Mardi dernier, je me suis rendu comme d’habitude dans ma galerie marchande
préférée pour prendre mon repas. Il y a beaucoup de monde et toujours de
jolies filles avec leur tenue d’été.
Bien que la veille au soir j’avais fait l’amour avec mon épouse où elle
m’avait sucer avec son entrain habituel et que j’avais beaucoup apprécié la
pénétration de ma bite raide dans sa chatte bien mouillée jusqu’à
éjaculation, j’avais le sexe qui me titillait.
Est-ce peut-être cette pensée qui m’excitait, en tout cas j’avais une envie
soudaine que je ne pouvais assouvir que par une bonne branlette. Direction
les toilettes où j’ai déjà quelques habitudes pour ce genre d’exercice du
plaisir solitaire. Alors que j’allais rentrer dans ma cabine habituelle (un
de celles pour les handicapés), la porte s’ouvre et je tombe nez à nez avec
une jolie africaine.
Je deviens tout rouge, ce qui l’a fait sourire, son regard se fixe au niveau
de ma légère bosse dans mon pantalon. Eh oui mes pensées m’avaient
suffisamment excité pour me faire bander.
Elle m’entraîne dans cette cabine et chuchote dans mon oreille
– Que venez-vous faire ici ?
Malgré ma timidité, je lui avoue la vraie raison. Elle me demande si elle
peut me regarder. Je ne me dégonfle pas, je descends mon pantalon, sors ma
bite et commence à me branler devant cette belle inconnue.
Mon sexe non lavé de la veille sent bon la mouille de ma femme,
elle doit aussi sentir cette odeur si douce et cela paraît l’exciter. Elle
enlève son bas et son haut, et elle ne porte pas de sous-vêtements et se
retrouve nue devant mes yeux. Sa peau noire est magnifique et ses formes
n’appellent qu’au plaisir. C’est à ce moment que ma bite se raidit de plus
belle et que sans avoir le temps de bouger, mon sperme jaillit entre ses
seins puis coule sur sa belle peau noire. Elle se baisse et gobe tout entier
ma bite qui continue à éjaculer par petites giclées. Elle me suce par de
amples va-et-vient, sa bouche est bien humide et ses mains touchent
délicatement mes couilles. Après quelques minutes de cette excellente
fellation, je n’en peux plus. Je ne pense qu’à lui mettre ma queue dans sa
chatte, je lui indique de se relever. Elle me présente ses superbes fesses
rebondies, elle se penche en avant et me laisse entrevoir son vagin trempé
et tout ouvert au plaisir. Je baisse légèrement ma position pour présenter
ma bite à la bonne hauteur et la pénètre entièrement. Une sensation chaude
et humide fait monter d’un cran mon plaisir. Chacun de mes mouvements lui
fait lâcher de petits gémissements, alors que mes mains sur ses hanches lui
intiment le rythme de mes va-et-vient.
A ce moment la porte de la cabine s’ouvre, l’homme est surpris mais au lieu
de partir, il entre, ferme à clé et baisse son pantalon. Sa queue n’a pas eu
le temps de se raidir qu’il la rentre toute entière dans la bouche de la
belle inconnue. Alors que je continue mes coups de butoir, je me penche
légèrement pour lui caresser ses petits seins bien fermes. Dans cette
position je vois mieux la sucette pleine de vigueur qu’elle offre à cet
inconnu. Je lui tripote ses tétons tout durs ce qui augmente son excitation.
A nouveau ma queue se raidit annonçant une éjaculation qui viendra quasiment
en simultané avec l’autre homme. Du sperme lui coule entre les cuisses mais
aussi de sa bouche, le type lui en a mis une sacrée dose. Elle se redresse,
se tourne vers moi et les positions s’inversent. Ma queue est un peu
retombée alors qu’elle est secouée par les va-et-vient rapides de cet homme
blond. Elle me suce à nouveau avec encore plus d’entrain, le type se penche
et arrive à la hauteur de ma bite. Pour la première fois, je me fais sucer
par un homme alors qu’elle me lèche les couilles. Cette situation m’excite
tellement que je ne peux m’empêcher de jouir à nouveau et lui en fait autant
quelques instants plus tard. Elle se mord les lèvres pour s’empêcher de
crier, sa jouissance est belle à voir et je fini d’éjaculer en me branlant
devant son beau visage.
Je me rhabille et sort en les laissant tous les deux continuer leurs petites
affaires. Je ne suis pas prêt d’oublier ce pur moment de plaisir. »
Plus improbable tu meurs ! Mais comme petit fantasme accompagnant la branlette c’est pas si mal.