Chroniques bitophiles par Allan_1

Bonjour Eddy,

J’ai découvert votre site il y a plusieurs mois. .
J’ai été très intéressé par les articles et témoignages sur la bitophilie.

J’aime assez ce terme de bitophile. Je m’y reconnais dans la mesure ou à
part sa queue, le corps de l’homme ne m’intéresse pas.

Mon activité de bitophile dure depuis plus de vingt ans. Cependant, je n’ai
guère sucé plus d’une trentaine de bites. Je joins les  » aventures  » de mon
passé de bitophile dont je garde le meilleur souvenir. Le top revenant aux
deux aventures de ce passé où une femme était présente (je fréquente les
toilettes publiques, les bois et forêts, les cabines à glory-hole de
quelques sex-shop , les ciné porno et me rends dans l’un de ces endroits une
fois par semaine : cela n’est arrivé que trois fois).

Merci Eddy, et salut aux bitophiles
Allan

La première fois

Je revenais à pied de la ville voisine par un chemin peu fréquenté. Sorti de
je ne sais où, un homme que je connaissais de vue s’est approché de moi et a
entamé la conversation en disant que le coin n’était pas sûr et en me
racontant avec force détails comment quelques jours plus tôt, dans le jardin
public situé un peu plus loin, deux hommes plutôt agressifs avaient profité
de sa bouche et de son cul. Tout en parlant il avait posé sa main sur mon
entre-jambe et palpait mon sexe. J’étais plutôt gêné car je bandais. Aussi,
je n’ai rien dit et l’ai laissé faire. Encouragé par mon silence, il m’a
adossé contre un arbre, a sorti mon sexe de mon pantalon et l’a caressé.

 » Elle est belle. Tu aimes les caresses ?  »
 » Oui  »

Il s’est alors agenouillé et prenant mon sexe à pleine main, s’est mis à
téter le gland. Puis il l’a mis dans sa bouche en faisant tourner sa langue
autour tout en me caressant la queue et les couilles. Il m’a fait jouir
ainsi, recueillant mon sperme dans sa bouche et l’avalant.

Un peu déçu de moi car j’aurais aussi voulu toucher son sexe et le prendre
en bouche, je me réajuste et m’en vais en balbutiant un timide  » Merci. Au
revoir  »

La première pipe

Je me rendais parfois dans la forêt de Montmorency à vélo. Un
beau jour, je remarque plusieurs hommes se promenant dans les sous-bois. Je
pose mon vélo, m’avance et observe. Je ne tarde pas à attirer l’attention.
Un mec s’approche de moi et arrivé à quelques mètres, se met face à un
arbre, me regarde et sort une bite bien raide. Une bite bien grosse,
laiteuse, au gland rose que l’on a envie de prendre en bouche, de sucer
comme un bonbon. Ma main ouvre ma braguette. Je sors mon sexe en érection,
recouvre lentement le gland avec le prépuce puis le décalotte à fond. Autour
de nous, personne. Je m’approche de lui. Il est maintenant à moins d’un
mètre. Je suis terriblement excité. Il tend la main et me prend la queue.
J’en fais de même et nous nous branlottons mutuellement. Je regarde sa queue
avec envie. Je bave. Il sourit :

 » Elle te plait ?  »
 » Oui  »
 » suce-la.  »

Voyant mon hésitation.  » T’as jamais sucé d’homme ?  »

 » Non  »
 » Tu est marié ?  »
 » Oui  »
 » Ta femme te suce ?  »
 » Oui  »
 » Tu as de la chance. La mienne refuse. Allez, fais moi jouir avec ta bouche
 »

Après tout, c’est un peu pour cela que je suis venu. Et sa bite au gland
décalotté me plait énormément. Je me baisse et la prend en bouche.

« Vas-y, ah c’est bien! continue ! ».

J’ouvre grand la bouche et m’enfonce le sexe que je suce le plus loin
possible.

J’ai passé ma main gauche derrière son dos pour conserver mon équilibre.
Sans cesser de le sucer, ma main droite parfois branle la queue, parfois
caresse les couilles.
Je m’applique. De temps en temps je sors son sexe de ma bouche, le mouille
de salive, lèche la hampe, titille le frein et le méat avec la langue. Puis
je pose mes lèvres sur le gland et l’aspire doucement en bouche. J’ai
l’impression que le gland chaud gonfle sous mon aspiration. Lorsqu’il est
entier dans ma bouche, je tourne ma langue autour en insistant à l’endroit
du frein.

Soudain je m’arrête car j’aperçois un autre homme venir vers nous. Je me
relève prêt à déguerpir lorsque je m’aperçois qu’il se branle en marchant.
Un mateur. Rassuré, je m’agenouille à nouveau pour continuer mon travail. Le
nouvel arrivant s’approche et dirige sa queue vers ma bouche pour que je
puisse le sucer aussi. Je m’occupe alternativement de chaque queue. Quand
j’en suce une, l’autre homme se branle et frotte son sexe sur mon visage
attendant mes lèvres et ma bouche.

Je bande ! Que je bande ! J’en ai mal aux couilles. J’ai le gland prêt à
éclater, le méat me brûle. Il y a longtemps que je n’avais pas bandé comme
ça !

Enfin le premier homme gémit, ses main se posent sur ma tête. Je sens son
foutre chaud envahir ma bouche, surpris par la force du jet je me retire,
recrache et le finit à la main, recevant plusieurs giclées sur mon visage.
Du sperme coule sur mon visage. Il rit.

 » C’est pas grave, c’était plutôt bien pour la première fois !  »

Il nous quitte. Je n’en peux plus. Je veux jouir aussi. Nous restons
quelques secondes les bras ballants, puis nous nous branlons réciproquement.
Je lui caresse un peu les couilles et me baisse pour le prendre à nouveau
dans ma bouche !

 » Non  »

Je me relève. Il avait pourtant l’air d’aimer tout à l’heure.

 » J’ai envie de t’enculer  »
 » Cela ne m’intéresse pas  »
 » Laisse moi jouir entre tes fesses, je ne t’enculerais pas.  »
 » Promis ?  »
 » Oui.  »
 » Vas-y  »

Il m’adosse à un arbre, baisse mon pantalon et mon slip, ouvre ma chemise.
Puis se mettant face à moi, il enduit son sexe et mes fesses de salive,
place sa bite juste sous mes couilles et entreprend des va-et-vient. Sa bite
glisse entre mes fesses. Le gland frotte parfois mon anus lorsqu’il pousse.
Ma bite frotte contre son ventre. Je sens rapidement le plaisir venir, je
jouis. Lui aussi. Mon sperme et son sperme dégoulinent entre mes fesses.

 » Merci. Tu viens souvent ici ?  »
 » Non, c’est la première fois.  »

Nous nous quittons.

Le bois de Boulogne

Par un bel après-midi, je suis allé au bois de Boulogne près du parc de
Bagatelle. Personne aux abords immédiats. Plus loin à l’intérieur du bois,
un homme semble satisfaire un besoin naturel.

Je m’approche progressivement de lui. Arrivé a quelques mètres de lui,
l’homme se tourne vers moi et sans hésiter me montre sa bite et se branle.
Quelle queue … 18 à vingt centimètres, un beau gland à la peau tendue, un
prépuce généreux, une merveille ! Je m’approche davantage, tends la main et
la caresse.

 » Je peux sucer ?  »
 » Oui  »

Je me penche, baisse ma tête, approche ma bouche de sa queue et passe ma
langue sur le gland. Il pose ses mains sur ma tête. Je continue à lécher le
gland que je vois grossir. Puis je l’entoure de mes lèvres, l’enduit de
salive et l’aspire doucement. J’ai une impression de douce chaleur dans la
bouche. Je prends du plaisir à essayer d’y enfoncer tout son sexe. Son gland
touche la luette à l’entrée de ma gorge. Il se cambre et ses mains appuient
sur ma tête. Je force mais n’arrive pas à introduire le gland. Mais je suis
gourmand, je veux sa queue dans ma gorge et j’insiste. Il pousse un
grognement à chaque tentative. Assis sur mes talons, je lève la tête pour le
regarder s’agiter de plaisir. Il n’en faut pas plus pour laisser le passage
au gland. Je sens un petit point de résistance, je tend le cou en avant et
ça rentre, j’ai l’impression que le gland se comprime au passage et regonfle
une fois passé. C’est jouissif. J’ai la queue tendue dans mon pantalon, le
gland me fait mal, j’ouvre ma braguette et libère mon sexe. Son gland est
maintenant totalement dans ma gorge, toute sa queue plonge dans ma bouche.
Pris d’un haut-le-coeur, je tente de me dégager pour ne pas suffoquer, le
gland sort de la gorge mais reste en bouche, je respire et l’homme replonge
aussitôt sa bite. A chaque poussée, mes lèvres touchent ses poils et ses
couilles. Je me dégage et il replonge aussitôt accompagnant la poussée d’un
gémissement de plaisir. Il tremble, soudain ses membres se raidissent, il ne
se contrôle plus et s’enfonce brutalement. Je me débats mais il maintient ma
tête fermement et je ne peux pas me dégager. Sa respiration devient
haletante et les râles plus bruyants. Un liquide chaud coule dans ma gorge.
Ma queue est prise de soubresauts, une douce chaleur se dirige vers le méat,
je laisse échapper deux ou trois giclées brûlantes, je jouis.

Il sort enfin sa queue de ma bouche. Autour de nous quelques hommes se
branlent.

 » Désolé, c’était trop bon, je n’ai pas pu m’empêcher, tu m’en veux pas ?  »
 » Non  » répondis-je en pensant que s’il savait comment j’avais jamais joui,
il me ferait payer.

Les toilettes publiques – La dame pipi

C’est dans les WC hommes d’une gare de la région Parisienne que je me
retrouve avec deux types plutôt mûrs. Il y a cinq places, celle du milieu
est libre et je m’y installe. Je fais mon affaire puis me caresse
discrètement, pour voir. L’homme à ma droite, de type égyptien, tend la
main, prend ma bite et la serre deux ou trois fois dans la main.

 » Elle est bien dure  »

Il forme un anneau avec son pouce et son index et le promène librement le
long de mon membre. Ses doigts sont incroyablement doux et le geste si
précis que je ferme les yeux de plaisir au passage du frein. L’autre homme
s’est approché. Il me pelote les fesses lorsque j’entends  » faites
attention, c’est bientôt la relève des monnayeurs « .

Surpris je me retourne et voit une dame pipi d’environ soixante ans près
d’une cabine face à l’entrée.

Elle n’ignore rien de ce que nous faisons : je suis face à elle, sexe dressé
et l’égyptien qui m’avait laché la bite lorsque je me suis retourné me
branle à nouveau.

 » N’ayez pas peur et continuez, je vous préviendrai  »

Je suis terrorisé, sans voix. Les deux lascars en profitent et en quelques
secondes m’ont retiré pantalon, slip et chaussure. Je me retrouve en
chaussettes, assis sur le meuble lavabo. Les deux hommes me maintiennent les
jambes relevées et bien écartées.

Ainsi, Dame pipi ne peut rien rater. Pendant que l’égyptien me prodigue ses
caresses savantes, son comparse enfonce son doigt enduit de salive
délicatement dans mon anus. Je gémis. Sous le plaisir des caresses dont je
suis l’objet, je ferme les yeux et m’abandonne totalement. La main me branle
admirablement bien. Mon anus dilaté accepterait maintenant bien autre chose
que les va-et-vient de deux doigts. Je suis pris de tremblements, pousse des
cris de plaisir, redemande un doigt dans le cul. Un deuxième doigt rejoint
aussitôt le premier. Je me cambre et me tortille pour m’introduire les
doigts plus profond. Je suis fait. La main qui me branle accélère le
mouvement, un jet de sperme atteint mon visage et les autres tombent sur mon
ventre.

J’ouvre les yeux. L’égyptien sourit, me pince la fesse et s’en va. Le
deuxième homme le suit. Dame pipi me sourit  » Viens quand tu veux. Le matin
je suis toujours là en semaine.  »

Je me réajuste, honteux.

Les toilettes publiques – à chacun son plaisir

Comme d’habitude à chaque fois que passe dans cette gare je me
rends aux toilettes publiques. Deux rangées d’urinoir face à face. Sur l’une
d’elles, trois types, un jeune d’une trentaine d’années entre un homme un
peu plus vieux et un arabe . Je m’installe, sors ma bite et commence à me
caresser. Je me retourne pour regarder les trois larrons. Légèrement en
retrait, le jeune a sorti tout son attirail et se laisse branler la queue et
caresser les couilles par ses deux voisins.
Un grand black entre. Tout le monde reprend une position plus convenable. Il
s’installe près de l’arabe et se met en position. Son voisin jette un regard
furtif au dessus de la séparation, fait un signe au jeune qui se relaisse
aussitôt tripoter.
Le black se tourne vers moi. Je vois alors un sexe énorme, au gland rose
bien décalotté. Le black branle un moment la queue imposante.

 » Viens ».

J’hésite mais m’approche néanmoins du noir.

« Touche-la. »
Je m’exécute. Il ajoute :

« Il y a pas de danger. Ici, on peut tout faire. Si tu la suçais, hein ? ».

Je m’agenouille et prend le sexe en bouche.

« Continue, c’est bien ! ».

Encouragé, je m’assois sur mes talons, ouvre grand la bouche et y enfonce le
chibre jusqu’à la luette. Sa bite a un goût plutôt salé. Le  » vieux  » ,
attiré par le formidable engin, s’approche et le branle pendant que je
cherche à m’introduire le gland dans ma gorge. J’y arrive. Le jeune,
pantalon et slip sur les chaussures, le regard fixé sur le sexe qui
s’enfonce de plus en plus dans ma bouche, se fait téter le gland par l’arabe
qui lui doigte le cul. J’ai repoussé la main du  » vieux  » et branle
maintenant la bite que je suce. Si je me réfère à mes exploits passés, j’ai
seize à vingt centimètres dans la bouche et je le branle toujours à pleine
main. Quelle jouissance. Je n’arrive pas à aller plus loin dans ma gorge car
il faut que je ressorte le gland pour éviter le haut-le-coeur. La bave coule
sur ma main. Je le branle doucement en imprimant des mouvement de rotation à
ma main. Tout cela me fait bander comme c’est pas possible. J’ai envie de
sentir à nouveau cette bite prendre possession de ma bouche. Je la sors
entièrement, pose mes lèvres baveuses sur le gland et titille le méat avec
ma langue. Je sens le goût du sperme, je réalise que le noir n’a pas mis de
préservatif et je délaisse momentanément la queue pour me protéger. Le  »
vieux  » en profite pour se foutre l’engin dans la bouche et entame une
fellation débridée. Tout à coté, les rôles se sont inversés. Penché en avant
sur la bite de l’arabe, le jeune semble m’offrir ses fesses. Son anus semble
enduit de gel et le doigt que j’y introduis entre facilement. J’entame un
mouvement de va et vient, le cul s’offre davantage. Je met un préservatif,
pointe mon gland à l’entrée de l’anus dilaté par l’envie et le pénètre.
J’entends un râle de plaisir. Ma queue va et vient dans la chaleur de ce
cul. Je tourne la tête vers la gauche. Le  » vieux  » semble aussi vouloir
jouer à gorge profonde. Il se débrouille plutôt bien. La queue du noir est
déjà engloutie à moitié et s’enfonce encore lentement, vient un moment
d’arrêt, le menton se place en avant et la progression reprend. Le gland est
passé et les lèvres se projettent plus avant sur le membre. Encore cinq ou
six centimètres et elles toucheront la toison du pubis. Mais les efforts du
 » vieux  » ne suffisent pas. Yeux révulsés regardant au plafond,
postillonnant, les lèvres tremblantes le noir pose ses deux mains sur la
nuque de la tête résignée et pousse. Il gagne lentement les précieux
centimètres. Grand ouverts, les yeux du  » vieux  » regardent le visage du
noir et semblent lui dire  » prends ton plaisir « . Comme s’il avait compris,
le noir entreprend un impressionnant va-et vient. Il ressort lentement sa
queue d’une dizaine de centimètres puis la replonge rapidement. Quelques
aller-retours et les jambes du noir sont prises de tremblements. Avec ses
deux mains, il plaque littéralement la tête contre son ventre et pousse un
long râle de satisfaction. Puis il ressort lentement le monstrueux engin et
ôte le préservatif. Le  » vieux  » se relève en titubant, toussant et
crachant. Le noir lui tape sur l’épaule en riant. Quelle prouesse ! Mon
gland me fait mal, je vais jouir. J’attrape les hanches du jeune, enfonce ma
bite à fond et balance ma purée. Le noir regarde, la bite ramollie, il
prépare un préservatif …
Je libère le cul, enlève le préservatif et le mets dans un kleenex pour le
jeter, me réajuste un peu et me décide à partir. J’entends gémir, je me
retourne : le noir a pris ma place. Son braquemart géant pénètre déjà aux
deux tiers dans le cul du jeune qui suce toujours l’arabe. Je m’en vais.

Ciné porno

Je vais parfois dans une salle qui projette des vidéos pornos près d’une
gare à Paris. Cette salle est fréquentée par nombre de mecs qui se branlent
ou se font branler, parfois sucer. La particularité de cette salle près
d’une gare est que l’on peut y trouver parfois un couple venu perdre
quelques heures avant de prendre le train.

Je m’installe généralement au deuxième rang, près d’un pilier. Le pilier est
dans une allée. De l’autre coté de l’allée il y a encore des rangs de trois
sièges.

J’aime cette place car il n’y a pas de siège devant moi et je peux allonger
mes jambes. Je peux aussi jeter un oeil sur les nouveaux arrivants et sur ce
qui se passe sur le dernier rang, juste derrière moi …
Comme d’habitude, je sors ma bite et me branle en regardant le film.

Deux personnes entrent, mais mes yeux ne sont pas encore habitués leurs yeux
à l’obscurité et je distingue mal. Cependant, lorsqu’ils passent derrière
moi, je sens un parfum de femme.

Ils s’installent de l’autre coté de l’allée, sur le rang de trois le plus au
fond. La femme, car c’en est une, se met contre le mur et l’homme prend le
siège à coté.

Je me remets à regarder le film en continuant ma branlette. Au bout de
quelques instant, j’entends chuchoter et me retourne. La femme me regarde et
parle à son compagnon. D’où ils sont placés ils ont une vue plongeante sur
mon sexe. Bien que je ne peux pas la voir, la rangée de siège devant m’en
empêche, je suis sur qu’elle branle son ami. Aussi je continue mon activité
la tête tournée de leur coté. La femme me regarde toujours. Soudain, ils
s’arrêtent, se réajustent, se lèvent et se dirigent vers moi. Je ne sais
quoi faire. Je me retourne vers l’écran pour regarder le film et pose mes
deux main à plat sur mon sexe pour le cacher. Le couple passe derrière moi
et une main me caresse l’épaule puis la joue. Je ne bouge pas. Quelques
instant après, la femme est assise à ma gauche et son ami noir assis devant
nous. Elle avance sa main vers mon sexe.

 » Laisse-moi faire  » Bien entendu que je la laisse faire. Elle me branle
gentiment. De temps en temps, elle place son pouce sur le méat et caresse le
frein du bout des doigts. Son ami regarde.
 » Elle branle bien tu sais  »

Je m’en rends compte. La femme me chuchote à l’oreille :

 » Mon ami voudrait que je le suce  »
 » Tu peux le faire ici si tu veux  »
 » J’ai déjà essayé, mais je n’y arrive pas. Tu veux le faire pour moi ?  »

Je me méfie.

 » Elle est grosse ?  »
 » Tu veux voir ?  »
 » Oui.  »

Elle parle à l’oreille de son ami. Il me regarde et sort son sexe. Je me
penche pour mieux voir et lui demande d’écarter les jambes pour mieux
apprécier. Une vingtaine de centimètres à ce que je peux voir. Je me penche
en avant, tend la main et la tâte.

 » Elle est belle. OK, mais il met un préservatif  »
 » Commence sans, il en mettra un après  »

Le noir prend ma place, je me met a genoux entre ses jambes et entreprends
de le sucer. La femme branle son ami, parfois son index entre dans ma bouche
pour caresser le gland. Je la regarde. Elle a un décolleté superbe. Elle n’a
pas de soutien-gorge et ses seins ne demandent qu’à sortir du chemisier. Je
tends la main, défait quelques boutons. Elle ouvre son chemisier et dégage
le bras gauche. Ses seins lourds et fermes sont à ma portée. Je les caresse.
J’ai envie d’en sucer les tétons. Le noir appuie doucement mais fermement
sur ma tête comme pour m’en empêcher. La femme cesse ses caresses. J’ai la
bite pour moi tout seul. Je replace mes lèvres autour du gland, l’aspire et
le suce un peu en gorge profonde. L’homme bouge soudain comme pour se
dégager. Je le libère car je voudrais qu’il mette un préservatif. J’entends
des bruits de succion, Je me redresse.

Quel spectacle ! Deux hommes sont derrière nous, entre le noir et son amie.
L’un a le gland dans la bouche du noir. Celui-ci est beau à voir, on dirait
un nouveau-né qui tête goulûment sa mère. Assurément, il aime aussi la bite.
Apparemment très excitée, la femme, branle la queue comme si elle voulait
lui faire cracher sa semence dans la bouche de son ami . Ce qui risque
d’arriver car dans ce cinéma, avec ou sans préservatif, l’usage est de sucer
à fond. L’autre homme se branle et frotte parfois son sexe sur le visage de
la femme qui le lèche. Je pense qu’il n’aura pas à insister beaucoup pour
avoir sa fellation. La femme est vraiment superbe. Ses seins tressautent au
rythme des mouvements de son bras. Je m’assois près d’elle. Occupée à
caresser la queue que son ami suce, elle me tourne le dos. Je lui caresse
les seins, puis, n’en pouvant plus, je m’agenouille devant elle et lui suce
un peu les tétons. Sa jupe est relevée. Apparemment elle ne porte rien en
dessous. J’enlève un bouton, deux attaches, la jupe s’ouvre et la voilà
presque nue, offerte. J’ose une main entre ses fesses. Elle écarte la jambe
gauche pour faciliter le passage. Sa chatte est magnifiquement mouillée.
J’entends des déplacements de personnes puis des bruits d’emballage qu’on
déchire et que l’on jette. J’écarte doucement les lèvres pour introduire un
doigt. La femme se raidit, change de position, comme pour mieux s’offrir.
Quelques secondes de silence, puis des soupirs, des grognement et des bruits
de succion. Je relève la tête.

Tête en arrière, l’homme et la femme ont chacun une bite profondément
enfoncée dans la bouche. En voilà deux qui ont rapidement fait des progrès.
Je réalise alors que ce n’est pas sa chatte que la femme offrait, mais sa
bouche. Presque face à face, les deux hommes maintiennent la tête de leurs
bienfaiteurs et par de grand mouvement de va-et-vient, rentrent et sortent
leur bite dans les bouches accueillantes en poussant des râles de plaisir.
J’enlève mon doigt de la chatte humide, écarte doucement les lèvres, saisis
le clitoris entre mes lèvres et aspire, puis je lèche l’intérieur et plonge
ma langue dans le sexe féminin. La femme pousse des petits cris étouffés.
Bruits de succion et gémissements se mêlent à ceux du film. Je râle et bave
en bouffant cette chatte, je sors nerveusement ma bite et jouis.

Fin

Allan

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3 réponses à Chroniques bitophiles par Allan_1

  1. Valentin dit :

    eh oui, quand on commence à sucer des bites, ça devient obsessionnel, faut dire que c’est tellement bon. Moi c’est au sauna que ça se passe, il y a toujours des bites à sucer. Et quand l’occasion se présente je me fais enculer

  2. Kenn dit :

    Du vécu bien raconté et provocant ce qu’il faut comme excitation. Merci pour ces tranches de vie (et non pas tranches de vit, LOL)

  3. berlioz dit :

    Du vécu ! Je crois pas mal de bitophiles se retrouveront dans ces confessions

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