1 – Clara
Qui a dit que la vie ne devait rien au hasard ?
Je n’aurais pas eu de timbre-poste ce jour-là, ou bien, je n’aurais pas eu envie d’en dépanner cette fille, ma vie aurait-elle été ce qu’elle est ?
Mais commençons par le commencement, j’ai écrit trois de mes aventures, un peu dans le désordre, je me suis dit qu’il faudrait à présent commencer par le début mais je ne raconterai pas tout.
Et si je commençais par me présenter ? On m’a toujours (ou presque) appelé Chanette. Mon vrai prénom, celui que mes parents ont eu la délicatesse de m’attribuer, est Jeanne-Christine, mes copines d’écoles n’en retinrent que la première partie qui se transforma très tôt en Jeannette. A l’époque, une pauvre fille, me collait aux basques, cette nana peu gâtée par la nature, était de plus affublée d’un défaut de prononciation qui rendait certains de ses propos proprement incompréhensibles. Elle était périodiquement victime des agaceries de nos petites camarades. Je trouvais cela profondément injuste et si j’étais incapable de la défendre, j’étais par contre capable de la réconforter. Infoutue de prononcer Jeannette correctement, elle lançait comme un défi à ceux qui venaient lui chercher querelle !
– Che fais le tire à Chanette !
Ce diminutif qui n’en est pas un, je l’ai traîné comme un boulet, ma scolarité durant. Je n’aurais dû jamais le faire revenir, pourtant le jour où Clara m’a demandé mon prénom, un neurone facétieux m’a fait dire « Chanette ». C’est la vie !
Je ne me suis pas décrite dans mes précédents récits ! On me l’a reproché ! Pas très grande, fine, le visage très ovale, des seins qui à l’époque de ce récit ne faisaient que 95 C (je fais maintenant du D et j’ai 2 petits piercings en forme de boucles d’or sur chaque téton). Je n’ai pas de piercings ailleurs, je n’ai pas de tatouage. Je suis légèrement mate de peau et je bronze très vite, mes cheveux sont châtain foncé, mais ils en ont vu de toutes les couleurs, et à l’époque de cette histoire, une copine antillaise m’avait fait d’adorables tresses blondes ! On me trouve mignonne, mais ce n’est pas mon avis !
J’étais cet été à Juan les Pins avec un copain. Je n’aime pas cette station qui pue le fric et l’arrivisme. Ces vacances étaient une expérience. Nous avions convenu avec Paul (appelons-le comme ça) que si tout se passait bien, nous nous mettrions en ménage au retour.
Ah ! Ça ! La première semaine impeccable, la deuxième les premiers accrochages commencèrent, puis les engueulades. Petit à petit, le naturel reprenait le dessus chez Paul qui, las de faire des efforts pour apparaître sous ses meilleurs jours, se révélait grossier, fainéant, coléreux, et jaloux. Inutile de rêver et d’espérer que l’animal se corrige, un type qui a un tel comportement au bout de 10 jours de vie commune ne pourra que me rendre l’existence impossible, et n’ayant aucune confiance dans ses promesses d’améliorations, je rassemblai mes affaires personnelles dans un sac à dos et adieu Popol !
Quand je pense que de nos jours encore, dans certains milieux, d’aucuns se marient sans se connaître vraiment et sans avoir vécu ensemble… mais bon !
J’avais attendu d’être loin de Paul pour ouvrir les vannes et pour chialer comme une madeleine. Je ne m’aimais pas dans ces moments-là, je ne penserais pas que je craquerais. J’aurais donné cher pour être alors dans de doux bras qui m’auraient consolée, et l’image furtive de quelques adolescentes galipettes avec des personnes du même sexe me traversa l’esprit comme un éclair.
Je me fis prendre en stop, par un type qui eut la correction de ne point me draguer. (Si ! Si ! Ça arrive !) Mais étais-je draguable ? Et je devais avoir triste tête ! Me demandant ma destination, je balançais « St Tropez » un peu au hasard, je ne connaissais pas.
Je ne pensais pas m’attarder dans cette ville, mais je souhaitais la connaître. L’après-midi touchait à sa fin, je me fixais une heure de ballade et ensuite je referais du stop vers une ville qui me permettrait de prendre un train pour Paris !
Finalement, Saint-Trop, on en a vite fait le tour et j’envisageais après deux heures de balade de sortir de la ville. Les bretelles de mon sac à dos commençaient à me mordre cruellement la chair et m’arrêtais quelques instants à proximité d’une boite aux lettres afin de les régler, quand une apparition surgit dans mon champ de vision : une grande jeune femme belle et bronzée, avec un visage aguichant et pétillant de malice. Elle était vêtue d’un short blanc, d’un haut de maillot de bain de la même teinte, d’un incroyable chapeau et portait de grosses lunettes noires ! Une fille superbe ! Et pourtant la ville n’en manquait pas de canons de toutes sortes. Mais celle-ci avait un je ne sais quoi d’indéfinissable. Elle se tenait là, une enveloppe à la main et pestait contre je ne sais quoi ! Et voici qu’elle m’adresse la parole :
– Vous n’auriez pas un timbre ?
Si ! J’en avais ! Mais je ne vous dis pas le cirque ! Enlever le sac à dos, rechercher le portefeuille, trouver les timbres. A n’importe qui d’autre j’aurais probablement refusé, mais là j’acceptais. Elle s’amusait de mon embarras.
– Je vous remercie, je vais vous le payer !
En me disant cela elle me regarde mieux
– Dites donc ! Ça n’a pas l’air d’aller ?
– Ça pourrait aller mieux !
– Rupture ?
– Ouais ! Vous êtes forte ! Vous !
– Gros chagrin et sac et dos, c’est malheureusement pas difficile ! Je connais ! Ce qui est terrible dans ces moments-là, c’est qu’on a envie de causer, et on n’a souvent personne pour nous écouter. Si vous avez envie de me parler, je suis prête à vous écouter !
– On ne se connaît pas, je ne vais pas vous casser les pieds avec ça !
– Je ne crois pas que vous me casserez les pieds, allez viens, je te paie une grosse glace !
Ce passage impromptu au tutoiement fut le début de ma très longue complicité avec Clara !
Si Clara n’avait pas que des qualités (loin de là !), elle en avait néanmoins une fort rare et très forte : elle savait écouter les gens, sans chercher dans le discours de l’autre des prétextes pour introduire ses propres anecdotes.
Elle n’était pas du genre non plus à prodiguer des conseils genre «courrier du cœur». Elle approuvait tout simplement mon attitude et comprenait très bien l’ampleur de la déception et de la désillusion que je ressentais !
– C’est quoi tes plans maintenant ?
Je lui expliquais, tandis que la serveuse nous apportait deux gigantesques compositions glacées ornées d’étincelants bâtons d’artifice
– Tu dois vraiment rentrer à Paris ? T’as un boulot fixe ?
– Non je fais de l’intérim ! Et normalement il me reste une dizaine de jours de congés.
Clara séjournait pour les vacances dans le studio d’une vielle tante qui n’y habitait pas, et me proposa de m’héberger quelques jours. C’était très gentil de sa part, mais je ne comprenais pas cet accès soudain de bonté gratuite et m’en étonnais.
– De temps en temps, j’aime bien faire une bonne action !
La réponse était débile, volontairement débile ! Par manque d’expérience je la pris au premier degré, alors que j’aurais dû ne pas insister…
– Mais tu ne me connais pas, je suis peut-être la reine des emmerdeuses !
– C’est bien pour cela que je ne te propose que quelques jours et pas plus !
Je ne répondis pas ! Quelque chose clochait ! Elle s’aperçut alors de mon trouble et décida de jouer cartes sur tables !
– Faut pas toujours chercher à savoir tout de suite ! Mais tu veux vraiment que je te le dise ?
Je lui fis signe que « oui », avec une certaine inquiétude.
– J’ai aimé la façon dont tu m’as regardée tout à l’heure devant la boite aux lettres. Je sais lire dans les yeux des gens…
Elle marqua un court silence, la chair de poule commençait à m’envahir, elle reprit
– Et j’aimerais tellement te donner l’occasion de me regarder encore comme ça !
Je n’étais pas née de la dernière pluie, et me doutais de ce que sous-entendaient les propos de Clara, mais d’une part cela ne me gênait pas trop et d’autre part j’étais si contente que dans ces moments de désarroi, quelqu’un s’intéresse à ma modeste personne, que je ne pus me retenir. L’émotion me fit craquer et me fit pleurer comme un robinet de salle de bain. Elle ne dit rien, me prit la main, je me laissai faire, et elle attendit quelques instants !
– Alors c’est d’accord ?
Je parvins à lui dire « oui » entre deux sanglots, et me calmai, je la dévisageai alors, contemplant sa frimousse où s’éclatait la satisfaction de sa victoire, et prise d’une pulsion irrésistible, je me levai de mon siège et me précipitai dans ses bras.
Elle me consola ! En fait, elle n’attendait que cela, mais elle le fit très bien, me caressant d’abord le visage du bout des doigts, puis m’embrassant les joues, me parlant doucement, puis rapprochant insensiblement sa bouche de la mienne. Dans un réflexe, je refusai de me laisser complètement dominer. J’échappai à son étreinte. Mais j’avais compris ce qui allait maintenant se passer. Je ne souhaitais pas non plus passer pour une conne.
– On en garde pour tout à l’heure ! Parvins-je à dire.
Elle me répondit d’un sourire éclatant, un sourire de vainqueur, ses yeux pétillaient de malice.
– T’as raison, rien ne presse ! On finit la glace ?
Je lui avais raconté ma vie, j’estimais normal qu’elle me raconte la sienne, mais elle en restait aux généralités. Mademoiselle était professeur de dessin, les vacances n’étaient donc pas finies. Elle était descendue sur la côte avec d’autres personnes qui étaient ensuite reparties, elle s’emmerdait !
Le magnifique studio de sa tante donnait sur le port.
– Je suppose que tu veux prendre une douche ?
Elle supposait très bien !
– On va la prendre ensemble !
Ce n’était même plus une question, une invitation plutôt, presque un ordre, mais l’idée ne me déplaisait pas. Devant moi, dans le séjour du studio, Clara dégrafa son soutien-gorge. Des seins magnifiques, plus poires que pommes, aux bouts proéminents. Le soleil les avait caressés leur donnant une magnifique teinte ambrée. Mon excitation montait, et j’en étais à me demander de quelle façon j’allais lui sauter dessus tout en respectant une certaine forme.
Comme si la vue de ses globes enchanteurs ne me suffisait pas, elle les prit à pleines mains, les fit bouger, les soupesa…
– Ils sont pas si mal que ça ? Hein ?
– Des merveilles, oui ! Parvins-je à bredouiller.
Et la voilà qui enlève le bas. Sa chatte est entièrement rasée. A cette époque je trouvais cela bizarre, ça me gênait même un peu. J’ai eu l’espace d’un instant l’impression que Clara était déçue que je ne sois pas aussi enthousiaste envers sa chatte que je l’avais été avec ses seins. Alors, l’air de rien elle se mit à quatre pattes sur le lit, le cul tourné vers mon regard, en ayant pris soin de bien relever ce dernier et d’écarter un tout petit peu les jambes. Elle tournait la tête, guettant mes réactions. Le trouble me reprit ! Quel spectacle magnifique que ces deux jolies petites fesses toutes rondes emprisonnant son petit abricot dénudé ! Mon entre-jambes devenait humide. L’invitation était claire, je ne pouvais ni avais envie de reculer, mais en même temps je voulais encore quelques secondes jouir de ce spectacle rare. C’était la première fois (il y a toujours une première fois !) que je voyais ainsi un cul de femme ainsi exposé. Je me souviens m’être dit à ce moment-là que même un trou du cul pouvait être beau ! Vers l’endroit où ses fesses se rejoignaient, sa peau se hérissait de minuscules protubérances. Je crus qu’elle avait la chair de poule, en m’étonnant que le phénomène ne se localise qu’ici. Non cet aspect chair de poule assez incongru était permanent et rajoutait un je ne sais quoi de quasi-insolite à cette vision paradisiaque ! J’étais paralysée, subjuguée, je parvins à murmurer
– Qu’est-ce que c’est beau !
– C’est pas mal hein ?
A présent Clara se caressait les fesses. C’en était trop, je décidai de me déshabiller plus tard et fonçai comme une dingue sur cette cible offerte, mes mains chassèrent les siennes et parcoururent la peau de son cul douce comme du satin, mais vite, les mains ne me suffirent plus, et je posais mes lèvres, lui faisant des tendres baisers sur ses globes fessiers. Cela dura assez peu, mon objectif était bien sûr au centre, j’approchai mon visage de sa chatte, la humai, elle sentait la mouille, l’excitation, la femelle, j’aimais cette odeur de plaisir qui lui coulait sur les cuisses. Alors je mis à la laper, tel un chat saisi de fringale qui dégusterait une assiette de lait. Je voulais la lécher partout, la manger, l’avaler, la phagocyter.
Stop ! Je me calme ! Je réalisais en pleine fièvre qu’elle attendait probablement que j’œuvre afin de lui donner du plaisir. C’est le moins que je pouvais faire. Cessant un instant mes folies, je me débarrassai de mes vêtements. Elle se tourna et se moqua gentiment :
– Pas si vite, tu vas tout déchirer !
Je m’en fous de déchirer, je veux que nos corps se donnent du plaisir, je veux vivre cet instant et oublier tout ce qui m’a emmenée ici. Je reviens à la charge, nue comme une grenouille. L’autre se met à siffler d’un air approbateur (quel romantisme !)
– C’est super, tout ça, je crois qu’on va bien s’amuser !
Je reviens à la charge, elle mouille comme une gouttière. Je lèche à nouveau puis, je tente de la faire basculer afin de la lécher dans l’autre sens, ce qui me paraît quand même plus pratique pour la faire jouir. Mais c’est qu’elle est tout en nerf, Clara : la voilà qui résiste, qui maintient sa position et qui ne veut pas en changer.
– Tu ne veux pas te tourner ?
– Pas encore !
Je crois comprendre qu’elle veut que je continue à m’occuper d’elle dans ce sens. Ma langue reprend son travail, la vue de son anus me trouble et je me demande si je dois y aller, je n’ai jamais léché un trou du cul, que ce soit d’homme ou de femme et j’ai envie de le faire, mais j’ignore si cela va lui plaire. Alors je m’approche, progressivement, guettant une réaction qui ne vient pas. Ma langue n’est maintenant qu’à moins d‘un centimètre de son trou. Je ne vais pas y tourner autour pendant des heures, je fonce. Un léger, très léger goût âcre me fait un instant hésiter, mais cela ne persiste, heureusement pas. Je lui titille maintenant l’œillet avec application. Clara ronronne comme un chat que l’on caresse, je ne comprends pas ce qu’elle raconte, je m’interromps pour lui demander
– Tu dis quoi ?
– Que t’es une petite cochonne !
– Je fais ce que je peux !
– Continue alors !
Evidemment que je vais continuer, ma langue fait semblant de tenter de forcer l’ouverture, elle en est évidemment incapable, mais elle peut la demander cette ouverture, la quémander, la supplier ! Non ! Clara a donc décidé de ne pas m’aider, alors de mes mains, je lui écarte au maximum les fesses contribuant à tirer sur l’anus qui s’entrouvre, ma langue y pénètre, je mouille comme une dingue. C’est la première fois que je fais cela, je suis autant excitée par la nouveauté que par la situation. Je prolonge ma caresse buccale, l’autre continue à ronronner, un véritable moteur ! Cela dure bien cinq minutes, peut-être plus, (allez compter le temps ! vous, dans ces moments-là !) Je décide d’arrêter, et pour la deuxième fois je tente de la basculer.
Mais c’est qu’elle ne veut pas, c’est qu’elle ne se laisse pas faire !
– Tape !
Je ne comprends pas ce qu’elle veut
– Tape !
– Tu veux que je te tape sur les fesses ?
– Oui vas-y !
Je me souviens avoir bêtement demandé pourquoi. Comme s’il fallait que tout soit justifié ! Elle rigole !
– Mais pour rien, parce que j’ai envie, c’est tout !
Alors je tape, j’ai peur de lui faire mal, mais elle veut plus fort, je tape alors plus fort, son cul vire assez vite au rouge.
– Aie !
– Je t’ai fait mal !
– C’est pas grave, continue, j’aime ça !
Et soudain, je me demande pourquoi les rôles sont ainsi inversés, c’est moi qui devrais recevoir la fessée, jusqu’à temps que j’en chiale et qu’elle soit obligée de me consoler.
– Tu m’en donneras une aussi ?
– Si t’es sage !
Elle se fout de moi, je continue à taper, elle mouille encore, il va bien falloir que je m’arrête, mais me dit qu’après tout, elle ne semble pas avoir eu sa dose. Et soudain alors que je n’attendais plus ce geste, la voici qui se retourne comme une crêpe. Elle écarte alors les jambes, ouvre sa chatte en l’écartant d’une main tandis que l’autre d’un doigt excite son clitoris….
– Viens me faire jouir !
Je n’hésite pas depuis le temps que j’attends ce moment et je plonge, ma langue est sur son clito turgescent. Je pressens que ce ne sera pas long, je lèche à qui mieux-mieux ce bourgeon épanoui, et voici que soudain je sens tout le corps de Clara qui d’abord se tétanise, puis s’arc-boute pratiquement en arc de cercle tandis qu’elle pousse un hurlement de plaisir. Elle retombe sur le lit, pantelante !
– Ben dis donc, tu pars vite !
Son visage rayonne de bonheur ! Attention ça va être contagieux, effectivement un frisson me parcoure entièrement, les larmes me montent aux yeux, et voilà que je re-chiale, j’avais donc encore quelques larmes, mais c’était des larmes de bonheur. Nous tombons dans les bras l’une de l’autre. Nos langues se mélangent dans un long baiser de tendresse et d’amour.
Je me sens soudain épuisée et reste quelques instants sans bouger sur le canapé. Clara me regarde, me détaille, je lui plais et suis contente de lui plaire. Elle me caresse alors partout mon corps, mais s’attarde sur mes seins, elle atteint mes tétons, les frôle, les agace, puis les presse entre ses pouces et ses index. Je frissonne. J’adore cette caresse ! Je sais qu’elle veut maintenant me faire jouir ; j’en ai envie, et je crois qu’après j’aurais envie de dormir, je suis crevée ! Clara recherche la meilleure position et la voilà qui dégringole du canapé. Elle ne se fait aucun mal mais attrape un fou rire nerveux et communicatif
– On va peut-être défaire le canapé, ce sera plus pratique, propose Clara.
On se lève, il fait chaud, nous voici toutes les deux à poil en train de triturer le clic-clac. Cette manœuvre banale finit de nous épuiser, on se jette sur le lit. Cette interruption m’a un peu calmée. Je caresse tout de même le sein de Clara qui me rend la politesse, je n’en peux plus et tandis que ma compagne joue à nouveau avec mes tétons, j’entreprends de me masturber. Bonne fille, elle propose de me relayer, mais j’ai préféré me faire jouir comme ça pendant qu’elle s’occupait de mes seins.
– On devait prendre une douche !
– Demain la douche ! Attends faut que j’aille pisser !
La salle de bain est grande ouverte, et les toilettes y sont à l’intérieur, bien visibles de l’endroit où je suis allongée. Clara ne ferme pas la porte et pisse devant moi, les jambes écartées, provocante, allant même jusqu’à écarter ses lèvres afin que nul détail n’échappe à ma vision, et tandis qu’elle me sourit tendrement je m’endors, bercée par le délicieux clapotis de son petit jet doré !
(à suivre)
Première publication sur Vassilia, le 1/11/2000
© Chanette (Christine d’Esde) 2000 reproduction interdite sans autorisation de l’auteur
Ce récit a eu l’honneur d’obtenir le 1er prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Novembre 2000 ainsi et surtout celui du 1er prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour l’ensemble de l’année 2000
Que c’est beau et quelle belle écriture ! J’en frisonne encore
C’est comme qui dirait le calme avant la tempête (un calme tout relatif d’ailleurs parce que c’est quand même très hot !
Très bon texte mais qui fait un peu calme avant la tempête quand on connait le second chapitre !
Qu’est ce que c’est beau !
Tout en lisant votre nouvelle je me suis caressée. En fait, je découvre les récits (st trop) comme le votre depuis hier. Avant, je ne savais pas que j’étais saphique ;je vivais avec un homme et mariée, en plus !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je l’ai quitté au petit matin en embrassant très tendrement nos 2 filles. Suis partie à l’aventure dans le XIèmme de Paris et ai pris l’Eurostar . J’aime l’ouverture de l’avenir. Je suis jeune…encore. J’ai eu mes 2 filles à 17 ans, c’est dire ! Pouvez (ou « peux « ?, allez, je te tutoie, tu ne m’ en veux pas ?) -tu me dire comment trouver des sites de récit et des forums pour dire mon saphisme et le plaisir que j’y trouve ? Merci de m’aider car je n’ai aucune expérience.
Puis-je t’embrasser ? Je le fais.
Merci de tout cœur
En tapant « Lesbos » sur la page d’accueil de notre site tu vas trouver plein de récit saphiques et des bons.
Bisous, ma biche !
j’ai lu une de tes histoires avec du pipi, j’aime bien.
j’aime bien la manière dont parlent les dames, y’a des « ! » partout, on dirait qu’elles crient tout le temps
heu… au revoir