Chaude soirée d’automne par Virginie01

Salut, c’est Virginie ! Je profite de quelques jours de congés pour vous faire partager ma dernière soirée  » chaude  » de cet automne…

C’était il y a deux semaines, Vincent nous propose à Véronique, Delphine et moi, d’aller dîner un samedi soir chez un de ses ami, Alexandre, 30 ans, qui possède un petit resto assez classe et qui fêtait ce jour-là son anniversaire, en compagnie de Christophe et David.

Le samedi après-midi a été consacré au shopping avec Delphine, afin de dénicher  » LA » tenue .Nous ne pouvions pas décevoir ces messieurs…Delphine craqua pour une jupette écossaise grise, un chemisier blanc en soie, sur une splendide parure String/soutien-gorge et porte-jarretelles blanche de chez Aubade, avec des bas de soie blancs sur un collant Wolford Neon blanc brillant. Quand à moi, j’optai pour un chemisier Rodier blanc, sur un body-string Wolford tout en transparences, un short en cuir noir sur un collant aspect  » porte-jarretelles  » noir de Wolford sur un string de la même marque, et des bottes . Puis, direction le coiffeur, pur un  » changement de tête  » : nouvelle coupe, mèches … bref la totale. Bilan de la journée : la carte bleue qui fume, plus de 1400 euros à nous deux !!!

Le soir venu, nous nous rendons au resto, ou nous retrouvons Véronique et les mecs. Elle était somptueuse avec un chemisier transparent blanc, noué sur un body blanc en dentelle, une jupe fendue beige, laissant deviner un collant blanc opaque, et des bottes. Pour la lingerie, elle avait également succombée à Aubade et ses dentelles …

Nous nous installons dans la salle, dans laquelle deux couples et un groupe de cinq dînait.
Alexandre vint immédiatement nous saluer, et nous présenta son personnel de salle : Magalie, une jolie brunette de 25 ans environ, et Marie, une jeune serveuse de 20 ans. Avec lui en cuisine, Marc était affairé aux fourneaux.

Le dîner était fabuleux, successions de petits plats accompagnés de leur vin. La salle se vide peu à peu, et après le départ des derniers clients, Alexandre nous rejoint avec le champagne, suivi de Marc ( assez mignon, la trentaine ) et des deux filles . je constate que Delphine est de plus en plus joyeuse, et son regard quand nos yeux se croisent en dit long sur son état d’excitation ….Alexandre ressert du champagne, et  » Vincent lance :

– arrête de servir les filles si tu ne veux pas avoir à nettoyer par terre, quand elles boivent, elles ne se retiennent plus !  » .

Alexandre nous regarde amusé, en disant

– je demande à voir …

Delphine, qui était de plus en plus attirée par Marc, lui demande s’il pouvait nous faire visiter la cuisine.

Je remarquais que David était collé à Marie, ce qui d’ailleurs ne semblait pas déplaire à cette dernière. Elle était vraiment très jolie, avec des cheveux mi-longs châtain clair, et portait surtout un très beau chemisier blanc sur une jupe relativement courte, un collants noir brillant et des bottes. Ceci m’intrigua, car c’était un peu bizarre pour la restauration, mais elle me dit qu’Alexandre était quelqu’un de très cool, et qu’un de ses copains devait passer la prendre vers minuit et demi pour aller en boite .

Nous étions tous et toutes dans la cuisine, et Marc faisait déguster certains ingrédients à Delphine.

– « Et nous ! », avons-nous lancé, Véronique et moi.

Et je rajoutais :

 » J’adore le chocolat « .
 » Il y a une bouteille de chocolat liquide de 1 litre sur l’étagère, tu penses que cela te suffira ?  » Répondit Marc avec un sourire. .
 » Tu veux que je t’en donnes ?  » me demanda Véronique ?

J’étais assise sur un plan en inox de la cuisine. Véronique ouvrit la bouteille, me demanda d’ouvrir la bouche, de fermer les yeux et de pencher la tête en arrière … Je m’exécuta…. Je commençais à sentir un filet de chocolat couler dans ma bouche ; puis, le flux se fit plus important. Je fermais la bouche pour avaler, et le flux continuait, sur mon menton. Je le sentis descendre le long de mon cou, jusqu’à ma poitrine …Véronique cessa, et dit

 » A mon tour « .

J’ouvrais les yeux .J’avais du chocolat plein le chemisier et le body. Véronique se mit à genoux et ferma les yeux. Je commençais à verser le chocolat. Celui-ci coulait sur son visage, puis sur le body blanc, la jupe pour terminer sur le carrelage de la cuisine … Je remarquais que Marc nous avait imité : Delphine était assise devant lui sur le plan de cuisine, et il lui enduisait la poitrine d’une sorte de gâteau à la fraise …Puis Christophe et Vincent nous rejoignirent. Christophe se saisit du bidon de chocolat, et commença à m’en verser sur la poitrine….il me caressait les seins à travers le body tout en étalant le chocolat ….Pendant ce temps, Alexandre s’approcha de Véronique et se tenait devant elle. Elle lui déboutonna le pantalon, et commença à lui caresser le sexe … Vincent s’approcha de Magalie, qui observait sans un mot.

 » Tu as faim ?  » lui demanda Vincent.
 » Oui « , répondit-elle en lançant un regard langoureux ….

Vincent lui pris la main et l’emmena à côté d’un plateau de dessert, puis trempa ses mains dans de la crème chocolatée et commença à en enduire le chemisier de Magalie …. Delphine était maintenant assise dans les gâteaux à la framboise, complètement enduite, les jambes écartées pendant que Marc lui caressait l’entrejambe …Véronique avait le sexe d’Alexandre en pleine bouche et le suçait vigoureusement ; alors que Vincent déchira le chemisier de Magalie, puis son soutien-gorge, dégageant sa belle poitrine dont les seins pointaient ….

Delphine se leva, et ordonna à Marc de se coucher par terre. Elle se plaçât au dessus de lui, écartant les jambes. Elle déchira son collant à l’entrejambe, puis écarta son string et commençât à uriner sur Marc. Christophe m’arracha le chemisier, puis déchira le body pour libérer mes seins. Je lui enlevais le pantalon, dégageant son sexe en érection. Il me retourna et me plaqua contre le plan de travail, puis s’acharna sur mon short qu’il réduisit en lambeaux en quelques secondes. Je ne portais plus que mon collant, le string et les bottes. Il s’arrêta et me caressait délicatement les jambes pendant quelques instants, comme s’il admirait le dessin du collant, avant de le déchirer violement aux fesses, d’arracher mon string, et de me pénétrer avec vigueur, me faisant pousser un gémissement de joie ….

Marie assistait à nos ébats avec une expression indéfinissable sur le visage. David s’approcha d’elle et lui prit délicatement la main. Elle le regardât en murmurant

 » Mon copain doit passer me prendre dans une demi-heure … « ,

Mais elle suivait David. Je l’observais : elle ressemblait à un petit animal craintif, mais curieux … David la souleva et la déposa assise sur le plan de travail, face à lui, lui déboutonna le haut du chemisier, laissant apparaître un magnifique soutien-gorge blanc brillant, orné de fine dentelles …Il prit un peu de crème chocolat qu’il déposa au creux des seins de Marie. Elle fermait les yeux …. Il lécha la crème avec délicatesse … Puis, il lui souleva la jupe en lui écartant les jambes. Elle portait un splendide collant slipé, avec des effets de dentelles au niveau du slip et à la ceinture, sans rien dessous ….David enduisit le collant de mousse de framboise au niveau de l’intimité de Marie, et commença à la lécher … Elle fermait les yeux et respirait de plus en plus fort, en poussant de petits gémissements ….

Delphine s’approcha d’elle, et commença à l’embrasser …Marie eut un petit mouvement de recul, mais s’abandonna très vite …Marie de tenait à côté du râtelier des couteaux. Delphine saisit une paire de ciseaux, et regarda Marie dans les yeux .Cette dernière regarda ses vêtements, comprenant ce qu’elle allait faire…elle ferma les yeux. Marie découpa le chemisier puis le soutien-gorge, et enfin la jupe de Marie, avant de lui enduire la poitrine de crème chocolatée, caressant voluptueusement ses seins …David ouvrit sa braguette, et présenta son sexe à Marie. Il se coucha sur le sol, Marie se mit à genoux au dessus de lui, le léchant avec délicatesse. Marc se plaça derrière elle. Elle ne portait plus que son collant et ses bottes. Elle lui présentait son petit postérieur magnifiquement gainé de son superbe collant. Il semblait d’abord hésiter, lui caressait délicatement les fesses, puis lui déchira le collant avant de la pénétrer ….

Marie poussa un gémissement sous les va-et-vient vigoureux de Marc. David se mit à genoux devant Delphine. Elle était encore toute habillée, son chemisiers et ses bas maculés de framboise. Les mains de David parcouraient son corps, il commença par lui ouvrir le chemisier en faisant sauter les boutons, un à un, presque avec délicatesse, avant de lui retirer sa jupe, et de lui déchirer ses bas de soie et son collant, toujours avec une extrême douceur …Delphine se trouvait maintenant entièrement nue, et David se rapprocha d’elle, la pénétrant lentement …

Alexandre et Véronique s’approchèrent de Christophe et moi. Je m’agenouillais devant Alexandre, prenant son sexe à pleine bouche ; alors que Christophe retirait la jupe de Véronique. Elle a vraiment un corps magnifique, magnifié par son chemisier transparent sur son body en dentelle, son collant blanc opaque et ses bottes blanches ; les coulées de chocolat formant sur elle comme une œuvre d’art …

 » Je voudrais que tu me pisses dessus « , lui demanda Christophe.

Il se coucha sur le dos, Véronique se mit accroupie au dessus de sa figure. Elle commença à uriner, sa pisse coulait le long de ses jambes, rajoutant une touche jaune sur son collant blanc zébré de chocolat …Christophe lui déchira le collant à l’entrejambe pour mieux profiter de son jet. Puis, il se releva, coucha Véronique sur le sol, lui déchirant son chemisier, son body et son soutien gorge pour dégager sa voluptueuse poitrine …Delphine avait retrouvé Marc, et il la pénétrait vigoureusement, lui arrachant de petits cris, alors que David était maintenant couché sur le dos . Marie se plaça à genoux sur lui. Elle ne portait plus que ses bottes et son collant largement ouvert …Elle s’assis sur son sexe en érection et se tortillait en gémissant …Je me déplaçais debout à côté d’elle, et commençais à l’arroser de mon urine. Elle se léchait, les lèvres avec délectation, semblant apprécier.

La porte de la cuisine s’ouvrit. Un garçon assez mignon d’une vingtaine d’année entra et resta bouche bée devant ce spectacle, les yeux fixés sur Marie. Je compris que ce devait être son copain qui venait la chercher pour aller en boite. Elle le regarda un instant avec une expression un peu gênée, mais se retourna vers moi et ferma les yeux pour continuer d’accueillir mon jus dans sa bouche, tout en continuant à se trémousser sur David …Le garçon claqua la porte et repartit …

Au bout de plus d’une heure, nous étions tous complètement épuisés. La cuisine était jonchée de restes de gâteaux, de chocolat et de morceaux de nos vêtements. Delphine était entièrement nue, Magalie portait encore sa culotte son collant filé, alors que Marie, Véronique et moi avions le même look : bottes et collant déchiré … Alexandre nous indiqua la douche. Après une longue douche, c’était la quête aux vêtements. Heureusement, Magalie et Marie avaient des tenues de service de rechange au vestiaire. Magalie prêta des vêtements à Véronique et Delphine, alors que Marie me proposa une de sa tenue de service. Elle avait une paire de collants DIAMS de rechange dans son sac, et une paire légèrement filée dans son armoire. Elle me proposa les DIM, mais je refusais et prenait la paire qu’elle avait déjà portée. J’étais assez surprise, car c’était un collant Falke (une belle marque, assez chère), sans démarcation, légèrement filé au talon. Je regardais Marie qui enfilait son DIAMS à même la peau. Elle était vraiment mignonne, respirant la pureté, l’innocence. Elle enfila un petit top blanc sur sa poitrine dont les seins pointaient encore avec puissance, et un chemisier blanc sur une jupe de service noir, stricte. Elle me passa une autre jupe, également noire, et un chemisier blanc, que je portais à même la peau (personne n’avait bien évidement de sous-vêtements de rechange….)

Magalie, Véronique et Delphine s’étaient également habillées. Magalie avait gardé son collant qui était le moins abîmé, et avait donné ses deux collants de rechange à Véronique et Delphine. C’était amusant, car nous portions toutes sensiblement la même tenue, mais sans aucun sous-vêtements hormis Magalie qui avait sauvé son slip….

Je regardais Marie, pensant à son copain, et lui murmura :

 » Désolée pour ta soirée en boîte … « .
 » Oh, c’est pas grave …c’était pas vraiment sérieux …et j’ai vécue se soir quelque chose d’exceptionnel ….Mais au fait, il n’est pas trop tard ! Ca vous dit, une virée en boîte ? « , Répondit-elle.

Nous nous regardions, et Véronique lança :

 » Bonne idée, allons-y ! « .

Marie nous guida jusqu’à la discothèque qu’elle connaissait. Il y avait énormément de monde à l’entrée, mais les deux mecs à l’entrée nous firent signe d’entrer … L’ambiance était géniale, beaucoup de mecs mignons, et il est vrai que nous ne passions pas vraiment inaperçues, nos chemisiers plus ou moins transparents ne laissant aucun doute sur le fait que nous ne portions rien en dessous …..Marie dansait sans arrêter, accompagnée de David avec lequel elle échangeait de long et fougueux baisers …

Nous sommes restés jusqu’à la fermeture, et Alexandre nous proposa de passer au restaurant pour prendre un café. La cuisine était restée comme nous l’avions laissée, jonchée de nourriture …

 » J’ai un peu faim « , lança Véronique,  » pas vous ? « .

Christophe prit du gâteau au chocolat et l’approcha de la bouche de Véronique, le passa délicatement sur sa bouche, en descendant vers sa poitrine …Marie prit la main de David, se mit assise sur le plan de travail en saisissant le bidon de chocolat, et commença à s’en verser sur la poitrine, regardant David avec un regard très coquin ….Il voulait commencer à la lécher, mais elle lui prit la main et le fit se coucher au sol. Elle se plaça debout au dessus de lui et se caressa lentement l’entrejambe …un léger filet coula le long d’une jambe, se transformant rapidement en un flux vigoureux ruisselant sur le collant avant de doucher David …Je constatais avec satisfaction que Marie éprouvait beaucoup de plaisir à uriner ainsi ….Peu de temps après, la cuisine était redevenue un lieu de luxure …les garçons semblaient avoir repris de la vitalité en boîte, et ce que nous avions vécu auparavant n’était que l’apéritif …Ils nous prirent chacun à tour de rôle, parfois à deux …En quelques instants, nos fringues furent déchiquetés, Alexandre me plaqua contre le mur, m’arracha le collant et me pénétra d’une vigueur incroyable …Marie était juste à côté de moi . David lui arracha son chemisier et son top avec les dents, avant de la plaquée contre le mur à côté de moi …Il lui arracha son collant avec une telle force que cela la fit crier, avant de littéralement l’empalée sur son sexe …

Vers six heures du matin, nous étions toutes et tous complètement vidés, allongés au sol ou sur les plans de travail …. Après un nettoyage sommaire de la cuisine, ce fut la douche bien chaude, puis le plus délicat : trouver de quoi s’habiller pour repartir. Quelques vieux vêtements de cuisine ou de service firent l’affaire. Marie, qui habitait encore chez ses parents, enfila le dernier chemisier qui restait, une vieille jupe noire, et nous demanda si nous voulions bien la conduire chez elle. Nous la déposions, et au moment de sortir de la voiture, elle nous dit :

 » Voici mon portable. Si vous prévoyez une soirée, appelez-moi…..  »

Marie entra chez elle, et nous repartions, la tête encore pleins des souvenirs de cette nuit tout simplement incroyable …..