Dans mon camion par Mondoi

Dans mon camion
par Mondoi

J’ai un collègue qui fait la route avec moi et on parle souvent de cul, l’autre jour il me demande si je l’ai déjà fait avec un homme, on en était arrivés là à cause d’un sujet sur un forum, doigt dans l’anus pendant les fellations avec des femmes.

Je lui avais avoué que je trouvais ça agréable, il m’a dit que personne ne lui avait fait ça, en rigolant, je lui ai proposé de lui faire gouter au plaisir anal, c’est la qu’il m’a posé cette question.

Je lui ai répondu qu’un doigt dans le cul ne faisait pas de lui un homo, les femmes aussi prennent du plaisir par là et faudrait voir d’abord s’il était sensible du petit trou.

Il resta silencieux pendant 10 bonnes minutes puis me demanda si en tant que collègue depuis longtemps, ça me gênerais de lui ausculter le sphincter pour voir ce que ça faisait.

Je lui réponds « OK », mais je lui propose de lui bander les yeux car je préfère qu’il s’imagine être avec une femme, surtout que je vais le branler, le sucer, et lui lécher la rondelle pour le préparer et que je n’ai pas envie qu’il me regarde faire, ça me bloque.

Je me gare et nous montons sur la couchette, il se déshabille, je lui mets son slip sur la tête pour lui couvrir les yeux, il ne bande pas encore, inquiet par cette nouvelle situation qui va lui faire connaitre un autre plaisir, je me mets en sous vêtements et vois qu’il me regarde le slip au niveau du paquet.

Il et allongé, je prends son sexe en mains, le caresse, masse ses couilles, il durcit, je le branle sans le décalotter, il soupire d’aise, je lui tète le prépuce, le gout et l’odeur de sa bite m’excite, mélange de sueur et d’urine, il est bien raide maintenant, sa queue est large, longue d’une quinzaine de centimètres. J’en ai le trou de balle qui frétille à l’idée de me la prendre dans les fesses, je ne suis pas homo mais de temps en temps, j’aime bien me faire prendre par derrière par un gode ou part mon beau frère qui partouze avec ma femme et moi.

Le moment est venu de passer à la fellation et je le décalotte avec mes lèvres, au ralentis, descendant la peau jusqu’en bas, il pousse un râle de plaisir, je commence à le pomper, je ne fais pas ça souvent mais je reproduis les gestes de mon épouse qui est une super suceuse de bite, je le branle aussi, lui lèche les testicules, les prends en bouche, elles sont poilues et me chatouillent le palet.

Maintenant, je lui fais relever les cuisses, sa raie est aussi très velue, son anus brun est fermé, je commence par saliver sur mes doigts que je fais glisser entre les fesses, passant sur l’orifice qui palpite, je masse le pourtour de sa rosette pour la détendre, il a l’air d’apprécier. Je continue à le sucer un moment puis je me mets entre ses jambes, lui dit de les tenir et je pose ma bouche sur son anus en déposant de la salive, il a un sursaut, je lui demande s’il veut que j’arrête, il dit :

– Non, continue.

Je lui lèche la raie, odorante, et le masturbe d’une main, avec le pouce, je caresse le gland. Ma langue se fait pointue pour pénétrer le bourrelet, il se contracte, je lui explique qu’il doit pousser pour détendre le sphincter, il pousse, l’œillet s’ouvre, je rentre la langue dedans, le gout de son cul me fout encore plus la gaule, je salive un max pour bien lubrifier et j’approche mon majeur.

Après avoir massé encore un peu la rondelle et mouillé mon doigt, je le lui enfonce dans le fondement, il a encore un sursaut et je lui redemande s’il veut que j’arrête, il dit non. Je continus à le pénétrer, je reprends sa queue dans ma bouche, je vais le plus loin possible avec mon doigt, il a la crotte au cul, je commence à le fouiller, il pousse, ça glisse bien, je rythme mes va-et-vient sur ma fellation, il gémit de plaisir. Je décide de passer à deux doigts et rajoute l’index, il a un râle de surprise mais il s’écarte lui-même les fesses et je lui fourre entièrement mes doigts, je lui lime le cul, doucement d’abord, puis j’active le mouvement.

Il me dit qu’il va jouir, que c’est bon, de pas arrêter, il pousse, mes doigts rentrent et sortent, il éjacule dans ma bouche et pète en même, son sperme est salé et abondant, j’avale tout, retire mes doigts. Son anus est largement ouvert, je le fait mettre à quatre pattes, là, il dit « non » mais sans trop de conviction, je sort ma queue et je l’encule, j’ai un bon morceau, il gueule qu’il a mal, je le calme avec la main, lui fourre toute la longueur de mon dard dans le cul, j’ai trop envie, et après tout, je lui ai fait une pipe, il m’a arrosé les amygdales, j’ai joué avec ses matières dans ses fesses, il peut me l’offrir son pucelage anal. Je le lime à fond, lui défonce la boite à chocolat, je sodomise un mec dans mon camion et je prends un pied terrible.

La jouissance arrive et je lui lâche la purée au fond des boyaux. Il a fait la gueule tout le reste de la journée, mais le soir quand je l’ai sucé et lui est offert mon petit trou, il a retrouvé le sourire et m’a sodomisé comme un dieu et m’a remplit de son sperme.

Vive les routiers

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Une réponse à Dans mon camion par Mondoi

  1. Pozo dit :

    Je viens de lire 2 bons récits de cet auteur, mais celui-ci est bâclé et sans intérêt

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