Cynthia ou le salon de coiffure était fermé par Marie-France Vivier

Note liminaire : Cette très belle histoire SM est l’œuvre d’un auteur anglophone. Son récit se balade depuis 1997 sur le web dans différentes traductions bâclées et approximatives. Je l’ai complètement retravaillée en m’efforçant de ne rien trahir. Bonne lecture !

Il devait être grosso-modo 20 H 45. J’entrais dans le salon de coiffure. C’était presque l’heure de la fermeture. Le salon était vide, à l’exception d’une femme qui balayait. Elle était grande avec une longue chevelure blonde frisée, mince avec des formes… sculpturales. Elle me regarda avec un air contrarié — sans doute parce que ma présence devait signifiait qu’elle allait devoir finir de travailler plus tard. Cela ne dura qu’un bref instant et c’est avec plein de gaîté dans la voix qu’elle me demanda.

– Est-ce que je peux vous aider ?

J’hésitais, avalant péniblement ma salive

– Je viens de la part de…Christine.

Elle me toise littéralement, me regardant de haut en bas, puis me fixe du regard. Je suis plutôt petite, 1 m 60, mince, cheveux bruns mi-courts, yeux bruns. J’ai un petit cul, de beaux seins. Je suis mignonne et gaie. C’est ainsi que les gens me décrivent. J’ai 28 ans, mais en parai 5 de moins. On croit souvent que je suis encore étudiante.

– Très bien ! Et elle vous a dit de demander quoi ?

Je regarde le sol, mon cœur palpite.

– Le… le traitement complet !.

– Comment c’est intéressant !

Un éclair d’excitation traverse son regard, mais cela ne dura qu’un instant.

– Je m’appelle Cynthia. Assis-toi !.

Elle tapotait nerveusement le dossier de la chaise. Je m’assoie. Allant à la porte, elle retourna la pancarte – OUVERT- pour indiquer que le salon était maintenant fermé. Elle baissa lentement le store de la porte et des vitrines. A présent le monde extérieur n’exista plus, et nous étions éclairées par des spots fluorescents et bourdonnants.

– Tenez-vous droite ! dit-elle.

Cynthia sortit de mon champ de vision et alla chercher quelque chose. J’attendais, cœur battant, Je respirais mal de façon nerveuse un peu comme avant une crise d’asthme. Malgré l’air conditionné, je transpirais et je frissonnais. Soudain la chaise pivota, interrompant mes rêves.. Elle était de retour et m’avait placé devant un miroir. Elle plaça un doigt sous mon menton, et appuya, me forçant à soulever mon visage et à me redresser. Son doigt glissa le long de ma mâchoire, puis lentement sur ma joue. Juste ce contact. Un doigt le long de mon visage, c’était si sensuel.

Puis elle passa derrière moi et caressa ma chevelure.

– Joli tignasse !.

Lentement et si doucement et de façon si fluide que cela semblait sortir d’un songe, Cynthia glissa un velcro autour de mon poignet et le serra. Je saisissais déjà l’accoudoir. Une autre m’attacha le coude. J’essayais de remuer le bras, en vain. Mon bras gauche était bel et bien attaché. Elle détacha mes cheveux. Elle tira mon tee-shirt hors de mon pantalon. Elle continua à le tirer de côté jusqu’à ce qu’il atteigne mon visage, le fit glisser sur mon bras droit puis le long du bras gauche où il resta coincé par le velcro. J’avais un joli petit soutien-gorge blanc qui me couvrais encore ma poitrine, mais déjà, je me sentais nue. Elle attacha rapidement mon bras droit de la même façon. Hésitant à croiser mon regard, elle fit tourner un peu la chaise, m’observa dans le miroir. Je fis de même et celui-ci me renvoyait l’image d’une jolie fille impuissante. Ca aurait pu être quelqu’un d’autre ! Etait-ce réellement moi ?

Cynthia défit le bouton de mes jeans et baissa la fermeture éclair, puis partit quelques instants laissant exprès mon jean suggestivement ouvert, lubrique. En revenant, elle se mit à genoux devant moi

– Lève ton cul ! dit-elle sèchement

Je soulevais mon cul, et elle descendit mon pantalon, dégagea mon pied droit, mais laissa le reste autour de ma cheville gauche. .

– Relève encore !

Ma petite culotte pris le même chemin. J’avais à présent la chatte à l’air.

Cynthia s’assit ensuite par terre, s’empara de ma cheville gauche, et l’attacha quelque part dessous de la chaise. Elle fit de même avec ma cheville droite. Cette position me faisait ouvrir largement les jambes. Je pouvais, certes, encore fermer mes genoux, mais au prix d’un effort pénible et inutile. Maintenant je n’étais habillé que de mon seul soutien-gorge.

C’est à ce moment-là que le bruit d’une personne activant la poignée de la porte retentit comme une explosion. A la pensée que quelqu’un puisse me voir dans cet état, un vent de panique m’envahit. La porte s’entrouvrit. Le verrou n’avait pas été fermé !

Blang ! La chaîne de sécurité ! Elle n’avait pas verrouillé la porte, mais la chaîne était attachée. Ouf ! Elle courut.

– Je suis désolé, c’est fermé !

Ils échangèrent quelques mots que je ne pouvais entendre. J’avais rapproché mes genoux autant que possible. Je n’étais pas dans le champ de vision direct de la porte et on ne m’avait sûrement pas vu. Elle s’excusa à nouveau, ferma et verrouilla la porte.

Cette interruption l’avait agacée et quand elle revint, ce fut avec une pointe de méchanceté dans le sourire.

– Bon ! On en étais où ? Ah oui ! Voici les règles. Tu devras me vouvoyer et m’appeler « Maîtresse ». Si la situation devient vraiment insupportable pour toi, le mot de sécurité est Houba-Houba. OK ?

– Oui, Maîtresse. Répondis-je en inclinant la tête !

Elle se pencha vers moi si près que je pouvais sentir son haleine chaude !. L’air conditionné bourdonnait. Mes tétons étaient dressés comme des gommes de crayon. Elle fit courir son doigt le long de mes seins, puis sur mes tétons, puis, baissant sa main, elle la plaça entre mes jambes.

– T’as un joli buisson (elle souriait) Il a déjà été taillé, mais il a repoussé. Je crois que tu as besoin d’un petit rasage. Mais d’abord…

Cynthia dégrafa mon soutien-gorge et le laissa tomber par terre. J’étais à présent complètement nue (l’espace d’un instant l’idée saugrenue que je ne l’étais pas, puisqu’ayant conservé mes petites boucles d’oreille me traversa l’esprit). Elle fouilla sur l’étagère derrière le miroir, hors de mon champ de vision. Elle revint avec dans ses mains des pinces à cheveux en métal.. Sans aucun préambule elle en claqua une sur mon téton gauche.

– Ahhhhhhhhh ! J’haletais. Ca mordait cruellement.

Dans la foulée elle en accrocha un autre à mon téton droit.

– S’il vous plaît !

Je respirais fort ! Un velcro auquel était attachée une cordelette souple fut placé autour de mon genou. Elle passa derrière mon dos, autour de la chaise. Un système identique immobilisa l’autre genoux. Impossible maintenant de serrer les jambes. J’étais épinglée serré, exposée et impuissante. Quand soudain une troisième pince se referma sur mon clitoris !

– Aiiiiiiiiiiiiiiiiie ! Je hurlais.

Les larmes débordèrent de mes yeux. Je me mordais ma lèvre.

– S’il vous plaît, maîtresse.

– Je t’en enlève deux Tu peux choisir celui que tu gardes !

– Le téton gauche alors !

Elle respecta mon choix. Lorsqu’elle les enleva sans aucune douceur, la douleur augmenta brusquement puis finit par disparaître

Encore une fois elle disparue de ma vision. J’entendis un lavabo se remplir. Elle revint avec une petite cuvette contenant de l’eau chaude d’où s’échappait une légère buée !. Elle me fit soulever les fesses, et plaça un oreiller en dessous. Elle trempa une serviette, puis en mouilla mon entre jambes. L’eau légèrement trop chaude me fit tressaillir. Elle insista sur mes poils pubiens, augmentant la friction humide sur ma chatte. Elle m’appliqua ensuite du gel à raser et me montra un rasoir neuf.

– Ne bouges pas ! dit-elle.

Cynthia s’agenouilla et commença à raser les poils de mon pubis. Elle essuya avec la serviette tiède. Puis de nouveau, le gel, et un autre passage du rasoir. L’eau chaude piquait ma chatte tout nouvellement dénudée, mais le gel la rafraîchissait simultanément. Bientôt j’étais complètement rasée, et essuyée proprement.

– Lisse comme une petite fille, dit-elle.

Cynthia rangea alors les ustensiles, et s’agenouilla de nouveau entre mes cuisses. Maintenant j’étais encore un peu plus nue. Sa langue courait tout le long des endroits que le rasage avait découvert. Elle saisit mon cul et me tira vers elle. Sa langue virevolta dans les replis de ma chatte, sur mon clitoris, et plus loin dans moi, lentement. Lentement, puis un petit peu plus vite, lentement de nouveau. Je fus surprise… En un temps étonnamment court, je jouissais, vagues de plaisir après vagues de plaisir. Je me sentais comme une étoile qui vient juste d’exploser. J’haletais. Elle se leva.

– Et bien sûr, après le rasage, il y a …l’après rasage !

Sur la tablette du miroir, elle pris un flacon, avec l’éclairage il paraissait vert. Elle mis sa main en coupe et versa un peu de liquide près de mon visage. C’était fort, trop fort en tous les cas pour être de l’après rasage. Cela piquait mes narines, et je n’osais en imaginer l’effet sur mon pubis tout frais rasé !

– Non, s’il vous plaît !

Je pleurais. Elle se mit entre mes jambes, et frotta sa main contre mon pubis. Ce fut comme une piqûre, suivi par une vague chaude.

– Aiiiiiiiiiiiiiiiiie !!! Je criais. Salope !! Un silence remplit la pièce.

– Comment est-ce que tu m’as appelé ?

– Je suis désolé, Mmmm maîtresse !

Je sanglotais à moitié. Elle versa dans ses mains une nouvelle poignée de liquide de feu et en enduisit mes tétons, puis mon clito. Je sentis d’abord le frais du liquide, puis une sensation de pincement ! J’ouvris ma bouche, mais aucun son ne sortit. Lentement la vague de douleur retomba. Ma chatte picotait encore. Soudain elle replaça les pinces qu’elle avait ôtés tout à l’heure Mes seins et mon clitoris sentirent la morsure du métal.

La chaise bascula soudainement, me mettant presque à l’horizontale, les jambes en l’air, ma chatte rasée et désinfectée baillant aux étoiles. Elle chevaucha la chaise par derrière. Les genoux de chaque coté de ma tête, elle se baissa, jusqu’à s’asseoir sur mon visage. Les fesses au-dessus mon front. Sa chatte mouillée descendait lentement vers ma bouche.

– Mange-moi ! Commanda-t-elle.

Et je le fis. Tous mes sens percevaient son sexe. Mon visage, ma bouche, mon nez, et même les sons de ma bouche remplissaient mes oreilles. Les cheveux de Cynthia chatouillaient ma poitrine, et elle tirait sur mes seins. Durement. Une des pinces tomba. Mais cela ne me soulagea pas beaucoup.

Ma langue peinait. Et tout cela commençait à devenir sérieusement long. Il était évident qu’elle appréciait mon œuvre, à voir la façon dont elle basculait sur mon visage. Mais elle mettait du temps à jouir, et pour ce faire. Je dus travailler longtemps et durement Quand enfin vint sa jouissance, sa mouille devint plus abondante. Ma bouche s’en remplit avec son goût acide. Elle pressait mes seins dans ses spasmes.

Elle descendit. Elle berça ma tête, m’embrassa sur les lèvres, la langue traînant sur mon visage, léchant son jus répandu sur moi.

– C’était merveilleux ! Sauf que tu m’as traité de salope !

J’ouvrais ma bouche, mais ne dit rien, attendant.

– Nous nous reverrons demain matin.

Elle alla vers la porte, en claquant des talons. Puis finit par revenir, habillée.

– Non maîtresse ! Ne me laissez pas ici toute la nuit !

Il y eu un petit ronronnement électrique quand elle pris un petit appareil. Un petit vibrateur, qu’elle glissa dans ma chatte mouillée. Je grognais.

– Oh ! ne t’affoles-pas, les piles seront mortes dans deux ou trois heures…

Cynthia me regarda dans les yeux, faisant semblant de s’inquiéter.

– Oh, ne t’inquiéte-pas, tu es en sécurité ici ! Quoique…

Elle marqua un temps d’arrêt

– Quoiqu’il y a six mois on a eu un cambriolage…Mais quelles sont les chances que ça arrive de nouveau cette nuit ? Je parie que s’ils te trouvaient ici, ils oublieraient la caisse.

Elle souriait cruellement.

– Mais Non, ça n’arrivera pas. Je serai là demain matin aux aurores. Du moins, enfin, je pense, parce que je ne me rappelle plus, j’ai peut-être ma matinée demain. Je vais vérifier tout ça en rentrant à la maison. Sinon, ben c’est Sally qui te trouvera ici ! Ca lui fera une surprise ! Allez ! Fait de beaux rêves !

Clack clack clack ! Le bruit de ses talons, puis le claquement de l’interrupteur. Je me retrouvais dans l’obscurité. Elle disparut en verrouillant la porte. L’obscurité. Graduellement je devenais consciente du faux tic-tac claquement de l’horloge électrique murale, et de la faible lueur de la bande de néon qui l’entourait.

Je suis là, couchée, attachée fermement sur la chaise inclinée. Nue, mais avec divers vêtement et sous-vêtements rassemblés autour des chevilles et coudes. Frémissante sous l’air conditionné frais. Une pince en métal attaché sur chaque téton et une autre sur mon clitoris. Un god bourdonnant dans ma chatte rasée et qui me pique encore. Et mon visage humide du plaisir de ma Maîtresse.

23H00. La nuit allait être longue !

– Houba-Houba ! murmurais-je !

Fin

© 2000 – Adaptée de l’anglais par Marie-France V.
maitresse_marie_france@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

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6 réponses à Cynthia ou le salon de coiffure était fermé par Marie-France Vivier

  1. Marie-Paule Perez dit :

    Délicieuse perversion

  2. Marylu dit :

    Très original et très pervers, j’ai adoré, je me serais bien vu à la place de la soumise

  3. Calande dit :

    Pas mal mais il manque un petit je ne sais quoi…

  4. Tob dit :

    on appelle ça de l’éducation anglaise je crois bien

  5. emylie dit :

    Une bien jolie traduction, ça m’a fait… du bien

  6. djamel dit :

    je vous salut maitresse le texte est excitant et qui donne envie d etre a vos pieds a bientot

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