Chanette 32 – Drogue en stock – 9 – Le retour d’Anna-Gaëlle
Max a dormi et ronflé sur le canapé d’Anna-Gaëlle, on a pris notre petit déjeuner ensemble.
– Reste le flic… Me dit-il.
– On peut peut-être le laisser tranquille, s’il n’a plus de fournisseurs, il va rester peinard… et si jamais il me demandait un nouveau service, je pourrais toujours refuser… commençais-je.
– Oui, bien sûr, mais si on pouvait lui foutre la trouille. J’ai une petite idée…
– Tu me raconteras, moi je vais aller bosser !
– Je vais pouvoir rentrer à la maison ! Nous informe Gigi, mais j’aimerais vous remercier et vous payer le restau. On peut faire ça ce soir ?
– Avec plaisir ! Répondis-je. On se retrouve où ?
– Ben ici à 20 heures ?
Max chemine dans la rue, il a toujours considéré que la marche à pied facilitait la réflexion ! Quand il estime son petit scénario au point il s’installe à la terrasse d’un café et après avoir commandé une bonne bière, il sort son téléphone.
– Allo, je voudrais parler au capitaine de police Julien Bernardin.
– Ah je crois qu’il n’est pas arrivé, je peux vous aider ?
– Non, je rappellerais.!
Il rappelle à 10 heures, toujours pas de Bernardin… à 11 heures non plus.
– Il est en vacances, il est malade ?
– Je ne peux pas vous répondre, monsieur désolé.
Max remet donc ce qu’il voulait faire au lendemain.
N’empêche qu’au commissariat on s’inquiète de l’absence de Julien, d’autant que son téléphone ne répond pas et que son épouse a indiqué qu’il était ressorti à 20 h 30 mais ne l’avait pas vu rentrer de la nuit.
Que se passe-t-il donc ?
Un petit flash-back pour comprendre :
L’un des indics de Bernardin l’a mis en contact avec un dealer, ce qui lui a permis de fourguer le tiers de la came contenue dans la valise.
Il n’est pas trop pressé d’écouler le reste, il sait qu’il y a de la demande, il lui suffit d’attendre….
Un message téléphonique d’un dénommé Moussa avec un simple mot « allo ». C’est son indic.
Bernardin sort dans la rue afin de lui téléphoner.
– J’ai un acheteur, au café « La rivière » rue de Charenton à 21 heures. Tu demandes Kamel.
– Il en veut combien ?
– Tout ce qui te reste !
– OK !
Bernardin a entassé la camelote dans un sac à dos il se dirige vers le comptoir et demande au patron.
– J’ai rendez-vous avec Kamel.
– Le mec avec l’échappe verte et blanche au fond là-bas !
Les deux hommes se serrent la main
– T’es en voiture ? lui demande Kamel.
– Non à pied !
– On va prendre la mienne, je ne suis qu’un intermédiaire, l’acheteur nous attends à Bastille.
Le fait que la transaction va se passer à Bastille, endroit très fréquenté est de nature à rassurer le policier, qui monte dans le véhicule de Kamel en toute confiance. Une fois la voiture démarrée, il se rend compte qu’il y a un type à l’arrière… et qu’il est armé.
– Tu sais ce que c’est la concurrence déloyale ? Lui dit le type.
– Pardon ?
– T’as très bien compris, t’es en train de casser les prix !
– Bon les gars on se calme on va en discuter entre gens raisonnables.
– D’accord on va en discuter un peu plus loin.
L’automobile ne se dirige pas vers Bastille mais dans une rue sombre et déserte. Elle s’arrête au niveau d’un terrain vague mal clôturé.
– Tout le monde descend ! Averti Kamel.
– Ecoutez les gars je vous propose un arrangement… Tente d’improviser Bernardin.
Il n’a pas le temps d’en dire plus, le couteau de Kamel le transperce plusieurs fois. Bernardin s’écroule raide mort, (non pas encore raide, mais bien mort)
Les deux assassins ne font rien pour masquer l’identité de la victime, ils prélèvent le peu d’argent contenu dans le portefeuille et s’empare du sac à dos (évidemment)
Avant de traîner le corps au bord du terrain vague, ils écrivent au feutre sur son front « la concuransse des loyales » (orthographe d’origine) et lui glisse un sachet de drogue (juste un !) dans sa poche.
Voilà donc pourquoi Bernardin n’était pas présent au commissariat ce matin-là !
Et ce n’est que le surlendemain Samedi que le journal « Le Parisien » résumait l’affaire :
« Le corps de Julien Bernardin, capitaine de police, bien noté, intègre et estimé de sa hiérarchie et de ses collègues, a été retrouvé, poignardé de plusieurs coups de couteau. La mort remonterait à mardi. Que faisait ce policier à cet endroit loin de chez lui à une heure avancé de la nuit alors qu’il n’était pas en service ? Le procureur de la république s’est refusé à tout commentaire… »
L’article ne mentionnait ni le marquage au feutre, ni le sachet de drogue. Ces éléments n’ont fuité que plus tard (tout finit par fuiter, c’est étrange, non ?)
– Voilà, cette fois c’est vraiment terminé. Me dit Max en me commentant l’article.
– T’as été génial !
– Tu sais bien que ça m’amuse !
– Quand même, ce pauvre flic, je n’aurais jamais cru…
– Il y a des engrenages dans lesquels il faut mieux pas foutre sa bite, personne n’est à l’abris…
– Comme j’ai pas de bite, je ne risque rien.
– Non mais j’ai peut-être droit à un petit câlin ?
Il est insatiable ce mec !
– Bien sûr, viens sur le canapé !
– On ne va pas dans la chambre ?
– Si tu préfères, pas de problème !
Mais voilà que l’on entend un bruit de serrure.
Serait-ce Anna ? c’est Anna !
Bisous, bisous.
– T’es encore dans les embrouilles ? Demande-t-elle.
– Max m’a arrangé ça, comme d’habitude..
– Super !
– Je vais pouvoir rentrer à la maison.
– Tu me racontes.
– C’est-à-dire qu’on allait…
– Mais si, on va lui raconter intervient Max, on n’est pas à cinq minutes
Alors on lui a raconté, Max a toujours été un excellent narrateur.
– Et bien quelle histoire ! Je suppose que vous alliez faire une pause plumard avant que Max reparte ?
– Très perspicace !
– Mais quand il y en a pour deux, il y en a pour trois ! intervient Max.
Je l’aurais parié !
– Allez dans la chambre, commencez sans moi, je vais me faire un petit café et je vous rejoins ! Déclare Anna.
Avec Max, je sais pertinemment comment ça va se passer. Son truc c’est la sodo et il fait ça très bien, (encore heureux !).
Mais avant, préalable obligatoire, une bonne petite pipe
Je n’en fait pas si souvent, pourtant j’aime bien. Faut dire que la bite de Max est, comment dire ? Attrayante, attrayante voilà le bon mot.
On se déshabille, son machin et déjà en érection, je le penche afin de commencer à sucer, mais voilà Anna qui entre, déjà à poil
Alors on s’est partagé cette bite arrogante, la léchant, l’engloutissant, lui imprimant des mouvements de va-et-vient, toute la gamme, quoi
Tout d’un coup Anna décide d’aller voir derrière, elle écarte les fesses de l’homme et lui lèche la rosette.
– Hum, j’adore lécher un bon petit cul.
– Enfonce un doigt. Suggère le Max..
– J’allais le faire !
Et elle le fait
– T’aimes ça, hein ?
– J’adore !
– T’es vraiment un enculé.
– Oui, et j’ai même pas honte .
On s’amuse ainsi quelques minutes avant que Max excité à bloc, déclare.
– Bon, j’encule qui ?
– Les deux, mon capitaine. Répond fièrement Anna.
Ben oui, pourquoi pas ?
On se met en position toutes les deux côte à côte, troufion relevé.
C’est Anna qui a le privilège de subir le premier assaut et pendant que Max la sodomise, je lui paluche la minouche comme une grosse cochonne.
Au bout de quelques minutes, Anna commence à réagir en miaulant comme une chatte en chaleur puis finit par jouir en gueulant son plaisir.
Changement de capote et changement de partenaire, ça va être ma fête !
J’aime cet étrange sensation de remplissage dans mon conduit anal. J’aime jouir du cul, je me laisse aller, je le sens chienne, c’est bon. J’ai joui, Max aussi. C’était bien !
Mas retire sa capote dévoilant sa bite gluante de sperme. Anna ne peut résister au plaisir de lui nettoyer tout ça de sa petite langue agile.
– Vas-y mollo, j’ai envie de pisser ! Proteste mollement Max.
– Eh bien pisse, mon grand, je t’offre ma bouche !
– Salope !
– Non, mais dis donc…
– Ne le prend pas mal !
– Alors tu pisses ou pas ?
Et le gosier d’Anna s’emplit de l’urine de Max. Elle en avala une bonne gorgée mais en laissa un pue dans sa bouche.
Pourquoi faire ? Demanderez-vous ! Eh bien pour pouvoir m’embrasser avec !
La belle coquine !
à suivre
Tout ce monde !!!
Chic une partouze avec Chanette. J’adore !