Souvenirs d’Afrique par Marie-France Vivier
Il y avait déjà un an que j’étais en Abidjan et que ma vie s’écoulait lentement, au rythme africain, dans la chaleur et l’humidité étouffante. J’avais eu des aventures à l’insu de mon compagnon, avec Norbert, notre boy et les quelques malandrins qu’il m’avait présentés. Ma vie sexuelle était parfaite, je dominais Norbert et arrivais à le tenir à distance quand c’était nécessaire. Je lui laissais croire qu’il décidait des « parties » que nous faisions, prenant égoïstement mon plaisir. Une semaine que mon compagnon était débordé de travail et que moi j’avais deux jours à récupérer, il me suggéra de me rendre à la plage ! Je n’étais pas très enthousiaste, il le vit et me proposa d’en profiter pour sortir sur la périphérie d’Abidjan et de visiter les petits marchés de brousse. Norbert qui était en train de nous servir, se cru obligé de dire :
-Tu as raison patron, il y en a un de bien vers Adjamé !
Mon compagnon sauta sur l’occasion pour répondre au boy, qu’il devrait m’emmener là-bas.
– Si tu veux patron, on peut y aller cette après-midi, si Madame elle veut !
Je fus obligé d’accepter cette invitation forcée pour aller sous le soleil me traîner sur un marché de brousse plein d’odeurs plus ou moins agréables. Mon compagnon reparti à son travail, je m’habillais léger comme à l’habitude, chemisier, jupette et samaras aux pieds et nous partîmes, Norbert monta à côté de moi dans ma petite voiture, décidé à me servir de guide. Nous rejoignîmes Adjamé en une demi-heure. Le boy me fit prendre un chemin de traverse me garantissant que le village où nous allions, avait un marché réputé et qu’il y avait beaucoup de monde. Il en profita pour poser sa main, sur ma cuisse et la faire glisser jusqu’à ma petite culotte, un doigt triturant entre mes cuisses et faisant mouiller ma chatte par ce contact appuyé. Il rigola et à ce moment nous arrivâmes sur une grande place de village en terre battue. Animée par des dizaines de marchands et colorés par des piles de fruits et légumes exotiques divers. Je garais l’auto et descendis avec Norbert. Nous allâmes vers les étales colorés, il est vrai que le déplacement valait le coup d’œil, le boy s’écarta de moi et me dit qu’il avait aperçu des gens qu’il allait saluer, que j’en profite pour visiter et acheter des fruits et des légumes pour le patron ! Je tournais une vingtaine de minute dans ce labyrinthe végétal, seule blanche, détaillée par des centaines d’yeux et commençais à en avoir marre lorsque j’aperçu de loin Norbert qui revenait vers moi. Je poussais un Ouf ! Il me dit :
– Madame je viens de voir le chef du village qui est un oncle à moi, il nous offre quelque chose à boire si tu veux te rafraîchir-tu peux venir !
J’avais en effet soif et au moins un verre d’eau serait le bienvenu. Nous rentrâmes dans une case un peu à l’écart du village où se tenait un Africain d’environ 50 ans entouré de trois personnes, ses « conseillers » entre 35 et 45 ans. Au milieu de la pièce une table chargée de verres et d’un broc rempli d’un breuvage rouge orangé, mais certainement frais car plein de buée. Dans un coin un canapé recouvert d’un tissu de pagne en coton. Plus loin une paillasse à l’Africaine, en lattes de bois recouvertes d’un matelas lui-même enfermé dans un pagne de coton. On me salua avec déférence, et on me tendit un verre de cette boisson que l’on me présenta comme un sirop local, très régénérant et désaltérant lorsqu’il fait chaud. Je mis mes lèvres dans le verre sous les regards attentifs des quatre hommes et de Norbert qui insistait :
– Vas y goûte patronne, tu auras le tonus !
Le breuvage était frais et légèrement acide, ce qui devait sûrement désaltérer Je le bus avec plaisir et, l’on se dépêcha de me resservir un second verre, que je commençais à boire lorsque je ressentis comme une onde de chaleur monter en moi et envahir mon corps par l’intérieur, mon sexe me démangeait agréablement, j’étais d’un seul coup légère comme dans du coton. Je vis comme dans un nuage deux des noirs s’approcher de moi, me retirer ce qui restait de mon verre, et me proposer de m’asseoir sur le canapé, je les suivis en souriant et m’écroulais sur les genoux d’un des « conseillers ». Celui-ci entreprit de glisser sa main sous ma jupe, j’essayais de me débattre comme me le conseillait mon cerveau mais en même temps mon sexe, mon intimité, attendaient cette caresse, je me laissais faire voyant de loin les autres noirs rigoler et Norbert quitter la case après avoir encaissé une liasse de billets, le salaud m’avait droguée et vendue au village. Je sentis bientôt huit mains prendre possession de mon corps, s’infiltrer dans mes chairs, pétrir mes seins, me peloter m’embrasser partout où un carré de peau apparaissait. Les doigts et les mains s’activaient sur les tissus, déboutonnant qui un chemisier, qui une jupe, qui triturant une agrafe de soutien-gorge ou encore un élastique de slip.
Le résultat ne se fit pas attendre. Je fus bientôt mise à nu, chemisier, soutien-gorge, slip et jupe formaient un tas aux pieds du divan. Je sentais l’odeur forte des Africains qui devaient transpirer devant cette blanche offerte à leur excitation. Je fus mise debout et me retrouvais devant le chef du village, un « conseiller » derrière me tenant les bras, il me mit à genoux devant la queue du chef qui était d’une dimension impressionnante plus grosse et longue que celle de Norbert, je n’eus d’autre solution que d’ouvrir la bouche et absorber le membre d’ébène, étonné qu’un vieux puisse avoir un tel engin ! Je sentais monter en moi l’excitation, le sirop remplissait bien son rôle. Mes mains caressaient les couilles du vieux et ma bouche lui prodiguait une caresse qui semblait lui convenir.
Le « conseiller » voyant mes capacités, vint sur le côté pour profiter de mon action buccale. Maintenant je sautais d’une bite à l’autre, elles étaient belles et je mouillais de plus en plus. Bientôt l’on me redressa, droite devant les deux hommes un devant un derrière, le « conseiller » me fit courber devant le chef et m’enfonça deux doigts dans mon cul pour l’agrandir et plaça son gland de bonne dimension sur le sphincter qui fut forcé et pénétré sans autre forme de procès. Nous poussâmes tous les deux un « Oui ! » de plaisir, enfin j’étais prise, à fond, il fit quelques va-et-vient pour se placer au mieux de mes profondeurs, je sentais avec délice ses couilles battre sur ma chatte turgescente dans l’attente de la possession. Je sentis deux mains empoigner ma poitrine et me redresser devant le chef, toujours excité et bien droit, il présenta son gland devant ma chatte gluante et n’eut aucun mal à me défoncer jusqu’à l’utérus, je relevais mes jambes et les serrais dans le dos du chef qui investissait ma bouche d’une langue longue et chaude, comme sa pine. Je nouais mes bras autour de son cou. Je fus ballottée, envahie, pilonnée, durant de longues minutes à ma plus grande satisfaction, criant des insanités.
– Oui, allez-y à fond, encore, tapez à fond !!
– Tu aimes nos queues noires, petite salope de blanche ?
– Oui, elles sont bonnes !!.
Les deux hommes éclatèrent en même temps leurs plaisirs dans mon ventre et mes intestins, je sentis leurs jus inonder mon corps en longs traits chauds. Je me mis à jouir, comme folle, le ventre secoué de longues crispations de bonheur, ils me déposèrent sur le canapé, pantelante, ruisselante de leurs jus et de ma mouille mélangés, les cuisses largement écartées, mon intimité, dégoulinante de leurs foutres, livrée à la concupiscence des deux autres qui s’étaient mis à poils en attendant leur tour. Je me sentais bien et heureuse entre les mains de ces autres hommes, les deux autres s’approchèrent et me prirent à bras le corps pour me déposer sur la paillasse. Un des « conseillers » se glissa sous moi et me demanda de le chevaucher, je m’exécutais docilement, faisant pénétrer dans mon con regorgeant de sperme la longue tige noire offerte. Il m’attira brutalement sur sa poitrine pour laisser son coéquipier profiter de mon cul également dilaté et lubrifié. Il tenait fermement mes fesses englobées dans ses mains calleuses, écartant au maximum les deux lobes, livrant mon sphincter à l’excitation et l’agressivité du gland du second noir. Cette fois ci la pénétration fut encore plus facile, j’étais investie à fond et bientôt ils se lancèrent à l’attaque de mes trous qui étaient irrités par ces assauts et les nombreux va-et-vient subis. Je me mis à crier :
– Ouiii ! Salauds allez-y, profitez-en, j’aime ça ! Encore à fond cognez, ouiii c’est bon ! Faites cracher vos queues dans mon ventre !
Ils intervertirent leurs positions et recommencèrent leurs coups de boutoir m’empalant à fond à chaque aller. Leurs mains malaxaient mes fesses et mes seins, j’étais complètement à leur merci, docile, consentante, et surtout ravie par toutes ses sensations qui remontaient de mon sexe jusqu’à ma gorge, me faisant crier de plus en plus. Excités autant par mes propos que par ce qu’ils avaient vu auparavant, ils ne purent se retenir plus longtemps et une fois de plus je fus délicieusement souillée par la liqueur des hommes fichés en moi. Ils se dégagèrent et me laissèrent en chien de fusil. Le fond de mon con et mon cul me faisaient mal tel un énorme bleu, ces quatre phallus d’une taille très au-dessus de la moyenne m’avaient bien visitée et baisée et laissée dilatée. Je voulus me relever pour m’éloigner de cette couche et de cette bacchanale, mais ma tête tournait et je retombais sur la paillasse. Le chef du village s’approcha et me dit de lui sucer sa bite, je m’exécutais devant le regard goguenard des « conseillers », pompant ce long et gros morceau de chair qui envahissait toute ma bouche et le fond de ma gorge. Mes mains s’activaient sur les couilles que je malaxais, le chef ne résista pas longtemps à ce traitement et je reçus, la tête coincée dans ses mains puissantes, les giclées de son plaisir. Je dus encore satisfaire les « conseillers » de mes caresses buccales, je reçus leurs spermes d’engins aussi imposants que celui du chef, sur la figure, les seins, le ventre, j’en étais inondée ! L’un des hommes avança sa bite vers moi , je me demandais ce qu’il voulait puisqu’il ne bandait plus, puis je compris qu’il allait me pisser dessus, j’ouvrais la bouche et me régalait de ce nectar, pendant que ses comparses s’approchaient pour pisser à leur tour Je n’en pouvais plus lorsqu’ils m’abandonnèrent 2 heures plus tard couverte de sperme et de pisse, les seins rougis, le con et le cul en feu, mais heureuse d’avoir fait la pute. Une vieille Mamma me rapporta mes habits, et une grande cuvette en alu, remplie d’eau fraîche, je me fis une petite toilette du visage et de la poitrine et ensuite intime, sous l’œil intéressé de la vieille qui n’avait sans doute jamais vu une chatte de blanche d’aussi près et qui vint y mettre ses doigts. Je me rhabillais en vitesse et courrais vers ma voiture où mon boy m’attendait assis, souriant :
– Alors Madame, tu as aimé, il paraît ? .
– Espèce de salaud je ne suis pas à vendre, ni ton esclave ! .
– Mais Madame, je sais que tu aimes te faire prendre par mes copains et eux aussi ils aiment se vider dans une blanche comme toi !
– Hum…
– Tu as jouis hein ? Dis patronne, avoue ?
– Oui, mais ce n’est pas ton problème ! Tu m’as droguée et donnée à je ne sais qui ! .
– Pardon Madame, demain je serais gentil avec toi.
Je l’espère bien, je peux ainsi le garder à peu près sous mon contrôle et faire avec lui ce que je veux. Nous rentrons sur Abidjan, moi au volant, Norbert caressant ma chatte sous le tissu !!! Plein de promesse pour demain .
Fin
Hum, de bonnes bites de blacks… j’adore !
Ah le fantasme des grosses bites noires !
Quand je pense que Wikipedia va raconter que dire que les black ont des grosses bites s’apparente à du racisme, ils sont un peu à côté de la plaque, je crois