– Je suis sûre qu’elle nous suivra, tu as vu comme elle nous regardait ?
– Je pense aussi, même si elle n’est pas obligée de nous suivre partout, je crois qu’elle participera volontiers à nos ébats.
– J’ai hâte de voir si elle aime le sexe autant que nous…
– Attends j’ai une idée !
Et Anne appela Clarisse lui demandant de nous monter des cafés. Elle ne tarda pas à apporter un petit plateau qu’elle posa sur le bureau. Anne l’invita à s’asseoir et lui demanda si elle avait lu les papiers qu’elle lui avait transmis.
– Oui, je les ai lus.
– Et qu’en penses-tu ? Sois franche, et n’hésite pas à prendre ton temps pour réfléchir.
– Je ne sais pas trop comment réagir. Dans un sens j’ai très envie de découvrir des choses nouvelles avec vous, mais ça me fait un peu peur.
– C’est une réaction normale.
– Et d’avoir plusieurs partenaires comme ça, je crois que je n’aimerai pas ça.
– Tu as un petit ami ?
– Non, je n’en ai jamais vraiment eu…
– Mignonne comme tu es ?
– Je ne sais pas, mon caractère peut-être ?
– Et sexuellement ?
– Je crois que sexuellement, je n’ai jamais été excitée par eux, je me fais draguer par des gars sympa et gentils qui sont attentionnés et charmants mais qui croient que je suis en sucre. Du coup, ils sont tendres alors que je les préférerai plus …
– Virils ?
– Oui, en quelque sorte, ils me donnent du plaisir, mais sans aller plus loin.
– Pourtant tu sembles être en mesure de prendre des initiatives…
– Oh, je ne sais pas, c’est différent. Je… c’est à cause du…
– De quoi ?
– Du stylo.
– Quel stylo ?
– Votre stylo, j’ai remarqué depuis l’autre jour que vous le portiez souvent à votre bouche.
– Et ?
– Et, je me suis demandée pourquoi vous aviez l’air si heureuse quand vous faisiez ça. Alors lorsque vous étiez en réunion, je suis passée ici pour déposer des courriers et j’ai vu le stylo…
– Bien sûr…
– J’ai fait comme vous, ça sentait un peu fort mais c’était bon, ma tête s’est mise à tourner. Je vous ai vue sous un autre angle, j’ai essayé de me rapprocher de vous, pour…
– Je me disais bien que nous nous croisions souvent !
– Lorsque j’ai vu votre amie arriver ce matin, j’ai su immédiatement que c’était elle et que votre rendez-vous de cet après-midi n’était pas tout à fait ce que vous m’aviez indiqué…
– Et ensuite ?
– Ensuite, j’ai inventé des courriers bidons pour pouvoir venir ici, puis je me suis mise derrière la porte pour regarder et c’est là que vous m’avez entendue.
– Et après ?
– Vous connaissez la suite ….
– J’aimerai que tu le racontes toi.
– Eh bien vous m’avez fait entrer dans le bureau, je ne savais pas trop si vous alliez me virer ou m’engueuler, je n’avais pas imaginé que vous me demanderiez de taper un courrier et surtout que vous recommenceriez à vous lécher devant moi.
– Tu as aimé ?
– Oh oui, j’étais rivée à vos corps mais je n’osais pas réagir.
– Et tu avais envie de faire quoi ?
– Oh, j’avais envie de vous toucher, de sentir vos mains sur mon corps, de sentir votre peau…
– Tu as eu ce que tu voulais ?
– Oui, même si j’aurais bien aimé continuer avec vous.
– Ca pour l’instant ce n’est pas possible…
– Je sais bien, mais j’ai très envie de…
– Tu sais, tu n’es pas obligée de participer à tous nos jeux, tu peux te contenter de faire l’amour avec nous seules.
– Oui, je sais, je crois que je vais accepter…
Anne décrocha son téléphone et appela le labo, les informant qu’une amie souhaitait passer le même examen qu’elle. Elle mit le haut-parleur
– Oui, comme vos tests n’ont pas encore été faits, et si votre amie peut venir de suite nous en profiterons pour tout faire en même temps. Peut-elle être là rapidement ?
– Clarisse ?
– Oui !
– Ok, elle sera chez vous dans 5 minutes, merci encore !
– Pas de quoi.
Anne indiqua l’adresse à Clarisse et la rassura sur la nature des examens à passer. La jeune stagiaire partit en 5ème vitesse prétextant une course urgente pour Madame V. Je me retrouvais avec Anne, l’après-midi avançait et j’avais très envie d’elle. Je trouvais le temps long et Anne me proposa d’aller faire un peu de shopping. Il faisait chaud, et nous décidâmes de gagner le centre commercial climatisé le plus proche. Sur place, Anne m’emmena acheter des chaussures, elle choisit une paire de mules à talon devant les yeux médusés de la vendeuse qui avait du apercevoir son entrejambe. Puis, en prévision de nos soirées à venir, nous achetâmes chacune une robe courte et moulante, noire pour moi et bordeaux pour Anne, ainsi que des bas. Nous avions essayé de partager une cabine d’essayage afin d’en profiter un peu mais malheureusement nous retournions au bureau d’Anne toujours aussi insatisfaites. Clarisse n’était pas encore de retour et les bureaux se vidaient de plus en plus. Au moins nous aurions la voie libre.
Dans l’ascenseur, Anne plaqua sa bouche sur la mienne et m’embrassa fougueusement, je n’en pouvais plus. Anne m’entraîna dans le couloir menant à son bureau. Nous étions seules, en plein milieu du couloir, elle me plaqua contre une paroi vitrée et entrepris d’écarter les pans de ma veste et de mon cache cœur pour lécher mes seins. Une idée commençait à germer dans ma tête, je demandais à Anne de retourner dans son bureau et une fois arrivées je lui dis de se déshabiller. Une fois nue, je la caressais sous toutes les coutures jouant avec les chaînettes qui parcouraient son corps. Insistant sur ses tétons qui pointaient fièrement, je l’excitais de plus en plus avant de lui proposer de m’attacher.
– Comme ça on verra bien la réaction de Clarisse si elle me voit à ta merci.
– Ok, bonne idée, mais je ne sais pas quoi prendre pour te ligoter…
– Prends des fils électriques.
– Ça devrait faire l’affaire ! Reste habillée, je préfère comme ça.
Anne s’empara de trois rallonges électriques et attacha mes poignets au dessus de mon dos. Puis elle enroula le câble le plus souple autour de mes seins et serra pour les faire saillir. Ne sachant que faire de la troisième rallonge, elle la laissa de côté et souleva ma jupe pour me caresser la chatte. Alors que ses doigts me fouillaient, le bruit de pas dans le couloir nous fit sursauter. Il était tard et les locaux étaient théoriquement fermés. Quelqu’un toqua à la porte. Anne s’approcha de la porte sans bruit.
– C’est Clarisse vous êtes là ?
– Entre Clarisse.
Lorsque elle entra elle me vit, les mains attachées, les seins comprimés, les jambes écartées et ne put réprimer son étonnement. Mais cet étonnement se mua rapidement en curiosité, elle ne paraissait pas choquée de me voir ainsi. Elle donna à Anne une enveloppe blanche que ma compagne s’empressa d’ouvrir.
– Ils ont fait les tests dans la foulée, tous les résultats sont là…
– Parfait, je crois que nous allons prendre beaucoup de plaisir toutes les trois.
Et Anne embrassa Clarisse devant moi, suçant sa langue, caressant son corps. Puis elle lui demanda de se déshabiller et de se coucher sur le bureau. Elle lui écarta les jambes et à son tour se mit tête bêche sur elle et commença à lui manger la chatte. Clarisse n’hésita pas longtemps avant de risquer sa langue contre le sexe d’Anne. Elles ne furent pas très endurantes et jouirent rapidement. Clarisse semblait visiblement ravie de son expérience lesbienne et il me tardait de lui donner du plaisir aussi. Anne en décida autrement en nous proposant de rentrer à la maison. Nous nous rhabillâmes toutes les trois. Anne décida de laisser sa voiture au parking de son travail et nous rentrâmes à l’appartement avec ma voiture. En cours de route, Anne s’arrêta pour déposer les contrats. Clarisse et moi, nous l’attendions dans la voiture, je me retournais vers elle et je posais ma main sur sa toison humide, me remémorant celle d’Anne avant que je la rase presque complètement. Je glissais un doigt en elle, son sexe me paraissait très étroit, était-elle tendue ou nerveuse ? Ce qui était sûr c’est qu’elle semblait prendre beaucoup de plaisir avec mes caresses discrètes. Anne ressortit du bâtiment. Elle arriva et sans un mot, m’embrassa, sa bouche était pleine de sperme, je goûtais ce nectar avec bonheur sous le regard envieux de notre passagère.
– Tu n’as pas perdu de temps, ma chérie !
– Non, et je vous réserve une excellente soirée !
– Des cachotteries ?
– Vous verrez bien !
Et je remis le contact, le chemin du retour me parut très long, j’étais impatiente de découvrir ce que nous avait réservé Anne. Une fois arrivées, je fis visiter les lieux à Clarisse qui trouva l’appartement formidable. Je me gardais de lui montrer le grenier en me disant qu’il serait bien assez tôt.
J’appelais Anne, elle était à la salle de bains, je la rejoignis. Elle était assise sur les toilettes, et tendait sa main pour saisir une feuille de papier, j’arrêtais son geste de la main et après l’avoir regardée dans les yeux, je m’agenouillais et j’approchais ma langue de son sexe. Je nettoyais ce sexe ouvert, goûtant les dernières gouttelettes avec délectation. Anne me caressait les cheveux alors que je continuais à la lécher. Puis, elle se releva, quitta ses derniers habits et m’invita à faire de même. Une fois nues, nous nous embrassâmes, serrées l’une contre l’autre. Clarisse nous trouva enlacées et sans un mot, quitta sa robe et vint nous rejoindre. D’un commun accord Anne et moi nous sommes occupées d’elle. Je ne pense pas avoir oublié un centimètre carré de sa peau. Nous l’avons embrassée sous toutes les coutures. Clarisse s’abandonnait totalement à nos caresses. Ecartant ses jambes je m’aventurais vers sa jolie petite toison, puis vers son sexe aux lèvres fines. Anne lui demanda de poser ses mains sur le rebord de la baignoire, ainsi elle se cambrait, offrant son petit cul à ma compagne, moi assise entre ses jambes, je léchais son sexe de plus en plus humide. Je sentis la langue d’Anne toucher la mienne, nous nous embrassions entre les cuisses de notre amie, c’était délicieux et inédit. Clarisse appréciait ce traitement nous gratifiant de petits gémissements dès qu’Anne posa sa langue sur son petit trou. Elle était un peu tendue et je ralentissais un peu mes caresses. De mes mains, j’écartais un peu ses fesses, Anne passait sa langue dans son sillon, s’attardant de plus en plus longtemps sur le petit œillet rose de Clarisse. Je pointais à nouveau ma langue vers le sexe blond et enfonçais doucement le bout de ma langue entre ses lèvres. Son sexe sentait bon, sa cyprine avait un goût sucré. Anne la doigtait doucement, Clarisse bougeait son bassin pour profiter au maximum de nos caresses et elle jouit quasiment au moment où j’enfonçais mon majeur dans son sexe ruisselant. Elle serrait les dents pour ne pas crier et nous essayâmes de faire durer son orgasme le plus possible. Puis nous l’embrassâmes, avant de l’emmener dans la cabine de douche qui commençait à être un peu étroite.
Après une douche revigorante et coquine, Anne nous invita à nous préparer pour la soirée. Elle nous proposa simplement de passer une robe légère et des chaussures à talons. Anne prêta une robe à Clarisse et j’ajoutais la touche finale en leur proposant de passer une culotte fendue. C’était nouveau pour notre amie qui était au comble de l’excitation. Installées sur la terrasse, nous étions en train de boire un verre lorsque la sonnette retentit. Anne se leva et alla ouvrir la porte. Des voix masculines me laissaient penser que mon amante nous avait préparé une soirée un peu spéciale. Anne apparu sur la terrasse suivie de quatre hommes qu’elle nous présenta :
– Fabienne, Clarisse, je vous présente Hervé, Alain, Hakim et Benoît.
– Enchantées ! On se tutoie ?
– Bien sûr !
Ils étaient tout sourires, sûrement ravis de tomber sur trois femmes plutôt bien roulées et certains de la perspective de les baiser puisqu’ils avaient été contactés pour ça. Ils s’assirent et, devant un verre, nous discutâmes pour faire connaissance. Ils étaient tous de la région et faisaient depuis plus ou moins longtemps partie du club auquel nous venions d’adhérer. Je leur demandais la raison de leur choix.
– Et vous êtes venus comment à ce club ?
– Je crois que dans mon couple, nous avions essentiellement besoin de pimenter un peu les choses. Dit Alain, qui regardait les jambes de Clarisse avec délectation
– Pour moi, c’est suite à mon divorce, j’avais envie de trouver des personnes qui partageaient mes fantasmes. Nous informa Hakim, qui semblait le plus âgé des quatre.
– Et vous ?
– Ma femme m’avait trompé, et plutôt que de nous engueuler, je lui ai proposé ce club où elle peut faire ce qu’elle veut en toute quiétude. Et j’y trouve mon compte également, nous nous retrouvons même parfois à notre insu lors de soirées ! Dit Hervé, hilare.
– Oh, moi, je suis célibataire, et je trouve ça très excitant, c’est tout.
– Théoriquement les hommes seuls ne sont pas acceptés mais ils ont fait une exception. Renchérit Hakim.
– Oh ?
– Et pour quelle raison ?
– Ça, vous le découvrirez plus tard. Benoît rougissait presque.
– Allez Benoît, dis-leur…
– Oh, fait pas ton timide !
– Puisqu’il n’ose pas, je vais vous le dire, Benoît est réellement gâté par Dame Nature…
– Ah nous sommes impatientes de voir ça.
Hakim venait de poser sa main sur la jambe d’Anne qui lui sourit. Clarisse n’avait presque rien dit, elle paraissait soucieuse. Je m’approchais d’elle et posais ma main sur son bras.
– Clarisse, ça va ?
– Oh, euh oui, je suis un peu impressionnée… je ne sais pas trop encore…
– Ne te fais pas de mourons, tu es totalement libre de faire ce que tu veux et avec qui tu veux.
– Je sais, mais c’est nouveau pour moi.
Benoît s’était rapproché d’Anne et alors qu’Hakim remontait sa main sous sa robe, il commença à masser les épaules de mon amie. Anne écarta doucement les jambes, ouvrant la voie à Hakim. Benoît massait maintenant sa gorge et descendait vers ses seins. Anne ferma les yeux, abandonnée aux caresses des deux hommes. Je restais à côté de Clarisse et l’embrassais doucement pendant qu’Hervé commençait à me caresser. Alain venait de se poster devant Anne qui posa sa main sur une bosse éloquente déformant son pantalon. Les caresses d’Hervé se faisaient plus précises, découvrant le passage menant à mon petit minou. Excitée, je glissais ma main entre les cuisses de Clarisse pour constater qu’elle était aussi trempée que moi.
Anne avait sorti la queue d’Alain et le branlait doucement, Hakim, agenouillé entre ses cuisses avait relevé sa robe et après avoir retiré sa culotte fendue, léchait sa chatte à grands coups de langue. Benoît avait dégagé ses seins de sa robe en passant le tissus au creux de son sillon. Je relevais ma robe et pris la main de Clarisse et la posait sur mon sexe, elle s’enhardit et je sentis bientôt son doigt coulisser dans ma chatte. Je dégageais le sexe d’Hervé de son pantalon et sans hésiter, j’embouchais sa queue. Il avait un sexe assez long et fin. Clarisse se leva et s’agenouilla entre mes cuisses, elle hésitait et je me disais que c’était les premières fois qu’elle faisait ça, sa bouche se posa sur mon sexe lisse et ce fut le déclic, elle se mit à me lécher de plus en plus activement n’hésitant pas à plonger sa langue en moi. Je léchais les couilles d’Hervé et les gobais. Anne n’était pas en reste, elle venait de découvrir le sexe de Benoît fièrement dressé devant sa bouche. Il était énorme, Anne, qui avait une bouche assez petite, n’arrivait tout simplement qu’à avaler une partie de son gland au grand dam de Benoît qui contrairement à Alain ne pouvait pas réellement profiter de ses talents. J’appelais Benoît pour lui proposer ma bouche. Il ne se fit pas prier et je me retrouvais avec deux queues à sucer. Clarisse continuait à me lécher avec application. Le sexe de Benoît était vraiment énorme et j’avais du mal à le mettre en bouche, néanmoins j’arrivais tant bien que mal à l’enfourner pour lui prodiguer une fellation en règle en lui caressant les couilles. A côté, Anne suçait maintenant Hakim alors qu’Alain la doigtait énergiquement. Le sexe mat et la peau blanche de mon amante créaient un contraste très excitant.
Je me relevais et je quittais ma robe avant de m’allonger sur la table. Le signal était clair pour les deux hommes et Benoît, sagement proposa à Hervé d’inaugurer le terrain. Il s’enfonça facilement dans ma chatte trempée et commença un va-et-vient énergique. A côté de moi, Clarisse caressait le sexe monstrueux de Benoît, n’osant pas faire davantage. Anne s’approcha de moi et m’embrassa avant de se mettre à califourchon sur moi. Je léchais sa chatte et rencontrais la langue d’Alain qui parcourait son sillon. Anne se baissa et je sentis sa langue sur mon clitoris. Hervé sortit de mon sexe pour présenter sa queue à Anne qui l’emboucha avec plaisir. Alain approcha son sexe de la chatte d’Anne et la pénétra avec douceur. De même il me proposait de temps à autres sa queue à lécher. Clarisse était maintenant nue à côté de moi et Benoît, le visage entre ses jambes lui prodiguait un savant cunnilingus. Hakim lui léchait le bout des seins faisait saillir ses petits tétons piercés.
Hervé s’activa, je le sentais grossir en moi, il explosa dans ma chatte au regret d’Anne qui se contentait de nettoyer son sexe poisseux. Elle appela Hakim, l’informant qu’un trou était libre. Ce dernier était nettement plus gros qu’Hervé et il me remplit la chatte d’un coup sec. Je plaquais ma bouche entre les cuisses d’Anne pour ne pas crier. Le sexe d’Alain allait de plus en plus vite au dessus de mon visage et au moment d’éjaculer, il sortit sa bite et arrosa copieusement mon visage et le sexe d’Anne. Sa semence épaisse était un régal et je m’appliquais pour qu’il n’en reste plus une goutte. Anne appela Benoît et son sexe monstrueux apparut devant sa chatte béante. Je léchais du bout de la langue ce gland violacé qui ne tarda pas à s’enfoncer entre les grandes lèvres d’Anne. Il allait doucement, conscient de la taille de son engin et il mit un certain temps à la pénétrer complètement. C’était impressionnant de mon point de vue, je voyais ce sexe coulisser en elle, de plus en plus fort et de plus en plus loin. Anne commençait à jouir, je le sentais aux contractions de son ventre brûlant. Elle plaqua sa bouche contre ma cuisse et explosa. Ses gémissement n’étaient presque pas contenus. Au lieu de ralentir, Benoît la pilonna de plus belle et Anne se contracta violemment. Je demandais à Benoît de stopper et soudain, alors qu’il s’apprêtait à quitter son sexe, je me retrouvais sous une véritable inondation de mouille. J’ouvrais grand la bouche, me délectant de son nectar sous le regard médusé de Clarisse qui n’en croyait pas ses yeux. Benoît se dégagea et sans un mot Clarisse vint lécher mon visage et le sexe d’Anne, ruisselants de son plaisir. Hakim qui continuait imperturbable à ramoner ma chatte allait bientôt jouir. Anne affalée sur mon corps, terrassée par son orgasme, se retrouva avec son sexe en bouche. Il explosa dans sa bouche, le sperme ne tardant pas à couler de la commissure de ses lèvres.
Anne se releva et à genoux devant Benoît entrepris de le lécher en le masturbant. Puis, elle lui demanda de s’asseoir et serra son sexe entre ses seins, léchant ou aspirant le gland violacé dès qu’il passait à sa portée. Clarisse se branlait, assise sur une chaise, je n’avais pas joui et je demandais à Clarisse de venir sur moi. Elle ne se fit pas prier et je goûtais rapidement à son petit abricot blond. Ecartant ses fesses je passais ma langue sur son anus et à ma grande surprise elle fit de même de son côté. Je décidais de passer à la vitesse supérieure et d’offrir un beau spectacle aux mâles qui nous caressaient doucement. J’enfonçais un doigt dans la chatte de Clarisse tout en continuant à lécher son petit trou. Clarisse massait mon anus de son doigt maintenant et l’enfonça doucement en moi alors qu’elle embrassait goulûment mon sexe, pinçant mon clitoris entre ses dents. Nous nous doigtâmes jusqu’à la jouissance et Clarisse s’écroula sur moi. Nous nous relevâmes, à côté, Anne était à genoux au milieu des quatre hommes et les branlait ou les suçait alternativement. Elle ne tarda pas à être couverte de sperme, il y en avait partout, dans ses cheveux, sur son visage, ses seins. Elle me regardait d’un air amusé. Les quatre hommes nous saluèrent et se rhabillèrent.
– Vous partez ?
– Oui, mais j’espère que nous nous reverrons bientôt !
J’étais frustrée par leur départ, je pensais que nous allions avoir la nuit devant nous et voilà qu’ils nous abandonnaient. Sans cérémonie ils nous embrassèrent et s’étaient déjà éclipsés alors qu’Anne s’approchait de moi. Je savais ce qu’elle voulait et je me mis à la lécher, goûtant le sperme qui maculait son corps. Frottant mes seins contre les siens avant de lui demander de me les lécher à son tour. Puis, prenant une belle quantité de sperme en bouche je me plaçais au-dessus de son visage, Anne ouvrit la bouche et je lui reversais le nectar gluant avant de l’embrasser, étalant volontairement le sperme sur ses lèvres. C’en était trop pour Clarisse qui posa sa bouche sur le sein d’Anne léchant timidement quelques gouttes de sperme. Elle s’enhardit et vint partager notre baiser gluant avant de lécher, elle aussi le sperme maculant le visage d’Anne.
Je ne sais pas combien de temps nous nous sommes embrassées à ce moment. Clarisse se sentait plus à l’aise, elle semblait enfin débarrassée de sa timidité.
– La soirée n’est pas finie ?
– Oh, non, loin de là, tu as une idée derrière la tête ?
– Je ne sais pas, mais je crois que j’aimerai que vous soyez très cochonnes avec moi.
– Eh bien, tu va être servie Clarisse, qu’en penses-tu Anne ?
– Ça dépend de ce qu’elle appelle cochonne… On peut être cochonnes avec elle, mais aussi lui faire faire plein de choses, je veux aussi qu’elle soit cochonne avec nous !
– C’est vrai, tu as raison, Clarisse, que souhaites-tu découvrir avec nous ?
– Tout …
– Tout ?
– Oui, je veux que vous me fassiez découvrir ce que je n’ai jamais osé faire, je veux être comme un jouet entre vos mains.
– Tu es sûre ?
– Oui, quand je suis seule et que je me masturbe, j’imagine souvent que je suis contrainte à faire des choses et ça m’excite beaucoup.
– Décris-nous un peu ça !
– Eh bien j’imagine que je suis forcée de lécher des sexes d’hommes et de femmes. Que quelqu’un me dicte ce que je dois faire et que je lui obéis.
– Donc tu aimes être soumise…
– Oui, en quelque sorte… (Clarisse regardait ses pieds) Ca m’excite de penser que je suis attachée, ligotée ou bâillonnée.
– Je pense que tu seras comblée, ma chérie.
– Pour commencer, je crois qu’il faut que je passe aux toilettes. Et Anne se dirigea vers la salle de bains.
– Clarisse, suis-moi.
Et, suivie par Clarisse, j’entrai dans la salle de bain. Anne était devant nous, jambes écartées, un puissant jet doré s’échappait de son sexe. Je m’approchais, m’agenouillais et posais ma main sur le sexe d’Anne. Puis regardant Clarisse, fascinée, je léchais un à un mes doigts couverts d’urine. Anne se leva,
– J’ai gardé quelques gouttes, bois-moi !
– Oui, Anne, j’aime te boire.
Et je me plaçais en-dessous d’elle, la bouche collée à sa chatte. Anne lâcha un dernier petit jet dans ma bouche et je dégustais avec délectation son urine devant le regard médusé de Clarisse qui, à notre surprise, prit l’initiative de partager un baiser avec moi, nettoyant mon visage avec application.
– Tu es vraiment une petite cochonne Clarisse !
– Oui, vous avez raison, j’aime ça…
– Alors, tu sais ce qu’on fait aux petites cochonnes ?
– Non… ?
– On les dresse.
– Oh, vous allez me dresser ? Je serai sage, promis !
Clarisse semblait réellement enchantée par cette perspective. Anne se mit à caresser les seins de notre petite cochonne. Elle tirait doucement sur les petites boules de son piercing.
– Tu peux les ôter ?
– Oui, facilement… Et Clarisse ôta les petits bijoux de ses seins.
– Fabienne, passe-moi les boucles d’oreille qui sont sur la tablette.
Je lui passais les boucles en forme d’anneau fermé et Anne les passa facilement aux tétons de Clarisse. Puis elle demanda à Clarisse de ne pas bouger, m’entraîna sous la douche où enlacées nous nous caressions sous son regard envieux. Elle jouait le jeu. Anne avait encore du sperme dans les cheveux et après deux shampooings, elle en était enfin débarrassée. Une fois séchées, Anne nous entraîna dans la chambre où elle nous choisit des robes transparentes et en tendit une à Clarisse qui l’enfila sans un mot. Les petits anneaux se devinaient facilement sous le tissu fin qui ne cachait d’ailleurs pas grand chose de son corps. Anne chaussa ses mules à talons, je tendis les miennes à Clarisse et chaussait mes sandales à lacets.
Nous sortîmes pour boire un pot dans la petite ville, les regards ne manquaient pas de se tourner sur notre passage et s’attardaient souvent sur la poitrine de Clarisse. Anne avait emmené son appareil photo et prenait des clichés, assises à la terrasse d’un café, Anne obligea Clarisse à écarter les jambes pour nous dévoiler sa chatte, elle était troublée mais obéissait sans discuter, Anne la mitrailla sous toutes les coutures. Il y avait peu de monde et personne n’avait remarqué notre petit jeu. Après avoir payé, Anne décida de passer par un petit chemin arboré pour rejoindre l’appartement. Le soleil se couchait doucement et il n’y avait pas âme qui vive. Soudain, elle demanda à Clarisse de quitter sa robe et commença à photographier les étapes de son strip-tease. Clarisse jouait toujours le jeu, elle paraissait si fragile, nue vêtue de ses mules à talons. Après m’être assurée que personne ne risquait de passer , je m’approchais d’elle et quittais ma robe. Clarisse m’embrassait, Anne nous photographiait, nous demandant de prendre des poses plus lascives :
– Clarisse entre mes cuisses, la langue dans mon sexe,
– Mes doigts dans l’anus de la petite blonde,
– Ma langue sur ses seins,
– Sa bouche contre ma bouche,
– Clarisse à quatre pattes en train de lécher mes pieds,
– Clarisse allongée sur l’herbe jambes écartées, son visage disparaissant entre mes fesses,
– La semelle de ma chaussure compressant sa poitrine,
– Sa langue parcourant le talon de ma chaussure,
– Nous en 69
– Ma langue sur ses pieds,
– Le talon de sa mule dans ma bouche,
– Le talon de sa mule dans mon sexe béant,
– L’autre talon dans le sexe de Clarisse,
– Nos baisers,
– Notre jouissance.
Anne semblait très satisfaite de notre prestation et nous invita à rentrer rapidement. La soirée était loin d’être finie alors que nous passions la porte de l’appartement. Anne emmena Clarisse dans sa chambre alors que je préparais un petit en-cas. Elle reparut accompagnée de Clarisse, tenue en laisse. Elle portait des bas noirs, des hauts-talons, le collier de cuir, des bracelets aux chevilles et aux poignets et surtout Anne avait passé dans les anneaux de ses seins une chaînette reliant les pinces qu’elle avait mises sur ses grandes lèvres. Anne s’assit à table munie de son appareil photo et Clarisse se mit à debout devant nous. Je passais ma main sur son corps un peu tendu, je glissais mes doigts sur son sexe ruisselant. Je jouais un instant avec les pinces constatant qu’elle semblait habituée à ce genre de traitement. Clarisse écarta les jambes pour me faciliter la tâche, sa vulve était étroite et chaude, après quelques va-et-vient je massais son anus et y enfonçait mon doigt. Clarisse ne disait rien, abandonnée à nos jeux.
Anne après nous avoir largement photographiées, enleva sa robe et passa le gode-ceinture qu’elle avait amené avec elle. Clarisse se mit sur les genoux et entrepris une fellation un peu maladroite sur le sexe de latex. Anne la guida, lui apprenant comment mieux s’y prendre, lui indiquant les zones où se servir du bout de la langue pour titiller le gland. Après cela, Anne prit Clarisse en levrette sans autre forme de préliminaires. Pour étouffer ses petits cris je plaquais sa bouche contre mon sexe et sentis rapidement sa langue me fouiller. Anne la pilonnait sans ménagement et plus elle allait fort dans sa chatte, plus Clarisse semblait excitée. Soudain, Anne lui colla une belle claque sur les fesses, Clarisse, loin de se dégager, cambra encore davantage son petit cul, l’offrant aux mains d’Anne. Je relevais mes jambes et proposait mon cul à notre petite cochonne qui ne se fit pas prier pour y coller sa langue curieuse. Pour ne pas être en reste, Anne la godait de plus belle en tirant sur les chaînettes et en lui bottant les fesses.
Clarisse explosa soudain, complètement figée, tendue à l’extrême, incapable de bouger. Anne se dégagea, et la caressa doucement. Je fis de même, embrassant Clarisse sur la bouche.
Anne sortit de la pièce en nous demandant de rester sages en attendant qu’elle revienne. C’était un appel à la désobéissance et je n’hésitais pas une seconde à entamer un 69 sur le carrelage de la cuisine. Anne nous retrouva enlacées et j’étais nez à nez avec ses chaussures à talons noires, je levais la tête pour constater qu’elle avait enfilé la robe de latex ouverte sur ses seins appétissants.
– Vous êtes des petites coquines ! Et vous savez ce qu’il arrive aux petites coquines ?
– Oh, je crois qu’il faut les punir…
– Parfaitement mes chéries, vous allez devoir être très sages maintenant !
– Oui, Anne nous serons très sages, n’est ce pas Clarisse ?
– Oui, tu pourras nous faire tout ce que tu veux !
– Alors, debout et suivez-moi !
Anne ouvrit la trappe menant au grenier et docilement Clarisse et moi nous la suivions à l’étage. Clarisse ouvrit de grands yeux en découvrant notre cachette. Je donnais l’exemple en me mettant en position devant Anne, mains derrière la tête et jambes écartées. Clarisse m’imita en se positionnant à côté de moi. Anne descendit et remonta avec le caméscope qu’elle plaça en face de nous. Face à l’objectif, elle passa sa main le long de mon dos puis, de mes fesses. Ce contact m’électrisait et je laissais échapper un cri de surprise lorsque sa main s’abattit sur mes fesses avec un claquement sonore. Après une dizaines de claques, mes fesses me cuisaient et je découvrais que chaque claque me faisait frissonner de plaisir. Je devais avoir les fesses rougies. Anne m’enfila le body constitué de fines chaînettes, prenant bien soin de le serrer autour de mes seins et d’enfoncer la chaînette entre mes grandes lèvres. Ensuite, elle s’approcha de Clarisse et lui donna également 10 claques sur les fesses, elle adorait ça et cambrait ses reins pour mieux offrir son petit cul aux mains d’Anne.
– Vous aimez ça on dirait…
– Oh, oui, c’est bon…
– Je crois que je vais devoir vous attacher si je veux que vous restiez sages.
– …
Inutile de dire que nous n’attendions qu̵;;;;;7;une chose. Anne, à l’aide du scotch noir, lia mes mains dans mon dos, les faisant passer le long de mon corps. Puis, elle attacha les poignets de Clarisse de même à l’aide des bracelets qu’elle portait. Ensuite, elle descendit et elle revint avec un cintre pour pantalons muni de pinces en plastique. Là, j’eus un peu peur, les pinces devaient être très puissantes et leur morsure devait être très douloureuse. Anne compris mon regard inquiet et me rassura.
– N’aie pas peur, les pinces ne sont pas trop dures, tu verras
– Je te fais confiance…
– Présente-moi tes seins Fabienne !
– Oui
Et je bombais la poitrine devant Anne qui massa doucement mes tétons, puis les pinça pour les préparer à la morsure des pinces. Enfin, elle régla les pinces en les faisant glisser sur le cintre et pinça mes tétons. La douleur était réellement supportable et laissa rapidement place à une sensation de chaleur. Anne plaça ensuite deux pinces sur mes lèvres et une sur mon clitoris. Jambes écartées, je lui facilitais l’accès alors qu’elle reliait les pinces et le cintre à l’aide d’une cordelette de nylon. Elle me mit la bobine de cordelette dans la bouche et vérifia les pinces portées par Clarisse. Puis, elle nous emmena vers le centre du grenier et passa la cordelette pardessus une poutre de la charpente. Anne me reliait à Clarisse en tendant légèrement la cordelette, au moindre de mes mouvements je mettais en tension l’ensemble et nous sentions toutes deux la morsures des pinces sur nos corps.
Anne, satisfaite, nous regarda un moment en nous prodiguant des caresses destinées à nous faire gigoter. La sonnette retentit et Anne descendit. Elle remonta rapidement suivie d’Hervé et d’une femme en robe de vinyle que nous ne connaissions pas et qui posa un grand sac noir sur le sol.
Sans un mot, la femme ouvrit son sac et farfouilla dedans, pendant ce temps, Hervé montait une petite table sur des tréteaux solides. Anne les regardait faire, les seins à l’air, un peu hésitante elle leur proposa son aide.
– Je peux vous aider ?
– …
– Je …
Les deux invités ne pipaient mot. La femme, munie d’un très long double gode, s’approcha de nous et, toujours sans un mot l’enfonça dans ma chatte trempée avant de faire de même dans la chatte de Clarisse. Comprenant qu’elle était assez étroite, elle la pénétra avec un peu plus de ménagement. Puis, elle testa la tension de la cordelette pour s’apercevoir avec un air satisfait qu’elle était bien tendue. Hervé accrochait aux poutres de la charpentes une espèce de harnais de cuir et de métal. La femme tendit à Anne des vêtements. Anne se déshabilla complètement et enfila une paire de bas noirs, un porte-jarretelles, un très court body de latex ouvert sur ses seins et comprimant sa poitrine généreuse. Ensuite, elle enfila des chaussures à talons vertigineux et la femme s’approcha d’elle et la maquilla, Anne avait l’air d’une actrice de films X. J’étais sûre qu’Anne ruisselait et lorsque je sentis la bouche de Clarisse contre la mienne, j’accueillais avec plaisir sa langue chaude et agile. Une douleur cuisante sur mes fesses m’arracha à ce baiser langoureux. Hervé venait de me donner un (petit) coup de cravache. Il se tourna vers Clarisse qui lui avoua que c’était elle qui avait commencé et plongea son regard dans le mien. Hervé lui donna 5 petits coups et à chaque claquement Clarisse, la bouche fermée, réprimait un petit cri de plaisir. Chaque coup tendait nos corps et nos liens, nous approchions du plaisir entre la douleur et l’excitation.
Nous contemplions Anne qui attendait debout devant la femme qu’elle lui passe un collier de cuir et des bracelets de métal aux poignets et aux chevilles. Hervé avait rapporté de la cuisine quelques chaises et des bouteilles d’eau, il faisait chaud sous le toit malgré la nuit. Il nous fit boire un peu d’eau et retourna préparer quelque chose dans un coin de la pièce. Enfin, Hervé prit la caméra et fit un signe à la femme. Elle s’approcha d’Anne qui se mit à genoux à ses pieds et lécha aussitôt la chaussure tendue.
– Anne, ce soir tu seras ma chose !
– Oui Madame, je serai votre chose.
– Tu sera ma pute et tu feras tout ce que je te demande de faire !
– Oui Madame, je serai votre pute.
– Alors c’est d’accord, tout le monde connaît le mot de passe ?
– Oui, nous l’avons lu sur le contrat.
– D’accord, alors allons-y !
Et elle poussa Anne vers la table sur laquelle elle l’allongea, avant de la lier aux quatre coins, écartelée, à sa merci. La tête, le bassin, les jambes et les bras d’Anne étaient dans le vide. Elle passa sa main sur la chatte d’Anne constatant qu’elle ruisselait.
– Tu mouilles comme une fontaine !
– Oui, Madame…
– Tu as hâte de te faire défoncer !
– Oui Madame…
Et la femme sortit un tout petit objet blanc qu’elle enfonça dans la chatte d’Anne. Elle ne tarda pas à gigoter dans tous les sens, des bulles blanches sortaient de sa chatte, Anne gémissait de plaisir. Elle avait du lui mettre un cachet effervescent dans la chatte et à en juger par ses petits cris, c’était diablement excitant. Anne se calma et la femme fit couler un peu d’eau sur son entrejambe pour rincer les dernières bulles. La femme se mit au-dessus du visage d’Anne et l’embrassa en lui mordant les lèvres, Anne semblait abandonnée à cette femme qui la manipulait comme une poupée. Elle mit la tête d’Anne entre ses cuisses et on pouvait deviner facilement que la langue de ma compagne était agile. La femme se retourna et se mit à palper les seins saillants, pinçant les tétons de plus en plus rudement. Anne commençait à se contorsionner sous les savantes caresses de la femme qui s’attachait maintenant à lui enfoncer le plus de doigts possibles dans la chatte. Alors que notre amante allait jouir, la femme s’arrêta et délia Anne lui donnant l’ordre de se mettre debout.
Elle descendit et un instant plus tard, on entendit la porte d’entrée s’ouvrir. Six hommes arrivèrent à notre étage, ils étaient masqués et ne paraissaient pas surpris de nous voir ici. Ils se postèrent devant Anne, immobile.
La femme arriva à son tour et s’adressa à Anne.
– Tu vas te faire baiser maintenant !
– Oui, Madame,
– Ces six hommes vont te prendre par tous les trous, tu devras leur obéir et faire tout ce qu’ils te demandent !
– Oui Madame,
– Pour commencer, tu vas les sucer
– Oui Madame
Et Anne se mit à genoux et l’un après l’autre, les hommes qui s’étaient débarrassés de leurs vêtements profitaient des talents de suceuse d’Anne. Notre compagne se retrouvait avec une forêt de bites autour de sa bouche, et on reconnaissait facilement Benoît grâce à son pieu énorme. Anne ne pouvait que le lécher et je me proposais timidement pour goûter cette belle queue. Hervé relâcha la cordelette et nous fit mettre à genoux. Benoît arriva entre nous et nous proposa sa queue. La langue de Clarisse allait et venait sur cette belle hampe rencontrant ma langue tout aussi avide. Puis Benoît se mit face à moi et présenta son gland à l’entrée de ma bouche, je l’engloutissais doucement alors que je pouvais voir la tête de Clarisse entre les cuisses de Benoît et sa langue pointer vers les couilles de notre amant. Benoît me laissait faire et j’aurai bien aimé qu’il explose dans ma bouche, mais il avait d’autres projets.
Anne était maintenant dans le harnais, suspendue au plafond, écartelée et offerte. Les hommes prenaient sa chatte à tour de rôle puis se faisaient sucer. C’était bientôt le tour de Benoît et alors qu’il la pénétrait avec retenue, Clarisse se rappela à mon bon souvenir en ondulant du bassin pour nous masturber à l’aide du double-gode. Nous nous penchâmes vers l’arrière pour profiter de la cordelette qui tirait sur nos seins et nos sexes, toujours plus excitées, au bord de la jouissance.
Anne se faisait défoncer par Benoît et pour ne pas qu’elle crie, un des hommes collait sa bite dans la bouche de notre compagne. Benoît explosa sur son corps et étala du bout de sa queue encore tendue, le foutre sur le ventre d’Anne, pantelante.
Après, la femme enleva notre double-gode, détacha Clarisse et l’amena vers Anne en lui ordonnant de tout nettoyer. Clarisse un peu hésitante, se mit au travail et bientôt il ne resta plus une goutte de sperme sur le corps d’Anne. Puis à genoux, Clarisse eut pour mission de préparer le petit trou de notre amie. Sa langue ne tarda pas à faire gémir Anne, impatiente de se faire défoncer.
– Prenez-moi, enculez-moi,
– Oui, tu vas te faire enculer, Anne, encore un peu de patience ! Et ils vont tous jouir dans ton petit cul, tu vas adorer !
Clarisse se releva et un après l’autre, les hommes accédèrent à sa requête. Tous sauf Benoît qui se faisait lécher par Clarisse. Bien qu’avec un peu de mal, elle réussit même à le mettre en bouche pour le plus grand plaisir de Benoît qui informa ses congénères des talents de la petite blonde.
– Hé, les gars, elle suce très bien elle aussi ! Essayez !
– On arrive !
Et Clarisse se retrouva en train de sucer les queues qui venaient de sortir de l’anus dilaté d’Anne, gluantes de sperme et des sécrétions d’Anne. La femme me libéra à mon tour, elle ôta le cintre de mes seins et massa un peu mes tétons, je crus défaillir. Puis, elle me fit nettoyer le cul de ma compagne. Je gratifiais Anne d’une feuille de rose mémorable avec dans l’idée de la remplacer sur le harnais. Mais après cela, le femme me rapprocha de Clarisse, nos corps se touchaient, Clarisse m’embrassa et je lui rendis son baiser, goûtant le sperme qui maculait son visage. Puis, après nous avoir permis de boire un grand verre d’eau, elle fit s’allonger Clarisse sur moi, tête-bêche et nous lia l’une à l’autre. Je plongeais ma langue dans le sexe offert et ne tardais pas à sentir une langue agile titiller les pinces qui mordaient mes grandes lèvres.
Je jetais un coup d’œil vers Anne, qui était libérée et s’enculait sur une queue bien dressée, tout en suçant deux queues à hauteur de son visage. Un autre homme se pointa devant elle, il masquait la scène mais je me doutais bien qu’il allait bien lui remplir la chatte. Je redoublais mes coups de langues et titillais l’anus de Clarisse. Elle me rendait caresse pour caresse et nous pûmes enfin jouir l’une et l’autre alors qu’Anne se faisait défoncer à nos côtés. Deux hommes arrivèrent, nous détachèrent et défirent nos liens. Puis nous nous baissions pour présenter nos culs à leurs mains et à leurs queues qui ne tardèrent pas à nous pilonner. Apparemment l’homme qui pilonnait Clarisse était assez délicat et je constatais qu’elle prenait beaucoup de plaisir.
Malgré les coups de boutoirs, nous essayons de voir ce qui se passait, Anne, étendue sur la table jambes écartées, se faisait caresser par la femme qui enleva un de ses talons et goda Anne avec. Deux hommes lui palpaient les seins, pinçaient ses tétons et je supposais qu’Anne devait en sucer un troisième. La femme appela tout le monde à admirer le sexe béant d’Anne qui avait maintenant presque avalé la chaussure. Puis elle la ressortit et la présenta à Anne qui lécha ses propres sécrétions. Enfin, elle posa sa main sur sa chatte et, sans un mot, enfonça trois, puis quatre doigts dans le sexe d’Anne. Bientôt le pouce se joignit à l’affaire et Anne, ahanant supplia la femme de la défoncer.
Elle ne se fit pas prier et enfonça sa main dans la chatte d’Anne. A ce moment la queue de mon amant quittait mon sexe pour mon cul et il me sodomisa énergiquement. La femme branlait Anne qui cambrait son bassin vers elle, s’offrant sans retenue. La femme lui donnait de petites tapes sur les seins et le clitoris à l’aide d’une petite lanière de cuir, s’en était trop pour Anne qui explosa, soudain tendue comme un arc, libérant des flots impressionnants de cyprine dans un râle de jouissance. En même temps les hommes, excités par ce spectacles redoublèrent d’efforts et nous pilonnèrent de plus belle. Je ne tardais pas à sentir le sperme chaud envahir mon cul alors que ma voisine léchait le sexe poisseux de son amant. Les quatre autre se branlèrent sur le corps d’Anne, la maculant de sperme. Clarisse s’approcha d’eux et nettoya leur sexes avec application. Je fis de même avec le sexe qui venait de quitter mon anus. Puis, je m’allongeais sur la table dans la même position qu’Anne, jambes écartées.
La femme s’approcha de moi et commença à agacer mes tétons avec ses ongles, puis elle fit de même avec mon clito, le triturant sans retenue. Je commençais à venir et la femme brusquement arrêta ses caresses et ordonna à Clarisse de me fister.
– Vas-y, n’hésites pas, elle n’attends que ça !
– Mais je n’ai jamais fait ça, je vais…
– Allez, dépêche toi !
Et alors que Clarisse glissait ses doigts dans ma chatte, des sexes se présentaient à ma bouche, ils étaient un peu flasques et je m’employais à leur redonner un peu de vigueur. Je me retrouvais avec deux sexes dans la bouche, les autres se frottaient à mon visage, mes cheveux. Les doigts de Clarisse était fins et délicats, elle me faisait un effet terrible lorsqu’elle tournait doucement ses doigts en moi. Je me cambrais de plaisir et Clarisse sortit ses doigts et cette fois fit pénétrer sa main entière. Avec délicatesse, elle me remplit de sa main, m’écartelant la chatte. La femme l’encouragea à me pilonner et Clarisse entama des va-et-vients toujours plus énergiques. Je sentis la morsure de deux bouches sur mes tétons. Anne et la femme me mordaient les seins. J’entendis un cri, Clarisse venait d’arrêter ses mouvements et les reprenant de plus belle, je devinais qu’elle était en train de se faire prendre. Les mains de la femme et d’Anne se prommenaient sur mon corps, mes seins, mon mont de Vénus, mes fesses. Les sexes de plus en plus gros se relayaient dans ma bouche alors que je sentais des doigts palper doucement mon petit trou. Je remarquais que le sexe que je prenais en bouche venait de quitter l’anus d’une de mes amantes et loin de me dégoûter, je repris de plus belle ma fellation sous les coups de Clarisse. Des doigts pénétrèrent mon cul alors que je commençais à sentir la jouissance venir. Mes amantes comprenant que je n’allais plus tarder s’enhardirent et m’enfoncèrent deux doigts, me branlant le cul en même temps. Mes tétons se retrouvaient sous la torture de leurs dents et j’explosais hurlant ma jouissance. Mais personne ne s’arrêta et ils continuèrent,
je sentais bientôt le sperme chaud sur mon visage et dans ma bouche, ne sachant plus où et qui j’étais j’eus un second orgasme qui me laissa presque au bord de l’inconscience. Je ne me souviens plus de ces moments avec certitude mais je revois cette scène comme dans un rêve, comme si j’étais spectatrice de la scène et que je voyais mon propre sexe défoncé par la main de Clarisse, mon cul dilaté par les doigts d’Anne et de la femme, la bouche déformée par deux sexe et le visage et le buste maculés. Anne et Clarisse vinrent m’embrasser et partager avec moi le nectar de nos généreux étalons. Ces derniers nous adressèrent un petit salut avant de se rhabiller et de disparaître, sans un mot, accompagnés par la femme et Hervé.
La porte claqua, Clarisse, Anne et moi nous nous rapprochâmes davantage, exténuées et nous léchâmes tout le sperme qui souillait nos corps avant de nous embrasser pour partager le fruit de toutes ses jouissances. Anne se releva et nous emmena à la salle de bains où nous nous déshabillâmes mutuellement. Puis elle me demanda de me mettre dans la baignoire à genoux face à elle. Je savais ce qu’elle voulait et je me plaçais sous son sexe. Anne urina sur mes seins, je les frottais l’un contre l’autre sous le jet brûlant avant de la laisser inonder mon visage. J’ouvris la bouche et sous le regard envieux de Clarisse, j’avalais par petites gorgées le liquide odorant. Clarisse entra dans la baignoire et se plaça derrière Anne recueillant de sa mains les dernières gouttes avant de porter ses doigts à sa bouche, le message était clair et je me redressais à mon tour pour uriner sur le corps de Clarisse et d’Anne enlacées se délectant de mon liquide doré. Clarisse ne tarda pas à pisser contre Anne, dirigeant son jet vers le sexe béant de notre amie. Toujours mouillées, nous nous enlaçâmes partageant dans nos bouches nos nectars intimes.
Après une douche et un bain réparateur, nous nous retrouvâmes enfin au lit. Clarisse nous remercia de l’avoir fait jouir comme elle n’avait jamais joui et s’endormit sous nos caresses, blottie contre nous.
Dans le genre partouze diabolique, c’est vraiment pas mal
Encore plus hard que le précédent chapitre, il va falloir que je me calme