui ne tarde pas à être déchirée. On voit maintenant son sexe touffu, des doigts palpent sa chatte. Eva hurle mais le bâillon étouffe ses cris. Ses kidnappeurs se lèvent lui ôtent son bâillon et une voix lui dit.

– Si tu fais la forte tête, nous allons te laisser un peu de temps pour réfléchir avant d’employer les grands moyens.
– Laissez moi, je ne vous ai rien fait !
– Tu n’es pas en position de demander quoi que ce soit, avant peu tu changeras complètement d’avis et tu nous remercieras de ce que nous faisons pour toi.
– Pitié…
– Réfléchis Eva…
– Mais…

Et ils sortirent de la pièce. Tout ça m’avait plutôt excitée mais pour l’instant je tenais bon. Emilie avait noté avec précision le niveau d’enfoncement de la bouteille et je vis à sa moue que j’était plus endurante qu’elle ne l’espérait.

Retour au film, Eva est seule, elle tombe de sommeil, la porte claque, elle sursaute. Une main munie de ciseaux découpe ses vêtements, ses chaussures sont enlevées et son collant déchiré. Eva est nue sur la chaise. On lui passe un collier de chien. Une chaîne passe entre ses seins, Eva tremble comme si tout ça était vrai.

– Voyons si tu sais sucer…
– Non.. je vous en supplie…

Une queue tendue s’approche de la bouche d’Eva, elle serre les lèvres. On pince son nez, Eva ouvre la bouche et d’un coup engloutit le sexe épais. Elle s’étouffe, crache, secoue la tête. L’homme abandonne sa bouche et une femme vêtue d’un body transparent – qui est en fait la collègue d’Eva- ôte son masque pour sucer cette queue tendue. Son amie prend un plaisir certain à gober ce sexe énorme. Elle le lèche avec application et l’homme toujours cagoulé ne tarde pas à se crisper. Il éjacule sur les seins d’Eva, et essuie son sexe poisseux sur ses joues. L’amie d’Eva étale longuement le sperme chaud sur les seins de la captive avant de le lécher voracement.

– Nous allons devoir te dresser Eva, tu n’es pas encore prête, mais d’ici peu, ta vie va changer…

Et l’homme saisit les seins d’Eva et pince ses tétons. Eva crie. On détache ses jambes mais pour les rattacher immédiatement sur une barre métallique la forçant à écarter les cuisses. On détache ses mains pour les lier dans sa nuque. Eva est offerte, sans défense aux mains de ses kidnappeurs. Eva est mise debout et on accroche ses poignets au crochet du plafond. Une main caresse son sexe doucement, Eva remue, ne se laisse toujours pas faire. Ses seins sont maintenant caressés avec plus de douceurs, ses tétons sont léchés amoureusement Eva se calme mais demeure réticente après de longues minutes de caresses. On pince ses tétons, Eva hoquette, mais curieusement, elle ne bouge plus la poitrine de la même façon. Ses tétons sont à nouveau pincés, Eva ne dit plus rien.

Une main caresse son ventre, glisse vers son sexe, Eva ne peut plus lutter, un doigt parcourt son sillon touffu. Entre en elle. Eva ne bouge plus sa respiration s’accélère.

– Mais elle mouille !
– C’est bien ce que je pensais…
– Elle aime ça
– Oh oui, même si elle ne l’avoue pas…
– N…n-n-nooooon…

Eva se fait masturber par sa collègue puis l’homme se baisse et lèche son sexe touffu. Eva a abandonné ses cris pour des soupirs qui en disent long sur son état. Sa collègue caresse ses seins menus, lèche ses tétons dardés, les fait rouler entre ses doigts. Eva se dandine de plaisir. Puis sa collègue approche sa bouche de la bouche d’Eva et presse ses lèvres contre les lèvres fines d’Eva. Elle ne réagit pas vraiment, ne repousse pas ce baiser et y prend de plus en plus de plaisir. Un gros plan sur deux langues entremêlées. L’homme fait maintenant coulisser son sexe contre la chatte d’Eva qui finalement n’a plus qu’une envie, se faire pénétrer. Mais on la détache et on la place allongée sur une table, jambes écartées. Eva a à nouveau les poignets et les chevilles attachés. Elle ne se débat pas, elle attend d’être enfin pénétrée. Sa collègue se penche vers le sexe touffu et y dépose un baiser, puis deux, puis tend sa langue et embrasse son sexe. Eva gémit de plaisir, l’homme passe son sexe au-dessus du visage d’Eva et caresse sa frimousse d’ingénue, elle n’a pas le réflexe de lécher cette belle queue mais se laisse faire avec plaisir. La femme masturbe maintenant Eva, glissant deux doigts agiles dans son con luisant. Eva contracte son corps à la recherche de la jouissance. Puis l’homme se place entre ses cuisses et la pénètre doucement mais d’un seul mouvement. Eva crie, mais de plaisir et jouit instantanément. L’homme continue ses va-et-vient dans le sexe étroit d’Eva qui semble prendre son pied et ne retient plus ses cris. La femme l’embrasse à nouveau, plongeant sa langue dans sa bouche, caressant ses seins. Puis elle place ses tétons dans la bouche d’Eva qui les lèche maladroitement mais avec conviction.

Je m’enfonce doucement regardant Emilie dans les yeux, la sensation est délicieuse surtout à cause de la transgression. Emilie se redresse se plante devant moi et m’ordonne de la suivre. Je me relève avec un « pop » visqueux. J’arrive à la hauteur d’Emilie qui me désigne un chevalet sur lequel je m’installe, face à elle. Les autres invités ne nous ont pas suivis, je pense qu’ils attendent avec impatience, mais nous sommes seules. Bras et jambes écartées je suis à la merci de ma superbe maîtresse, et bien qu’elle ne m’attache pas elle sait que je m’offrirai à elle. Elle s’approche de moi en se caressant, ses doigts glissent le long de son sexe lisse. Elle pose ses lèvres sur ma bouche, lèche mes lèvre et m’embrasse fougueusement.

Puis elle lèche mes tétons avant de les mordiller de plus en plus fort, je gémis mais c’est de plaisir. A l’aide d’un rouleau de scotch elle enserre mes seins, les faisant saillir davantage. Je ne bouge pas alors qu’elle emprisonne mes tétons dans de petites mâchoires de métal.

Emilie introduit un doigt dans mon sexe, le fait aller et venir et le lèche amoureusement.

– Ta chatte est accueillante ma belle, je me demande par quoi nous allons commencer…

Emilie saisit un beau gode et sans préliminaire l’enfonce en moi d’un seul geste. Je suis tellement mouillée qu’il entre facilement. Elle est un peu déçue et l’agite sans douceur dans mon sexe. Elle sort de la pièce et revient avec la bouteille de champagne, je m’incline et lui offre ma moule. Elle pose le goulot, l’enfonce et incline la bouteille. C’est glacé, le champagne coule en moi, ça pique. Je hoquette de surprise, Emilie ôte la bouteille et aussitôt plaque son beau visage contre mon sexe pour boire le champagne qui en jaillit. Je dois ensuite me lever pour prendre place, jambes écartées, fesses offertes. Les doigts agiles d’Emilie investissent mon anus, puis je sens le goulot de la bouteille entrer dans mon cul. Je me détends et lorsque le liquide coule en moi, je manque de m’écrouler. Emilie ressort la bouteille et place aussitôt un plug dans mon cul. Je me tortille tant bien que mal alors qu’Emilie me donne des petits coups sur les fesses.

– Tu aimes ?
– Oui, c’est bon…
– Alors compte !

Et je compte jusqu’à 10, mes fesses doivent être zebrées par les coups et me prenant en laisse elle m’oblige à la suivre dehors. Il fait moins froid maintenant. Comme une chienne je dois lui obéir et lorsqu’elle me dit d’ôter le plug devant moi et de me vider, je n’hésite même pas et écarte mes jambes. Le champagne coule de mon anus déformé. Emilie caresse mon cul me tient sa main que je lèche. Puis elle me fait me redresser et alors qu’elle écarte mes fesses, je sens sa langue sur mon anus. Elle me lèche presque jusqu’à la jouissance avant de malmener ma chatte. Elle introduit un pouce dans mon anus et deux puis trois doigts dans mon con. Elle me masturbe à m’en faire mal et je jouis en l’embrassant à pleine bouche.

Je vacille, et Emilie me ramène à l’intérieur, nous passons loin du groupe où Eva est a genoux au milieu de queue dressées et suce avec plaisir deux sexes en même temps. Emilie m’emène dans une chambre, me débarasse de mes bottes et de mes bas. Puis elle m’ordonne de m’allonger sur un banc de cuir étroit sur lequel elle lie mes poignets et mes chevilles. Elle fixe sur mon visage et en partie dans ma bouche, avec des lanières un gode creux. Je peux respirer par la bouche facilement. Emilie me débarrasse des pinces sur mes seins, ne laissant que le scotch. Mes seins sont gonflés de plaisir. Mon clito est malmené par Emilie qui le serre entre ses doigts. Elle enjambe mon visage et d’un seul coup s’enfile sur le gode. Ses lèvres s’écartent et viennent buter contre mon visage. Emilie fait des va et vients et je bouge ma tête pour la branler au mieux. Puis après quelques minutes, elle s’arrête et se relève. Elle s’assied en face de moi et caresse du bout de sa chaussure mes jambes et mes cuisses. Le cuir pointu ne tarde pas à se frotter contre ma vulve, d’abord doucement puis plus fort. Emilie écrase doucement mon clito du bout de son pied, force le passage de mes lèvres en feu de la pointe de ses chaussures, je mouille de plus en plus. Elle m’écartèle, j’ai un peu mal mais je suis tellement trempée qu’Emilie réussit à entrer l’avant de son pied dans ma chatte. Ses mouvements restent contrôlés et elle prend garde d’aller doucement. Je la regarde, louchant à cause du gode. Elle me sourit et retire son pied, se relève et enfourche à nouveau mon visage. Le gode entre maintenant dans son anus. Elle s’empale doucement et son sexe trempé vient s’écraser sur mon nez. Emilie se masturbe sur moi jusqu’à la jouissance. Elle serre ses cuisses sur ma tête, se cambre, de son sexe coule une liqueur visqueuse. Après avoir repris ses esprits elle se relève et retire le gode. Je tends la langue…

à suivre…

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Une réponse à Femme objet 4 – Vertiges… par Fafalécureuil

  1. Germain Palinski dit :

    Je trouve le procédé lamentable. Comme les récits de contraintes ne sont pas les bienvenus sur ce site (chose que j’approuve) que fait l’auteur, il met en scène des gens qui regardent un film où il est question de contrainte et s’attarde longuement sur les détails.
    Eddy retire nous ça !

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