Cabines 2ème Sex-shop par Picto

Cabines
2ème Sex-shop
par Picto

J’aime aussi aller dans un autre sex-shop. Celui-là offre également des cabines de visionnage au sous-sol mais elles ont un détail : des glory-holes. Cela rajoute une excitation supplémentaire. Un scénario supplémentaire.

J’y passe toujours le matin. Plus tard il n’y a plus d’intimité : un baisodrome sans limite.

Le matin ne passent que quelques curieux, quelques discrets, quelques timides.

Je m’habille et choisit un string. L’idée de marcher dans la rue, prendre les transports ainsi finit de me convaincre de partir rapidement.

La devanture est discrète. Autour les cafés sont légions.

Le droit d’entrée réglé, j’arrive en bas et passe en revue les cabines. Toutes vides. Je prends soin de choisir celles où les trous sont les mieux placés. Je ne suis pas adepte du contorsionnisme.

Sur la télé passe un film unique sans son, souvent médiocre. Des hauts parleurs diffusent une station de radio techno.

En attendant que quelqu’un arrive je m’installe sur un tabouret. Au mur des distributeurs de préservatifs et de lubrifiant.

L’attente me semble longue. J’ai pris soin d’accrocher mon manteau et mon pull. De retirer mes chaussures.

Enfin quelqu’un descend. Lui aussi fait le tour des cabines. Il ouvre celle à ma droite, reste debout. Je ne vois que le bas de sa veste et son pantalon. En me penchant un peu j’observe ses mains. Posées le long du corps. Il ressort. Je ne dois pas l’intéresser.

D’autres pas se font entendre. Autre démarche. Celui-ci choisit la cabine de gauche et en referme la porte. Il s’assoit. Je me penche et peux voir son visage. Un homme de 65 ans environs. Visage simple. Il a l’air emprunté.

Je place un de mes mains dans l’un des trous pour lui signifier que je suis disponible.

Je regarde à nouveau. Il a sorti son sexe et se masturbe. Je tends ma main dans sa cabine et parviens à attraper son sexe. Je le branle. Je le sens grossir. Son sexe est petit mais large. Je caresse son ventre.

Je retire ma main. J’attends qu’il me regarde. J’aperçois son visage en biais. J’enlève mon tee-shirt. Je me caresse le torse, les seins. Je me chauffe, je le chauffe. Mes mains creusent mon ventre, forcent ma respiration. J’écarte les cuisses.

Je me lève et commence à danser sur la musique qui passe. Je me tourne. Mes mains creusent mes reins. Je me cambre et lui offre mon cul qui se dandine. Je me plaque contre la porte et attrape mes seins. Je les pinces, les pétris. Je suis en train de m’abandonner.

Je prends la bosse de mon sexe dans ma main. Je lui montre dans quel état il me met.

Je me déhanche à nouveau. Je me fais salope. Je défais ma ceinture, je déboutonne mon pantalon et y plonge ma main. A fond. Mouvement de va et vient.

Je me tourne à nouveau et joue avec mes mains sur mes hanches, mes épaules. Je fais glisser doucement mon pantalon sur le haut de mes fesses pour laisser dépasser le haut de mon string. Je remonte les élastiques sur mes hanches. Le tissu me rentre dans les fesses et me chauffe.

Je me retourne contre la porte et finis de descendre mon pantalon. Mon sexe remplit mon string et manque de déborder. Je me touche. Prends à deux mains mes couilles et mon sexe encore enveloppés. Je les serres fort pour les offrir à sa vue.

Je me retourne et plaque mes mains sur la porte pour lui offrir mon cul. Je me cambre, me casse. Ma raie devant lui. Mes mains glissent sur mes fesses. Les écartent. La ficelle à même mon trou. Je mouille. Je remonte plus haut mon string sur mes hanches et mon sexe finit de déborder.

Je me retourne. Mon sexe dressé coule. Mon gland est rond.

Je finis de retirer mon pantalon. Je regarde par le trou. Le type me regarde. Il se branle.

Je me redresse. Je tire encore pour remonter mon string plus haut sur mes hanches. Mon cul, mon entrejambe s’ouvre encore.

Je me branle en serrant fort ma main. Mon gland rougit.

Je me tourne et joue encore avec mon cul.

Je finis par faire rouler mon string. Lentement je déroule mon corps.

Une fois retiré je l’enroule autour de mes couilles et le bas de mon sexe. Cockring de fortune.

Mon sexe pulse, les veines sont gonflées.

Je m’assois face à lui sur le tabouret, adosser contre la porte.

Ma main tire vers le bas le string enroulé. Mon sexe se dresse et grossit d’avantage. J’en ai presque mal. Je coule sur mon ventre.

Je me branle. Encore. Encore. J’écarte mes cuisses. Gémis. Je jouis. Le sperme atteint presque mon visage. Je le sens couler sur mon torse, mon ventre.

J’entends à côté l’homme finir de se branler et jouir.

Il part rapidement.

Moi j’ai besoin de quelques instants pour redescendre. Mon sperme sur ma peau a perdu de sa blancheur. Transparent. Ma peau colle.

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3 réponses à Cabines 2ème Sex-shop par Picto

  1. Diabolo dit :

    Je n’ai jamais compris ce fantasme, plus impeersonel tu meurt, mais je ne juge pas, il en faut pour tous les gouts

  2. Caribou dit :

    C’est bien écrit mais j’aurais aimé que ça continue.

  3. Lope dit :

    Moi aussi je suis un suceur de queues, j’adore ça !

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