Eric, Julie et moi – chap 9 par Mlle_helened

Eric, Julie et moi – chap 9 par Mlle_helened

J’arrivai chez moi épuisé. Mais heureux car enfin, je n’étais plus vierge. Certes, Julie m’avait mené par le bout du nez et n’avait pensé qu’à elle. Mais cela n’avait aucune importance. Julie était belle, douce, sexy, bandante. Je m’endormis, la main autour de mon sexe dur, et en pensant à elle, à nos ébats, à ses petits jeux SM.

Julie ne me donna aucunes nouvelles par la suite, et je n’osai pas l’appeler. Dans la semaine, j’appelai Eric pour lui tout lui raconter. Je sentis au son de sa voix une pointe de jalousie. Mais il m’assura qu’il était content pour moi. On se promit de se voir ce week-end.

Eric vint passer ledit week-end chez moi. Comme à son habitude, il me fit l’amour plusieurs fois, jouant avec mon point ultrasensible et qui m’amenait à l’extase. Malgré tout, je sentis que quelque chose avait changé chez mon ami et amant. Et malgré mes questions insistantes, je n’eus aucune réponse.

Le samedi suivant, le groupe se retrouva chez Marie. Julie ne fit aucune remarque sur notre soirée. Mais Eric et Eve étaient absents. Les commentaires allèrent bon train sur cette coïncidence étrange. Mais sachant qu’Eric n’était attiré que par les femmes, les vraies, je ne me faisais pas vraiment de souci.

Les journées s’écoulèrent entre travail le jour et travestissement le week-end. Ce mode de vie me convenait parfaitement. Si j’aimais beaucoup devenir Hélène, je ne me voyais pas pour autant changer de sexe définitivement. Je ne dis pas qu’un léger traitement hormonal ne serait pas pour me déplaire, mais à part quelques désagréments pileux, je faisais de plus en plus illusion. Eric me baisait régulièrement et chacun de nous y trouvait son compte, en attendant de trouver notre perle rare.

Un jour pourtant, mon téléphone sonna alors que j’étais en pleine réunion. Une fois libéré, j’écoutai le message. J’eus la surprise d’entendre la voix de Julie qui me disait laconiquement et tout aussi sèchement  » Rappelle-moi ! « .

Ce que je fis aussitôt.

– Julie ? Bonjour C’est Thierry, enfin Hélène, ajouté-je à voix basse.
– Est-ce que tu es libre samedi soir ?
– Oui, pourquoi ?
– J’ai invité ma collègue et son ami. Et j’ai besoin d’une soubrette pour faire le service.
– Juste le service ? demandé-je sur un ton coquin.
– D’après toi ? répondit-elle abruptement.
– A quelle heure dois-je venir ?
– Seize heures. Viens en garçon mais emmène tes affaires. Tu te changeras sur place.
– Bien …

Elle me raccrocha au nez.

J’arrivai à l’heure chez … En fait, je ne savais pas trop comment qualifier Julie. Amie, amante, maitresse dans le sens dominatrice. Seul ce dernier semblait le plus correspondre à son caractère. Pour elle, je n’étais ni plus ni moins que son jouet, son petit chien. J’avouai que pour le moment cette situation me plaisait assez, voire m’excitait. Mais pour combien de temps ?

Elle m’ouvrit la porte et me fit signe de la suivre vers la chambre d’ami. Sur le lit, était posé un uniforme de soubrette avec tous les accessoires qui allaient avec.

– Déshabille-toi ! ordonna-t-elle

Elle emprisonna mon sexe dans une cage métallique et je me déguisai en soubrette. La jupette arrivait juste à la limite de mes bas résille. Et sur l’ordre de Julie, je ne portais pas de sous-vêtement, excepté mon soutien-gorge contenant mes faux seins. Elle me demanda de me maquiller en copiant une photo prise sur le net. Elle me demanda ensuite de préparer mon petit trou dans lequel elle plaça un plug de bonne taille.

Puis elle montra la cuisine et m’expliqua ce que je devrai faire.

Ses invités arrivèrent vers dix-huit heures trente. Julie s’était changée pour une robe de soirée arrivant sous le genou. Sa collègue avait sensiblement le même âge, blonde aux cheveux longs, très longs, qui s’étalaient sur une robe cocktail. Son compagnon, quant à lui, portait un costume.

Julie ne dédaigna pas me présenter. A quoi bon ? Je ne n’étais que la soubrette. Au fur et à mesure de la soirée, j’appris que sa collègue s’appelait Elodie et son compagnon Javier.

Lorsqu’elle m’appela, le couple me déshabilla du regard.

– Tu as du personnel maintenant ? demanda Elodie.
– Juste pour ce soir. Peut-être d’autres, si elle me donne toute satisfaction.
– Je te reconnais bien là.

Cette remarque me fit frémir. Si Julie était du genre dominatrice, il y avait fort à parier que son amie serait de la même veine.

Je fis le service, en essayant d’être la plus naturelle possible malgré mes talons hauts. Après l’apéritif pris dans le salon, Julie fit passer ses invités à table. Comme convenu, je fis le service. Javier ouvrit les hostilités. Alors que je retirai les assiettes de l’entrée, il glissa sa main sur mes cuisses et remonta jusqu’à mes fesses.

– La coquine ne porte pas de culotte.
– C’est sur mon ordre. Tu imagines bien ce cela l’aurai gêné plus qu’autre chose, dit Julie.

Elodie fit de même mais poussa la main bien plus loin et découvrit ma particularité.

– Mais c’est que notre hôte nous gâte, dit-elle.
– Comment ça ? demanda Javier
– Mets un doigt dans sa chatte et dans son cul. Tu comprendras.

Je supposai qu’il valait mieux que je m’approchai de lui. Un léger mouvement de tête de Julie me fit comprendre que j’avais eu une bonne initiative.

– En effet ! dit-il en sentant mon sexe encagé. Julie, tu es formidable !
– Je savais bien que ça vous ferai plaisir.
– Elle est douée ? demanda-t-il
– Je pense que oui. Mais tu sauras meilleur juge que moi.

Puis se tournant vers sa copine :

– Par contre, ma chérie, coté broute-minou, tu n’auras rien à lui apprendre. Mais on verra ça tout à l’heure. Finissons de diner.

Les mains furent plus que baladeuses lorsque je passai près d’Elodie et Javier. Julie ne me toucha pas. Le message était donc clair : j’étais le cadeau offert au couple invité.

– Tu montres tes talents à Javier ? me demanda Julie.

Malgré le ton poli, c’était un ordre. J’allais connaitre un autre homme que mon amant Eric.

Je déboutonnai le pantalon et constatai qu’il était nu. Son sexe flasque était déjà imposant. Je craignis le pire une fois en érection.

Je m’appliquai du mieux que je pus. Mes craintes furent confirmées. Sa queue était aussi longue que celle d’Eric, mais bien plus épaisse. Autant dire que je fus à la peine pour gober son engin. Javier poussait mon visage sur sa queue pour que je l’enfourne au maximum. Je manquai de m’étrangler plusieurs fois, j’eus même un haut le cœur qui faillit me faire vomir. Mais ses commentaires sur ma performance furent plutôt élogieux.

– A moi, maintenant, dit Elodie.

Elle remonta sa robe jusqu’à sa taille dévoilant des bas retenus pas six jarretelles. Comme Javier, elle ne portait pas de sous-vêtement. Elle ouvrit ses cuisses offrant sa chatte surmontée d’un large triangle de poils ras à ma langue.

Je la léchai, plongeant ma langue dans les replis de sa vulve, jouant avec son clitoris volumineux. Elodie se tortillait sur le canapé.

– Tu as raison ma chérie, dit Elodie, je n’ai rien à lui apprendre.

Julie se pencha et embrassa son amie sur la bouche.

Soudain je sentis les mains de Javier sur mes fesses. Il écarta les globes et joua avec le plug qu’il retira délicatement. Pendant que je léchai Elodie – on ne m’avait pas dit d’arrêter – Javier allait m’enculer en bonne et due forme et j’appréhendai la pénétration.

Julie fit tomber sa robe et donna sa chatte à la langue d’Elodie.

Pendant que je lapai le jus intime d’Elodie, je sentis le sexe de Javier qui se frayait difficilement un passage dans mon intimité. Mais il avait une technique apparemment bien rodée car son membre impressionnant entra en moi sans trop de difficulté.

Malheureusement, ses va et vient m’empêchèrent de continuer mon travail sur Elodie qui se mit en soixante-neuf sur Julie.

Si j’aimais la queue d’Eric, celle de Javier était un pur bonheur. Elle emplissait mon boyau, glissant sur mes muqueuses sensible. J’osai exprimer mon plaisir, ce qui encouragea mon amant à aller plus vite.

Il se retira rapidement et présenta son sexe devant ma bouche. Le premier jet de sperme s’étala sur mon front, le reste emplit ma bouche.

– N’avale pas, cria Elodie.

Elle s’approcha, lécha la semence sur mon visage et me roula une pelle pour récupérer sa part directement dans ma bouche.

– Trop bonne ta soubrette, dit Javier. Visiblement, ce n’est pas la première fois qu’elle se fait enculer. N’est-ce pas ?
– Répond ! dit Julie.
– Oui, c’est vrai. Mon ami me prend régulièrement.
– Il est bien monté ?
– Oui mais son sexe n’est pas aussi épais que le vôtre.
– Tes jouets sont toujours au même endroit ? demanda Elodie
– Oui, mais la bonne va aller les chercher.

Je m’exécutai. Elodie fouilla et trouva rapidement ce qu’elle voulait : le gode-ceinture. Après l’avoir sucé, elle me sodomisa à son tour, mais avec moins de tendresse que son ami.

La soirée continua. Je fus prise et reprise. Je fus aussi spectatrice, regardant Julie se faire prendre en double par ses invités. Mon sexe prisonnier réclamait sa liberté.

La soirée se termina peu après minuit. Elodie et Javier repartirent, sans m’adresser la parole.

– Je te laisse ranger et nettoyer, dit Julie.

Lorsqu’elle revint, elle était en pyjama, celui en coton. Rien dans sa tenue de jeune fille sage ne laissait penser qu’elle avait été quelques heures plus tôt une femme bisexuelle prenant un pied d’enfer avec ses amis.

– Je crois qu’il est trop tard pour que tu rentres.
– Oui. Mais ce n’est pas grave. Je prendrai un taxi.
– Oublie.
– Bon, fis-je, dépité. Je peux dormir sur le canapé. Il est déjà bien plus confortable que mon clic-clac.
– Très bien.

Elle me donna une couette et un oreiller et je me couchai après être passé par la salle de bains.

Je m’endormis rapidement, mon cul encore chaud des sodomies du soir.

Je fus tiré de mon sommeil par Julie qui me secouait doucement.

Machinalement, je regardai l’heure. A croire qu’elle avait attendu que je m’endorme pour me réveiller. Le SM poussé à l’extrême.

– J’ai froid, me dit-elle. Tu ne veux pas dormir avec moi.
– Si tu veux, répondis-je sans trop vraiment me rendre compte de ce qu’elle me demandait.

Elle me désigna un côté du lit. Je m’allongeai. Elle vint contre moi, prit mon bras qu’elle glissa sous ses seins.

Je me rendormis aussitôt, sans profiter de la situation.

Je me réveillai en sursaut. Julie dormait encore. Je m’habillai en garçon, laissai un mot sur la table, prit les clés de Julie et descendit chercher les croissants.

Elle entra dans la cuisine pendant que je finissais de préparer un plateau que je comptai lui amener au lit.

– C’est pour moi ? demanda-t-elle
– Oui. Tu n’aimes pas les petits déjeuners au lit ?
– Si au contraire, j’adore. Mais ça fait si longtemps …

Elle courut se remettre dans son lit. Je lui amenai le plateau, sa joie était sincère.

– Tu ne prends rien ?
– Si, mais en cuisine.
– Viens à côté de moi.
– Non, je ne suis pas fan, c’est un truc à mettre des miettes partout et puis y a toutes les chances pour que je renverse mon café.
– T’es pas drôle ! Mon petit déj’ sera meilleur avec toi.
– Bon d’accord, je vais faire un effort.

Je ne reconnaissais pas Julie. Rien à voir avec la femme que je côtoyais jusqu’à présent. Elle était gentille, avenante. Rien à voir avec sa froideur habituelle.

Je débarrassai les plateaux, lançai le lave-vaisselle et prit une douche.

– Bon, je vais y aller, dis-je. J’espère que je ne t’ai pas déçue.
– Non, pas du tout. Tu as été parfait-e sur toute la ligne. Surtout ce matin, ajouta-t-elle.
– A bientôt alors, chez Marie.

On se fit la bise et je sortis sur le palier. Julie attendis que l’ascenseur arrive pour fermer la porte.

– Thierry ! cria-t-elle

Je glissai mon pied entre les battants.

– Qu’est-ce qu’il y a ?
– Tu ne veux pas rester avec moi aujourd’hui ? Juste entre ami. Pas envie de passer mon dimanche toute seule.

Elle me regarda, presque implorante. Vraiment rien à voir avec la Julie que je connaissais.

– Si tu veux.

La journée fut un pur bonheur. Juste entre amis comme elle l’avait dit. Pas de sexe, pas de séduction, pas de commentaires sur nos jeux érotiques. Juste des discussions sur nos vies, la mienne surtout, mon travestissement, des balades dans Paris.

Je rentrai chez moi en fin début de soirée. Mais cette fois, j’eus énormément de mal à m’endormir, Julie accaparant toutes mes pensées.

A suivre

 

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2 réponses à Eric, Julie et moi – chap 9 par Mlle_helened

  1. Berangere dit :

    Merci, impatient de plus de nouvelles

  2. Tob dit :

    Un engodage décrit en une demi phrase, ça sent le baclage !

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