Chez le psy J’ai un problème par Collegramme

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE SCATO EXPLICITE

Il était une fois, au nord…
Je m’étends sur le divan, avec précaution. C’est un meuble riche, à l’épais velours d’un vert sombre pour le couvrir. Moelleux et profond. Je m’y enfonce lentement, presque voluptueusement. Hmm! Comme il est bon chaque fois de s’y laisser engloutir comme au creux mou et tendre d’un sein maternel, chaud et enveloppant. Je m’y sentais à l’abri, confiant. Et tout en m’assoupissant comme un gros matou au soleil, je plongeais dans mes pensées, mes rêves, mes fantasmes, mes utopies, mes angoisses, mes regrets, mes désirs, mes ambitions… Une voix profonde et calme prononçait là-haut des paroles intelligentes, étranges parfois. Je comprenais avec un certain vertige que j’entendais ma propre voix exprimer tout haut le contenu de mes réflexions…

– C’est drôle! Docteur Trac. Plus je vous vois… Cela fait bien un an et demi. Plus je vous vois, et chaque semaine après notre rencontre, il se passe en moi certains changements… Vers le mieux? Vers le pire? Je ne suis pas vraiment sûr. J’ai compris le pourquoi et le comment de mon problème. Bon! C’est bien dans un sens car maintenant, sachant cela, Je peux me laisser aller dans mes fantasmes les plus terribles sans jamais plus culpabiliser. Mais n’aurait-il pas été préférable que j’éteigne en moi ces drôles d’idées? Qu’est-ce que vous en pensez?
– Laissez-vous aller jusqu’au bout de vos fantasmes. Arrivé au bout ou presque, ces fantasmes auront perdu eux-mêmes de leurs charmes. Vous pourrez alors en toute facilité prendre la décision de laisser tomber ces lubies et ces fantasmes. Vous les verrez sous un autre angle, et un véritable changement s’opérera en vous. Puisque maintenant nous nous sommes débarrassés de la culpabilité, nous progresserons très rapidement… Il y a encore certains blocages mais tout cela disparaîtra au rythme de vos progrès.
– …, …, …
– Hum! (Tout doux sa toux. Un signal m’invitant à poursuivre).
– …, ..Pf! …, Depuis un an, j’ai trouvé une femme qui est devenue mon amie, mon amie intime mais une femme, en plus, comme jamais je n’aurais espéré l’existence. Elle répondait à tous mes fantasmes et à tous mes désirs, comme si c’était moi qui lui proposais de satisfaire aux siens. Elle en retirait chaque fois des sensations nouvelles et inespérées comme crées hors même de ses rêves les plus secrets.
– Vous êtes un homme comblé.
– Ce qu’elle adore le plus c’est de s’asseoir sur ma figure et de se masturber pendant que je lui lèche le cul. Elle devient folle très vite et jouit comme jamais. De mon côté, je rêvais depuis mon adolescence d’une telle situation, sans jamais vraiment tout au long de ma vie réussir à la concrétiser. Elle adore aussi de sentir que je la bois, sentir les écoulements de son sexe emplir ma bouche et devenir pour moi une boisson précieuse dont je ne laisse échapper aucune goutte. Entendre ma respiration difficile entre chaque gorgée. Entendre mes déglutinations. Elle se penche vers l’avant au dessus de mon torse, les deux mains à plat sur mon ventre et mon cou, ses longs doigts écartés dessinent sur ma peau le trajet intérieur que fait en moi le breuvage adoré. Tout jeune, déjà, je me masturbais en visualisant dans mon imagination perverse des cochonneries de ce genre.
– Comment perverse?
– Bien! Oui. Vous avez raison. Il n’y a aucun jugement à faire là-dessus.
– …
– … Christine est mon fantasme devenu vivant. Ce n’est pas plus compliqué que cela. Mais? Je me pose la question. Qu’adviendra-t-il de notre relation si je change et devient moins… Heu! Extrême?
– Il est plausible que vous vous suiviez d’assez près dans ce cheminement, l’un encourageant l’autre, et vice et versa. Vous vous répondrez l’un à l’autre de façon tout à fait satisfaisante comme pour l’instant. De plus vous la satisferez dans ses désirs et ses besoins, plus pour elle que pour vous. C’est à dire que votre amour aura une base très solide ancrée sur des valeurs profondes en plus de votre parfaite correspondance sexuelle.
– En tout cas, pour l’instant, je progresse, comme vous dites. Hahahaha! Je continue à la découvrir. Je me demande jusqu’où vont ses désirs secrets. Samedi passé, en soirée, comme d’habitude avant d’aller nous coucher, elle se place devant moi le dos tourné, et je commence à la caresser aux hanches, au bassin, elle se balance comme à l’accoutumée en me présentant sa croupe de plus en plus provocante. Je glisse mes mains sous sa jupe, caresse ses fesses. Je les prends dans mes mains, les masse, les pince un peu par moment. Je soulève sa jupe et m’en couvre la tête. Je souffle mon souffle chaud entre ses fesses. Elle recule, abaisse ses belles montagnes sur moi. Me couvre et me presse un peu sur l’accoudoir du divan sur lequel repose ma tête. J’agrippe sa culotte par l’élastique de la ceinture, j’y insinue mes doigts, puis toute ma main. Suivant mes caresses sa culotte descend et je la fais tomber à ses pieds, l’aide à passer le pied hors de sa culotte. Mon visage est entre ses fesse, ma langue glisse de la naissance de ses fesse jusqu’au creux profond à l’humide chaleur de son anus. Les premiers coups de langue m’apportent la douce amertume de relents d’une dernière selle. Elle se trémousse et se balance lentement. Elle aime prolonger longtemps les plaisirs divers qu’elle cherche et attend avec assiduité. Je la lèche ainsi, son anus devient gros et tendre, il s’ouvre un peu et J’y entre ma langue, cherchant en sondant de plus en plus profondément à sentir son anus s’offrir encore plus.
– …Oui…
– Et puis, tout à coup, elle lâche un pet et pèse lourdement sur moi, presque assise. Ma bouche reçoit l’intégralité de son gaz. Ça goûte le concentré de prune. Ça sent la prune puissance cent. Hihihi! Soudain, cela devient exactement comme l’odeur d’un marécage et j’ai l’impression d’avoir reçu en pleine bouche l’odeur fétide de l’haleine d’un gros crapaud verruqueux. Je me rends compte que je peux associer n’importe quelle odeur à ce gaz chaud et gras, si riche et puissant. Mes sens sont saturés. Le deuxième pet qu’elle a fait en poussant un râle pleins de soupirs et de rires, je ne l’ai presque plus senti. Juste simplement une odeur normale d’un cul… D’un cul qui pète… Hahahaha! Elle semblait avoir tant de plaisir que je le lui ai offert ce plaisir, de bon cœur. Je faisais des « Mmmm, mmm » tout en l’attirant sur mon visage, l’invitant à s’asseoir sur moi, à se laisser aller dans toutes ses envies. Elle fit un autre gros pet puis elle se releva. – « Je dois aller aux toilettes… Tu me donnes envie. » Dit-elle en se retirant aux toilettes. Comme d’habitude, je me lève, me déshabille et m’étends sur le lit en attendant de la recevoir sur ma bouche pour jouir une dernière fois avant de dormir. Je suis étendu sur le dos, en diagonale, la tête reposant sur le coin droit du lit. Les bras et les jambes écartées comme si je lui donnais mon corps en offrande, je l’attendais. J’écoutais attentivement les moindres bruits qui provenaient de la salle de bain. Je parvenais à voir en imagination tout ce qui se passait. Les trois morceaux de selle, lourdes, longues et consistantes, plongeant en un « plouf » sourd dans les profondeurs aqueuses et noires des miasmes souterraines. Le rouleau de papier de toilette… Le froissement du papier manipulé… la chute de celui-ci, alourdi, dans la cuve chargée… Les chuintements, les légers soupirs et gémissements témoignant des mouvements de son corps tournant et pliant, basculant sur une fesse, le frottement du papier sur son corps, tout cela, soudain, je me rends compte que je ne l’ai pas entendu. Je l’entends déjà marcher et s’approcher de la porte de la salle de bain sans même s’arrêter au lavabo pour se laver les mains. La cuve d’aisance termine l’action de la chasse d’eau, et j’entends s’engloutir dans un dernier remous aux bruits de renvois, les remugles mystérieux. – « Tu as aimé mes pets? Me demande-t-elle ingénument. Je ne savais pas si je pouvais… » – « J’ai adoré amour » Je lui ai dit. Et elle a sourit, enchantée, un peu étonnée les sourcils relevés mais le sourire resplendissant de bonheur.
– …
– Il faut dire, qu’une fois, je lui avais mentionné que j’aimerais bien vivre une telle expérience. Je n’en avais jamais plus parlé car elle avait sursauté, surprise.
– Alors, samedi passé, ça a été ma fête. Elle était là, debout, nue, trônant dans toute sa splendeur au-dessus de moi. Comme nous le faisions chaque soir, elle se plaça pour s’asseoir sur mon visage offert, écartant les jambes de part et d’autre de ma tête. Elle ouvre ses fesses de ses mains. Un son glauque accompagne ce mouvement. Le bruit de succion d’un steak cru que l’on décolle de l’assiette sur laquelle il a séché. Le bruit gluant de la pâte collante que forme les restes de sa dernière selle que, je me souviens de l’absence incongrue de certains sons familiers dans la salle de bain, elle avait omis d’essuyer. L’odeur du caca s’épanouit à quelques centimètres de mon nez. Elle descend sur moi en assoyant directement l’anus sur ma bouche grande ouverte. Mon nez enfoui dans sa vulve, je me sens fondre en elle. Je lèche le caca qui est resté collé. Ça goûte vraiment très amer, avec un arrière-goût persistant de quelque chose de doux et crémeux. L’odeur puissante m’emplit l’intérieur de la tête comme si elle n’avait été qu’une baudruche vide maintenant remplie de sa merde chaude aux remugles envahissants. Le goût dans ma bouche avait conquis toutes mes réminiscences. Si puissant et si étrange qu’en fait, mes sens sursaturés abandonnèrent de sorte que je ne sentais plus et ne savourais plus que les plus subtiles effluves, oblitérant celles grossières et puissantes qui les camouflaient de prime abord. Je ne dis pas que c’était savoureux, non. Et, Oui dans un sens car aucune répulsion ne se manifestait plus. J’étais ainsi libre d’explorer les détails et les particularités du crémage au chocolat de Christine. En fin de compte, ce n’était pas mauvais du tout. Le goût était très acceptable et Christine semblait tellement adorer se faire nettoyer le cul à coups de langues. Elle en tremblait en haut au-dessus de moi. Sa cyprine coulait abondamment le long de mes joues après avoir inondé mes narines plongées entre ses lèvres gonflées et brûlantes. Heureusement que, tout en se masturbant du bout des doigts, elle relevait de temps en temps sa vulve me permettant alors de respirer du bout du nez ainsi libéré, quelques bonnes bolées d’air chauffé et humide, chargé des délicieuses odeurs salées et grasses de son sexe exsudant ses jouissances glaireuses. J’ai pratiquement eu un dernier repas avant le dodo de cette séance de nettoyage de cul, tant je me sentais repus de l’estomac, et la bouche chargée. Le lendemain elle a recommencé le manège. Encore une fois j’étais circonspect mais très vite j’entrais dans le jeu. Je devins son page. Son page d’aisance comme elle a finalement décidé de me nommer un peu plus tard. C’est pas mal comme nom. Vous ne trouvez pas?
– Hmm…
– Je lui ai souvent parlé de mon désir de boire son pipi. Elle a manifesté certaines réticences mais ces derniers temps, c’est plutôt elle qui me relance avec cette idée. –« Et si je te noies? Si j’en fais trop? Ce n’est pas poison ça? Etc. » Elle me dit aussi des choses comme –« Je suis certaine d’en retirer beaucoup de plaisirs mais j’hésite encore. Je crois que je ne serai pas capable de me détendre… Ça ne viendra pas, etc. » Je vois bien que bientôt elle m’offrira de boire son pipi. Et voilà où ça m’inquiète docteur : Tout semble devenir exactement comme je l’ai rêvé. Est-ce que je vais continuer à vivre ce rêve? Ou bien, d’un autre côté, vais-je arriver à un point où je me sentirai blasé, n’ayant plus de rêves inassouvis?
– Je suis avec vous. Je vous accompagne et vous aiderai dans vos choix nouveaux.
– Merci. Vous semblez savoir précisément ce qui va se passer n’est-ce pas?
– …
– Depuis samedi passé donc, les choses ont évolués. Elle m’a transformé en page soumis. Depuis deux jours ma langue est devenue par décret royal la langue à torcher de madame. Elle n’utilise plus du tout de papier pour s’essuyer. Je l’accompagne aux toilettes, mêmes les toilettes publiques au besoin, et quand elle a terminé de faire son caca, elle me présente son cul à nettoyer. J’adore ça. Je la lèche. Je la lave avec ma langue. Son cul est le plus beau cul du monde. Tendre, charnu, gonflé et lourd d’offrandes. Il est chaud et palpitant dans ma bouche sous les caresses de ma langue. Bientôt, peut-être cette semaine, elle commencera à me donner son pipi, et, très vite je serai aussi son urinoir attitré. J’en suis à me poser la question : Il arrivera sûrement, peut-être, un jour où elle me donnera aussi son caca à manger. Est-ce que je serai en mesure de le faire? Il faudra bien si je veux la satisfaire et qu’elle le désire. J’ai hâte à cette première expérience, et je l’appréhende en même temps. De plus, cette angoisse de l’incertitude, elle m’entraîne dans une sorte de plaisir masochiste. Je la cultive. Je la laisse insinuer en moi des chemins inconnus. Je me sens heureux et en paix. Je veux m’abandonner totalement à cette folle aventure, et mourir.
– Mourir de ses mains?
– Quoi?
– …Sourire de connivence (Le docteur sait)
– Oui! Bien sûr! Vous avez raison. Je voudrais qu’elle me dévore complètement. Qu’elle me dévore en entier. Qu’elle fasse de moi sa chose et qu’elle la détruise dans son plaisir.
– Vous remarquez la différence entre ce qui est réalisable et ce qui ne l’est pas?
– Oui, oui. Je crois. Je ne me ferai pas tuer par plaisir. Ce n’est pas vraiment un fantasme. Ce n’est qu’une ambiance psychologique que je m’invente… Un rôle pour jouer. C’est bien comme ça que nous l’entendons Christine et moi, nous ne faisons que jouer. Nous ne nous prenons pas au sérieux. Nous nous permettons d’un commun accord tout ce qui n’est pas dangereux pour notre santé. Christine est sérieuse en ce qui concerne notre intégrité, notre santé. Moi aussi d’ailleurs. Elle est même allée consulter un médecin il y a quelques semaines pour lui demander de lui expliquer les dangers relatifs à l’absorption de selles, d’urine et des autres excrétions de son corps par son partenaire sexuel. Elle en est revenue rassurée. Il n’y a aucun danger de maladie paraît-il si les deux sont en santé et que les humeurs absorbées n’aient pas traînées à l’air libre trop longtemps. En tout cas, je ne me sens pas faible ni malade, et pourtant j’ai eu l’occasion d’être souvent en contact avec ses excrétions. Est-ce que son médecin avait raison?
– Si Christine ton amie présente un bilan de santé sain, il n’y a aucun risque de propagation de maladie. A-t-elle subi des examens complets dernièrement?
– Non. Mais elle n’a jamais été malade vraiment à part un petit rhume de saison parfois.
– C’est bien. Nous pouvons arrêter pour aujourd’hui. Nous nous reverrons la semaine prochaine même jour, même heure? En attendant soyez prudent. Me dit-il en se levant.
Il me reconduisit à la porte, empochant discrètement les quelques billets que je lui ai tendus pour la consultation. – À vendredi prochain. Lui dis-je en sortant. J’avais hâte de retourner chez moi. Christine m’attendait, sûrement anxieuse. Nous nous complémentons si bien charnellement et sexuellement qu’elle craint un peu de me voir changer d’attitude envers elle. Je me voyais déjà entré à la maison et la prendre dans mes bras et l’embrasser partout, sentir l’odeur et le goût de son corps adoré m’emplir l’âme de bonheurs renouvelés.

Post face du professeur scato : Un très beau texte sur un sujet « difficile » . Nous nous devions cependant de réparer une petite erreur : l’urine est microbiologiquement stérile et son absorption ne présente aucun danger… il n’en est pas de même pour les selles qui sont un véritable bouillon de culture microbien et qui sont en principe non digestes.

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Une réponse à Chez le psy J’ai un problème par Collegramme

  1. Claire dit :

    La lourdeur du style gâche complètement le plaisir de cette lecture

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