À la gloire et la majesté d’un joli Cul par Verdon

À la gloire et la majesté d’un joli Cul par Verdon

À la gloire et la majesté d’un joli Cul…

 » Ah faites-moi feuille de rose
Prenez pitié en mon aveu
C’est une langue que veux
C’est mon cul que je vous propose « 

C’est de Guillaume Apollinaire.
C’était le sien qu’il proposait.
En l’occurrence cet exemplaire
Qui me paraît fort disposé
Je suis tout prêt à son aveu
À l’effeuiller autant qu’il veut.
D’autant que l’ayant eu goûté
Je sais qu’il est de qualité.

Si Madame n’est pas gênée
À dévoiler tant de beauté
C’est que son cul bien affiné
À bonne école fut apprêté
Par son Mari, homme charmant
Qui l’a confiée à des Amants.
Des bons, des vieux, des gros vicieux
Qui lui ont fait ce que de mieux
En cet endroit elle désirait.
Etant donné que dans sa raie
Son p’tit bijou la démangeait.

Faut dire qu’à l’œuvre, bien éduquée
Elle savait bien s’y appliquer,
Madame étant disciplinée
Nulle fessée ne fut donnée.
Hélas, j’eus pourtant aimé
Sur son charnu : quelques bontés.
Qui en l’endroit, bien méritées,
Auraient donné plus de beauté
Et à la main du donateur
Une bien douce volupté.
Où moi vicieux comme un poulet
J’aurais aimé me défouler.

Un soir son mec s’est arrangé
Pour la mener dans mon pucier.
Pas besoin de la supplier
Vu qu’elle aimait les gens âgés.
D’emblée sa jupe relevée
Et sa culotte confisquée
Ce ne fut pas très compliqué
D’aller tâter son p’tit privé.

Tandis que son brave compère
Bande déjà comme un taureau
Moi bien calé entre ses fesses
J’attaque mes premières caresses.
Je lui boulotte la rosette.
Avec ma langue en cuillère
Qui lui torpille le derrière.
Ça fleure joliment la chevrette,
Ce bon parfum de Femme fatale
Qui vous chavire le moindre mâle
Quand en l’endroit joliment bé,
Vous y foutez le bout du nez.

Je vois de suite qu’à bonne école
La Dame a bien appris son rôle
Et la Salope apprentie
Sous les conseils du bon Mari
Refait les gestes qu’il lui dit.
Ouvre ses cuisses, bouge son cul,
Offre son trou à ma merci
Pour que j’y fasse des abus.

Aussi j’y vais, je caracole
Et je sens bien qu’elle raffole
De cette langue qui l’encule
Car plus j’avance, plus elle recule
Afin de coller sa ventouse
Contre ma bouche qui la partouze.

Elle gémit, pousse des cris
Appelle au secours son Mari
Qui bande le vilain cochon
En se branlant le vireton.
Et tant se prend d’excitation
Qu’il dépose sa bandaison
Dans le palais de sa Chérie
Qui bientôt perd tous ses esprits
Tant entre langue et bonne bite
Elle se retrouve bien confite.

Mais vous serez de mon avis,
Ce joli cul si ébahi
Ne semble vraiment pas très sage.
Qui sous prétextes de bavardages
Sur le velours de ses rivages
Ouvre sa gourmande rondelle
Dans l’espoir qu’avec ma quenelle
Je lui procure un bon outrage.
Mais celle-ci pas trop bandante
Vu ma jeunesse vieillissante,
C’est son salaud qui s’interpose.
Et c’est alors l’apothéose
Quand il l’encule en me narguant
Poussant sa bite, profondément
Dans l’étroitesse de son fion,
Couilles battantes sur mon front.

Bien sûr, après rien ne s’oppose
Que je refasse feuille de rose
D’autant que foutrement garni
L’endroit n’en est que plus exquis.
Car la coquine libérée
Lâche le gain qu’elle a gagné
Ainsi qu’un bon pipi doré,
Dessus la pointe de mon nez.
Puis le ménage est mon affaire.
Je sais ce qu’il me reste à faire
Tandis qu’en sa bouche gloutonne
Elle m’achève, la Cochonne.
……………..

15.08.2020

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Une réponse à À la gloire et la majesté d’un joli Cul par Verdon

  1. Harivel dit :

    Un magnifique homage au trou du cul (et il le méritait bien !)

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