Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Les chaleurs de Sœur Jeanne
Nous sommes en l’an de grâce 1782 sous le règne de Louis le seizième. Quelques privilégiés s’en donnent à cœur joie tandis que le peuple accablé d’impôts crie famine.
Cachées dans la paille, les deux filles surplombaient la grange depuis le grenier. Perçant la toiture vétuste, les rais de soleil, dans lesquels dansait la poussière, éclairaient suffisamment la grange pour qu’elles puissent profiter du spectacle. Le nez dans la paille elles ne perdaient pas une miette de ce qui se jouait en bas. Ce n’était pas la première fois que les deux coquines venaient assister à ce genre de spectacle. Elles en étaient toujours friandes et émoustillées à l’avance.
En bas le père Adrien le fermier des terres attachées au couvent, la face rougeaude, ahanait avec force. Les pantalons sur les sabots il s’agitait avec force dans le con ébouriffé de sœur Jeanne qui troussée jusqu’aux épaules se pétrissait les mamelles qu’elle avait flasques et énormes, comme le ventre qui s’agitait à chaque coup de boutoir de l’homme. Le fermier avait un vit de belle taille et noueux. Ce bâton de chair luisait des sucs que la nonne dispensait abondamment en criant.
– Bourre-moi ! Bourre-moi donc plus fort… Pète-moi la charnière. Plus fort ! Encore ! »
– Z’etes une vraie truie, ma sœur! J’peut point plus. Z’avez l’con trop gros
– Benêt ! Va donc chercher Martin !
Abigaelle et Mina étaient elles aussi troussées et les deux amies couchées sur le ventre dans la paille, se caressaient mutuellement les fesses, parfois une main glissait dans le sillon, un doigt s’aventurait les faisant glousser doucement.
Abigaelle était d’une blondeur éclatante, sa chevelure qu’elle gardait tressée le plus souvent était d’une douceur de soie. Son visage d’angelot, aux grands yeux limpides aux couleurs changeantes passant du bleu au vert selon les moments, étaient protégés par de longs cils. Son petit nez mutin avait toujours l’air de vouloir humer tous les parfums alentours. Sa bouche dessinée à merveille, était pleine et d’un rose soutenu et brillant car elle n’arrêtait pas de passer sa langue pour l’humecter.
Ses petites fesses fermes et rondes à la peau laiteuse étaient exposées au regard et aux mains de son amie Mina.
Celle-ci était l’exacte contraire d’Abigaelle. Ses cheveux qu’elle gardait courts étaient noirs comme les ailes d’un corbeau. Sa peau avait la couleur du miel, ses yeux noirs semblaient habités par le démon, ils pouvaient lancer des regards d’assassin. Son nez en bec d’aigle était un peu long, mais non disgracieux. Sa bouche était pleine et voluptueuse, toujours avec une moue dédaigneuse qui la rendait encore plus désirable.
Les deux filles étaient inséparables et toujours complices quand il y avait un mauvais tour à accomplir.
Abigaelle avait été abandonnée devant la porte du couvent, simplement emmaillotée dans force linges pour lui éviter le froid, on avait tiré la cloche en pleine nuit et la sœur qui alla ouvrir ne vit qu’une ombre à cheval qui attendait de voir si la porte s’ouvrirait avant de disparaître dans la nuit. En ces temps troublés il arrivait souvent que des enfants soient ainsi confiés aux servantes du seigneur. Mina elle avait été recueillie plus tard quand ses parents gitans avaient été massacrés par des villageois fanatisés. Elle n’avait été sauvée que par l’intervention du curé qui l’avait confiée ensuite au couvent.
Sœur Jeanne se languissait sur la paille… Elle avait jeté sa robe sur l’échelle. Elle était nue comme un ver, ses gros seins tombant de chaque côté de son torse, son ventre rebondi faisant des plis et son con largement ouvert, entaille rose dans la forêt de poils châtain qui lui ornait le bas du ventre. D’une main elle tenait les lèvres largement ouvertes, faisant saillir un gros bouton, tandis que de l’autre avec ses doigts elle fouillait l’antre du démon avec trois doigts qui faisait un bruit humide quand ils s’agitaient… Un bruit dehors… des pas… comme s’il y avait plusieurs hommes en sabots…
Abi et Mina reculèrent de crainte d’être vues.
Les pas s’approchaient… et elles entendirent avec soulagement la voix du père Adrien. Passant toutes deux leur nez au-dessus du tas de paille qui les masquaient… elles virent avec effarement qui accompagnait le fermier… C’était le baudet … Martin… c’était lui !
Sœur Jeanne cessa de se caresser et s’agenouilla près de l’âne qui semblait avoir une grande habitude de cette situation…
– Abi, tu ne crois pas que sœur Jeanne… dit Mina.
– Oh si je le crois… regarde… répliqua Abi
Le nonne avait empoigné le vit du baudet qui commençait à se tendre… Le père Adrien… avait à nouveau baissé culotte et se branlait allègrement. Sœur Jeanne agitait le braquemart de l’âne avec vigueur.
– Bande mon beau… Allez donne-moi de quoi me remplir le con ! Disait la nonne tout à son affaire.
– Moi je bande, dit le fermier…
– Alors prends moi le cul pendant que je mets en forme notre Martin.
Si tôt dit, si tôt fait. Adrien se plaça derrière la nonne écarta largement les fesses dévoilant un œillet brun qui portait les stigmates de bien des pénétrations. Et d’un coup de rein il encula proprement la sœur qui astiquait le vit énorme de l’âne. La bête semblait prendre plaisir à ce jeu. Son membre était énorme, la tête plus grosse encore ressemblait à un champignon. Sœur Jeanne, commença à lécher ce gland difforme. Puis elle ouvrit grand la bouche et le fit entrer tout entier entre ses lèvres distendues avec force gloussements et borborygmes. Elle se mettait à sucer l’âne tandis que le père Adrien lui explosait le fondement. Sœur Jeanne appréciait le jeu… car sa grosse chatte dégoulinait, laissant tomber sur le sol de grosses gouttes de mouille grasse. Elle mouillait de plus en plus au fur et à mesure qu’Adrien lui dilatait le petit trou. Mais elle étaient encore plus excitée par l’idée de se faire prendre par le bel âne… qui commençait à piétiner.
Mina glissait sa main entre les fesses d’Abi… et elle sentit sous ses doigts la moiteur du con de son amie. Elle poussa un doigt dans le sexe, il était trempé.
– Dévergondée… ça te plaît de voir sœur Jeanne se faire défoncer ! dit Mina d’un air faussement courroucé en montrant son doigt mouillé à Abi.
– Oh oui… je prendrais bien sa place… et toi aussi… dit-elle en prenant le doigt luisant entre ses lèvres et en glissant sa main entre les cuisses de Mina.
Elle trouva le con ruisselant de son amie et y plongeât deux doigts qu’elle plaça devant le visage de la brune.
– Et ça ? C’est de la pluie peut-être… ton con est inondé mon amie ! dit Abi avec un sourire éloquent.
– Donne ! dit Mina en prenant la main de la blonde et elle se mit à lui sucer les doigts.
En bas… la nonne pompait allègrement le baudet… manquant de s’étouffer à chaque fois qu’elle engloutissait le braquemart de plus en plus turgescent de l’âne, qui maintenant piaffait et commençait à donner des signes d’énervement.
– Maintenant tu vas me baiser mon bel étalon ! Dit la nonne toute à la joie de la saillie imminente…
Elle se releva, laissant le père Adrien tout penaud avec son vit roide, gonflé et un peu merdeux venant d’où il venait… La nonne s’accouda à l’échelle, présentant sa croupe à l’âne, laissant ainsi pendre ses mamelles et son ventre flasque. Adrien lui écartait les fesses largement laissant voir le con baveux et déjà ouvert largement de la sœur. Martin en âne bien élevé ne se fit pas prier il se dressa sur ses pattes arrière, balançant ses sabots de part et d’autre de la nonne pour les appuyer sur la barrière. Sœur Jeanne avec une souplesse que ne laissait pas deviner sa corpulence, attrapa le vit de l’âne et le posa contre son con luisant. Martin donna un grand coup de rein et enfonça d’un trait un bond pied de chair… Tirant un cri à la sœur
– Ah! je le sens ! Ah il est dedans ! Oh qu’il est gros… pousse, pousse bel étalon… déchire-moi le con ! hurlait-elle.
– Et moi… Demanda naïvement Adrien
– Mais viens dans ma bouche nigaud ! Je vais pomper ton nœud !
Il ne se fit pas prier et fit taire sœur Jeanne avec son chibre.
Au risque d’être découvertes Abigaelle et Mina avait sorti la tête de leur cachette pour profiter du spectacle. La nonne était secouée par les coups de boutoir de l’âne qu’elle encourageait, lançant son fessier contre l’énorme queue, faisant naître des ondes dans sa chair qui se propageait comme les ricochets sur l’eau. Le con de la nonne baillait et dégouttait des ruisseaux de sucs qui faisait des tâches dans la poussière du sol. Le vit de l’âne se couvrait d’une mousse blanche et onctueuse comme si le barattage qu’il imposait à la religieuse était en train de faire du beurre. Sœur Jeanne le visage rouge, haletais, ne proférait plus que des onomatopées… des oh, des ha… des oui… des hue… Le père Adrien lui ne disait rien mais sa mine réjouie en disait long… son engin noueux se couvrait de salive qui s’égouttait le long de ses bourses velues… De ses mains il avait empoigné les mamelles de la nonne et semblait décidé à la traire.
Les mains d’Abi et de Mina étaient croisées chacune agaçant les fesses de l’autre. Agenouillées maintenant comme pour prier, elles ne perdaient pas une miette du spectacle. Elle se glissaient mutuellement des doigts dans leurs fentes de plus en plus humides, tandis que leur autre main caressait leur bouton qui ne cessait de gonfler. Les tétons se frottaient à leur chemise de toile rêche et se dressaient également. Les deux amies se mordaient les lèvres et se jetaient des regards langoureux… Ce n’était que par crainte de manquer le spectacle qu’elles n’avaient pas entrepris de se gamahucher.
En bas les cris redoublaient, l’âne donnait des coups de boutoirs qui faisait décoller du sol sœur Jeanne et la faisait crier de plus belle.
– Oh il me broie la matrice ! Il m’a démoli le con ! J’en pisse de plaisir ! criait-elle
En effet… de longs jets tombaient sur le sol, à chaque poussée de l’âne un jet puissant répondait associé à un cri de plaisir de la nonne.
– Je le veux dans mon œillet ! Qu’il me pète ma rondelle Adrien, guide le vers l’autre pertuis !
A regret le fermier qui n’était pas loin de se vider dans la bouche de la nonne… accéda à la demande… Il passa sa main sous le ventre de l’âne, empoignant le chibre bouillant et couvert de crème qu’avait distillé la sœur, elle en avait partout, sa motte ébouriffée avait des paquets de poils collés, luisants, avec de longs fils poisseux qui gouttaient au sol. Le fermier profita d’un coup de rein de la sœur pour faire sortir le sexe de l’âne et le guider vers le petit trou de la nonne. Petit était un peu exagéré sans doute. Il était lâche et avachi, bourrelet souvent sollicité par cierges et légumes divers, elle n’était plus une novice au petit cul serré et presque impénétrable. C’était une nonne respectable qui avait dû occuper les longues soirées d’hiver avec autre chose que les sempiternelles prières.
Sentant l’orifice à la pointe de son chibre l’âne donna un énorme coup de rein encouragé par le pervers Adrien qui lui avait claqué la croupe.
L’âne avait englouti la presque totalité de son membre soit pas loin de deux pieds dans le fondement de la nonne… qui la bouche ouverte tentait de reprendre son souffle… Son con, lui, dégouttait de tout ce qui était accumulé… elle laissais échapper ce que son ventre contenait d’urine en petits jets que suscitait l’ébranlement de l’âne. Chaque fois que l’animal se retirait un peu l’anus de la nonne suivait… gaine de chair incongrue qui semblait ne pas vouloir lâcher l’engin qui le distendait. Chaque fois qu’il redonnait un coup en avant l’anus reprenait sa place.
Nos deux voyeuses avaient de plus en plus de mal à rester spectatrices, leurs doigts investissaient tous les orifices, sondaient les grottes humides et brûlantes. Leur bouches partageaient des baisers tout en lorgnant du coin de l’œil sur la nonne et l’âne. Elles avaient laissé choir leurs chemises et leurs seins tendus se frottaient. Mina avait un buisson d’un noir de jais qui luisait sous le soleil, mais aussi à cause de la rosée qui commençait à emperler chaque touffes de poils. Abi avait à peine une ombre dorée et laissait voir la crevasse divine toute nue ou presque. Mina allait et venait dans la fente d’Abi qui se pâmait et gémissait doucement tout comme Mina qui frottait sa motte contre la main de son amie. Elles ne rêvaient que d’avoir un gros vit à se partager afin de se sentir comblées dans tous leurs orifices. Elle étaient également hypnotisées par l’âne et la sœur… Sans doute les deux coquines rêvaient elles de prendre la place de la nonne.
Soudain ce fut de grands hurlements, sœur Jeanne, étaient secouée par les grands coups que donnaient l’âne. Il entrait presque son vit jusqu’à la garde dans le cul béant de la religieuse. Cette fois son trou avait abdiqué il était dilaté, ourlé d’une écume rose. L’âne entrait et sortait à loisir tandis qu’agrippée à l’échelle sœur Jeanne tentait de ne pas tomber… Son con tout aussi béant que son cul, dégouttait et elle piétinait dans une flaque visqueuse qui s’était formée à ses pieds.
– Il me tue ! Je suis déchirée ! Je meurs ! Que c’est bon ! Encore, défonce-moi le ventre ! hurlait la nonne comme possédée.
– Suce-moi donc au lieu de bramer drôlesse ! lui intima le père Adrien en plantant son vit dans la bouche de la sœur.
Et il n’y resta pas longtemps car en deux coups de rein il se vidait les bourses dans la bouche de la nonne. Il ressortit son braquemart et laissa la nonne la bouche encombrée d’une énorme rasade de foutre qui ruisselait sur son menton et ses mamelles.
A cet instant le brave Martin tape du sabot… bourriquant comme un perdu… il défonce la nonne, qui empalée sur le vit est entraînée au milieu de la grange… Là le baudet se soulage, giclant des litres de foutres dans le rectum de la servante du seigneur qui se pâme en sentant la semence ânée inonder son ventre.
– Ah il m’emplit de liqueur, je déborde il m’empale je vais mourir ! C’est bon ! Hurle la nonne.
Elle est sous l’âne qui gicle en elle, et la transporte dans la grange… elle jouit à son tour, la sœur. Elle jouit en marchant à quatre pattes sous l’âne. Le visage rubicond de la none qui se pâme… exprime soudain une douleur… incommensurable ! L’âne se retire brusquement…. Sœur Jeanne dégringole sur le sol les mains dans le foutre et l’urine. Elle lèche ensuite sa main avant de se relever chancelante… Elle approche de Martin qui, le vit pendant, s’ébroue… Elle lui pose un baiser sur le chanfrein.
– Ah l’âne est bien plus humain que l’homme ! Dit-elle sentencieusement.
Le père Adrien prend l’âne au licol et l’entraîne hors de la grange…
Sœur Jeanne avec une poignée de paille se frotte le con et le cul pour les sécher un peu avant de reprendre sa robe qu’elle enfile sans autre vêtements dessous.
Soudain dans un grand fracas, le plancher du grenier cède… On entends des cris, et nues comme à leur naissance, cuisses et bras enchevêtrés, tête bêche. Abigaelle et Mina se retrouvent dans le tas de paille… sous les yeux effarées de sœur Jeanne…
– On a rien vu ma sœur… on a rien fait ! S’écrie Abigaelle tandis que Mina jauge la nonne d’un regard effronté.
– Petits démons ! que faites-vous là ! Que faisiez-vous? Couvrez-vous petites catins ! Je vais vous apprendre…
La nonne prenant chacune des filles par une oreille, les entraîna sur le chemin en direction du couvent…
Le père Adrien observant la scène dit à l’âne…
– Tu vois mon vieil ami… on a eu du bon temps… mais les petites vont passez un sale moment !
à suivre
Ce chapitre introductif est faible ! La suite est nettement au-dessus !
Je n’ai pas du tout aimé ce chapitre, mais j’ai eu la curiosité de lire la suite qui est vraiment d’un autre niveau.
En l’an de disgrâce.. 1450 cela aurait été plus probable, avec la guerre de cent ans, les moeurs étaient détraqués..
C’est quand même très bourrin (c’est le cas de la dire) et l’érotisme ne fonctionne que pour la partie voyeurisme parce que pour le reste, comment voulez-vous bander avec de telles descriptions ?
Original, mais j’ose espérer un suite moins glauque.