7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 4 – Docteur Paradis : Le retour
Discussion
Marie est tellement excitée en arrivant chez elle, qu’elle va immédiatement dans la chambre, s’allonge sur le lit et se masturbe sans plus attendre. Il ne lui faut que quelques secondes pour jouir et elle pousse encore un grand cri rauque comme elle l’a déjà fait chez son amie. Épuisée, elle retire son chemisier et son soutien-gorge et sa jupe. Cela ne dure pas longtemps, elle se relève encore une fois, reprend son chemisier sans mettre de soutien-gorge et le boutonne. Elle commence alors à se toucher les seins à travers le chemiser. C’est agréable. Ses tétons se mettent rapidement à pointer et deviennent tout durs et sensibles. Elle s’allonge et continue de se caresser les seins. L’excitation monte à nouveau. Tandis qu’elle continue de se caresser la poitrine de la main gauche, sa main droite descend vers son sexe et commence à l’explorer. Cela va vite : deux doigts, trois doigts, puis quatre, elle mouille énormément et ne cesse de gémir. Quelques dizaines de secondes plus tard, elle jouit pour la troisième fois en moins d’une heure. Elle est épuisée, mais… qu’est-ce que c’est bon !
Après s’être reposée un bon quart d’heure, Marie se lève, retire son chemiser et quitte la chambre en direction de la salle de bains. Une douche bien fraîche lui permet de retrouver rapidement ses esprits. Elle ressort de la cabine de douche et prend sa serviette pour se sécher. L’envie de se caresser en même temps traverse son esprit, mais elle préfère néanmoins se retenir. Ses jouissances ont été assez intenses aujourd’hui, ce qui l’épuise un peu plus à chaque fois. Une fois bien sèche, elle quitte la salle de bains et retourne dans la chambre.
Quelle tenue va-t-elle bien pouvoir mettre ce soir ? Marie regarde l’heure sur le cadran de la radio. Déjà 17 heures, Philippe ne devrait plus tarder. L’armoire est grande ouverte, le choix n’est pas facile. Une jupe courte ou longue ? Ou alors une robe ? En tout cas, pas un pantalon. Quitte à ne pas porter de sous-vêtement, autant avoir le cul à l’air. Les idées se bousculent dans son esprit. Faut-il mettre des bas ou un collant ? Porter un collant sans culotte dessous, c’est assez excitant, mais on a moins les fesses à l’air. En plus, c’est beaucoup moins pratique en cas de rapport sexuel. Donc plutôt des bas. Avec un porte-jarretelles ? C’est plus excitant, mais sous un vêtement moulant c’est trop visible. Et d’ailleurs, quel vêtement choisir ? Pourquoi ne pas commencer par-là ?
Donc une jupe ou une robe, mais pas trop longue. Pas trop courte non plus, à moins de vouloir montrer sa chatte chaque fois qu’elle écartera un tant soit peu les jambes. Et si l’on commençait d’abord par essayer de choisir le haut ? Un chemisier ? Pourquoi pas… Il y en a un blanc, légèrement transparent qui serait du plus bel effet, en tout cas pour ce qui est de dévoiler discrètement ses seins en liberté. C’est vrai, après tout, quitte à ne pas porter de soutif, que faire ? Cacher ses seins derrière un haut opaque et épais ? Ou au contraire laisser deviner qu’on ne porte pas de soutien-gorge en laissant deviner leur forme derrière un tissu légèrement transparent, ou bien derrière un tissu opaque mais moulant ? Marie a le bout des seins qui pointent facilement, elle le sait, et les montrer à travers un tissu moulant ne serait pas pour lui déplaire. Elle pourrait aussi mettre un top à bretelles, elle en a plusieurs qu’elle n’hésite pas à mettre en été, quelquefois même sans soutien-gorge, pendant les vacances, loin de chez eux et du regard des voisins, la proéminence de ses tétons n’étant pas sans la gêner dans sa vie de tous les jours. Non, pas assez habillé, tant pis pour le top à bretelles.
Finalement, l’attention de Marie finit par se concentrer sur une robe moulante en satin noir. Descendant jusqu’au-dessus des genoux, elle a l’air assez sage, mais le décolleté en V qu’elle a dans le dos la rend nettement plus sexy lorsqu’on la regarde par-derrière. Elle l’enfile. Sans soutien-gorge, ses seins pointent effrontément à travers le tissu. Quand elle bouge, ils bougent aussi sous le tissu. On ne les voit pas mais on les devine facilement. Plus elle bouge, plus les tétons durcissent et pointent. À peine se passe-t-elle les doigts sur le bout des seins qu’elle se sent déjà mouiller. Bon, le choix est fait.
Marie redescend au rez-de-chaussée, va au salon et s’installe sur le canapé, les jambes serrées, une posture bien sage. Puis elle croise les jambes, les décroise, change de place. La constatation est terrible : quoi qu’elle fasse, où qu’elle se mette, qu’elle bouge ou pas, elle ne cesse d’être excitée. Pour l’instant, c’est agréable, mais à la longue cela pourrait finir par être pénible. Elle n’a pas le temps d’y penser plus longtemps, la porte d’entrée vient de s’ouvrir, Philippe vient d’arriver. Que va-t-il penser de cette tenue ? Faut-il tout lui dire ? De toute façon, il faut bien qu’elle lui annonce qu’ils sont invités ce soir. S’il ne veut pas être surpris, il faudrait le prévenir du thème de la soirée. Pour qu’il comprenne le sens de ce thème, il vaudrait mieux tout lui expliquer depuis le début. Ce serait plus simple.
Marie se lève alors et va à la rencontre de son mari.
– Bonjour, mon chéri.
– Bonjour, ma chérie.
– Alors, ce voyage ?
– Bien. Intéressant. C’est pour fêter mon retour ?
– Quoi donc ?
– Que tu t’es habillée comme cela ?
– Pas tout à fait. Mais on peut quand même le fêter.
Philippe prend sa femme dans ses bras et pose les mains sur son dos. Il a déjà remarqué qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui lui permet de lui parcourir le dos sans entrave. Il laisse alors descendre une de ses mains plus bas, pour lui caresser les fesses. Surprise ! Il ne ressent pas la couture de la culotte. Curieux, il descend plus bas, passe sous la robe et fait remonter sa main. Il parvient sans difficulté jusqu’au sexe abondamment mouillé de sa femme.
– Pas de culotte ? C’est une grande occasion ! Je sens que je ne vais pas pouvoir résister.
Philippe retire alors son pantalon et son caleçon, son sexe est déjà raide, en érection. Ne prenant pas le temps de retirer sa cravate, sa chemise et ses bas, il entraîne Marie vers la cuisine. Il lui remonte sa robe et l’assoit sur le bord du comptoir. Sans plus de préliminaires, bien qu’il adore cela, surtout quand il s’agit de donner du plaisir à sa femme en lui caressant les seins et la chatte, il s’introduit sans aucune difficulté dans le sexe détrempé de sa femme. Philippe se met aussitôt à la fourrer tandis que Marie ne cesse de crier très fort l’intensité de sa jouissance. Il ne tarde pas à jouir, remplissant de sperme la chatte de sa femme. Quand il se retire, la fente de Marie est toujours aussi dégoulinante d’un mélange de sa mouille et de sperme qui s’écoule lentement sur le comptoir. Épuisée par sa jouissance, elle ne parvient pas à bouger tandis que Philippe lui apporte quelques essuie-tout pour qu’elle se nettoie ainsi qu’il le fait lui-même.
Remis de leurs émotions, ils montent jusqu’à leur chambre. Tandis que Philippe range dans l’armoire les vêtements qui ne lui ont pas servi, Marie lui raconte sa nuit, puis sa journée. Cette énumération détaillée de tous les fantasmes de sa femme ne cessent de l’épater.
– C’est incroyable tout ce que tu as comme idées.
– Tu n’as pas été trop choqué ?
– Non, ça va. Pas trop. Encore que sucer Simon ou me faire enculer par lui, ça ne me tente pas vraiment.
– Vous êtes tous les mêmes, les gars. Quand il s’agit de regarder des femmes se manger la chatte, ça vous excite. Mais s’il s’agit que vous fassiez la même chose, il n’y a plus personne.
– Il ne faut pas exagérer. Il y a quand même des limites à ne pas dépasser. C’est une question de dignité humaine.
– Et pour nous, les femmes ? Il n’y a pas de limites ?
– Ce n’est pas pareil. Il y a de la sensualité. C’est ce qui rend un rapport sexuel entre femmes beau et esthétique. Tu sais, dans ce genre de rapport, tu as en même temps la femme passive et la femme active ! C’est ce qui rend ce fantasme si attrayant pour les hommes ! Entre hommes, ce n’est pas pareil.
– Évidemment. C’est toujours comme ça. Quand il s’agit de faire un effort, il n’y a plus personne.
– Mais je vais en faire des efforts. Repose-toi donc un peu, tu as l’air épuisée.
Marie s’allonge alors sur le lit tandis que son mari quitte la chambre. Qu’est-il parti faire ?
Peu de temps après, Philippe revient dans la chambre, suivi par le psy.
– Voilà, elle est ici. Je vous laisse.
Il repart aussi vite qu’il était arrivé, laissant sa femme avec le psy, ce qui ne manque pas de la surprendre.
– Docteur Paradis !!??? Que faites-vous là ?
– J’avais oublié votre ordonnance. Comme je passais dans le quartier, j’en ai profité pour m’arrêter chez vous.
– Une ordonnance ?
– Oui, des infusions de produits naturels que vous pourrez prendre pour calmer vos ardeurs.
– Bon.
Marie s’attend alors à ce qu’il quitte la chambre, mais il n’en est rien. Au contraire, il s’avance encore un peu plus vers elle.
– D’après vous, j’ai le sexe rasé ou pas ?
– Drôle de question. Qu’est-ce qui vous prend ?
– C’est la suite de votre traitement. Alors ? Rasé ou pas ?
– Je ne sais pas. Peut-être bien que vous êtes rasé.
Sans lui répondre, le psy retire sa chemise.
– Juste avec votre pantalon comme ça, vous avez le look d’un eunuque dans les contes des mille et une nuit. Tout ce qui vous manque, ce sont des souliers à pointe retroussée et une grosse plume pour servir d’éventail pour rafraîchir les femmes du harem.
– Ah, mais j’ai pas la petite voix qui vient avec le look !
L’instant de rigolade passé, il retire son pantalon sous les yeux étonnés de la jeune femme. Il ne semble pas très poilu sur le torse, en tout cas moins que bien des hommes avec les mêmes rondeurs. Après avoir également retiré ses bas, il ne lui reste plus que son caleçon. Il le fait alors glisser sensuellement avec le bout de ses doigts. Son pubis apparaît, on y voit des poils pubiens, foncés. Marie semble déçue. Il continue à faire descendre son sous-vêtement et son sexe se dévoile. Il est épilé. En fait, le psy n’a gardé qu’un carré de poils coupés court sur le pubis, tout le reste a été rasé. Son torse a un peu de poils, mais ses bras, ses jambes, tout son corps est imberbe, à l’exception d’un carré intime. S’épile-il tout le corps ? Marie ne va pas tarder à avoir la réponse à cette question incongrue qui lui a traversé l’esprit.
– Je pratique le naturisme, c’est pour cela que je m’épile tout le corps. C’est plus facile pour bronzer égale et mettre de la crème.
– Mais vous avez gardé des poils pubiens et une ligne sur le torse ?
– Oui, ça me plait bien comme ça !
– Mais vous avez quand même épilé le reste de votre sexe.
– C’est une question de préférence personnelle.
Alors qu’elle est en train de discuter, Marie ne s’est pas rendu compte qu’il s’est rapproché lentement d’elle pendant la conversation. Sa robe est suffisamment relevée pour que le psy puisse voir son sexe. Il approche ses mains des cuisses de la jeune femme et commence à les masser. Marie est surprise mais ne dit rien. Son regard est captivé par cette queue qui commence à grossir. Ce matin, elle n’avait rien remarqué de son pénis, mais c’est vrai qu’il était en grande partie caché par son pantalon. C’est quand il commence à faire remonter ses mains en direction de l’entrejambe de Marie qu’elle manifeste enfin son désaccord.
– Mais enfin ! Qu’est-ce qui vous prenez ?
– Je vous relaxe. Ça vous fait du bien ?
– C’est possible. Mais je ne veux pas que vous me touchiez.
– Pourquoi ?
– Ce n’est pas bien. Vous n’avez pas le droit. Si vous continuez, j’appelle mon mari.
Il ne tient pas compte de ce qu’elle dit et continue son massage. Ses doigts arrivent au contact de la fente de Marie tandis que son sexe commence à être réellement en érection, une très belle érection. Marie ressent le contact de ces doigts étrangers qui cherchent à s’insinuer en elle à la recherche de son clitoris. C’est trop, elle ne peut pas laisser faire ça. Elle se met alors à crier.
– Philippe ! Chéri ! À moi ! Au viol !
Philippe arrive instantanément. Marie a l’impression qu’il était caché derrière la porte, peut-être en train d’observer ce qu’elle était en train de subir. Pourquoi n’est-il pas intervenu spontanément ? Prenait-il du plaisir à les observer ?
– Qu’est-ce qui se passe ?
– Ben, tu ne vois pas ce qui se passe ?
– Ton psy s’occupe de ton traitement.
– C’est comme ça que tu vois les choses ?
– Ben oui.
Le psy prend la parole.
– C’est vrai. C’est pour son bien. Il faut qu’elle laisse libre cours à ses désirs les plus profonds.
Marie est stupéfaite d’une telle réponse.
– Et là, quand vous me masturbez, c’est un désir de ma part ?
– Oui. Tout à fait.
– Et c’est quoi mon prochain désir ?
– Que votre mari me suce.
– Tu entends ça, chéri ? Maintenant, il voudrait que tu le suces !
Philippe corrige ce qu’elle vient de dire.
– Ce n’est pas lui qui le voudrait, mais toi.
– Pas du tout. Je n’ai rien dit.
– Monsieur connaît tes désirs. S’il le dit, c’est que c’est vrai.
Et, dans la foulée, Philippe s’approche du psy. Il s’agenouille devant lui, ouvre la bouche et y laisse pénétrer le sexe en érection du praticien.
Stupéfaite, Marie assiste alors à la fellation que son mari prodigue au psy. Et c’est que Philippe s’y prend bien, elle le voit faire, il pompe comme s’il l’avait toujours fait. Voir son mari comme ça lui donne les mêmes envies de se masturber que ce matin au téléphone avec Marie. Le psy apprécie visiblement les talents de Philippe, il ne cesse de gémir. Sur la fin, il en oublie même Marie, à la place il préfère utiliser ses mains pour tenir la tête de Philippe, qui se laisse faire, et lui imprimer un mouvement de va-et-vient. Cela ne dure guère car, dans un dernier soubresaut accompagné d’un cri rauque et puissant, le psy éjacule dans la bouche du mari de Marie.
D’où elle est placée, elle ne remarque que le filet de sperme qui commence à couler le long de la bouche de son mari. Le jet a dû être considérable et il n’a pas pu tout avaler, à moins qu’il n’ait essayé de recracher. Le psy se retire alors de la bouche de Philippe et va vers Marie, le sexe encore érigé et couvert de restes de sperme. Marie recule.
– Qu’est-ce que vous voulez ?
– Que vous me léchiez la queue.
– Quoi ? Pas question.
Philippe essaye de la raisonner mais, la bouche pleine de sperme, sa diction n’est pas très claire. Il essaye d’en avaler le maximum pour parvenir à mieux parler.
– Enfin, ma chérie. Fais donc ce qu’on te dit. C’est pour ton bien.
Dégoûtée, Marie s’exécute quand même et lèche tout le jus souillant la verge du médecin. Elle ne peut pas s’empêcher de manifester son désaccord tandis qu’elle lui suce le gland.
– Je ne vois pas pourquoi ceci serait un de mes fantasmes. Après tout, cela pourrait aussi être le contraire.
– C’est exact. Monsieur… déshabillez-vous.
Philippe s’exécute et retire ses vêtements. Son sexe est intégralement rasé, ce qui surprend un peu plus Marie.
Une fois que Philippe a fini de se mettre nu et que Marie a terminé de nettoyer le sexe du psy, ce dernier s’approche du mari, le fait s’allonger sur le lit et se met à le sucer à son tour. Le gros bonhomme semble être un spécialiste de la fellation, il arrache immédiatement des cris de plaisir à Philippe. Marie qui est allongée à côté d’eux peut profiter à loisir du spectacle. Il a l’air de se débrouiller aussi bien que les cochonnes que l’on voit dans les films pornos et cela finit par l’exciter.
Machinalement, sans réellement s’en rendre compte, Marie laisse une de ses mains s’avancer vers son sexe et elle commence à se masturber tout en regardant ces deux hommes s’amuser ensemble. Elle ressent une gêne, mais aussi beaucoup de plaisir. Peut-être même que c’est la gêne qui entraîne le plaisir. C’est contradictoire, mais qu’est-ce que c’est bon… Philippe ne tarde pas à crier, de plus en plus fort, il ne crie jamais comme ça quand c’est sa femme qui le suce. Peut-être qu’elle ne sait pas s’y prendre ? Les cris de Philippe cessent soudain tandis que la bouche du psy se remplit de sperme. Son mari vient de jouir dans la bouche d’un autre homme, peu de temps après avoir lui-même fait jouir ce même homme dans sa bouche. Marie repense à tout ça, en observant le sperme de son mari couler sur la joue du praticien. Elle jouit à son tour, laissant échapper un cri de plaisir.
Le psy ne manque pas de remarquer ce cri et ce qui en est la cause. Il se relève et s’adresse à Marie, la bouche pleine de sperme, comme l’avait fait son mari auparavant.
– Vous voyez que ce sont bien vos désirs. Vous en avez même joui.
– C’est vrai. C’est indéniable.
– Et maintenant, vous allez sucer votre mari. Je pense que vous avez l’habitude.
– Oui, bien sûr.
Elle se penche vers Philippe et lui nettoie la bite de la même façon qu’elle l’a fait au psy peu de temps auparavant.
Une fois le sexe de son mari bien propre, elle termine d’avaler le sperme qui lui reste dans la bouche et s’allonge sur le lit, pensive.
Soudain, on lui tape sur l’épaule. Marie sursaute. Qu’est-ce qui se passe ? C’est Philippe, toujours à côté d’elle, qui vient de la réveiller. Le psy n’est plus là. C’était bien un rêve. Un 7ème…
– J’ai rêvé ?
– Oui, je crois bien.
– Comment tu le sais ?
– Tu as parlé en dormant. J’ai suivi presque tout ton rêve.
– Non ? !
– Si !
– Alors tu sais ce que tu as fait avec le psy dans mon rêve ?
Il lui répond tout en se levant pour faire le tour du lit.
– Oui. Je l’ai sucé et ensuite il m’a sucé. Ça t’a excité, tu t’es masturbée et tu as joui aussi.
Philippe a fait le tour du lit, Marie peut enfin le voir de face. Il a le sexe rasé ! Elle rêve encore !
– Non, pas ça ! Je veux me réveiller pour de vrai !
– Qu’est-ce qui t’arrive ?
– Je rêve encore ! Tu as le sexe rasé. Dans mes rêves tu as toujours le sexe rasé, mais dans la réalité, ce n’est pas le cas.
– Rassure-toi, tu ne rêves pas. Je viens de me le raser pendant que tu t’endormais.
– C’est vrai ?
Marie s’avance, sent le sexe de son mari, elle reconnaît l’odeur de la mousse à raser. C’est exact, il vient de se raser le sexe. Tout est trop réaliste pour être un rêve. Elle lui caresse le sexe, curieuse et ravie.
– Quelle bonne idée. C’est agréable comme tout.
Elle se penche en avant et commence à le sucer.
– Ça donne envie.
Philippe se laisse faire. Il retire la robe de Marie en un seul coup et elle se retrouve nue en moins de temps que pour dire » ouf « . Le plaisir de Philippe monte rapidement, accompagné de gémissements rauques. Quelques minutes plus tard, il laisse éclater son plaisir en éjaculant sur les seins de sa femme. Ravi, Philippe se penche vers elle et l’embrasse alors qu’elle a les seins dégoulinant de sperme. Il se penche et lèche les seins de sa femme! Elle en est surprise.
– Mais enfin ! Qu’est-ce qui te prend ?
– Ben quoi ? Je goûte. Il vaut mieux que je me prépare.
– À quoi ?
– Au goût du sperme. Si je veux t’aider à suivre ta thérapie.
– Tu crois ?
– Oui. Je t’aime et je pense que c’est important. Je ne veux pas que nous nous séparions parce que tu aurais refoulé tes fantasmes.
– C’est gentil à toi.
– Et nous allons aller chez Nicole et Simon. Ça te fera le plus grand bien.
– Tu es sûr de ça ? Tu ne vas pas le regretter ?
– On verra bien. Le plus important, c’est que tu ailles mieux.
– Bon. Alors on va se préparer pour y aller.
Marie se rhabille de sa robe moulante. Elle ne porte toujours rien dessous. Philippe, toujours nu, se dirige vers la commode, en sort un boxer-short et des chaussettes et commence à s’habiller. Sa femme l’interrompt.
– Tu mets un boxer ?
– Oui. Pourquoi ?
– Tu pourrais ne pas en mettre.
– Pourquoi pas ? Si ça te fait plaisir.
Il range alors le boxer, ouvre l’armoire et choisit un pantalon ample et léger.
– Avec ça, j’aurai vraiment le pénis en pleine liberté.
– En effet. On peut presque le deviner tellement le tissu est léger.
– Je sens l’air me caresser les couilles. Le tissu aussi me caresse, c’est très agréable.
– Surtout avec le sexe rasé. Je connais.
– Oui, je pense que ça y est pour quelque chose. Je vais finir par bander, si ça continue.
– Attends d’être arrivé chez Simon et Nicole.
– Ça devrait aller. Tu viens de me vider, alors je peux attendre un peu.
Philippe termine de s’habiller, choisissant un polo de couleur pâle. On devine le contour de son corps quand il se place devant la lumière de la fenêtre. Marie le remarque et trouve cela aussi érotique qu’une femme habillée d’une robe moulante. Encore un fantasme ?
Il est donc 19 heures 30, Marie et Philippe sont plutôt nerveux, ils arrivent devant la maison de leurs amis pour y passer une soirée qui risque d’être assez chaude. Leur appréhension est grande, ils ne sont pas du tout adeptes de ce type de soirée. Ce qui les rassure un peu, c’est que leurs amis ne le sont pas non plus. Ce sera une découverte pour tout le monde. Ils sont certainement tout aussi nerveux qu’eux. Marie sonne. Les dés sont jetés.
C’est Nicole qui vient leur ouvrir. Sa tenue n’a rien à envier à celle de Marie. Elle porte un petit haut en dentelle noire et une minijupe, noire également. Les deux femmes s’observent. Chacune semble rassurée de constater que son amie a opté pour des vêtements tout aussi osés que les siens. Philippe observe également Nicole. Il ne peut s’empêcher d’observer la poitrine de la jeune femme, visible par transparence. Cela l’excite déjà pas mal mais, quand il se rappelle qu’elle ne porte certainement pas de culotte sous sa minijupe, cela achève de lui faire de l’effet. En l’absence de sous-vêtement, son sexe se redresse promptement dans son pantalon, il se forme alors une bosse très visible au niveau de sa braguette.
Les deux femmes se font la bise, puis c’est au tour de Philippe d’embrasser la copine de sa femme. Nicole remarque immédiatement l’érection de Philippe, elle est tellement visible qu’on ne voit que cela. Tout en l’embrassant, elle le complimente mais sans oser y toucher.
– Ben dis donc ! C’est moi qui te fais cet effet-là ?
– J’en ai bien l’impression.
Marie remarque à son tour la bosse dans le pantalon de son mari.
– Ça promet !
Tous les trois vont dans le salon. Simon ne tarde pas à arriver, une bouteille de vin en main. Un vin blanc de très bonne qualité, Bourgogne Montrachet 1987.
– J’avais cela dans ma cave depuis un certain temps, c’est ce soir qu’on se débarrasse de cette vieille affaire!
Philippe, qui apprécie le vin, connaît bien la valeur et la rareté de ce vin et ne dit pas un mot pour ne pas éveiller Simon et le faire changer d’idée.
– Ouin, ça risque d’être excellent ce vin, tu l’as acheté où ?
– Je l’ai eu quand j’ai acheté la cave de mon ex-associé
– Ah ok, je comprends
Côté vestimentaire, Simon a opté pour une tenue assez proche de celle de Philippe. Marie s’en rend compte.
– T’es habillé presque comme Philippe. C’est pareil en dessous ?
– C’est-à-dire ?
– Regarde.
Et d’un seul mouvement, elle montre la bosse dans le pantalon de son mari, la saisit à pleine main et entame un mouvement de masturbation qu’elle interrompt après quelques allers et retours. Il n’en faut pas plus pour qu’une bosse se forme également dans le pantalon de Simon, trahissant par là même le fait que lui non plus ne porte pas de sous-vêtement, ce que remarque Philippe.
– Toi non plus, tu n’as pas mis de caleçon ?
– Euh !!! Pas tout à fait, j’ai mis un J-string pour homme reçu en cadeau à Noël.
– Ah oui, mais c’est pas évident non plus il paraît ?
– C’est vrai. Alors, on ouvre cette bouteille !!??
Simon reste encore un instant à la cuisine, le temps de déboucher la bouteille qu’il vient d’apporter, et vient la poser sur le bar. Il rejoint alors ses amis qui ont pris place autour de la table du salon. Les deux femmes sont assises sur le sofa tandis que Philippe s’est vautré dans un fauteuil. Même si les deux femmes ont gardé bien sagement leurs jambes serrées, leurs tenues très courtes ne parviennent pas à masquer totalement leur intimité, dès lors que l’on est juste face à elles. Et c’est justement ce que fait Simon, il s’assied face à Marie et se penche ostensiblement. Il arrive ainsi à entrevoir en partie le pubis épilé de la copine de sa femme, ce qu’il n’hésite pas à dire à ses amis.
– Ouin !! Depuis que je te connais, tes seins ont toujours été à leur avantage mais pour le reste, je n’aurai pas dû attendre longtemps pour m’en rendre compte.
Marie ne comprend pas immédiatement.
– Quoi donc ?
– Que tu as fait comme Nicole.
– Tu as tout vu ?
– Pas tout. Juste un petit peu, mais c’est déjà un début.
Il se tourne alors vers Philippe, qui est placé entre lui les femmes, sur le côté de la table.
– Mais tu es mal placé où tu es. Viens donc ici, à côté de moi.
Philippe se lève et déplace son fauteuil.
– Je me mets où ?
– Ici, face à Nicole.
Après s’être déplacé, Philippe peut à son tour bénéficier d’une vue sur l’entrejambe de l’amie de sa femme. Il peut alors remarquer qu’elle semble elle aussi épilée, ce qui confirme ce que lui a dit sa femme.
Au cours de l’apéritif, le vin aidant, tout le monde commence à se détendre. Les deux femmes se contrôlent moins et il est de plus en plus facile pour Philippe et Simon de fixer les seins ou l’entrejambe de la femme de l’autre et cela commence à les exciter. Philippe commence même à discrètement se caresser le sexe à travers son pantalon, ce qui est facilité par sa tenue. Nicole s’en rend compte et décide de réagir.
– Et si nous passions à table ?
Philippe est déçu. Ça commençait à devenir intéressant. À moins qu’elle ne veuille plus de cette soirée débridée… Nicole se lève. Ce qu’elle lui glisse à l’oreille en passant le rassure.
– Pas si vite… La soirée ne fait que commencer.
Les quatre convives se dirigent donc vers la table ronde de la salle à manger.
Simon dit à Philippe de venir avec lui dans la cave à vin pour choisir les vins pour accompagner le repas.
Philippe se plait à admirer les nombreuses bouteilles couchées! Il s’arrête sur des bouteilles de Pétrus. Simon le voit regarder les bouteilles et dit
– Ça c’est mon vin préféré! Ça coûte cher, mais c’est super bon !
– Oui, je sais
Philippe pointe plusieurs bouteilles et s’aperçoit de la qualité des vins dans la cave de Simon. Il aperçoit un Bordeaux St-Julien Léoville-Barton 1997 et un Château Margaux 1990 !
– Ça serait pas mal ces deux vins-là !
– Ouin, c’est aussi bien de les sortir, trop vieux ça sera plus bien bon! Et ça devrait aller avec la bouffe.
– Ça vient de la cave de ton ex-associé ?
– En plein ça, ce n’est pas le genre de vin que j’achète habituellement
– Tu achètes quoi d’habitude?
– Je laisse le marchand de vin de la SAQ faire les choix pour moi et Nicole fait le reste.
– Ta femme a bien des talents dans ce cas
– Ça, je peux le certifier !!!
Le repas, qui fut préparé par Nicole et Simon, se déroule normalement et l’alcool ne tarde pas à monter à la tête de chacun. La discussion devient de plus en plus frivole et quelque peu grivoise. Le principal sujet est bien évidemment le sexe. Marie et Nicole sont de vieilles copines d’enfance. À l’occasion de cette journée, d’anciens souvenirs leur remontent à l’esprit. C’est Nicole qui en parle la première.
– Tout à l’heure, pendant que vous étiez à la cave, j’ai remémoré un souvenir de ma jeunesse à Marie. Quand nous avions fait du camping entre copines.
Les deux gars se concentrent alors sur les propos de Nicole
– Ça fait une quinzaine d’année, si je ne me trompe pas?
– Oui, c’est ça. Quinze ans. Nous avions été en vacances chez ma grand-mère, près de la mer.
– On avait mis la tente dans la cour de ta grand-mère.
– Et nous avions dormi ensemble.
– C’est vrai.
– Et on s’était masturbées avant de s’endormir.
– J’avais oublié cela
– C’est si loin. J’avais oublié avant que Nicole m’en parle tout à l’heure.
– C’est notre branlette de cet après-midi qui me l’a rappelé. Je me suis souvenue que nous nous étions déjà masturbées mutuellement.
– C’est vrai. On avait essayé pour voir l’effet que ça fait.
– Oui. C’était agréable.
A suivre
On se doutait bien qu’avec un titre pareil, de bon docteur Paradis ne venait pas pour enfiler des perles . Délicieux !
Une histoire très troublâtes mais désespérément longue
C’est bien pour cela que l’on l’avons restructuré en 6 chapitres indépendants !