Corinne et l’auto-stoppeur par Elros

Corinne et l’auto-stoppeur par Elros

La semaine est finie. Yohann a terminé cette mission compliquée en province. Prêt à partir, il apprend par la radio que le trafic ferroviaire est complètement arrêté suite à une grève surprise des conducteurs.

– Eh bien, il ne me reste plus qu’à faire du stop…

Yohann se dirige vers la route nationale, avec son sac à dos plein. Il fait chaud, sous ce soleil de début mai. Il a environ 500 mètres à faire à pied avant d’atteindre l’endroit stratégique. Une fois arrivé, il pose son sac et commence à attendre. Il y a peu de voitures.

Au bout d’un quart d’heure, une Golf rouge met son clignotant et s’arrête à sa hauteur. La vitre s’abaisse. La conductrice, une jeune femme blonde d’une vingtaine d’années lui demande où il va. Elle lui dit se rendre à Annecy et lui propose donc de l’emmener. Yohann est d’accord.

Il ouvre la portière arrière et se retrouve nez à nez avec un chien imposant, un border collie.

– N’ayez pas peur. Posez votre sac et venez devant avec moi. Mon chien n’est pas méchant ! Dit-elle

Yohann pose son sac et vient s’asseoir à côté de la conductrice. Celle-ci démarre et commence à rouler.

– Cela ne vous dérange pas si nous prenons des petites routes ? J’ai horreur des nationales et autoroute.
– Non, non. Faites comme vous le souhaitez.
– Merci. Cela va nous prendre un peu plus de temps, mais c’est tellement plus sympa.

Ils roulent donc sur les petites départementale, tout en discutant. Il apprend qu’elle se nomme Corinne, qu’elle est célibataire et qu’elle fait le voyage tous les vendredis. Elle travaille à Gap et dispose d’une maison sur les hauteurs d’Annecy.

– Il fait vraiment chaud. Si on s’arrêtait au prochain village pour boire quelque chose ? Propose Corinne
– D’accord, mais c’est moi qui t’invite !
– OK.

Ils s’arrêtent donc au village suivant. Ils s’installent à la terrasse d’un café, situé en retrait de la rue, sous des platanes. Yohann commande une bière tandis que Corinne demande un diabolo menthe et de l’eau pour Jippy, son chien. Elle se lève et dit :

– J’ai un peu chaud comme cela. Je vais me changer. Tu m’attends ici avec Jippy ?
– Euh, il va être sage ? Bon, d’accord.

Elle revient, 5 minutes plus tard, vêtue d’une petite jupette et d’un débardeur.

– Ouf, comme cela, ça ira mieux !

Elle est face à Yohann. Alors qu’elle se penche sur le côté pour regarder son chien, Yohann peut alors distinguer sa poitrine par l’échancrure du débardeur. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Alors qu’elle se relève, leurs regards se croisent et elle comprend ce qu’il a vu.

– Ç’a t’a plu ? Tu pourrais quand même vérifier l’écuelle de Jippy de temps en temps !

Yohann se penche pour regarder l’écuelle sous la table, Il voit alors Corinne, les jambes bien écartées. Elle ne porte pas de culotte non plus. Il découvre son sexe, rasé de prés. Il se redresse brusquement, et se cogne la tête sur le bord de la table. Corinne éclate de rire.

– Alors, on redemande de l’eau ou pas pour Jippy ?
– Je ne sais pas. Je n’ai pas eu le temps de voir.!

Corinne rit et se trémousse sur sa chaise. Ils boivent leur consommation, payent et repartent, sans avoir échangé un mot de plus. Ils roulent à nouveau, quand Corinne met son clignotant et tourne dans un petit chemin de terre, à droite.

Elle roule pendant 1 à 2 kilomètres et tourne encore une fois à droite dans un petit chemin herbeux. Elle roule pendant environ 500 mètres. Ils arrivent dans une sorte de clairière, avec une grange dans le fond. Elle s’arrête et coupe le moteur.

Yohann un peu inquiet demande :

– Qu’est-ce que tu fais ? On est où là ?
– Ne t’inquiètes pas. Ici, on est tranquille et personne ne viendra nous déranger.

Elle ouvre la portière arrière et Jippy sort de la voiture. Il commence à courir tout autour. Pendant ce temps, Corinne retire son débardeur. Ses seins, ronds et fermes apparaissent complètement. Ils possèdent une auréole fine et des tétons fièrement dressés.

– Corinne, tu… , enfin je… mais quand même, tu vas pas… si on fait…

Elle sort alors de la voiture et retire sa jupe. Elle est là, dehors, totalement nue. Yohann sort aussi et se dirige vers elle.

– Si c’est ce que tu veux, alors d’accord. Suce-moi !

Elle se met à genoux devant lui et commence à lui défaire sa ceinture. Puis elle attaque la braguette. Elle lui descend le pantalon sur les chevilles. Elle retire alors son slip. La verge de Yohann apparaît devant elle, tendue, les reflets du soleil brillant dessus. Elle le caresse, prenant ses couilles dans une main. Elle approche ses lèvres, et commence à le sucer. Elle mordille son gland, s’amuse avec sa langue. Puis elle se relève et se couche, dos au capot de la voiture.

– Lèches moi. Prépare-moi bien, que je mouille.

Yohann s’approche de cette chatte offerte et commence à promener sa langue sur les lèvres. Puis, il l’immisce entre les lèvres, à la recherche du clitoris. Il enfonce ses doigts dans la chatte et commence à la branler. Elle mouille de plus en plus. Elle se redresse et lui dit :

– Arrête maintenant. Je vais te sucer à nouveau. Appuis-toi à la voiture.

Et elle se met à quatre pattes devant lui, prends sa bite dans une main et siffle.

– Jippy, approche !

Yohann constate alors que le chien était là, assis en train de les regarder. Sa bite sortait du manchon, rouge. Il approche de Corinne et commence à lui lécher la chatte. A ce moment, elle avale complètement le sexe de Yohann. Le chien monte alors sur son dos et commence à donner des coups de reins. Il veut la baiser. Elle crie :

– Oui mon chien. Prends-moi bien pendant que je le suce. Enfonce-toi en moi. Fais-moi jouir !

Elle prend la bite de Yohann dans la bouche et passe sa main libre sous elle. Elle prend alors le manchon de son chien, le pousses à fond, vers les couilles, dégageant complètement le sexe rouge et gonflé. Cette pine, pointue est aussi grosse que celle d’un homme. Elle la prend dans la main et la dirige vers l’entrée de sa chatte. Le chien donne toujours de petits coups de reins. Petit à petit, son sexe la pénètre. Le chien se rétablit sur son dos, enfonçant sa queue un peu plus profondément. Il s’active de plus en plus, tandis que Corinne pompe de plus en plus la bite de Yohann. Le chien halète lentement au début, de plus en plus vite. Il bave sur le dos de Corinne.

Sa pine ressort de la chatte de Corinne. Il s’active essayant de la pénétrer à nouveau. Les seuls effets sont de frotter sa verge sur les fesses de Corinne, l’enculant presque. Corinne essaie alors de la reprendre par la main pour la remettre dans sa fente. Le frottement sur son cul associé au toucher de la main le font jouir. Il halète énormément et crache son foutre. Celui-ci, plus liquide que le sperme humain, gicle en longs jets qui vont s’écraser dans le dos, jusqu’au cou et dans les cheveux blonds. Il couine un peu. Plusieurs jets conséquents de sperme se répandent ainsi dans le dos.

Devant ce spectacle, Yohann n’en peut plus. Il se raidit, entrant sa pine au fond de la gorge de Corinne qui se rétracte. Le premier jet de sperme s’écrase au bord de sa bouche et sur ses joues. Elle ouvre la bouche en grand et le jet suivant va s’écraser à l’intérieur. Elle referme la bouche pour l’avaler et relève alors la bite de Yohann. Les jets suivants s’écrasent alors sur ses yeux et ses cheveux. Puis, elle se caresse le visage avec le gland, étalant le sperme, pendant que Jippy se retire et va s’allonger à côté de sa maîtresse.

Corinne se relève alors et va le caresser. Il s’allonge alors sur le dos et écarte les pattes. Elle lui caresse les bourses et le sexe, penchée en avant.

Yohann voit alors sa chatte d’où s’écoule un peu de sperme. Puis elle se met debout, s’approche de lui, lui prend la main et l’entraîne vers la grange. Elle lui dit :

– Reposes toi un peu à l’ombre. Je reviens tout de suite.

Il s’allonge sous un arbre et ferme les yeux. Jippy vient le rejoindre. Il s’approche de lui et commence à lui sentir le sexe. Il lui lèche les couilles et la bite. Yohann se redresse alors et le repousse gentiment, c’est quand même un chien. Mais Jippy recommence. Corinne revient alors, tirant un âne derrière elle. Elle s’approche de Yohann et lui dit :

– Je vois que Jippy t’aime bien. Ma chatte lui est réservée. Que dirais tu de jouir dans mon cul maintenant ? Moi, je sucerais Milon ! Dit-elle en désignant l’âne.
– Là, maintenant ?
– Oui, pas dans deux heures. Alors ?
– Euh, bon d’accord. Mais il faut que tu m’aides ?
– Jippy va s’en charger. Hein Jippy ? Suce-le !

Le chien se précipite alors sur le sexe de Yohann et se met à le lécher frénétiquement. Sa langue lui lèche aussi le cul. Cela semble plaire à Yohann car sa bite se redresse petit à petit. Pendant ce temps, Corinne est passée sous le ventre de l’âne et lui a saisi le sexe. Elle commence à le branler lentement à travers le manchon et l’on voit le sexe s’allonger et grossir progressivement. Elle le dégage progressivement. Sa bite est noire, assez grosse. Elle en suce le gland puis toute la partie découverte. Elle le branle lentement. Elle se tourne par moment pour contrôler l’érection de Yohann. Au bout d’un moment elle dit :

– Branles toi un peu, maintenant Jippy va me préparer. Jippy ! Viens là ! Lèche-moi le cul !

Et en disant cela, elle se met à quatre pattes, écartes les jambes et tend son cul vers l’arrière. Jippy se tourne et se précipite vers sa maîtresse. Il pose sa truffe entre ses fesses et commence à la lécher. Pendant ce temps, Corinne essaie d’avaler la bite de Milon. Elle ne parvient qu’à enfourner légèrement le gland. Elle passe constamment sa langue sur cette pine énorme et noire. Elle titille le gland et essaie d’écarter le méat urinaire avec sa langue. On voit la poitrine de l’âne se soulever de plus en plus rapidement. Avec sa jambe, elle écarte Jippy et dit :

– Yohann, viens maintenant. Prends-moi dans le cul.

Yohann s’approche alors, la bite à la main. Il se place derrière Corinne et lui pose la bite sur l’anus, complètement mouillé et légèrement dilaté. Jippy approche son museau et redonne quelques coups de langue. D’une poussée, Yohann entre son gland dans ce cul, rond et chaud. Il s’enfonce progressivement.

Jippy, est maintenant passé sous Corinne et lui lèche la chatte. Yohann sent ses coups de langue sur ses testicules. Corinne branle toujours l’âne qui se met à braire et qui décharge. Son sperme abondant et liquide va se répandre sur le visage et les cheveux de Corinne. Elle tente d’en avaler un peu. Elle semble jouir car elle se trémousse et pousse de nombreux cris. Yohann, entre les mouvements de son cul et la langue de Jippy, n’en peux plus et éjacules dans son cul. Il s’enfonce le plus profondément possible et décharge, en longs jets brûlants. Il râle et sa jouissance est immense. On entend couiner le chien qui décharge dans la main de Corinne qui était en train de le branler.

Tout le monde se relève alors et Corinne, dégoulinante de sperme, prend Milon par le licol et va le ranger dans la grange. Lorsqu’elle revient, elle semble un peu plus propre.

Il y a là-bas un peu d’eau. J’ai pu me débarbouiller. Mais maintenant, il faut repartir.

Ben oui, les meilleures choses ont une fin !

Léger rewriting d’un texte paru en 2000 sur le site de Revebebe, puis passé à la trappe. Les modifications effectuées l’ont été en respectant l’esprit du récit original

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7 réponses à Corinne et l’auto-stoppeur par Elros

  1. Odile dit :

    Il y avait chez mes grands-parents à la campagne une ânesse qui refusait de se faire monter, on l’appelait äne-Marie

  2. Nina dit :

    Une mise en situation absurde et des personnages privés de psychologie… ce qui fait qu’on décolle de l’histoire malgré le fantasme

  3. Arabella dit :

    Le chien je veux bien, mais l’âne quand même…

  4. Biquet dit :

    Complétement invraisemblable, mais pas moins que « Star Trek », et au moins ça fait bander

  5. Marylu dit :

    Je l’avais raté celui-ci, très excitant !

  6. Chastaing dit :

    Du bon zoo

  7. Lucia dit :

    C’est écrit un peu vite, mais l’érotisme fonctionne fort bien

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