Camille, ma femme – 2 par Lucius Honorus

Camille, ma femme – 2 par Lucius Honorus

Après m’avoir mis à quatre pattes dans l’entrée, Camille accrocha la laisse à mon collier.

Elle tira d’un coup sec dessus en se dirigeant sur le séjour, ce qui m’obligea à la suivre, toujours à quatre pattes.

– Relève toi petite chienne, m’ordonna-t-elle en tirant sur ma laisse

Un éclair de lucidité m’envahit :

– Ecoute, Camille, on a assez rigolé maintenant, on va arrêter les bêtises !
– Mais tu n’as pas encore compris que c’est moi qui mène la danse, me dit-elle en me mettant une paire de gifle

Surpris, l’aller-retour m’arracha une larme qui roula sur ma joue.

– Je te veux à ma pogne, à ma botte, obéissante, tu comprends ça ? Répond-s’il te plaît !
– Oui Madame
– Ah ! enfin, tu sembles comprendre

Elle reprit :

– Les règles sont simples, tu devrais les assimiler facilement

Elle énumère :

– 1 -Tu m’appelle Madame. Pour toi, il n’y a plus de Camille, c’est Madame. 2 – Tu ne me regarde pas, tu baisse les yeux. 3 – Tu la boucles, sauf si je permets de parler ! Capito ? C’est plutôt simple, c’est à ta portée ?
– Oui Madame
– Bien, nous allons passer aux choses sérieuses. Appuie-toi sur la table et présente-moi tes fesses

Sa main me caressa le postérieur :

– Tu portes plutôt bien le string, tu ferais un tabac dans certaines back-room, c’est sûr !!!

Un rire s’échappa de sa bouche :

– Mon mari dans un bar gay en string !!! La scène mériterait d’être filmée !! Si j’avais eu ce genre de vidéo quand tu me laissais pour aller baiser tes maitresses, je me serais bien moins ennuyée.
Tu comprends pourquoi, je suis obligée de te punir maintenant ? Tu m’as trompée, humiliée, laissée de côté, je ne t’intéressais plus. Heureusement, j’ai changé, je me suis émancipée, j’ai une double personnalité que j’assume complétement. Tu ne voulais plus me toucher, eh bien tu ne me toucheras plus. D’autres des deux sexes s’en charge, voire parfois du troisième sexe aussi. Saches que j’y prends du plaisir, énormément même. Ce que je suis devenue me plaît énormément. C’est un peu grâce à toi finalement ! Je pourrais te remercier ! Eh bien, non, je vais t’en faire baver un peu plutôt. Peut-être y prendras-tu du plaisir, je l’espère pour toi, sinon tu vas souffrir !!
Bien !! Assez discuté, c’est l’heure de ta correction. Tu vas expérimenter trois nouvelles expériences en une fois !!! Tu vas voir, c’est très bien. Nous allons commencer par une fessée, puis tu auras le droit au martinet et nous terminerons par la cravache. Après tout ça, ton cul devrait être tout rouge en principe. Tu es déjà en position, nous allons commencer.

La première claque sur mes fesses me prit par surprise, j’ai poussé un cri :

– Ah, j’ai oublié de te dire : tu la fermes, je ne veux pas t’entendre, sinon, je te bâillonne et je tape plus fort

Une série de trois autres claques : une douleur piquante me chauffait les fesses. Puis vint une nouvelle série de trois rapidement administrées. Cette fois, mes fesses étaient en feu.

J’entendis Camille me dire en tapant à nouveaux :

– Et les trois dernières, si je ne m’abuse, nous en sommes à dix. Pour ta première fessée, ça suffira. Je suis une maitresse magnanime, je ne vais pas être trop méchante pour cette fois. Et puis, le martinet et la cravache t’attendent, n’est-ce pas ?

Je subis le martinet, six coups. Si la main de mon épouse claquait et provoquait des brulures pour la fessée, le martinet et ses lanières en cuir me cinglaient. Puis la cravache cinglante aussi, six coups, peut être un mix de fessée et de martinet. Mais je ne savais plus trop. Chaque coup était supportable pris individuellement, mais c’est la répétition qui devenait dure à supporter. Je faisais des efforts pour ne pas crier, ni même geindre, de peur d’énerver Camille et de recevoir d’autres punitions.

L’avant dernier coup de cravache me surprit, parce qu’administré sur le bas du dos, alors que jusqu’à présent elle n’avait flagellé que mes fesses :

– La prochaine fois nous expérimenterons peut-être d’autres zones que ton cul, me dit-elle

Le dernier coup me surpris, quant à lui, par sa force. Il était beaucoup plus appuyé que les autres. Il m’arracha un cri. Contrairement à mes craintes, cela fit rire Camille :

– Tu as crié, mais j’avoue j’y suis allée fort pour ce coup de cravache. Tu ne seras pas puni pour ça ! Bon maintenant baisse ton string, me dit-elle en tirant sur la ficelle. Et remets-toi en position après.

Je m’exécute et baisse le string jusqu’à mi-cuisses et me penchant sur la table à nouveau. Une claque à l’intérieur de ma cuisse m’obligea à écarter. Le tissu du string craqua légèrement, tendu comme une corde d’arc entre mes deux jambes, mais il tient bon.

– Tu as le cul tout rouge. Ça doit piquer et bruler !! Je n’y suis pas allée de main morte !! Tu auras le droit à de la pommade tout à l’heure, quand nous aurons terminé.

Je sentis la cravache me parcourir les fesses, passer entre mes jambes et frotter mon pénis.

– C’est bizarre !! Tu ne bandes plus !! Comment ça se fait ? Et elle s’est mise à rire.

La cravache tapotait mes testicules maintenant.

Je me tendis, me demandant ce qu’elle allait me faire :

– Rassure-toi, nous en avons terminé avec la douleur intense. Ce que je te réserve maintenant tiendra plus des douleurs légères. Tu auras droit aussi à d’autres châtiments, plus comment dire… Euh… intellectuels, non cérébraux plutôt. Mais peut être que tu vas y prendre beaucoup de plaisir.

Ses doigts me parcouraient la raie des fesses. Puis, elle força mes lèvres avec son index et son majeur en me disant :

– Lèche les bien, humidifie-les, c’est mieux pour toi, je pense, me dit-elle en les repositionnant sur ma raie.

D’un seul coup elle m’enfonça ses deux doigts entiers dans l’anus. Elle les sortit, les replaça, puis exerça un va-et-vient, alternant le rapide et le lent :

– Ça te plait mes doigts dans ton cul ? Moi j’adore ça, recevoir à cet endroit. Tu ne me l’as jamais fait, d’autres s’en sont chargé. Les doigts, c’est bien, mais j’ai autre chose pour toi, de comment dire ? Plus volumineux ! Imposant ! Tu vas adorer !! c’est certain !! Tu ne pourras plus t’en passer … Vas te remettre à genoux au milieu de la pièce, s’il te plaît. Et mets tes mains derrière ton dos.

Camille exhiba de son attaché case, un gode-ceinture avec lequel elle s’harnacha, après avoir remonté sa mini-jupe sur ses hanches :

– Ta première sodomie !! Oui !! C’était ça la surprise, je vais te sodomiser, me dit-elle d’un air taquin. Pour ton dépucelage, vingt centimètres, c’est pas mal, ça devrait passer assez facilement. D’abord tu vas sucer, comme pour mes doigts tout à l’heure, où tu le mouilles bien avec ta salive et ça rentrera tout seul, ou je te prends à sec, et là tu risques de déguster. Il va falloir que tu t’appliques.

Elle s’assit sur le canapé :

– A quatre pattes s’il te plait. D’abord tu me lèches le bout des bottes, c’est bien, tu t’appliques, suce le talon maintenant. Voilà, entièrement dans ta bouche. N’oublie pas de passer ta langue sur la semelle. Je ne sais pas trop où j’ai marché ces derniers temps, mais un nettoyage s’impose. C’est parfait, tu es un vrai petit lèche-bottes, mais ça, je n’en doutais pas. Maintenant tu remontes le long de la botte, la langue bien sortie que je le vois. Très bien, n’oublie pas la boucle en haut. Voilà, très bien, remonte en me léchant la cuisse. Maintenant tu suce. Prends le bien en bouche. Gorge profonde. Tu es une bonne suceuse, dis-moi ! Je suis surprise, on dirait que tu as passé ta vie à faire des pipes. Allez, il est temps de passer au plat de résistance, mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette comme une petite catin. C’est ce que tu es, il me semble ? une petite catin bien chaude.
Attends je vais te cracher sur la raie, pour mouiller un peu ta rondelle. Voilà, j’étale un peu, Ne bouge pas. Je suppose que se faire prendre après une correction comme celle que je t’ai mise tout à l’heure, ça peut être un peu douloureux. Mais c’est comme ça, on n’y peut rien. Surtout si je te mets le gode à fond. Ça va venir, ne bouge plus, j’y suis ! Tu sens la queue contre ton petit cul encore serré, mais plus pour longtemps ? Hop, c’est entré complètement. Tu as 20 cm dans les fesses, comme une petite traînée. C’est bon, n’est-ce pas ? Et là si j’accélère ? C’est comment ? Maintenant tu as le droit de gémir, mais seulement de plaisir.

Camille me sodomisa longtemps. Nous alternions les positions. Après la levrette, elle m’allongea sur le dos, sur la table, releva mes cuisses et me pénétra à nouveau. Puis c’est elle qui s’allongea sur le canapé et me fit signe de venir m’assoir sur le gode. Enfin, j’étais debout les mains contre le mur, elle derrière moi.

Sur la fin, elle accéléra franchement le rythme, m’immobilisant par les hanches elle s’activait en entrant le gode et en le ressortant. A chaque coup de boutoir, son ventre claquait contre mes fesses endolories par la flagellation. Elle m’avait annoncé juste avant qu’elle allait me défoncer et c’est ce qu’elle faisait. Son langage devint encore plus scabreux. Elle s’essoufflait, l’effort la faisait respirer fortement. Moi, je ne vous en parle même pas. Si je ne tenais pas contre le mur, si ma femme ne me maintenait pas par les hanches, je crois que je me serais écroulé. Je ne sentais plus mes fesses, juste les coups de boutoir que m’administrait Camille. Mes jambes flagellaient. Dans un dernier effort, elle poussa un petit cri en enfonça une dernière fois le gode en moi. Elle s’arrêta essoufflée, laissa le membre dans mes fesses un moment, puis elle se retira et s’écarta :

– Waaaa, la vache, qu’est-ce que je t’ai mis !!! Pour ton baptême, tu as été servi ! Tu m’as épuisée petite chienne, mais je pense avoir été une bonne amante. Bon tu vas avoir du mal à t’assoir pendant quelques jours, mais c’est la vie, tu verras … Il est temps de déjeuner, c’est l’heure. Enfin moi JE vais déjeuner ! Toi tu vas me servir, tu vas enfiler une nouvelle tenue, tu vas être ma soubrette. Ensuite tu feras le ménage, tu vas voir comme c’est amusant à faire, toi qui ne connait pas. Il me semble que tu ne m’as jamais aidée à faire le ménage. Ça va être une grande découverte. Puis nous sortirons, nous irons faire un tour en forêt. Tu mettras ton trench-coat avec en dessous juste quelques dessous affriolants, et ta perruque et tes escarpins bien sûr. Je connais un endroit parfait où tu pourras t’exhiber. Il y a pas mal de voyeurs là-bas l’après-midi. J’y vais régulièrement. Bien sûr, il faudra que tu donnes de ta personne, mais maintenant, tu es habitué, tu sais comment faire. S’il y assez de monde, ça pourra faire un gentil petit gang-bang ….
Puis, nous rentrerons, tu prépareras le diner pendant que je savourerais un bon apéro, tu me serviras à nouveau, tu feras la vaisselle, nous n’aurons plus besoin de lave-vaisselle à la maison. Ensuite tu pourras manger par terre dans ta gamelle dans la cuisine. J’irais me coucher, mais avant je te menotterais par terre au pied de l’armoire, ça sera ta place désormais. Le lit t’es interdit, tu couches par terre. Comme ça, les soirs où j’amènerai un amant ou une copine à la maison, tu pourras jouer les mateurs…

– Ce n’est pas possible Camille ! J’ai compris la leçon, mais tu ne peux pas me faire ça !

D’un seul coup, Camille est prise d’un fou rire. Elle ne peut plus se retenir, s’arrêter.

Entre deux hoquets, elle parvient à me glisser :

– Mon pauvre chéri !! Tu y as vraiment cru ? J’ai voulu t’ouvrir les yeux. Eh bien dis-moi, j’ai réussi au-delà de mes espérances.

Puis en reprenant un peu son sérieux :

– Tu y as tout gobé ? La scène grand guignol que je viens de te jouer et tout ? Tu as vraiment cru que j’étais devenue une mangeuse d’hommes qui les consomme par deux ou trois ? J’avoue, j’ai forcé le trait. Tu crois vraiment, que je pourrais te faire ça ? Bon d’accord l’espace d’une heure, ça a été le cas, mais continuellement, je ne pourrais pas. Viens donc ici, que je te console mon pauvre biquet.

Puis, elle rajoute sur un ton moins câlin :

– Par contre, je te préviens, c’était mon premier et dernier avertissement. Ou bien tu changes d’attitude, ou bien je te laisse définitivement, sans autre sommation.

Croyez-moi, la leçon a été retenue. J’ai laissé tomber mes petites histoires extraconjugales, j’ai redécouvert Camille à mon grand bonheur.

 

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Une réponse à Camille, ma femme – 2 par Lucius Honorus

  1. joss dit :

    mmmmmm la prochaine punition la pisse et le caviar

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