Martinov 25 – Les agents secrets – 1 – L’éprouvette cassée par Maud-Anne Amaro
Principaux personnages
– Daniel Blotz-Henri : chargé de recherches au CNRS
– Odette Morvan : secrétaire de Blotz-Henri
– Désiré Malesherbes : Aide de camp du colonel Billard au ministère de la Défense
– Sophie Cabureau : Maîtresse de Malesherbes
– Olga Boulganine : Agent secret russe
– Wan Ting Koh : Agent secret chinoise
– Britt Franklin : Agent secret américaine (CIA)
– Gérard Petit-Couture : ancien agent secret français
– Florentine : compagne de Petit-Couture
Et nous allons bien évidemment retrouver le professeur Martinov, inventeur et bricoleur sexagénaire, toujours aussi obsédé et Béatrice Clerc-Fontaine sa jeune et sémillante assistante blonde et délurée…
Lundi 2 septembre
Mais pour le moment rendons nous dans un autre laboratoire et plus précisément au C.N.R.S, là où le professeur Blotz-Henri fait des études sur les propriétés insolites des mélanges gazeux.
Daniel Blotz-Henri est un jeune coq dans la trentaine, il plait aux femmes avec son physique de beau ténébreux, ses sourcils buissonneux et sa coupe de cheveux à la Ray Liotta. On lui a attribué une assistante, Mademoiselle Morvan, brune, célibataire, la quarantaine, lunettes impossibles, qui pourrait plaire si elle daignait s’arranger un petit peu.
Quand il se rend à la machine à café, Blotz-Henri adore parader, il est hâbleur, imbu de sa personne, aime parler sport et a une opinion sur tout, il a sa cour et fait mouiller quelques laborantines et autres secrétaires.
Il n’aurait qu’à lever le petit doigt, oui, mais voilà, il se trouve qu’au plumard, notre homme n’est pas performant du tout, mais nous parlerons éventuellement de ça quand il faudra.
Et aujourd’hui pendant que Blotz-Henri est à la machine à café, Odette Morvan fait un peu de rangement dans le bordel laissé par son patron.
Et c’est là que tout commença, parce qu’une éprouvette lui échappa des mains, se brisa en tombant au sol et répandit son contenu gazeux dans la pièce.
– Qu’est-ce que je fous là ! Se demanda alors Odette. Quel est cet endroit ? Ou sont mes jouets ?
Elle fouilla dans les tiroirs, ne trouva rien d’intéressant mais déchira quelques pages d’un numéro de la revue « Nature » afin d’en faire des cocottes en papier.
Quand Daniel Blotz-Henri revint dans son labo, il n’en crut pas ses yeux :
Odette Morvan était accroupie sur le revêtement de sol, une cocotte en papier dans chaque main, tandis qu’une troisième restait un peu en retrait. La pauvre femme tenait des propos incohérents :
– Giclette et Salopette sont en tête dans la dernière ligne droite, Mistinguett est lâchée et n’a plus aucune chance de gagner.
– Mademoiselle Morvan, ça ne va pas la tête ? Hurla Blotz-Henri.
– Hé, laisse-moi jouer, toi, je ne t’ai pas invité !
– Mais vous avez bu ?
– Bububu, le zébu a trop bu !
– Relevez-vous et arrêtez de faire l’enfant…
– De la patrie-i-e- ! La Marseillaise retentit sur la ligne d’arrivée, le suspense est insoutenable. Giclette semble se détacher d’une courte tête.
Le regard de Blotz-Henri se fige alors sur l’éprouvette cassée.
– Putain ! Mais qu’est ce qui s’est passé ?
– C’est pas beau de dire des gros mots ! Je vais le dire à ta maman, elle va te gronder !
Il réalise alors que son assistante a respiré un gaz toxique aux effets pervers, il pense alors la conduire à l’infirmerie et tente de l’extraire de sa position.
– Mais, je ne joue pas avec toi, si tu ne me lâches pas j’appelle la maîtresse. Elle va te coller au coin avec un bonnet d’âne et ce sera bien fait pour toi ! Bisque, bisque rage, on va te mettre en cage !
« Je ne vois pas quoi lui administrer en guise d’antidote, peut-être qu’un café bien fort… » se dit l’homme qui retourne à la machine à café.
Quand il revient avec un gobelet bouillant, la scène a complètement changé, Odette Morvan est affalée dans son fauteuil et semble en proie à un gros désarroi.
– Ça va mieux ? C’est fini votre cirque ?
– Dites donc, soyez poli !
– Reprenons les choses dans l’ordre. Vous avez cassé une éprouvette…
– Ben oui ce sont des choses qui arrivent ! Vous ne faites jamais de conneries, vous ?
– Inutile d’être agressive, j’essaie de comprendre, c’est tout.
– Il n’y a rien à comprendre, j’ai perdu connaissance, en fait non, j’étais comme dans un rêve, un drôle de rêve, figurez-vous que je rêvais que je jouais à commenter une course de cocottes en papier.
– Les cocottes qui sont là ?
– Quoi ? Ce serait moi qui aurais fait ça ?
– Qui voulez-vous que ce soit d’autre ?
– Oh là là ! Vous me foutez la trouille avec vos éprouvettes ! Vous vous rendez compte que ça aurait pu être un gaz mortel…
– Ça suffit Morvan, vous travaillez dans un laboratoire du CNRS, pas dans une usine de boites de conserve. Vous savez très bien qu’il peut être dangereux de manipuler n’importe quoi, n’importe comment. Et d’abord qu’est-ce qu’il vous a pris de toucher à cette éprouvette ?
– J’ai voulu faire un peu de rangement, c’était le bordel ici ! Vous avez quitté le labo précipitamment quand vous avez vu qu’il était 10 heures, tout ça pour aller retrouver vos pétasses à la machine à café.
– Morvan, je vous prie de retirer vos propos !
– Il n’y a que la vérité qui blesse !
– Morvan, vous n’êtes qu’une refoulée revêche et à moitié cinglée… je vous interdit de me répondre et je vous signale que vous avez un compte-rendu à terminer avant midi. Allez au boulot ! Et je ne veux plus vous entendre.
Odette Morvan prit énormément sur elle pour ne pas répondre. Elle était assez intelligente pour savoir où mènerait cette sotte dispute s’il elle s’éternisait. On ne lui donnerait pas raison, à la limite ça pouvait se terminer par un blâme ou une mutation disciplinaire.
« Je saurais me venger autrement ! » Se dit-elle avant de se plonger dans la rédaction de son compte-rendu.
Dans l’après-midi, elle profita d’une pause pipi de Blotz-Henri pour fouiller dans la corbeille et relever le numéro de l’éprouvette malencontreusement brisée.
« B107 » lu-t-elle
Elle feuilleta ensuite le classeur dans lequel étaient rangés les fiches des mélanges expérimentés. Elle photocopia celle de la B107 et l’enfouit dans son sac à main.
Après sa journée de travail, elle parcourut la fiche dans le métro, celle-ci décrivait la composition du mélange B107, essentiellement du protoxyde d’azote auquel était ajouté d’autres éléments en quantités infinitésimales. C’était finalement assez simple, il suffisait d’avoir les produits sous la main et de respecter les dosages. La partie « expérimentation » relatait les réactions de souris de laboratoire.
Echantillon 1 : Pas de réaction notable
Echantillon 2 : idem malgré un doublement du dosage.
« Me voilà bien avancée ! Demain midi, je n’irais pas déjeuner et je reconstituerais le produit, ensuite il me faudra l’expérimenter… »
Odette n’était pas la seule à réfléchir, Blotz-Henri cogitait de son côté.
« Donc le B107 a des effets puérilisant chez l’humain, quant à la durée de l’effet, ne sachant pas à quelle heure cette cinglée a cassé l’éprouvette, on va dire que c’est entre 10 et 20 minutes. Il me faudra refaire une autre expérience, mais où trouver un cobaye ? »
Petit à petit le projet prit forme, il devra se trouver face à face avec une victime potentielle seule. Cela devrait avoir lieu dans un endroit fermé. Un commerçant sans grande clientèle pourrait faire l’affaire, par exemple un antiquaire.
Reste un gros problème : Comment gazer sa victime sans inhaler soi-même le produit toxique ?
« Je ne me vois quand même pas rentrer dans un magasin d’antiquités avec un masque à gaz sur la tronche ? Il me faudrait un bricolage… »
Oui mais voilà : Daniel Blotz-Henri est peut-être un brillant chimiste mais au niveau bricolage il est complètement nul, il a même du mal à planter un clou correctement.
Avec les souris c’était simple, les bestioles étaient placées dans un vivarium, ensuite on débouchait très rapidement l’éprouvette qu’on glissait dans le vivarium, puis on refermait le tout… Allez faire ça avec un antiquaire, vous ?
– Morvan, vous n’auriez pas une idée…
– « Mademoiselle Morvan » ! si ça ne vous dérange pas !
– Oui, bon ! J’aimerais bien expérimenter mon B107 sur des sujets plus gros, mais je ne vois pas comment faire ? Vous n’auriez pas une idée ?
– Vous pensez à quoi comme bestioles ?
– Un chat peut-être ?
– Et vous croyez que je vais vous aider à trouver un truc pour martyriser ces pauvres bêtes ?
– Ou alors un pitbull, ce serait mieux !
– Il vous faudrait un instrument genre Fly-Tox !
– C’est quoi ça ?
– Regardez sur Internet, ils vous expliqueront ça mieux que moi !
Et c’est ce qu’il fit, il ne connaissait pas le Fly-tox, un pulvérisateur à poussoir utilisé comme insecticide jusque dans les années 1960.
« Génial, je peux toujours essayer d’en trouver un chez un brocanteur… mais comment j’entre le gaz là-dedans ? Un bricoleur, il me faut un bricoleur… »
Mardi 3 septembre
Et c’est ainsi que dès le lendemain, Daniel Blotz-Henri se rendit à Louveciennes chez le professeur Martinov où il fut reçu par ce dernier en compagnie de Béatrice, sa fidèle collaboratrice.
– Et ce serait pour pulvériser quoi ? Demande le professeur.
– Je suis obligé de répondre ? Rétorque Blotz-Henri d’un ton morgue
– Non mais, dans ce cas je serais obligé de vous faire signer une décharge…
– C’est un insecticide d’une composition inédite… Improvise le chercheur.
– Pour lequel vous n’avez aucune homologation, je suppose ?
– Mais c’est aussi un engrais…
– Ah, bon ? Se gausse Béatrice.
– C’est à la fois un engrais et un insecticide puisqu’il va éliminer tout un tas de parasites qui peuvent empêcher la plante de se développer.
– Oui bon ! Sachez tout de même mon cher monsieur que le Fly-tox est complètement dépassé, pourquoi n’achetez-vous pas un aérosol rechargeable ?
– Ah ? Et ça se recharge facilement ?
– Oui, avec un compresseur à air comprimé !
– C’est gros, ça ?
– Assez, oui !
– Non, alors je reste sur l’idée du Fly-tox, je veux qu’il soit rechargeable et je paierais le prix qu’il faudra, et pour les décharges je vous signerais tout ce que vous voulez.
– Bon on va vous faire un devis…
Le bonhomme ne fit aucune difficulté pour laisser ses coordonnées
– Il travaillerait au CNRS, on fera un contre-appel discret pour vérifier, je ne sais pas ce qu’il veut fabriquer, mais ça ne m’a pas l’air d’être un truc dangereux.
– Hum, faut toujours se méfier, intervient Béatrice. En tous les cas, il est bel homme, quand on aime le genre.
– Non mais tu as vu ses sourcils, on dirait un loup-garou ! Persifla Martinov
– T’en a vu beaucoup des loups-garous ?
– Oui, au cinéma !
– Je croyais que tu préférais les films érotiques ?
– Ce n’est pas incompatible !
– Moi je n’aimerais pas baiser avec un loup-garou. Reprit Béatrice
– C’est comment une bite de loup garou ?
– Question intéressante, et la tienne elle est comment en ce moment ?
– Elle est à ta disposition.
– Monsieur est trop aimable ! Se gaussa-t-elle. Mais ce n’était pas vraiment le sens de ma question
– Pour l’instant elle est sage, mais elle ne demande qu’à se dissiper !
– C’est vrai que cela fait quelques semaines qu’on ne s’est pas fait des gros câlins.
– T’es toujours partant, toi ?
– Oui mais je crois que tu es partante aussi.
– Sors-moi donc ta bite que je te la suce !
Le professeur tente d’ouvrir sa braguette, et se met à rouspéter.
– C’est coincé !
– Eh bien tu la décoinceras tout à l’heure, baisse ton pantalon, ce sera plus simple !
– Quand même, c’est embêtant !
– Et si tu n’arrives pas à la décoincer, tu te mettras un autre pantalon ! Bon alors tu nous baisses tout ça !
Martinov baisse donc son pantalon, mais comme c’est un homme méticuleux et que ce n’est pas le genre à conserver tous cela sur les chevilles, il va poser tout cela méticuleusement sur le dossier d’une chaise.
– Oh, mais ça bande mou, tout ça ! Qu’est ce qui t’arrive ? Je ne t’excite plus ? T’as pas envie ?
– Ce doit être la fatigue !
– Je vais arranger ça, laisse-moi faire, assis-toi, détends-toi.
Le professeur s’assoit, Béatrice retire son tee-shirt, puis son soutien-gorge.
– Alors tu les aimes toujours, mes gros nénés ?
– Oui, approche-toi que je te les embrasse.
– Coquin !
Béatrice s’est avancée et Martinov lui tète les tétons avec gourmandise. Simultanément la jolie chimiste a ouvert la chemise du sexagénaire et lui pince ses propres tétons avec une certaine vigueur.
Avec un tel traitement, le professeur a retrouvé une bandaison digne de ce nom. Et du coup, Bea peut se pencher pour prendre en bouche ce fier mandrin qui semble la narguer.
Elle aime s’amuser avec la bite de Martinov.
– Elle est bonne, ta bite, je ne m’en lasse pas !
– Qu’est-ce qu’elle a de particulier ?
– C’est la tienne ! T’aimes quand je te serre les couilles comme ça ?
– Oui mais trop fort !
– Chochotte ! Dit-elle en mouillant son doigt. Tu sais ce que je vais faire avec mon doigt ?
– Tu vas me le foutre dans le cul !
Et c’est exactement ce qu’elle fait. Le professeur adore ça et pousse un râle de contentement.
– Un autre ?
– Un autre quoi ?
– Un autre doigt, pardi !
– C’est tout ? Tu ne veux pas un chausson aux pommes, non plus ?
– Non juste un autre doigt.
– Comme ça ?
– Oh ! oui, c’est trop bon !
– On monte dans ta chambre ?
C’est complètement débraillé que le couple atypique parvint dans la chambre à coucher du professeur. Comme ils avaient l’habitude de le faire, ils se débarrassèrent des vêtements qu’ils portaient encore et sautèrent sur le lit.
En fait c’est Béatrice qui sauta sur le lit, Martinov ayant passé l’âge de faire du trampoline !
– Occupe-toi un peu de moi ! Lui proposa la belle chimiste.
Le professeur, excité comme un pou aurait préféré que l’on s’occupa d’abord de lui, mais se dit avec philosophie qu’il n’y avait meilleur plaisir qu’un plaisir retardé.
Béatrice est allongée de tout son long, sur le dos, jambes écartées.
– T’es trop belle ! Ne put s’empêcher de clamer Martinov.
– T’as raison, c’est moi « Miss Monde », mais reste pas comme ça, ma chatte elle est entre mes cuisses, pas ailleurs !
Le professeur vient butiner l’intimité de sa collaboratrice, c’est mouillé comme une fuite là- dedans, et il aime ça, notre vieux savant libidineux, il lape, il tète, il se régale, tandis que ses mains ont agrippé les tétons maintenant tout durs de la belle pour les titiller entre le pouce et l’index.
– Continue mon salaud, continue, ! Ah ce que tu lèche bien ! Non, ne dis rien, ne me parle pas, continue, Oh, là, là, suce mon clito, je vais venir, aaaaaah !
Martinov se recule un peu, tout fier d’avoir fait jouir aussi intensément la belle chimiste.
– Tu veux me prendre, c’est ça ? Lui demande-t-elle.
– Oui, mais si on jouait cinq minutes avec le gode ?
– Tu veux que je t’encule ave le gode ?
– Tu sais bien que j’adore ça !
– T’es un enculé, mon petit professeur !
– Oui et j’ai même pas honte !
Béatrice ouvre le tiroir du chevet et s’empare du pénis de plastique.
– Tiens suces-le un peu ! J’adore te voir faire ça !
– Cochonne !
– On est cochon tous les deux, alors suce !
Le professeur s’exécute et lèche le dildo comme il le ferait d’une vraie bite, introduction dans la bouche jusqu’au fond des joues, léchage de la hampe, titillement du gland, tout le répertoire, quoi !
– Allez en position !
Martinov se met en levrette, tandis que Béa recouvre le gode d’un préservatif et en enduit l’extrémité d’un peu de gel intime.
– Attention ! Ça va rentrer !
– Fouff !
– C’est bon, hein, attends, je vais brancher le vibro.
– Oh là là !
– Et ne touche pas à ta bite, si tu veux jouir, ce sera avec moi.
– Bien sûr, bien sûr, aaaaah !
– Il y a combien de temps que tu ne t’es pas fait enculer par une vraie queue ?
– Quelques mois, quand nous étions à Glandville (voir l’épisode 23 : La grotte de l’Ours)
– Rien depuis ?
– Non, je ne cherche pas, c’est l’occasion qui fait le larron…
– Tu sais que ça m’excite quand je te vois sucer une bite !
– Cochonne !
Béatrice fait aller et venir le gode dans l’anus du professeur, lequel miaule de plaisir. Elle va de plus en plus vite et finit par fatiguer du poignet.
Elle retire l’objet de l’orifice ce qui provoque un étrange bruit de ventouse.
– Ça va ? demande-t-elle.
– Oh, oui ! Tu m’as bien enculé !
– Alors maintenant c’est mon tour !
– Tu veux que je te mette le gode ?
– Non, je veux que tu me mettes ta bite !
Elle se met à quatre pattes, en levrette, les jambes écartées, le popotin relevé…
– Oh, que c’est beau !
– Je ne te le fais pas dire !
Le professeur s’encapote à la vitesse grand V, mais ce joli cul lui met l’eau à la bouche et il ne peut s’empêcher de venir le lécher. Puis fou d’excitation il pénètre la belle d’un long coup de bite dans l’anus.
– Tiens, tiens, t’aimes ça, hein ?
– Oh, oui, encule-moi bien, aaah, aaaah.
La conclusion fut un peu rapide, mais nos deux coquins jouirent l’un après l’autre.
Après un moment calme, Béatrice se releva et se dirigea vers la salle de bain. Nul besoin d’échange de paroles, Martinov savait exactement ce qui allait se passer : la jolie chimiste s’assit sur le bord la cuvette, le professeur s’agenouilla devant elle, bouche grande ouverte au niveau de la vulve, et soudain son gosier se remplit de la bonne pisse tiède de sa délicieuse complice.
A suivre
Quand je serais vieux je veux être comme le professeur Martinov ! Mais qui sera ma Béatrice ?
Mon dieu, je sens que Béatrice va encore être folle de son corps !
Chic, une nouvelle aventure du Professeur Martinov et de son assistante délurée.
Vu le titre, je crois qu’on ne devrais pas s’ennuyer, d’ailleurs ça commence très fort