Elle s’appelait Laura par Raphaël

Comme tous les matins, je me rends à mon travail. Une petite entreprise
d’imprimerie. A peine arrivé à mon poste de travail, mon chef me convoque
dans son bureau. Je frappe à sa porte et il me dit d’entrer. Il est assis
sur le bord du bureau et à côté de lui se trouve une ravissante jeune femme.
Il m’explique qu’elle est nouvelle dans ce travail et que ce sera à moi de
la former. Ça n’est pas pour me déplaire !

Nous sortons donc ensemble du bureau et nous nous installons dans la
cafétéria. Je vais lui expliquer en gros en quoi consistera son nouveau
travail.

J’ai tout d’abord commencé par me présenter et elle fit ensuite de même.

Elle s’appelait Laura et avait 21 ans. Elle était ravissante. Je n’ai pas pu
longtemps m’empêcher de la regarder de la tête aux pieds. Elle avait de
longs cheveux bruns, de beaux yeux noirs, des seins parfaitement dessinés et
des fesses absolument parfaites. Mais ce qui a retenu le plus mon attention
c’était ses pieds. Ils paraissaient si petits dans ses basquets, j’aurai
bien voulu directement les sentir sur ma queue.

Quelques jours passèrent, elle apprenait vite son travail. Un jour elle me
demanda si je voudrais venir chez elle pour qu’on puisse mieux faire
connaissance. Ma réponse ne se fit pas attendre. Je devais la retrouver chez
elle ce soir à 20 heures.

Enfin l’heure du rendez-vous ! Je sonnais à sa porte, elle vient m’ouvrir.
Oh qu’elle est belle ! Elle était vêtue d’un vieux tee-shirt trop grand pour
elle, un short jeans qui laissait deviner le bas de ses fesses et des
chaussettes en coton blanc.

Nous nous sommes assis sur son canapé et avons commencé à discuter autour
d’un verre. Chaque fois que je posais un œil sur elle, je sentais ma queue
se durcir et je crois qu’elle le remarqua assez vite car au bout d’un petit
moment elle s’approcha de moi et me dit très directement :

– J’ai envie de toi et je sais que c’est réciproque !

Je ne savais plus quoi lui dire. J’étais obligé de lui avouer.

– Oui j’ai envie de toi depuis la première minute que je t’ai vu.
– Qu’est-ce qui te plait chez moi ?
– Tout mais au risque de te choquer ce qui me plait vraiment c’est tes pieds
!
– Je suis vraiment contente que tu me dises ça car j’adore qu’on s’occupe de
mes pieds et beaucoup de garçons n’aiment pas ça, je dois aussi t’avouer
quelque chose, j’adore faire pipi dans ma culotte…

Je ne l’ai même pas laissé finir sa phrase que je l’embrassais, elle aimait
exactement tout ce qui m’excitait.

Je commençai tout d’abord à me mettre à genoux devant elle, je lui massais
les pieds puis très vite je lui enlevais une de ses chaussettes.

Elle avait des pieds magnifiques, un petit 37 je pense et ils
sentaient si bons, je ne pus m’empêcher de les lécher à pleine bouche. Elle
adorait ça, gémissait et me demandait de les lécher encore et encore.
Ensuite elle me déboutonna la braguette, sorti ma queue toute dure et me
branla avec ses deux pieds. En deux minutes je me laissais aller et lui mis
du sperme plein ses petits pieds.

– Maintenant c’est à moi de prendre mon pied ! Me dit-elle. Tu vas mettre ta
main dans mon short et me caresser.

Je ne pouvais refuser, sa chatte était toute mouillée et si chaude.

– Tu as envie de faire pipi ?
– Oui mais je veux que tu laisses ta main dedans.
– Avec plaisir.

Je sentis après quelques instants sa pisse chaude couler sur mes doigts, je
voyais son short devenir plus foncé entre ses cuisses et très vite son urine
finit sur ses pieds et sur le sol.

– Oh que c’était bon, me dit-elle. Tu as des doigts magiques.
– Merci j’ai adoré te sentir te vider sur ma main.

Je pouvais à présent la voir se tortiller de plaisir dans son short tout
mouillé, quel spectacle !

– Maintenant que tu m’as bien sali les pieds, tu pourrais me les laver, non
?

Elle me présenta ses pieds à la hauteur de mon visage avant d’avoir le temps
de lui répondre, mais en aucun cas je n’aurais refusé. Un des ses pieds
était resté couvert de sa chaussette maintenant recouverte de pisse. Quel
délice de pouvoir lui lécher ses pieds si bons et tout humides !

Fin

Raphael

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Une réponse à Elle s’appelait Laura par Raphaël

  1. Maud Anne Amaro dit :

    Il y a si peu de récit de fétichisme du pied que j’en profite un peu …
    C’est très court et l’amorce est aussi précipitée qu’improbable. Mais curieusement le récit devient intéressant quand il tourney « hard », meme si un plus long development aurait été souhaitable

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