RESUME des épisodes précédents : Stéphanie, la soubrette mâle, accompagne Maîtresse Clara aux sports d’hivers… Dès son arrivée et malgré une nuit blanche, elle est sollicitée dans la salle de bain par sa Maîtresse. Plus tard dans la journée, elle doit satisfaire avec la bouche un moniteur de ski qui la ramène du grand magasin. En fin d’après-midi, Maîtresse Clara lui présente une certaine Isabelle qui fait partie d’un groupe de jeunes filles dont l’éducatrice a été hospitalisée pour cause d’un (banal) accident de ski. Stéphanie est testée par Isabelle avant de l’accompagner à l’appartement où se trouve le reste du groupe. Elle est sensée y faire le ménage mais l’ambiance festive dégénère progressivement et Stéphanie devient l’objet sexuel des jeunes filles….
– Mets toi à quatre pattes sur cette table. M’ordonne Maîtresse Isabelle en m’indiquant du doigt la table basse du salon.
J’esquisse un petit sourire en constatant que le gode ceinture qu’elle porte toujours très élégamment, pointe dans la même direction… A cet instant, je ne porte plus sur moi qu’une paire de bas autobloquant en piteux état. Ils sont maculés d’une quantité indéterminée de pisse, de sperme, d’alcool et il est probable qu’ils ne survivront pas à cette mémorable soirée… Je devrais néanmoins récupérer mes chaussures à talon, si tout va bien… En attendant, je me place sur cette table et adopte la position exigée, c’est-à-dire en reposant sur mes coudes et genoux. Je dispose spontanément les fesses vers le haut, rentre la tête en guise de soumission et attend la suite des événements. J’ai tout de même le temps de voir que l’on ne s’embête pas dans ce salon… Sur le divan qui me fait face, une blonde et une brune s’embrassent à pleine bouche et se touchent de façon très intime : les doigts de l’une sur le minou de l’autre… J’arrête de rêver car deux grosses paluches s’emparent de mes hanches et les tirent vivement vers l’arrière. Le type est debout, derrière moi et colle son pubis poilu à mes globes fessiers. Mon périnée percute alors une structure dure et chaude qui doit correspondre au gland du concierge. Je devine (et sens !) qu’il cherche mon orifice anal en rectifiant par saccades la trajectoire de sa bite. Il ne faut guère longtemps avant qu’elle ne s’enfonce sans peine dans mon canal rectal et je me dis que la petite séance d’engodage du début de soirée a remarquablement contribué à préparer le terrain…Il joint alors la parole à l’acte en maugréant quelques mots :
– Je t’encule petite suceuse de mes deux !
Une petite parole gentille qui n‘est pas faite pour me déplaire… Il me pistonne ensuite de plus belle sous le regard amusé de quelques spectatrices que j’ai peine à identifier, mais qui se rincent l’œil, assurément…L’une d’entre elle (il s’agit de Béatrice, je pense !) se lève devant moi, me soulève la tête en m’agrippant les cheveux et me colle son minou sur le visage. Elle frotte alors énergiquement son pubis sur ma face tandis que je tente d’approcher ma bouche de sa vulve. La tâche n’est guère aisée, car le concierge me projette vers l’avant à chaque fois qu’il enfonce son pilon au plus profond de mon fondement et je n’arrive pas à synchroniser de façon efficace les deux actions. Cela ne semble néanmoins pas déranger Béatrice outre mesure car elle poursuit son petit manège de plus belle en m’inondant le visage de ses sécrétions intimes. Moi, je suis comme pris en sandwich, entre une énergique sodomie et une délicieuse minette. Au bruit de jouissance, je dirais que c’est le concierge qui jouit le premier dans mon cul en lâchant un gros râle mais je crois que Béatrice a suivi de peu l’exemple du bonhomme. L’orgasme féminin restera toujours plus mystérieux et complexe…
– Tu lui nettoies la bite avec la bouche maintenant.
Dur retour à la réalité après ces quelques considérations philosophico orgasmiques ! Cette exigence illustre que Maîtresse Isabelle a décidément de la suite dans les idées. D’une certaine manière, c’est la continuation logique de l’activité précédente, même si ce n’est pas celle que je préfère… En guise d’encouragement, le concierge me donne quelques claques amicales sur les fesses avant de me déposer sa bite, devenue entre-temps fort molle, entre les lèvres. Je m’empresse de lui faire un brin de toilette en la débarrassant de tous les résidus qui se sont incrustés sur sa hampe et de la rendre à son propriétaire aussi nette qu’après un lavage « plus traditionnel ».
– On t’a assez vu à poil Stéphanie, tu remets ta robe de soubrette et ce string !
La robe, c’est la mienne et je ne suis guère mécontente de pouvoir l’endosser à nouveau. Par contre, le string doit appartenir à l’une de ces demoiselles et le moins que je puisse dire, c’est qu’il n’est plus très propre ; il est même fort humide et sent le pipi ! Je marque un temps d’arrêt qui n’échappe pas à Maîtresse Isabelle.
-C’est pas le tiens de string mais tu vas le mettre illico ! Rajoute la jeune Maîtresse.
Je ne fais ni une ni deux et enfile prestement ce dessous trempé. Le premier contact de mon sexe avec le tissu se révèle plutôt froid et un tantinet désagréable mais je n’en montre rien. J’endosse ensuite ma robe de servante et attend, une fois de plus, les instructions précises qui ne tardent pas à suivre…
– Tu vas ranger ce bordel maintenant.
L’ordre émane toujours de Maîtresse Isabelle qui semble la seule à garder la tête (et le reste !!) froide dans ce bel appartement transformé en véritable lupanar. Le couple «exclusivement féminin» qui se pelotait sur le divan durant mon enculade par le concierge, se retrouve maintenant tête bêche, dans un 69 très alléchant… Je regrette de ne pouvoir y joindre la langue…
– Stéphanie, cesse de te rincer l’œil et ramasse les verres sales.
A regrets, mon regard quitte cette croupe rebondie qu’une langue avide explore dans ses moindres recoins muqueux. En ce qui concerne mon activité du moment, elle se révèle nettement moins reluisante ! Il fait véritablement dégueulasse dans ce logement !! Je reprends donc mon «vrai» rôle de soubrette, commence par vider quelques cendriers, à collecter de nombreux verres vides, à placer des assiettes sales dans le lave vaisselle et à ramasser les débris alimentaires qui jonchent les tables. J’en arrive presque à oublier cette désagréable sensation d’humidité qui me colle au sexe. Je m’aventure ensuite dans le hall d’entrée avec l’aspirateur et commence à nettoyer la moquette couverte de chips écrasés. Penché vers l’avant, je sens une main inquisitrice me palper les fesses avant de remonter entre mes jambes et pincer mon gros clitoris.
– Aie ! Dis-je, fort surpris par l’action.
– Beurk, t’es trempée Stéphanie ! S’exclame quelqu’une en retirant prestement sa main baladeuse ! Tournes toi. Ajoute-t-elle.
Je fais un demi tour sur moi-même et constate qu’il s’agit de la jolie Tina. Elle est aussi fort dénudée car elle ne porte plus qu’un simple tee-shirt blanc arborant un grand logo BLONDE en son centre et, selon toute évidence, pas de petite culotte…
– Relève ta robe.
Je soulève les bords de ma jupe et en découvrant le string qui est sensé dissimuler mes organes génitaux externes, elle dit :
-Mais c’est mon string et en plus, t’as pissé dedans !!
Voilà donc enfin élucidé le mystère de l’origine de ce string et je voudrais avoir l’occasion de lui donner une explication, ne fut-ce qu’une bride d’explication, mais…
– Retires le tout de suite.
Ce n’est jamais que la deuxième fois que j’enlève un slip au cours de cette mémorable soirée ; la seule différence, c’est que ce spécimen ci ne m’appartient pas et qu’il est fort mouillé ! Je le retire rapidement afin de ne pas fâcher la demoiselle et ne sait trop bien ce qu’elle veut que j’en fasse…C’est à ce moment qu’arrive Maîtresse Isabelle, accompagnée de deux copines et d’une dame plus âgée, que je n’avais pas encore vu ce soir.
– Voilà notre petite tapette. Clame Maîtresse Isabelle en me désignant à la personne en question. Voici Julia, c’est la compagne du concierge. Ajoute-t-elle brièvement.
Je sens que l’on va faire connaissance avec toute la famille, si cela continue à ce rythme ! Mais la question qui me taraude, c’est de savoir quelles sont ses intentions à mon égard et surtout à quelle sauce je vais être mangée toute crue… Je ne tarde pas à recevoir la réponse à cette question un tant soit peu angoissante…
– Julia a fort envie de te donner une fessée ce soir, et ma foi, je n’y vois absolument aucun inconvénient. Proclame sans ambages Maîtresse Isabelle.
Tina rajoute alors :
-Bonne idée, regardez ce qu’il a fait de mon string. Ajoute-t-elle en m’arrachant le malheureux bout de tissu des mains avant de l’exhiber aux yeux de ses amies.
Je me tais car je sais que toute tentative d’explication serait vaine dans le contexte actuel…
– Attachez le à cette chaise, je vais me changer pendant ce temps.
J’entends la voix rauque de Julia pour la première fois ce soir. Se changer !? Il est vrai qu’elle est la seule ce soir à avoir conservé des habits à peu près normaux.
– Bien, tu te couches à plat ventre sur cette chaise et toi Tina, tu lui passes les menottes aux poignets et aux pieds de la chaise.
L’ordre est rapidement exécuté et je me retrouve ainsi avec la robe relevée sur les épaules et le cul qui pointe en l’air. Je reconnais (aussi !!) les menottes qui proviennent en droite ligne du stock de Maîtresse Clara. L’occasion est manifestement trop belle et la tentation trop grande pour Tina qui ne se prive pas pour me donner quelques claques sur chaque fesse. Ces gifles occasionnent plus de bruits que de douleur mais la demoiselle en profite quand même pour me mettre le fameux string roulé en bouche.
Un peu de temps passe. La position est loin d’être confortable. Je n’entends plus de bruits proches, juste le brouhaha du salon en sourdine. J’ai l’impression que l’on m’a laissé toute seule. Une porte s’ouvre enfin. Je ne peux néanmoins distinguer qui s’approche. Quelques chuchotements se font entendre quand même. Je sens juste un objet qui parcours ma raie fessière puis plus rien. Quelqu’une passe enfin devant moi et se campe fermement sur ses deux jambes légèrement écartées, à la manière d’un sergent instructeur, avec le stick à l’horizontal dans le dos. Elle garde toujours le silence. Je relève un rien la tête pour mieux voir. Ses jambes fuselées sont enserrées dans des bottes en cuir noir qui dépassent les genoux tandis que ses cuisses sont recouvertes de bas encore plus noires. Des lanières fixent ses bas sur un probable porte jarretelle que je ne peux apercevoir dans ma position. Par contre, je distingue son pubis nu qui est pourvu d’une toison pubienne très abondante, de couleur auburn et qui, par endroits, forme même des boucles et des volutes. Il est par conséquent impossible de distinguer sa fente tellement ses poils sont denses. Julia reste manifestement insensible à la mode qui consiste à se débarrasser d’une bonne partie des poils présents dans cette région du corps ! Toujours sans prononcer le moindre mot, elle m’enjambe avant de s’abaisser et de frotter d’avant en arrière sa vulve (invisible !) sur mon crâne.
Dans le même temps, les coups de cravaches commencent à pleuvoir sur mon postérieur qui commence vite à changer de couleur. J’ai droit à une véritable chevauchée fantastique où j’occupe le rôle de la jument, comme de bien entendu ! Les coups sur mes fesses se font plus rapides, les temps morts plus courts. Quelques cris étouffés sortent de ma bouche obstruée par un string qui a conservé toute sa moiteur et qui goutte toujours la pisse. Mon cou est trempé, mes cheveux visqueux car Julia mouille comme une fontaine. J’ai perdu la notion du temps. Les coups ne font même pas mal. Un liquide chaud et moins gluant dévale sur mes tempes avant de converger vers mes commissures et de tomber finalement sur la moquette (que j’étais venu aspirer !!!). Je suppose que Julia se laisse un peu aller à son plaisir et urine sur ma tête. Je ne peux préciser combien de temps elle a joué sur moi de la sorte. Je me souviens seulement que le carillon de l’appartement a retenti et que (ma) Maîtresse Clara s’est pointée dans le hall. Elle a juste dit :
– On rentre Stéphanie, on a des choses à faire demain.
Stéphanie.
A suivre.
Vos impressions : fa237356@skynet.be
Humm, comme j’aurais aimé être à l place de Stéphanie !