L’hôtesse de l’air – 2 – Mission Démoniaque et la fête égyptienne par Air Hostess
Mission Démoniaque.
Françoise, sortie du métro, hume l’air empuanti par les échappements et gagne le boulevard Bonne Nouvelle. Une foule dense l’entoure qui la distrait de ses pensées. Depuis son enlèvement en Syrie et sa miraculeuse évasion (Voir chapitre précédent) elle se repose dans sa maison de la Chaussée d’Antin, Elle a gardé près d’elle son inséparable Shannah, tous les jours un peu plus parisienne, dont les goûts raffinés se modèlent sur les siens, et la très utile Souria, toujours souriante qui se charge de cuisiner et de dorloter son nourrisson. Depuis deux mois, en convalescence après l’épisode dramatique de Syrie, Air-France ne lui a plus confié aucune tâche. Mais ce matin, elle a reçu une carte de l’Oncle Gabriel qui s’inquiète de sa santé. On ne résiste pas à Tonton Gabriel. A chaque escale, Françoise lui envoie une petite carte illustré à laquelle, il ne manque pas de répondre. Elle atteint rapidement le comptoir d’Import-Export, et le concierge dans le hall la salue avec le sourire, tandis qu’elle pénètre dans le secrétariat. Elle s’adresse à Mademoiselle Rose, quinquagénaire à lunettes dont la tête dépasse du comptoir d’acajou.
– Je viens voir mon Oncle.
– Il vous attend, Françoise.
Et d’un doigt exercé elle appuie sur un bouton invisible sous la tablette. La porte derrière la secrétaire donne accès à des toilettes un peu vieillottes, en marbre et en chêne vernis. Françoise, sans hésiter, saisit le porte serviette et le tord vers le plafond. Tout le panneau, lavabo compris, pivote sur son axe et dévoile un long couloir parquet‚ qui bientôt couvert de moquette s’éloigne, éclairé d’une lumière tamisée. Un ascenseur la conduit au cinquième étage au bureau des opérations. La secrétaire personnelle du Boss la gratifie d’une solide poignée de mains.
– Comment allez-vous Anne ?
En franchissant le porte secrète, Françoise a retrouvé son identité : Anne de Neubourg, capitaine de l’Armée française, attachée aux services spéciaux. Le colonel Vidalain, dit l’Oncle Gabriel la reçoit avec effusion. Une mission importante lui est réservé. Profitant d’un Congrès international du personnel navigant, Anne-Françoise doit représenter la France mais aussi nouer des contacts étroits avec des milieux d’affaires proches des compagnies américaines, mais liés également au show-business. Des crédits importants sont à sa disposition à New York et en Californie. Pour assurer sa couverture, Françoise voyagera avec ses deux amies et le bébé métis de la noire Souria.
Dans un beuglement de colère, le Concorde s’arrache à la piste et fonce vers le zénith, puis après avoir accompli une parabole parfaite, il trouve son altitude préférée et le cap sur New-York. Enfoncées dans les profonds fauteuils, Shannah et Souria se taisent, impressionnés par le fracas des moteurs. En grande conversation avec une hôtesse, Françoise lit la liste des passagers, elle sait qu’il est important de nouer un contact avec le sénateur Brown qui occupe à lui seul une rangée de sièges réservés. Très puissant personnage, aussi influent au Sénat, que dans le conseil d’Administration de plusieurs banques, il serait dit-on le conseiller secret de la maffia, très amateur de jolies femmes, avocat des producteurs de films à succès. En entrant dans la cabine, il a jeté un regard perspicace sur les deux amies de Françoise et lorsque celle-ci gagne le petit bar, il se lève et vient à son tour demander une coupe de champagne. Françoise lève les yeux et son regard suffit à faire disparaître la stewardesse. Le sénateur se lance à l’abordage en français, preuve qu’il s’est renseigné sur l’identité‚ des passagères.
– Je suis très heureux de voyager dans ce Concorde, puisqu’il me donne l’occasion de contempler la jolie Françoise, l’hôtesse de l’Air dont l’enlèvement a bouleversé la France et aussi l’Amérique. Je vois que ces péripéties n’ont pas nuis à votre beauté. Vous êtes plus belle que jamais.
Notre amie lui répond en anglais qu’elle est très heureuse de rencontrer un homme aussi célèbre en France qu’en Amérique. Et que son jugement lui fait grand plaisir venant d’un connaisseur qui avait été le mari de plusieurs beautés américaines. Brown d’un geste qui parait anodin, ferme la porte du bar derrière lui.
« L’opération Brown débute à 15 h 27 », déclare mentalement Françoise, tandis que le sénateur la saisissant par le bras, l’a fait virevolter devant lui comme pour mieux apprécier sa taille fine et ses hanches de rêve. Comme elle ne résiste pas à cette traction, il l’attire vers lui. Feignant de glisser, Françoise tombe dans ses bras et sa bouche ouverte dans un cri de stupéfaction bien imité, s’écrasa sur la sienne. Un long baiser les réunit, enlacés. A travers la fine chemise de soie du parlementaire milliardaire, elle sent l’humidité de son torse mouillé de sueur. Il fait très chaud dans ce petit réduit. Mêlé au parfum de son eau de toilette, elle perçoit son odeur corporelle puissante qui évoque des étreintes idéales.
« Je mouille » se dit-elle ! « il va sentir mon désir, comme je perçois le sien ».
Le solide quadragénaire la tient fermement par la taille de la main gauche, la droite appuyé sur la poitrine de notre héroïne ferme la prise et évalue discrètement l’élasticité du soutien-gorge. Il presse son bas-ventre contre le sien et elle sent, sous le fin tissus de cachemire du pantalon, acheté à Londres et adapté au climat californien, qu’elle ne le laisse pas indifférent. Françoise, par pudeur, tente de réagir, mais son tempérament et sa mission se complètent pour faire échouer sa résistance. Le milliardaire la traîne dans le couloir et gagne la porte des toilettes. Il ferme le verrou et assied Françoise sur le lavabo. En se débattant sous la poigne énergique du sénateur, elle perd ses souliers. Il écarte les jambes de notre hôtesse, en poussant en avant son ventre comme un bulldozer. Françoise respire bruyamment, sa poitrine se soulève, son parfum favori s’évade du décolleté et fouette les sens du milliardaire excité. Glissant la main sous la jupe du deux pièces de soie sauvage, il atteint la ceinture du slip et le tire sur les cuisses. Notre hôtesse en perdant la protection de sa culotte, semble soulagée, libérée de toutes contraintes, elle livre son entrejambes à la main fourrageuse du mâle qui sans attendre, investit le clitoris, écarte les lèvres et pointe son index dans la vulve. Françoise soulève son bassin et porte son ventre à la rencontre du doigt dispensateur de voluptés. Sans un mot, Brown, la conduit dans un W.C. et avec son aide, laisse tomber son pantalon et son slip, s’assied sur le siège et l’attire à califourchon sur son sexe dressé. Françoise se plante sur le pénis et s’étonne de sa faible longueur. Le sénateur se trémousse, la sueur coule sur son visage hâlé de play-boy prolongé. La vivacité de sa verge et sa grosseur rachète son côté dérisoire, Françoise ne tarde pas à jouir, elle mouille abondamment et la cyprine coule à flot sur les couilles du parlementaire avant de tomber goutte à goutte dans le vase du W-C. Le bruit d’eau excite le sénateur.
– Oh ! Oui, j’aime ça, pisse sur moi. Je veux sentir ton urine couler sur mes couilles !
Françoise sourit, malgré‚ la jouissance qui monte, elle éprouve un besoin pressant d’uriner et sous la prière du californien, elle libère sa vessie, le pénis frétille, toujours engagé‚ dans son sexe. Sous le flot brûlant qui mouille le poil de son pubis et inonde ses testicules, le quinquagénaire ne peut plus se retenir, il jouit et les palpitations de sa bite entraînent l’orgasme de Françoise, qui perd sa cyprine et son urine confondues. Longtemps, ils restent immobiles dans le réduit, sentant la jouissance se retirer et le sexe de l’homme se ratatiner dans le réceptacle de sa partenaire. Ensuite, très excité, le parlementaire d’une langue expérimentée tient à nettoyer toutes traces d’urine sur le corps de sa partenaire. Léchant tous les replis et s’enivrant du goût et de l’odeur d’urine. Rhabillés et apparemment très corrects, ils retournent vers les fauteuils.
– Comment savais-tu que je suis fou de ce genre de sexualité ? Je n’en ai jamais rien dit à personne ?
– Je n’en savais rien. C’est également ce que je préfère. Répondit Françoise sûre de répondre à un penchant secret et de nouer des relations durables avec cet homme important.
La fête égyptienne.
Le Waldorf-Astoria ne relève pas des établissements tranquilles et reposants. Une nuée de garçons d’étage, de femmes de chambre, de maître d’hôtel, de grooms, de voituriers, de concierges s’agite en un ballet incessant qui persiste même la nuit. Shannah très impressionnée par le clinquant et le luxe ostentatoire des lieux accompagne Françoise qui se rend à l’invitation du sénateur à une soirée très spéciale, dont le thème tourne autour de l’Egypte des pharaons. Le chauffeur-valet de chambre du parlementaire attend dans le hall. Fardée par la syrienne qui lui a dessiné‚ des yeux de biche, Françoise enveloppée dans un long manteau de soie noire, porte une valise d’accessoires de théâtre qu’elle a loués dans la sixième avenue. Une Cadillac noire aux fenêtres opaques les accueille, la destination demeure secrète. Après une heure de route, la berline pénètre dans le jardin d’une somptueuse villa, mise à la disposition du milliardaire et de ses invités. Une petite pièce réservée à Françoise et à Shannah, permet à l’hôtesse de l’air de revêtir son déguisement, une panoplie complète de reine d’Egypte. La jeune française porte sous son manteau, une légère tunique transparente qui ne cache rien de son corps magnifique. Un pectoral d’or enrichi de gemmes précieuses dévoile ses seins appétissants, une ceinture de pièces d’or, d’où pendent des scarabées sacrés et des chaînes entremêles de gros cabochons de lapis-lazuli sont sensés dérober aux regards sa superbe toison pubienne. Habillée en esclave soumise, les cheveux noirs dissimulés par une énorme perruque de lin, Shannah pose sur la tête de son amie, le Pschent, cette coiffure qui symbolise le pouvoir sur la haute et la basse Egypte. Devenue Cléopâtre, investie dans son personnage elle remercie d’un sourire sa servante, qui introduit ses doigts fuselés dans les tuyaux d’or de ses gants. Ses pieds sont chaussés d’une semelle qu’elle maintient grâce à un serpent d’or qui ondule sur ses orteils laqués. Elle fait une entrée remarquée dans la salle réservée aux invités. Elle gagne une estrade basse surmontée d’un fauteuil doré portant de la main droite le fléau d’or et de la gauche, le sceptre qui affirment son autorité‚. Shannah agenouillée à ses pieds, les seins nus, porte une courte jupe blanche. Les spectateurs sont subjugués, Brown vivement applaudi pour ses initiatives, vient baiser la main de sa conquête. En cet instant, il se prend pour César retenant captive la reine d’Egypte. Les invités, un verre à la main se sont rapprochés et détaillent à haute voix les beautés découvertes. Mais déjà, la lumière défaille, un projecteur hollywoodien allume des éclairs dans les bijoux en toc. La voix de Shannah s’élève tout à coup dans le silence retrouvé.
– Oh reine, toi qui es la déesse de la fécondité, la mère de toutes nos richesses fait pleuvoir tes bienfaits sur ton peuple éploré‚ qui attend la crue de son grand fleuve. Accepte l’hommage des humains qui désirent copuler sur ton corps divin pour hâter la montée des eaux. Accepte leur semence généreusement répandue sur ton corps de déesse. Prend place sur l’autel du sacrifice.
Françoise-Cléopâtre s’étend avec abandon sur un tapis de pétales de roses dressé sur l’estrade. Très excités, les mâles de l’assistance dont nombreux sont ceux déjà dévêtus, entourant le corps sublime se masturbent, parfois aidés par la Syrienne. Les plus ardents, les plus rapides éjaculent déjà, cherchant les seins ou le pubis. Des flots de sperme dégoulinent, se croisent, se mélangent. du plus gras au plus liquide. L’émotion sexuelle s’empare des femmes qui relevant leur robe du soir se masturbent en criant. On y reconnait des actrices superbes les doigts enfoncés dans leur chatte et hurlant de désir. D’autres plus âgées, couvertes de bijoux, prise par l’ambiance, cherchent chez une amie, une main secourable pour activer leur jouissance. Entre-temps, la couche de sperme qui recouvre le corps de la reine brille sous les projecteurs. Brown très excité, exhibe son petit pénis ridicule, complètement nu, il se couche sur le corps de Françoise et la pénètre brièvement. Les retardataires le prennent également comme cible. Shannah reprend la parole :
– Oh reine gratifie ton peuple de tes eaux bienfaisantes.
A genoux, devant l’estrade, elle attend. Et le miracle s’accomplit, un énorme jet jaillit du sexe entrouvert de Françoise. L’urine tourbillonne dans les rayons des spots et asperge l’esclave agenouillé et tous les spectateurs avides de recevoir cette douche brûlante. L’urine dilue le sperme sur les cuisses de l’hôtesse. La Syrienne lèche en poussant des cris de jouissance. Des femmes dépoitraillées prélèvent du liquide pour se masser les seins. Brown extrait Françoise de sa couche fleurie et l’entraîne dans une pièce voisine. Dépouillée de ses oripeaux de théâtre, Françoise est présentée par le maître de séant à un gigantesque noir, bâti comme un arbre, dont le corps nu brille comme de l’ébène.
– Je te présente Thimoty Tombstone, le plus grand spécialiste du casting de tous les Etats-Unis.
Le noir se penche pour lui baiser la main, la retenant entre ses immenses paluches, il embrasse la paume, l’avant-bras, les biceps et continue par les seins. Françoise se sent comme une toute petite chose dans les bras de l’athlète. Shannah restée dans la grande salle pour trouver son plaisir parmi les invités, lui manque. Elle comprend vite les desseins du sénateur, il veut voir. Voir le noir la pénétrer. Couchée sur la moquette, la française redoute l’énorme braquemart de Mister Tim. Celui-ci, avec une grande douceur, écarte les grandes lèvres poissées par les orgasmes répétés de Françoise, il explore le vagin surchauffé‚ d’une langue pénétrante, mais se décide pour l’anus. Le sphincter sous la caresse insistante et l’appoint de salive, s’entrouvre et libère la douceur de ses parois. La grosse bite prend son appui et le gland force l’ouverture. Françoise n’a pas souffert, l’excitation couvre la douleur, elle jouit tandis que le membre tendu plonge plus profondément en elle. Brown se masturbe et bientôt il arrose le plancher de quelques gouttes de sperme, tandis que Françoise et Tim liés par un même cri, unissent leur plaisir dans un orgasme partagé.
à suivre
ça donne le tournis… et la trique
Que k’aime ce genre de récit où l’aventure se conjugue avev l’érotisme
Quelle partouze !