Chaussures à son pied. Partie 2 : une seconde paire par Paul Forsacoff

Evidemment cet amour fusionnel et exclusif entre Ludmilla et moi ne pouvait pas durer. J’entends d’ici les ricanements de satisfaction des jaloux aigris. Attendez cependant que je vous raconte ce qui s’est passé…

Avec Ludmilla, nous étions maintenant installés dans son appartement de Milan. Nous menions une vie très harmonieuse, en étant complices et complémentaires tant au niveau professionnel que dans l’intimité. Enfin, en termes de complémentarité, pour ce qui est de notre vie sexuelle, notre relation était plutôt à sens unique : je satisfaisais les désirs de Ludmilla exclusivement avec ma bouche. Elle ne s’intéressait pas à moi sexuellement, ne me touchait ou regardait jamais avec des regards de désir. Je prenais cependant un tel plaisir à sentir sa chatte vibrer sous les caresses de mes lèvres et de ma langue, à parfumer tout mon visage de sa mouille intense et enfin, lorsqu’elle atteignait la jouissance, à me remplir de sa pisse puissante, que je sublimais l’absence de réciprocité dans notre relation intime. Je me terminais seul devant le miroir de la salle de bains, encore étourdi de toutes les sensations qu’elle m’avait offertes.

Ce rythme nous convenait à tous deux. Lorsque nous étions à des soirées, ce qui arrivait plusieurs fois par semaine, je surveillais discrètement ce qu’elle buvait (de l’eau la plupart du temps). J’imaginais alors à partir des quantités qu’elle absorbait, l’intensité de son envie de se soulager dans ma bouche. Ainsi, lorsqu’elle buvait rapidement plusieurs verres, je savais qu’elle aurait rapidement envie de quitter la soirée et de s’abandonner à nos jeux humides. Parfois, elle surprenait mon regard qui la surveillait. Alors, elle levait son verre dans ma direction comme pour porter un toast, et son regard me fixait avec une intensité très troublante. Je devais rapidement me concentrer sur autre chose car ma bite se tendait violemment.

Tout changea au cours d’une de ces soirées. Nous étions en discussion avec un autre couple, lorsque brutalement je vis le regard de Ludmilla, passant au-dessus de mon épaule, se figer. Je compris tout de suite que quelque chose de très intense la troublait et j’eus la certitude à ce moment-là que notre relation allait changer : au lieu de l’expression affable mais distante que tout le monde arborait au cours de ces soirées, le visage de Ludmilla trahissait une grande surprise mais aussi une tristesse extrême mêlée à un désir fort ; seule une émotion très intense pouvait faire sortir Ludmilla, pourtant très aguerrie à ces relations mondaines, de son masque neutre.

Je me tournai vers la cause de ce trouble : deux femmes venaient d’entrer dans la salle : blonde et brune, bras dessus-dessous. Leur démarche souple, un peu déhanchée et très sensuelle trahissait une longue pratique des défilés de mode. Elles portaient des tenues identiques : bustier noir serré avec un tulle noir qui couvrait la gorge et les bras, une jupe courte en cuir sur des bas mauves, les jambes se terminant par des chaussures à talons compensés, façon espadrille en tissu à grosses rayures noires et blanches couvrant l’avant du pied et un lacet en cuir qui liait talon et cheville. Je vis que Ludmilla fixait aussi les chaussures.

Elles s’approchaient de nous. La blonde avait un visage très doux, enfantin et pur. Un style qui aurait plu à David Hamilton. La brune avait des traits plus marqués, des pommettes hautes et un nez un peu trop gros. J’entendis Ludmilla murmurer  » Anna  » et je me tournai vers elle. Elle fixait la blonde avec une intensité extrême. Ludmilla et la blonde restèrent face à face à se regarder. Imperceptiblement, un certain silence s’était fait dans la salle. Et puis brutalement, elles se jetèrent dans les bras l’une de l’autre. Leurs mains se caressaient et leurs bouches se trouvèrent rapidement pour un long baiser débridé. Tous les regards étaient tournés vers cet enlacement intense. Je restai un peu bête, sans bouger, attendant d’y comprendre quelque chose. Le baiser cessa enfin et les deux femmes s’écartèrent l’une de l’autre. La blonde dit  » Je suis venue faire la paix et te présenter Miguel, mon futur mari « . Elle avait posé une main sur l’épaule de la brune et je compris que c’était un homme. Le déguisement était quasi parfait. Ludmilla embrassa les joues de la brune Miguel. Elle fit ensuite les présentations et j’embrassai Anna, puis alors que j’hésitai à faire de même avec Miguel, celui-ci prit les devants et m’embrassa sur les joues. Il réagit :  » Tu piques, mon chou « . J’en fus très vexé, d’autant qu’ensuite il se tourna uniquement vers Ludmilla ou Anna, faisant comme si je n’étais pas digne d’entrer dans sa sphère d’intérêt. Le reste de la soirée fut totalement catastrophique de mon point de vue : je n’existais plus. Ludmilla ne me regardait même plus. J’eus envie de rentrer seul mais patientai néanmoins.

Une fois rentré à l’appartement avec Ludmilla, je ne pus cacher mon agacement. Ludmilla me fit sévèrement remarquer mon manque de savoir-vivre, finissant par une phrase en italien qui se terminait par le mot  » geloso « . Elle le prononça avec une telle force que je compris qu’il ne pouvait pas y avoir de la place pour de la jalousie. En m’obstinant dans mon attitude, je risquais de ruiner totalement notre relation. Je me radoucis, d’autant que Ludmilla m’embrassa tendrement et murmura dans mon oreille :  » Viens, j’ai envie de ta bouche sur moi.  » Je craquai totalement.

Au moment de s’endormir, Ludmilla indiqua :  » Il faut que tu fasses connaissance avec Anna et Miguel. Je les ai invités à diner pour demain soir « .

Anna et Miguel avaient l’air d’un couple  » normal  » lorsqu’ils arrivèrent. Anna portait une robe blanche simple, pas trop courte et son maquillage était très discret. Elle était néanmoins très belle, tout en étant plus naturelle. Miguel était en homme, avec un costume cintré qui mettait en valeur sa stature élancée. Son visage était totalement masculin. J’étais subjugué par la transformation.

Au cours du diner, Anna et Ludmilla ne parlèrent pas du tout de leur passé commun. Manifestement aucune des deux ne voulait l’évoquer et il resterait mystérieux pour moi, mais aussi apparemment pour Miguel. Rapidement la discussion porta sur les projets de chacun. Anna était très curieuse quant à notre collaboration professionnelle, Ludmilla et moi. Elle me taquina sur le fait qu’en tant qu’homme, je ne connaissais rien aux chaussures de femmes. Je lui montrai que je connaissais bien le sujet. Elle me provoqua  » tu en dessines, mais je suis sûre que tu n’en a jamais portées ! « . Ludmilla confirma et Miguel ajouta à la pression en rappelant que lui en portait régulièrement et que finalement j’étais le seul à ne pas connaitre les sensations des talons hauts. Malgré mes résistances, je dus accepter de me jucher sur les chaussures de Ludmilla (j’ai un petit pied et nous faisons la même pointure). J’avais enlevé mes chaussettes, mais je me sentais néanmoins totalement ridicule, avec le bas de mon pantalon qui tombait sur les chaussures. Miguel le fit remarquer et insistait pour que je mette aussi des bas. Il n’eut pas gain de cause et je fis quelques pas juché sur les talons hauts. Je fus très surpris d’arriver facilement à marcher. Je trouvai rapidement un équilibre. Je fus très troublé par les sensations fortes que cela me procura : mes mollets comprimés par la position, le bout de mes pieds enfoncés dans les chaussures. C’était un peu douloureux mais assez jouissif. Les autres virent bien que j’y prenais du plaisir. Surtout Miguel, qui fit remarquer que cela me tendait les fesses de façon très sensuelle.

Avant même que je rende ses chaussures à Ludmilla, Anna annonça que Miguel et elle allaient se marier en février à Barcelone et qu’ils nous invitaient.

Nous ne revîmes pas Anna et Miguel avant d’assister à leur mariage. La réception qui suivit était très belle, servie par un temps doux. Le grand nombre d’invités ne nous permit aucun échange avec les mariés.

Au moment où nous partions pour rejoindre notre hôtel, Anna se précipita vers nous :  » Voulez-vous venir avec nous à Sitges demain ? C’est le carnaval et le samedi c’est super ! « . Ludmilla et moi avions prévu de visiter Barcelone mais nous étions effectivement libres. Anna insista :  » Nous avons prévu des déguisements pour nous quatre. Très fun « . Et nous acceptâmes.

Le samedi après-midi, nous nous retrouvâmes dans la voiture de location de Miguel, sur la route de Sitges. Il nous conduisit dans une ruelle de la ville et nous arrêta au pied d’un vieil immeuble.  » Je vous laisse descendre et vous installer, je vais garer la voiture. Ce soir nous n’en aurons pas besoin « .

Nous découvrîmes alors un appartement très mignon, avec deux petites chambres et une grande terrasse vers la mer. Anna expliqua que Miguel avait ce petit pied-à-terre depuis plusieurs années et qu’il ne ratait aucun carnaval. Elle avoua aussi que la date du mariage avait été choisie pour qu’il se termine par le carnaval. Miguel arriva.  » Je vais préparer nos déguisements « , indiqua-t-il, emportant une de ses valises dans sa chambre.  » Rejoignez-moi dans dix minutes ».

Connaissant les goûts de Miguel en termes de travestissement et ayant compris par une rapide recherche sur internet que le carnaval de Sitges était  » gai « , j’étais imperceptiblement inquiet par rapport aux déguisements. Lorsque Miguel nous appela dans la chambre, même si je ne fus pas véritablement surpris, je fus horrifié de voir quatre tenues féminines sur le lit. Et pas des moindres : des bustiers étroits, des porte-jarretelles, des bas, des chaussures à très hauts talons. Des putes. Nous allions nous déguiser en putes ! Manifestement Ludmilla avait été mise dans la confidence et elle s’amusait de ma réaction. Me souvenant de l’effet néfaste de ma réaction négative lorsque Ludmilla avait retrouvé Anna, je pris sur moi et acceptai d’entrer dans le jeu. Après tout ce n’était que pour une soirée…

Miguel prit le contrôle de l’organisation de la soirée. Il m’entraina vers la salle de bains en disant :  » Viens, on va se maquiller « . Je ne m’attendais pas à cela. Ou du moins je n’y avais pas pensé. Eh oui, s’il fallait de déguiser aussi bien que Miguel le premier soir où je l’ai vu, il fallait bien se maquiller.

Miguel insista d’abord sur le rasage.  » Important si tu veux éviter qu’à deux heures du matin tes poils noirs traversent ton fond de teint « . Il m’imposa un rasoir manuel. Avec l’enthousiasme d’un bœuf qui va à l’abattoir, je m’activai sur ma barbe. Je trainais un peu, ayant dans mon champ de vision les gestes de Miguel qui maquillait ses yeux. J’allais devoir faire cela aussi ? Vraiment. Un peu énervé car ayant bien vu mes réticences et se doutant de mon inexpérience, Miguel entreprit de me maquiller. Je me laissai faire. Il termina le maquillage en me mettant une perruque blonde. Avec fierté, il m’invita à me tourner vers le miroir de la salle de bains. Je fus subjugué par la transformation. Même si une inspection détaillée trahissait un visage masculin, je ressemblais vraiment à une femme et cette femme me plaisait !

Miguel m’autorisa à retirer ma perruque afin de ne pas avoir trop chaud mais j’eus envie de la garder, afin de ne pas casser le charme de la transformation.

Vint ensuite la séance d’habillage. Les deux femmes étaient déjà prêtes, adorables, très sexy. Les tenues laissaient les jambes totalement exposées, très longues, juchées sur les talons très hauts. Leur entre-jambe était dans l’ombre du bustier mais je compris qu’elles ne portaient pas culotte.  » Vous n’avez rien oublié, les filles ?  » ne puis-je m’empêcher de faire remarquer. C’est Ludmilla qui répondit :  » Ce sera plus pratique si nous avons envie de faire pipi « . Elle ajouta, en se rapprochant de moi mais en parlant assez fort pour qu’Anna et Miguel entendent  » …surtout que tu ne seras peut-être pas disponible pour moi ! « . Les sourires des autres me firent comprendre que notre secret à Ludmilla et moi était éventé. Je commençai à soupçonner que Ludmilla et Anna avaient partagé des jeux humides dans leur passé commun. Le fond de teint cachait la rougeur de ma honte. Miguel termina cette discussion :  » De toute façon, elles pourraient se promener à poil : ici, elles ne craignent rien ! « .

Je dus me déshabiller et un reste de pudeur me fit hésiter au moment de retirer mon slip. Miguel me tendit un minuscule string et dit en riant  » Allez, mets ça, je me tourne « . Je réussis ensuite sans trop de difficulté à enfiler les bas, mais eus besoin d’aide pour les fixer aux porte-jarretelles. Miguel plaça des rembourrages dans les bonnets de mon bustier. J’enfilai ensuite les chaussures et m’entrainai quelques instants à marcher dans le couloir. Je fus rapidement très à l’aise, savourant la sensualité de la posture et écoutant avec délice le claquement des talons pointus sur le carrelage.

Nous étions donc prêts. Posant son appareil sur une table, Anna nous photographie tous les quatre. L’effet est très fort et suggestif : nous étions quatre putes attendant leurs clients dans une maison-close.

Nous descendons dans la rue. Ce n’était plus la ruelle vide, comme cette après-midi : du monde partout. Dans toutes les tenues, mais une majorité de femmes, ou du moins, d’hommes déguisés en femmes. De temps en temps, un Mickey, des ours, des pingouins, des pirates etc… Nous essayons de rester groupés, mais il est difficile de marcher à quatre de front. Nous sommes séparés, les deux [vraies] filles d’un côté, Miguel et moi de l’autre. Nous réussissons à nous retrouver au restaurant où Miguel a réservé une table.

Bien que je me sois assez bien acclimaté au port des talons hauts, je suis heureux de pouvoir m’assoir. Nous faisons sensation et on vient photographier notre table. Miguel est en face de moi et je contemple l’ambiguïté de son visage. Oubliant les préjugés et me souvenant que je suis dans la même tenue que lui, je me régale de la double sensation : j’aime la femme dans laquelle il s’est travesti et je suis ému par la puissance masculine qui est cachée derrière. Dans une tentative fugace de me piéger, mon esprit matérialise l’image de son corps nu d’homme et m’amène à imaginer sa bite. Je chasse cette image en me tournant vers Anna mais elle n’a d’yeux que pour Ludmilla. Les deux femmes se tiennent les mains. Elles tendent leurs bustes pour s’embrasser au-dessus de la table. Miguel me regarde en rigolant.  » Même pas en rêve « , lui-dis-je.

Nous repartons dans les rues, encore plus animées maintenant. On nous aborde, des mains se promènent sur nos [faux] seins et nos fesses. Le désir collectif de baise est perceptible. Anna et Ludmilla nous retrouvent. Elles râlent :  » On a voulu entrer dans un bar. Le videur a tâté nos seins et nous a empêchées d’entrer ! « .

L’heure avance et nous sentons qu’il est temps de rentrer. La soirée pourrait nous échapper.

De retour à l’appartement, Anna met un disque de slows, italiens bien sûr. Avec l’envie de prolonger la plaisir de porter ce déguisement, aucun d’entre nous ne l’a retiré. Nous dansons, d’abord chacun avec nos femmes, puis Anna et Ludmilla s’enlacent. Elles se caressent ouvertement les fesses, l’entre-cuisses, les seins. Miguel remet un disque. Nous restons un moment à regarder nos femmes danser ensemble. Enfin, danser. Elles en sont à se dégrafer mutuellement leurs bustiers. Sentant qu’il est nécessaire de les laisser seules, Miguel m’entraine vers la salle de bains :  » Viens, on va se démaquiller.  »

Il me montre comment enlever le mascara, le fond de teint.  » Tu peux utiliser cette douche, je vais dans l’autre  » me dit-il. La douche est délicieuse, relaxante. Tout en laissant l’eau caresser ma peau, je me demande comment cette relation curieuse va évoluer. Quel rôle Miguel et moi devons-nous et pouvons-nous jouer ? Je ne sais d’ailleurs même pas quelle est la nature de sa relation sexuelle avec Anna. Est-elle de même style que la mienne avec Ludmilla ? Accepte-t elle qu’il la pénètre ? Le suce-t-elle ? Est-il aussi seul, bite à la main, comme moi lorsqu’Anna a été satisfaite ?

Ces questions me refont penser à la bite de Miguel. Et la mienne réagit. J’ai beau me dire que c’est un simple effet de la chaleur de la douche, lorsque je sors, ma bite est raide. J’ai du mal à la cacher dans le peignoir. Quand je sors de la salle de bains, Miguel est déjà dans la chambre. Il est aussi en peignoir et m’invite à m’assoir sur le lit.  » Tu as sans doute mal aux jambes. Si tu veux éviter les crampes, je vais te masser.  » Je me laisse faire. Ses mains prennent mes pieds et tiraillent sur tous les os qui ont souffert de l’emprisonnement dans les chaussures hautes. Le soulagement est immédiat. Il attaque ensuite mes mollets. Les pans du peignoir ne peuvent plus cacher ma bite raide. Je sens que je m’abandonne totalement. Il se redresse et retire son peignoir. Il a un corps superbe, très élancé et suffisamment musclé pour avoir un ventre très plat. Sa bite est dressée. Je suis hypnotisé par le spectacle. Je suis flatté de voir son désir pour moi. Il va chercher mes chaussures hautes. Il s’agenouille aux pieds du lit et me les remets aux pieds. Instantanément, je retrouve cette délicieuse sensation de féminité qui m’a accompagné pendant toute la soirée. Mon regard fixe sa bite et brutalement j’ai envie de l’avoir en moi, de me sentir femelle que son mec prend avec force.

Miguel s’approche de moi, à genoux. D’une main, il prend une de mes chevilles et tend ma jambe vers le haut. De l’autre il commence à caresser mon petit trou. Je saisis ma jambe avec ma main et la maintiens tendue vers le haut. Il me saisit la seconde et je prends le relai aussitôt. Je me sens délicieusement vulnérable, offert. J’ai l’impression que mon cul palpite comme un sexe de femme. Une brutale sensation de froid sur mon cul : Miguel y applique du gel. Je sens le gland de sa bite au contact de mon anus. Il y reste un certain temps. Mon anus s’acclimate puis devient gourmand. J’appuie sur le gland pour faire entrer la bite en moi. Miguel pousse également. Mon cul se détend progressivement. J’ai l’impression que cela ne va pas d’arrêter. La tension sur mon petit trou ne fait qu’augmenter. Ma respiration est précipitée. Et puis, brutalement, mon petit trou avale le gland. La progression au fond de moi est somptueuse. Je me sens rempli, ouvert, offert.

Une fois au plus profond de moi, Miguel marque un temps d’arrêt. Nous savourons tous les deux la sensation que nous partageons. Je ferme les yeux pour me concentrer sur la sensation de remplissage et d’écartèlement. Puis, Miguel commence des mouvements de va-et-vient. Mes sensations changent. Le frottement, un temps douloureux, devient très doux après que Miguel ait remis un peu de gel. Mon cul s’échauffe. Chaque coup de butoir de Miguel éveille un plaisir délicieux au plus profond de moi. Je prends ma bite dans ma main et commence à me branler au même rythme.

J’ouvre les yeux et je suis surpris de voir dans l’ouverture de la porte Anna et Ludmilla qui nous regardent. Elles sont éclairées de côté par la lumière de la salle de bains. Leurs seins sont superbement mis en relief. Le regard de Ludmilla me sourit. Encouragé par la montée du plaisir de Miguel, que l’amplification de ses gémissements annonce, je me prépare aussi à jouir. Je sens la bite de Miguel grossir brutalement et je comprends qu’il jouit en moi. Peu de temps après il se retire très doucement et la sensation de libération déclenche ma propre jouissance. Très forte. Totale.

Groggy de tant de plaisirs, je ne sais comment je me retrouve ensuite dans le lit avec Ludmilla. Au moment où je sombre dans le sommeil, elle m’embrasse sur la bouche. Je sens sur tout son visage les parfums mélangés de chatte et de tous les jeux humides que je partage d’habitude avec elle. Ce sont ceux d’Anna….

 

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  1. Gigobert dit :

    Les récits avec des trans me mettent en trans car j’adore les femmes à bite

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