L’inconnue de Toulouse par Micheyl
Chapitre 1
Rencontre avec une inconnue
J’aurais dû aller aux toilettes avant de reprendre la voiture. En sortant de notre rendez-vous professionnel, alors que je prenais congé de notre contact, j’ai bien entendu la chasse d’eau. Pierre lui a pris ses précautions. Je me suis dit tant pis ; nous avons une heure de route, si ça presse, je lui demanderais de m’arrêter. Mais j’ai trop attendu. Nous approchons de faubourgs de Toulouse et mon pipi vite fait bord de route est compromis. Il faut que je me retienne jusqu’à mon hôtel.
En croisant les jambes j’y arrive, malgré quelques coups de poignard dans la vessie…
– « Le mieux c’est que je te laisse au métro me dit Pierre en entrant dans la ville. C’est direct pour ton hôtel et tu gagneras du temps ».
Ça tombe bien, le temps est précieux pour arriver dans la salle de bains. Cinq stations de métro, prendre la chambre à la réception et ce sera du bonheur. Pierre arrête sa voiture en bas d’une station. Je lui dis au revoir, j’attrape ma valise et je descends. Et là catastrophe ! Ma vessie bien comprimée quand j’étais assis me lâche. J’entends la voiture démarrer mais en même temps une longue giclée d’urine fuse dans mon slip. J’arrive tant bien que mal à me retenir, à faire quelques pas, et une deuxième douche coule sur mes cuisses. Impossible de tenir, je me précipite entre deux voitures en stationnement et je me soulage comme je peux, continuant à m’inonder le temps de sortir mon sexe. Sans aller jusqu’au bout quand même, par peur d’un passant et d’une réflexion. Je range l’objet du délit, prends ma valise et me dirige vers le métro. C’est désagréable ; j’ai l’entrejambe trempé, le slip qui poche, et surtout une large tache humide en haut des cuisses. C’est bien la première fois que je pisse dans mon pantalon !
Très gêné, je dissimule les dégâts avec ma valise. La rame arrive, heureusement il y a peu de monde. Je me tourne vers l’extérieur en rêvant à ma chambre d’hôtel comme un chien rêve à un os.
Nouvelle station, plein de monde monte dans la rame. Peu importe, c’est dans mon dos. Encore une station, et là, misère ! Les portes s’ouvrent de l’autre côté et je suis tout exposé. Impossible de me cacher avec ma valise. Au moment où les portes vont se refermer, une jeune femme monte en me poussant légèrement. Un sourire d’excuse, elle est grande, bien charpentée, belle. Je pense qu’elle va se retourner, mais non, elle reste campée devant moi. Le face à face m’aurait plu dans d’autres circonstances, mais avec l’entrejambe dégoulinant, je ne me sens pas à mon avantage.
Et quand je parle de sentir, c’est à bon escient. La belle fait frémir doucement ses narines et ses yeux se vrillent dans les miens. Elle me dévisage fixement au point que je vois ses pupilles se dilater. Je deviens tout rouge ; elle a dû sentir l’odeur de mon urine ; je n’avais pas pensé à ça.
J’esquisse un sourire, je tente de regarder ailleurs quand brusquement elle attrape mon entrejambe à pleines mains. J’ai un mouvement de surprise, mais je parviens à me contrôler.
– Espèce de gros cochon de pisseur… ».
Je n’ai pas rêvé, c’est bien elle qui m’a parlé. Je suis mort de honte, mais ça semble plutôt l’amuser. Elle ouvre ma braguette et maintenant me malaxe à travers le slip trempé. Elle cesse ensuite de bouger, me regarde fixement et je la vois trembler légèrement. Elle est campée devant moi, jambes écartées, la main dans mon pantalon. Il se passe quelque chose que je ne comprends pas… C’est en baissant les yeux que je reste pétrifié. Elle est en train de pisser. Ça ruisselle de sous sa minijupe, sur les deux jambes, avant d’atteindre ses escarpins et de faire une petite flaque sur le plancher. Nouvelle station, heureusement nous sommes du bon côté. Je me laisse faire lorsqu’elle me prend la main et qu’elle me la pose directement sur son sexe, sous la jupe. Elle ne porte qu’une culotte dans un état épouvantable. Un filet de pipi me coule sur les doigts. Je la regarde à nouveau et là je n’en crois pas mes yeux. Je suis sûr qu’elle est en plein orgasme, triturant mon sexe à travers le slip trempé, ma main sur sa vulve et sa culotte dégoulinante.
Incroyable rencontre, je m’aperçois seulement maintenant que je bande comme jamais ! J’ai une envie primitive, absolue de la culbuter contre la paroi de la rame, de m’enfoncer en elle et de l’entendre hurler.
Mais elle a compris le danger, sort sa main et se retourne, me montrant sa chevelure qui descend doucement sur ses épaules. Je pose mes mains sur ses hanches, mais on arrive à ma station. Elle descend devant moi, je la suis, valise à la main, oubliant complètement mes humidités.
– « Je t’ai bien dit que tu es un gros cochon de pisseur. Regarde ta main ! ».
Ma main est toute mouillée. C’est son urine et sans réfléchir je la porte à mon nez pour respirer cette odeur qui achève de me propulser dans un état de rut indescriptible.
– « Où vas-tu avec cette valise ? »
Je lui bafouille mon histoire, mon accident, mon hôtel…
– « Si je comprends bien tu te dépêche parce que tu as encore envie de pisser gros cochon ? On va voir ça. Je vais avec toi »
Sans me laisser répondre, elle s’engage dans l’escalator. Trois marches en dessous j’aperçois sa culotte sous sa jupette. Une culotte en coton blanc, toute simple, qui pendouille à l’entrejambe sous le poids de son pipi. Je n’en peux plus de bander. Vivement l’hôtel !
Chapitre 2
Rencontre avec une inconnue
Le réceptionniste nous accueille avec un sourire commercial. Je réserve toujours une chambre avec un grand lit, ça tombe bien. Il me tend la clé
– « Chambre 607, 6ème étage, l’ascenseur est au fond du hall ».
Nous montons, j’appuie sur 6 et aussitôt la jeune femme croche une main dans mes cheveux, me force à me baisser et m’enfouit le visage sous sa jupe. C’est trempé, j’ai du mal à respirer, l’odeur est très forte. Elle se frotte littéralement l’entrejambe sur mon visage, sans aucune douceur.
– « Alors gros cochon de pisseur, tu aimes ? »
Je n’ai pas le temps de répondre, elle me relève toujours en me tirant par les cheveux. Nous sommes à l’étage. Vite, la chambre. À peine entré je jette ma valise et me précipite sur la belle, malaxant deux seins magnifiques. Elle n’a pas de soutien-gorge. Je n’avais même pas vu. Je cherche à l’embrasser et à la faire tomber sur le lit. Je n’en peux plus, je bande tellement que j’ai l’impression de ne plus vivre que par mon sexe.
Je ne sais pas comment elle fait, mais elle esquive le mouvement et je me retrouve tout seul sur le lit. Elle s’écarte, sentant bien que je vais repartir à l’attaque et me repousse du pied. Son escarpin est posé sur ma poitrine. J’ai une vue imprenable sur ses cuisses et sur le reste. Quelques petites touffes de poils noirs sortent des bords ourlés de la culotte devenue complètement jaune après qu’elle se soit vidée dedans.
– « Déshabille-toi gros cochon de pisseur » .
L’ordre est bref, je n’ai surtout pas envie de discuter. Je me relève, fait valser mes chaussures, retire ma chemise et je m’attaque au bas.
« Non. Juste le pantalon. Garde le slip ».
Elle s’approche, regarde, s’assoit sur le bord du lit, le visage juste à hauteur de mon sexe. Elle pose son nez, puis sa bouche, se délectant de l’étoffe mouillée. Cette fille est incroyable. Une vraie perverse. Mais elle est canon et moi j’ai envie de la culbuter.
– « Si tu bouges ou si tu ne fais pas ce que je te dis, je m’en vais. Tu pourras toujours te branler ensuite… »
Je la regarde, et je vois qu’elle ne plaisante pas. D’accord, je vais entrer dans ton jeu ma donzelle. Amuse-toi si tu veux, mais je peux te dire que quand je te clouerai sur le lit, j’aurais ma revanche et je t’ouvrirais en deux.
– Tu venais terminer à l’hôtel ce que tu as commencé dans la rue, gros cochon de pisseur. Alors continue ».
Le temps que je comprenne ce qu’elle veut, elle s’est déshabillée, gardant juste sa culotte. Elle m’écarte les jambes, se place juste en dessous de mon sexe et regarde la poche trempée.
Je ne me trompe pas ! Cette salope veut vraiment que je repisse dans mon slip, devant elle. Pourquoi pas, mais l’ennui c’est que je bande comme un cheval. Ce qui me donne une idée agréable : je lui explique que si on fait l’amour tout de suite, je ne banderais plus après et je pourrais lui pisser dessus.
Elle me regarde sans rien dire, prends mes couilles dans sa main, appréciant le mouillé, puis suce le majeur de son autre main. Elle le suce comme elle me sucerait le sexe. Je bande toujours autant, enfin on va faire l’amour.
Mais non. Elle passe son doigt sous mon slip, cherche mon anus, et commence à s’y introduire. La première phalange est entrée doucement et puis d’un coup, elle s’enfonce le doigt jusqu’à la garde. J’ai un mouvement de recul, et son autre main commence à m’écraser les couilles. L’expérience est incroyable avec cette beauté qui me domine complètement, mais je suis à la limite de la douleur. Elle comprime encore un peu, pousse son doigt à m’en faire mal, puis relâche sa pression.
– – « Voilà gros cochon de pisseur. Tu ne bandes plus. Alors maintenant, pisse ! ».
Je me concentre, ce n’est pas facile avec un doigt dans le cul. Mais mes couilles sont encore un peu sensibles et finalement j’y arrive. Je sens l’urine jaillir de mon sexe. Avec toutes ces surprises, j’avais oublié combien j’avais encore envie de pisser.
La jeune femme a les yeux braqués sur le flot qui commence à passer au travers du coton, elle ouvre la bouche, recueille mon liquide, se frotte le visage. C’est une vraie chienne en chaleur, qui pousse de petits soupirs. Sans aucune retenue, elle se masturbe, une main passée dans sa culotte, deux doigts profondément enfoncés dans le vagin. Plus je pisse plus elle gémit ; j’ai l’impression de ne pas pouvoir m’arrêter. Elle crie, et peu à peu mon sexe reprend de la vigueur. Ça me fait presque mal entre l’envie de finir d’uriner et le désir sexuel qui tend ma verge. C’est la bandaison qui gagne, lorsque la belle s’arrête de crier, épuisée par son orgasme, le visage enfoncé dans mon entrejambe, l’urine lui coulant sur le cou et le haut du dos. La glace de la chambre me renvoie une vue d’une incroyable obscénité.
Elle se relève doucement et m’embrasse. Sa langue a le goût de mon urine, mais ce n’est pas désagréable. Mes mains ne savent plus où donner des doigts ! Je malaxe ses fesses bien fermes, ses seins, je la pousse sur le lit et je frotte mon sexe contre le sien. Pas le temps de finir de se déshabiller, je ne tiens plus. J’écarte mon slip, sors mon sexe en érection, et je tire doucement sur l’élastique de la culotte de la belle. Je vais m’y glisser et enfin atteindre mon but.
C’est presque fait lorsqu’elle me désarçonne.
– « Attends gros cochon de pisseur, je vais m’occuper de la suite ! »
Elle me plaque sur le lit et s’assied carrément sur mon visage. Je ne sais plus où donner de la bouche et du nez. Sa culotte est colée à sa vulve et a des forts relents de son urine et de sa jouissance.
– « Lèche-moi à travers ! »
Je m’exécute et la belle soupire et gigote. Mais elle commence à s’occuper de moi. Elle prend mon sexe tendu à pleine main, et me fait une fellation par-dessus mon slip ! Le tissu trempé de pipi s’imbibe à présent de sa salive. De temps en temps elle me mordille le gland, et je sens un doigt qui repart à l’assaut de mon œillet.
C’est trop, je vais exploser. Je ressens le plaisir qui monte dans mes reins, j’y suis presque…. Et c’est alors la surprise. La belle jouit à n’en plus finir, et elle se lâche. Elle urine à plein geyser, tout me coule dans le nez, sur les yeux, dans la bouche, au rythme de ses coups de reins et de son orgasme. Quelle santé incroyable.
Le pipi n’a pas fini de couler qu’elle me reprend en bouche, toujours à travers mon slip. C’est trop, j’explose et je sens mes jets de semence trop longtemps contenus s’écraser sur le coton. Elle me laisse reprendre mes esprits, puis frotte doucement le gland rendu très sensible, pour faire filtrer ma semence à travers le slip, qu’elle lèche goulument.
Nous sommes restés longtemps imbriqués dans ce 69 humide et poisseux, à reprendre nos esprits. Je me suis assoupi sans m’en rendre compte, pour me réveiller en sentant la belle me secouer le pied. Elle s’était douchée et rhabillée, prête à partir.
– « Retire ton slip et donne le moi gros cochon de pisseur… »
Je m’exécute encore groggy. Elle le prend et l’examine dans tous les sens. Le blanc a viré au jaune, avec des tâches gluantes, sans parler du forçage de ma rondelle !. Elle le renifle et, à ma grande surprise, elle l’enfile avant de bien s’en frotter l’entrejambe. Puis elle prend sa culotte posée sur un meuble, et me la jette à la tête.
– « Tiens gros cochon de pisseur, tu vas la porter jusqu’à demain ».
Elle tourne les talons et j’entends la porte claquer. Je réalise alors que je ne connais même pas son prénom et que je n’ai aucun moyen de la retrouver !
Désappointé je me dirige vers la douche, sa culotte sale à la main. La glace du lavabo est maculée d’un message au rouge à lèvres : « demain, 16 h à la terrasse du café au coin de la rue ».
Le siège des toilettes est relevé et l’eau toute jaune : l’ultime cadeau de mon inconnue.
Chapitre 3
Rencontre avec une inconnue
J’ai vraiment été un idiot de ne pas demander à cette fille son numéro de téléphone. Après notre rencontre torride, elle est partie sans un mot, me laissant juste un rendez-vous écrit au rouge à lèvres sur la glace de la salle de bains.
Un rendez-vous à la terrasse de ce café où je poireaute depuis 20 minutes. J’ai fini ma bière et je commence à désespérer. Cette perverse s’est moquée de moi et elle ne viendra pas. Encore dix minutes et je m’en vais. Pourtant rien que de penser à elle je bande. Je me trémousse doucement sur mon siège pour être un peu moins comprimé, lorsque le serveur pose devant moi une énorme chope de bière, une demi-bouteille d’eau et s’en va. Je vais pour le rappeler lorsque j’entends une voix juste derrière moi.
– « Bonjour gros cochon de pisseur ! »
Je me retourne, elle est tranquillement attablée. Son verre vide me prouve qu’elle est là depuis un moment, probablement à m’observer. Je pose les deux consommations sur sa table sans pouvoir parler. Elle est si belle que j’en ai le souffle coupé. Elle sourit doucement, avec une pointe d’ironie, ses prunelles rivées dans les miennes.
Elle se sert un verre d’eau, pousse la bière vers moi et se cale tranquillement dans son fauteuil. Je trinque avec elle, bois un peu et au moment où je vais pour reposer la chope, elle me prend la main pour me faire continuer à boire. J’avale de plus en plus difficilement, mais elle finit par m’accorder une pause. Son pied vient se frotter mon entrejambe sous la table et je rebande de plus belle. Je m’aperçois alors qu’elle a son sac posé tout en haut de ses cuisses et que sa main disparaît en dessous. Sans aucune gêne, elle est en train de se masturber sur cette terrasse bondée. Seul un vieux reste de civilisation m’empêche de me précipiter sur elle et de lui enfoncer mon sexe au plus profond du ventre. Cette garce doit être inondée.
J’en suis là de mes réflexions lorsqu’un groupe de touristes arrive, regroupant les chaises libres. Il leur en manque une. À ma grande surprise, mon inconnue leur fait signe, se lève et leur donne sa chaise, les assurant qu’on va s’en aller. Puis elle s’assoit sagement sur mes genoux, me tend ma bière et me regarde la finir.
– « Qu’est-ce que tu portes sous ton pantalon gros cochon de pisseur ? »
Je deviens tout rouge, avec l’impression que tout le monde a entendu. Je lui réponds tout doucement que je porte la culotte qu’elle m’a laissée hier. Cette culotte encore toute jaune de son urine, qui sent fortement le stupre et le sexe.
– « Fais- moi voir ! »
J’hésite…
– « Fais- moi voir ou je m’en vais ! »
Plus d’hésitation. Discrètement j’ouvre ma braguette, mine de rien, mais ça n’a pas l’air de lui suffire. Sans vergogne elle défait ma ceinture et ouvre largement mon pantalon. Je n’ose pas regarder autour de moi. Heureusement qu’il ne s’agit que d’une sage culotte de coton et pas d’une lingerie fine ; j’aurais l’air malin…
La belle regarde, me caresse le sexe, puis les couilles, prend le tout en main, vérifie que c’est bien sa culotte, puis change de position. Elle relève sa jupette et s’assied directement sur mon sexe en sirotant son verre d’eau. C’est très discret, mais je sens bien qu’elle se frotte doucement la vulve sur mon sexe qui grandit encore. A ce rythme-là, je vais éjaculer très vite, d’autant que depuis mon réveil je ne pense qu’à m’enfoncer dans son ventre.
Elle tourne la tête, me regarde fixement et se frotte un peu plus. Maintenant que je connais son comportement, je sais qu’elle va jouir. Sa perversité ne semble avoir aucune limite et je sais bien que plus que le fait d’être assise sur une bite bien dure, placée au bon endroit, ce qui la fait jouir c’est que je sois à ses ordres, que je porte sa culotte sale, que la bière me gonfle la vessie, et que toute cette obscénité se déroule au milieu de gens qui semblent n’avoir rien remarqué.
Ses pupilles brusquement se dilatent ; la belle se fige et se met à trembler comme si elle avait froid. Elle ne s’inquiète plus de rien, pas même du serveur qui commence à se douter de quelque chose et qui nous regarde à la dérobée. Je n’ai plus qu’une envie, c’est d’aller à l’hôtel tout proche, de lui arracher ses vêtements et de l’inonder de sperme dans tous les orifices dont la nature l’a doté.
Elle se calme un peu, l’orgasme est passé. Avec un peu de chance, elle va être d’accord pour partir, mais ce n’est pas gagné. Elle me regarde à nouveau, s’assois un peu plus confortablement et c’est là que je sens la catastrophe. Brusquement mon entrejambe est trempé. Un long filet ininterrompu d’urine me coule sur la culotte, m’inonde le sexe, se glisse sous mes fesses. J’ai un sursaut de recul, mais la belle me maîtrise et me regarde en souriant, les yeux à demi fermés. Elle se concentre sur ce qu’elle fait : elle me pisse dessus, elle me vide une vessie pleine à craquer sur mes vêtements ! Le flot semble ne jamais devoir s’arrêter, je suis trempé. Bien sûr je dois bien reconnaître que ça m’excite, mais en même temps je ne sais plus où me cacher tellement j’ai honte.
Enfin elle a fini. Je n’ai pas le temps de me demander comment je vais faire qu’elle est déjà debout et qu’en catastrophe, il faut que je referme mon pantalon. Je me lève, le siège dégouline, il y a une flaque de pipi en dessous et, bien plus embêtant, tout le devant de mon pantalon est à tordre. Plusieurs personnes me regardent en riant quand je slalome entre les tables, expliquant comme je peux que j’ai renversé ma bière. Je baisse même la tête en passant vers le serveur qui a les yeux rivés sur les fesses de mon inconnue. Sa jupette se balance doucement, ne cachant rien de ses cuisses.
Sans rien dire elle m’entraîne vers l’hôtel, puis vers la chambre. Enfin ! Elle se laisse embrasser, je lui défais son chemisier, son soutien gorge, et la jupe tombe par terre. Je lui lèche les seins presque sans aréoles, ses tétons durcissent entre mes lèvres et je joue à les mordiller. Elle s’est appuyée sur la table, et se laisse faire les jambes grandes écartées. C’est quand mes mains abandonnent sa poitrine et s’attaquent à ses fesses que quelque chose m’étonne. Tout est inondé d’urine, mais ce n’est pas ça. Je regarde et là surprise, elle porte mon slip ! Celui que j’avais hier lorsqu’un malencontreux accident m’a fait me pisser dessus. Celui que, sous les ordres de cette perverse, j’ai dû souiller à nouveau, celui dans lequel elle m’a fait cracher ma semence.
– – « Et bien gros cochon de pisseur, qu’est-ce que tu attends ? »
Comme je reste interdit, elle croche sa main dans mes cheveux et me force à descendre ma bouche vers son ventre. Plus j’approche de son sexe plus l’odeur est forte. Celle de son urine toute fraîche qui détrempe et déforme le tissu, mais celle aussi du sous-vêtement lui-même, qui depuis plus de 24 h subit les pires sévices. La forte odeur me prend au nez, mais la main sur ma tête me force à aller plus loin. Oubliant tout, je me mets à sucer avidement ce slip mouillé, à lécher et mordiller le sexe qui se trouve en dessous. Je malaxe les deux fesses bien fermes qui ondulent au rythme de ma langue, je passe un doigt sous l’étoffe et l’enfonce dans son anus. Je n’ai plus qu’un seul but, la faire jouir à nouveau, au point d’en oublier mon propre sexe. C’est elle qui m’arrête.
– « Pas comme ça gros cochon de pisseur. Tu vas me montrer ce que tu sais faire… »
Elle me retire mon sous-vêtement, ou plus exactement sa culotte, la renifle longtemps, puis s’allonge sur la moquette. Je veux m’allonger sur elle, mais elle me repousse. En suivant ses instructions je me mets à genoux au-dessus d’elle, les fesses à hauteur de son visage, puis elle me fait baisser le buste, jusqu’à ce qu’à nouveau ma bouche s’écrase sur son sexe.
L’odeur ne me gêne plus et je recommence à la dévorer lorsque je sens qu’elle m’enfonce quelque chose dans le cul ! Je ne sais pas ce que c’est, ce n’est pas dur, mais elle pousse avec son doigt. Je l’entends même cracher pour humidifier le tout. J’interromps mes léchouilles et la glace de la chambre me renvoie une image incroyable. La belle m’a tout simplement mis sa culotte dans l’anus. Il n’en dépasse plus qu’une petite moitié, et elle s’amuse encore à pousser avec son doigt.
Nos regards se croisent dans la glace, le sien est complètement déjanté, ivre de sexe et de plaisir. Elle m’empêche de changer de position, frotte son visage contre ce qui reste de sa culotte et prends mon sexe à pleines mains, sans aucune douceur. Tout de suite je comprends ce qu’elle veut et je me laisse aller. À la limite de la douleur, je commence à débander.
– C’est bien gros cochon de pisseur. Tu sais ce qu’il te reste à faire !
Obéissant je replonge sur son entrejambe tout en libérant mes sphincters. Ma vessie gorgée de bière envoie un jet sous pression que la belle prend en pleine figure. Plus je pisse plus elle se sert de ma bite comme d’un tuyau d’arrosage. Elle inonde ses cheveux, ses seins, se remplit la bouche, pendant que ses hanches sont prises d’une forte houle. C’est l’apocalypse, elle se met à hurler, son corps se tend en arc de cercle, puis devient inerte. Elle joue juste avec mon gland pour profiter des dernières gouttes qui s’en écoulent.
Elle met longtemps à se reprendre, m’empêchant de bouger. Puis, enfin, elle me pousse, se lève, se regarde dans la glace en étalant un peu plus l’urine dont elle est couverte. Prévenant mon geste, elle m’empêche de retirer ce qui me pend entre les fesses !
– Tu m’as bien fait jouir gros cochon de pisseur. Tu as droit à une récompense.
Elle s’allonge sur le lit, se cale avec les oreillers, et écarte très grand les jambes. Je m’approche doucement et je lui retire ce qui reste de mon slip. Il est tellement sale et collant qu’il doit pouvoir tenir debout tout seul ! Je découvre un spectacle que j’avais deviné avec ma langue, mais que je n’avais pas vu depuis longtemps. Un minou couvert de poils très noirs et très longs qui forment presque des tresses tant ils sont collants à force de coulures intimes et de décharges sauvages. C’en est trop, je me couche sur la belle inconnue, guide mon sexe entre ses lèvres et je m’enfonce doucement en elle. Je m’attendais à ce qu’elle soit ouverte, mais bien au contraire elle est très étroite, presque fermée. Je ressors, mets de la salive sur mon sexe, repars à l’assaut et parviens enfin à ce que j’attendais depuis hier.
Je suis solidement fiché dans le ventre de cette perverse et c’est enfin moi qui dirige les opérations. Je suis si excité que je crains de venir trop vite. Mais non. Cette longue bandaison fait que la sève prend son temps pour monter. Je sens le vagin s’adoucir sous mes coups de buttoir, elle a croisé ses jambes sur mes reins et je ne vis plus que par les sensations de mon sexe. Jusqu’au moment où j’explose en longs jets qui me transforment en pantin désarticulé. Ça semble ne jamais devoir s’arrêter, et je ressens une nouvelle explosion lorsque sans ménagement elle m’arrache sa culotte de l’anus. À bout de souffle, je m’alourdis sur ce magnifique corps de femme, incapable du moindre geste.
– « C’est bien gros cochon de pisseur … »
Chapitre 4
Rencontre avec une inconnue
– – » Fais monter du champagne gros cochon de pisseur… »
Je viens à peine de reprendre mes esprits, mon sexe inerte, terrassé par un orgasme dévastateur, encore fiché dans son ventre. Je n’ai pas trop envie de quitter ce doux logis, mais ma belle inconnue n’est pas patiente.
J’appelle le service d’étage pendant qu’elle se lève et se regarde longuement dans la glace en faisant bouffer ses cheveux. Elle frotte d’une main lascive la fourrure épaisse qui recouvre son sexe, porte ses doigts à ses narines pour en sentir longuement l’odeur mélangée de sperme et de pipi. Face à ce spectacle, mon sexe reprend de la vigueur. Elle s’en aperçoit, éclate de rire, se dirige vers la douche, se ravise et revient vers moi. Elle regarde le lit dans un état indescriptible, l’énorme tache humide sur la moquette, résultat de nos jeux de pipi, se met à genoux sous le lit, les fesses en l’air, me gratifiant au passage d’un spectacle qui accentue mon érection. Triomphante, elle ramène sa culotte, ou plus exactement ce qu’il en reste après que cette pièce de coton ait été détrempée de nos émissions les plus intimes, sans oublier les traces qu’a laissé son passage dans mon anus lorsque cette perverse s’est amusée à me sodomiser avec. Elle se dirige vers moi, s’accroupit et me force à mettre ce qui ne ressemble plus à rien, surtout pas à une culotte !
– « Tu vas rester comme ça gros cochon de pisseur pour ouvrir au garçon d’étage ! »
Je n’imagine pas un instant faire ce qu’elle me demande et je ne me gêne pas pour le lui dire.
– « Tu le fais ou je m’en vais ! »
J’hésite. Je sais bien qu’elle ne plaisante pas, mais je ne sais plus quoi faire. Hier par un lamentable accident, je pissais dans mon pantalon, lorsque cette garce m’a repéré dans le métro avant de m’emporter dans un tourbillon de sexe et de pisse. Pour moi tout cela est nouveau, ça m’excite terriblement lorsque je suis avec elle, mais je ne me sens pas capable d’affronter le regard des autres…
Je n’ai pas le temps de réfléchir plus, on frappe à la porte. La belle se cache dans la salle de bains, mais laisse la porte entrouverte. Je suis sûr qu’elle m’observe. Comme un automate, je me dirige vers la porte de la chambre et je l’ouvre. Médusé, je vois une jeune femme portant une bouteille dans un seau à glace et deux flûtes. Je m’efface pour la laisser entrer en bredouillant je ne sais quoi ; elle pénètre dans la chambre, pose son plateau sur la table basse et sans paraître gênée, regarde tranquillement l’état des lieux ! Je dois être rouge pivoine, mais ce n’est rien par rapport à ce que je ressens quand elle me regarde en se dirigeant vers moi. Elle baisse les yeux et s’attarde sur la chose qui tente de dissimuler une virilité qui n’est plus au mieux de sa forme, puis me tend la note à signer. Je me retourne pour attraper un stylo, lui tournant le dos, appose une griffe sur la note, lorsque je la regarde dans la glace. Elle a les yeux rivés sur mes fesses et à moins d’être victime d’hallucinations, je discerne ses narines qui frémissent, comme si elle s’imprégnait de la très forte odeur d’urine qui flotte dans la chambre. Sans un mot, elle reprend la note et le billet que je lui tends et repart en fermant la porte derrière elle. J’en ai la tête qui tourne encore en pénétrant dans la salle de bains. Mon inconnue est là, assise sur la baignoire ; elle n’a rien perdu de la scène et semble même en avoir profité car l’un de ses doigts s’est profondément égaré dans son entrejambe. Elle se lève, m’attire sous la douche et me demande de la laver. Cer n’est pas du luxe tant elle est couverte de pipi séché, sans parler de tout ce qui luit encore en haut de ses cuisses. Consciencieusement je la frotte, la savonne, la massant en même temps. Je commence par ses épaules, ses bras, son dos, avant de passer doucement mes mains sur son ventre et ses seins. Puis j’attaque les jambes, m’attardant sur ses pieds, avant de la faire tourner et de m’en prendre à ses fesses sur lesquelles je m’applique. Mon sexe est tellement raide qu’il sort de la culotte que je n’ai pas quittée. Le gland apparaît cramoisi, hypersensible, rendu fou par l’eau tiède qui vient le frapper. J’écarte doucement les deux globes, lave tendrement la rosette qui s’offre à moi, puis la lèche avec délices. La belle s’est cambrée et se laisse faire en gémissant. L’eau me coule sur le visage, glisse le long de mon corps et vient ruisseler sur mon sexe. Je n’ai alors plus qu’une seule envie : la sodomiser. Je redouble mes coups de langue, humidifiant son anus en profondeur. J’y fais pénétrer un maximum de salive, à tel point que la belle a compris.
– « Tu n’aurais pas une idée derrière la tête gros cochon de pisseur ?… »
Je ne réponds pas, mais elle comprend bien vite qu’en fait de derrière, c’est le sien qui m’intéresse. Je débarrasse mon sexe de son carcan de coton et en pose l’extrémité entre les deux fesses qui se tendent vers moi. J’essaie de me maîtriser, mais la tension est trop forte, il faut que j’entre, que je disparaisse en totalité au fond de ce puits de délices. J’entends à peine la belle crier lorsque mon sexe s’enfonce brutalement. Je me force à attendre un peu qu’elle se détende, mais c’en est trop. Le sang me bat sur les tempes, tout mon corps tremble, et je la pilonne comme un sauvage. Elle crie mais ne se dérobe pas. Mes reins s’enflamment, une brûlure en part, me déchire le sexe et je m’accroche à elle pour ne pas tomber pendant que je me vide dans ses fesses.
Anéanti je voudrais rester le plus longtemps possible sans bouger, mais elle ne l’entend pas de cette oreille. Elle se dégage et mon sexe encore sensible de mon orgasme se retrouve sous les puissants jets d’eau tiède, m’arrachant un cri de douleur avant que je me retrouve assis au fond de la baignoire, tentant de reprendre mon souffle.
– « Tu vas devoir me payer ça gros cochon de pisseur… »
Je sais qu’elle ne plaisante pas et que je devrais boire le calice jusqu’à la lie, mais peu m’importe, cette sodomie restera dans ma mémoire. Sur ses ordres, à peine remis de mes émotions, je continue de la laver. Elle frémit lorsque je répare mes débordements qui coulent de son anus à peine refermé, puis lorsque je passe à sa fourrure. Cette tâche terminée j’attaque ce qui se cache dessous, frottant doucement les délicates lèvres, caressant le clitoris, glissant sur le périnée. La belle se laisse faire, puis écarte mes mains et, en me tenant fermement par les cheveux, dirige ma langue au bon endroit. J’ai une bonne expérience du cunnilingus, mais elle ne me laisse pas faire. C’est elle qui me guide, avec des ordres brefs que j’exécute la bouche emplie d’eau mélangée à sa jouissance. Elle m’enfonce et me sert la tête entre ses jambes lorsque son orgasme explose, à tel point que je ne peux plus respirer, les mains crochées sur ses fesses. Heureusement elle me rend ma liberté en se calmant, mais me maintient dans la même position. Elle arrête l’eau, me regarde longuement en reprenant son souffle, approche un peu ma tête, puis m’inonde d’un formidable jet d’urine qui me frappe au visage, trempe mes cheveux et coule sur mon corps. Le jet s’arrête, elle me force à ouvrir la bouche, puis ça reprend de plus belle. Très vite ça déborde, me coule sur le menton, et sans réfléchir je fais ce que je n’avais jamais fait auparavant. J’avale avec plaisir ce qu’elle me donne, jusqu’à temps que la source se tarisse. Elle pousse encore quelques gouttes, rouvre l’eau, me fais la lécher encore un peu, puis elle disparaît enroulée dans un drap de bain.
Hébété, je reste sous la douche un long moment, les yeux fermés, concentré sur le goût qui me reste en bouche et sur la sensation qui monte d’un sexe qui ressent encore la pression de l’anus de ma belle inconnue.
Chapitre 5
Rencontre avec une inconnue
La douche m’a requinqué. En sortant de la salle de bains, une serviette nouée autour des reins, je suis agressé par l’odeur qui règne dans la chambre. Une forte odeur d’urine, de sueur et de sexe, qui n’a pu échapper à la serveuse qui, quelques instants plus tôt, venait d’apporter une bouteille de champagne.
L’odeur ne semble pourtant pas gêner la belle inconnue, tranquillement assise, occupée à finir de se brosser les cheveux. Sa serviette a glissé, dévoilant ses seins et son ventre sans que ça la perturbe le moins du monde. Elle est là, sereine, sans même avoir cherché à mettre un peu d’ordre dans le lit dévasté par nos amours torrides, sans avoir ramassé les vêtements dispersés dans la chambre, sans un regard pour la moquette maculée des douches dorées dont nous nous étions mutuellement arrosés.
– « Viens vite gros cochon de pisseur, j’ai soif ! »
Je m’approche du plateau et tandis que j’entreprends d’ouvrir la bouteille, la belle tend sa jambe, frotte son pied contre mon sexe, remonte un peu et fait tomber ma serviette. Elle regarde mon membre au repos, à peine remis d’une sodomie sauvage sous la douche. Les bulles pétillent dans le verre que je lui donne et qu’elle boit doucement en plissant des yeux. Elle est vraiment très belle et, malgré le peu d’habitude que j’ai des fantasmes qui sont les siens, je suis sous le choc, totalement à sa merci. Et elle le sait bien. Elle se cale et m’attire vers elle. Sous ses ordres, j’enjambe son fauteuil, m’asseyant les jambes grandes ouvertes sur les accoudoirs, mon sexe juste devant son visage. La belle continue de siroter son champagne, s’amusant à soupeser mes couilles d’une main coquine, poussant un doigt un peu plus loin. Je me laisse faire ; c’est certes très excitant, mais en l’espace de deux heures je lui ai fait violemment l’amour deux fois et je connais mes limites… Elle continue son exploration. À présent elle tient ma verge avec trois doigts, s’amuse à la décalotter ; elle sort mon gland, le regarde en souriant, puis le fait disparaître. Je ne bande pas encore, mais je commence à ressentir les prémices d’une érection que je sais difficile à faire venir. Peu importe, elle ne se presse pas. Imaginant un nouveau jeu, elle trempe ma verge encore souple dans ce qu’il lui reste de champagne, puis s’attaque à une ardente fellation à laquelle je me laisse aller délicieusement. J’oublie ma position inconfortable, la morsure des accoudoirs sur mes cuisses, savourant les lèvres qui m’enserrent, la salive qui en coule abondamment aux commissures, la langue qui monte et qui descend sur ma verge. La belle aspire avec force et je commence à grossir dans sa bouche. Ce n’est pas encore gagné, mais je redeviens présentable. Elle s’arrête, me sort de sa bouche, se recule pour mieux regarder. Ce que je craignais arrive, je recommence à débander, un peu honteux, mais elle ne se formalise pas. Elle finit son verre, le pose sur la table et attire vers elle le seau à glace dans lequel elle plonge la main. Elle en retire deux glaçons qu’elle met dans sa bouche, avant de se pencher vers mon sexe et de le gober à nouveau. Le contact avec les glaçons achève de le faire se rétrécir, mais elle semble ne pas s’en émouvoir, continuant doucement sa fellation. L’impression est étonnante. Du froid de départ, je ressens à présent la chaleur de sa langue qui tourne autour de mon prépuce, allant coquinement chercher le gland qui recommence à pointer sa tête. L’alternance du chaud et du froid dans sa bouche, et sa chevelure qui monte et descend sous mes yeux me redonnent vigueur. Je redeviens vaillant en envoyant mes mains prendre chacune un sein dont le bout durcit sous mes doigts. Je ferme les yeux pour savourer mon érection et ce moment incroyable. C’est à peine si j’entends remuer dans le seau. La belle a repris un glaçon qu’elle a vite remis en bouche. Mais elle a fait plus. Avec une main elle me passe doucement un autre glaçon sur les testicules qui très vite deviennent gelés. Je devrais sûrement débander, mais sa technique de fellation l’emporte largement. Je me concentre sur mon sexe et pour incroyable que ce soit, je devine la possibilité d’une nouvelle éjaculation qui, encore très loin au fond de moi, me laisser espérer une nouvelle issue gagnante.
La belle est patiente et continue son œuvre, sans le moindre signe de fatigue. Le glaçon qu’elle avait en main a fondu, ceux de la bouche maintiennent un peu de fraîcheur, mais la sensation de chaleur et d’aspiration prend le dessus. Mon plaisir monte, alors que j’ai toujours les yeux fermés. À présent je suis à peu près sûr de pouvoir jouir et je lâche ses seins pour poser mes deux mains sur sa tête, accompagnant ses mouvements.
La belle a compris, elle accélère. Dans le même temps, elle reprend un glaçon qu’elle frotte à présent contre mon anus. Je n’en reviens pas de ce que je ressens, la verge bien raide, le gland prêt à cracher à nouveau sa semence. Une semence que je sens monter, s’accumuler. Je résiste, désireux de retarder le plus longtemps possible l’explosion, mais la belle a une arme secrète : lorsqu’elle me sent prêt, elle enfonce ce qui reste du glaçon loin dans mon anus, le poussant avec un doigt. Le froid me saisit de l’intérieur, me fait relâcher mes efforts pour me contenir, et c’est en criant que je me vide dans la bouche qui m’enserre.
– Je ne sais pas ce que je préfère de toi gros cochon de pisseur. Ta pisse, ton foutre ou ton champagne…
Elle sourit, toute à sa performance, se ressert un verre, me fait lever encore sous le choc et m’agenouiller devant elle. Elle repousse sa serviette, écarte largement les jambes et me regarde droit dans les yeux. Elle a les pupilles largement dilatées, un signe qui chez elle ne trompe pas : elle est à deux doigts de l’orgasme. Sans rien dire elle lève son verre et fait couler le champagne entre ses deux seins. Je comprends le message et place mon nez entre ses cuisses, respirant l’odeur intime qui s’en dégage. Un petit coup de langue pour vérifier que la belle est réellement très excitée, et la petite rigole de champagne m’arrive dans la bouche. Je lape comme un chien, tachant de ne rien perdre. Elle commence à gémir et à onduler des hanches. La bouteille de champagne a remplacé le verre et m’abreuve régulièrement lorsque tout à coup je devine un nouveau goût. Je me mets alors à lécher de plus en plus vite, buvant à la fois le champagne qui ruisselle depuis ses seins et le pipi qu’elle vient de faire jaillir. Vrai et faux champagne se mélangent, et la belle sous mes coups de langue donne de furieux coups de bassin, avant de sa cabrer en arc de cercle et de pousser un hurlement que tout l’hôtel entend sûrement.
Je la laisse reprendre son souffle, et j’en profite pour boire ce qui reste directement à la bouteille. Je la contemple, totalement impudique, les jambes grandes ouvertes, la toison trempée, le sillon des fesses gluant de sa jouissance. Elle s’est assoupie !
Chapitre 6
Rencontre avec une inconnue
Je sors épuisé de mon rendez-vous d’affaires. Il faut dire que mes parties de jambes en l’air et de jeux de pipi avec la belle inconnue rencontrée quatre jours plus tôt n’ont rien arrangé. Lorsqu’elle est partie de ma chambre d’hôtel, elle a refusé de me laisser son numéro de téléphone. Je n’ai pas même son nom, je ne sais rien d’elle, sauf que ses pupilles se dilatent lorsqu’elle va jouir et qu’elle est d’une incroyable perversité, sans aucun complexe, dès qu’elle se lâche. Deux jours que je ne l’ai pas vu et je quitte Toulouse demain. J’ai erré dans le métro, là où je l’avais rencontrée, mais en vain. Je suis allé plusieurs fois à la terrasse de notre café, elle n’y était pas. Fatigué, je décide de me coucher tôt et je m’endors devant un film insipide.
C’est à une heure, que le téléphone me tire d’un sommeil profond.
– « Ouvre ta porte gros cochon de pisseur ! »
Elle a raccroché ! Je pense un instant avoir rêvé lorsque tout devient clair dans mon esprit. Je me précipite à la porte, l’ouvre en grand et reste bouche bée devant elle. Elle est là, tranquillement appuyée au chambranle, à me dévisager avec son éternel sourire moqueur. Elle entre dans la chambre, son regard descend et se pose sur mon slip. J’ai toujours aimé les modèles classiques, du kangourou blanc en beau coton bien doux et bien confortable, que je garde pour dormir. La belle aussi semble apprécier et glisse sa main dans la poche, allant chercher loin au fond mon service trois pièces. Je l’embrasse, tente de lui défaire son imperméable, mais elle se dégage et va sagement s’asseoir sur le bord du lit. Je cherche à la renverser, à la caresser, mais elle me repousse. À sa demande, je lui sers un jus de fruit pêché dans le mini-bar.
– « Es-tu prêt à faire tout ce que je te demande gros cochon de pisseur ? »
La connaissant, j’imagine le pire, mais la connaissant, je sais aussi que si je refuse elle va partir, et c’est sans beaucoup réfléchir que j’accepte. Après tout, peu m’importe, j’adopte par avance tous ses jeux pour avoir le plaisir à nouveau de me vider en elle. Son ventre, ses reins, sa bouche m’ont tour à tour accueilli, mais je revisiterais bien les trois. Surtout ses reins car c’est lorsque je l’ai violemment sodomisée que j’ai eu un peu de prise sur elle. Le reste du temps, elle me manipule comme un pantin obéissant, quémandant un plaisir que je sais qu’elle m’offrira. Il suffit d’attendre.
Et ça commence sévère. Elle se lève et à sa demande je me place à quatre pattes sur le lit, lui tournant le dos. Elle descend mon slip, me fait baisser l’avant de mon corps et je me retrouve les fesses en l’air devant elle. Il y a mieux pour l’ego masculin… Je l’entends fouiller dans son sac et j’ai très peur que cette perverse se mette à me fouetter. Mais non, je sens son nez descendre dans ma raie, s’arrêter sur mon anus, appuyer doucement, vite remplacé par sa langue. Elle me lèche sans retenue, s’introduisant au plus profond et je vois dans la glace qu’elle se caresse en même temps. Le jeu s’arrête, j’entends un bruit de sac, elle écarte mes fesses, puis un liquide froid coule sur mon anus, immédiatement suivi d’un doigt qui à son tour va tout au fond. Une caresse que j’adore et qui entraîne aussitôt une forte érection, oubliant mon étonnante position.
Le doigt va et vient, coulisse, m’élargit. Je ne sais pas ce qu’elle a dans la tête, mais j’aimerais bien qu’elle me branle en même temps. J’en suis là dans mes pensées lorsque je sens que le doigt s’est retiré, qu’un nouveau liquide froid se pose sur ma rondelle, tout de suite remplacé par quelque chose de dur qui commence à forcer le passage. Je cherche à me dérober, mais c’est trop tard, un plug vient de s’enfoncer dans mon cul, chose que j’avais déjà imaginée mais jamais réalisée.
La belle regarde son œuvre, remonte mon slip sur mes fesses et se lève. Elle refouille dans son sac, me fait me lever et m’ordonne de mettre une paire de bas qu’elle me tend. Pris au jeu je m’exécute assez maladroitement, le plug forçant mes entrailles. Le jeu continue, je mets une paire d’escarpin, un coupe-vent qui m’arrive à mi-cuisses, et un peu à contrecœur une perruque de couleur criarde. Elle me regarde en riant, passe sa main par en dessous et me caresse brièvement le sexe.
– « C’est bien gros cochon de pisseur. Prends ta clé et suis moi, nous sortons !… »
Je reste pétrifié, incapable de bouger. Elle s’approche de moi, repasse sa main dans mon slip, attrape mon sexe et me tire sans ménagement dans le couloir jusqu’à l’ascenseur. J’en ai les larmes aux yeux, je veux protester, mais elle me fait taire. Toujours tiré par la bite, j’arrive devant une voiture du parking, je monte et elle s’assied au volant, démarrant aussitôt, pendant que j’en profite pour ranger ma virilité avant qu’il soit trop tard…
Le trajet ne dure pas longtemps et nous arrivons devant une discrète bâtisse dont la porte s’ouvre immédiatement. Surpris, je reconnais la serveuse de l’hôtel qui, en apportant du champagne, me regardait déambuler habillé en tout et pour tout d’une culotte de femme dégoulinante d’urine et d’autres choses…
On descend un escalier et je suis introduit dans une grande salle avec une quinzaine de personnes. Aussitôt les conversations s’arrêtent, tout le monde me regarde, me souhaite la bienvenue. Hommes et femmes me détaillent dans mon incroyable tenue vestimentaire. Je suis très gêné mais ma belle inconnue me rassure d’un sourire. La serveuse revient et se propose de nous débarrasser. La belle retire son imperméable, et apparaît juste vêtue d’un body transparent. C’est à mon tour. Tout le monde s’y met et je dois abandonner mon coupe-vent, et me tenir ridicule, en slip kangourou, bas, escarpins et perruque devant ces gens que je ne connais pas et qui viennent me toucher. Une femme tire sur le devant de mon slip et regarde ce qui s’y trouve, avec un sourire gourmand. À ma grande terreur, un homme en profite pour y plonger la main, lorsque mon inconnue va encore plus loin, me fait monter à quatre pattes sur une table, me déculotte et expose à tout le monde ce qui me sort du cul ! Sous les exclamations, je sens des mains qui me touchent partout, une bouche qui m’embrasse, quelqu’un qui sort le plug puis le remet, quelqu’un d’autre qui me suce. Homme ou femme ?
Sans que je m’en aperçoive, tout le monde s’est déshabillé.
– La règle est simple gros cochon de pisseur, tu fais ce que tout le monde te demande. Et c’est moi qui commence.
La belle me fait accroupir sur la table, jambes grandes écartées. Elle appelle la serveuse qui vient s’allonger le visage sous mes fesses. Puis elle place ma verge vers le bas, bien calée dans mon slip, et m’ordonne de pisser. Tout le monde fait cercle autour de moi. Dans un état second, je me laisse aller et l’urine commence à couler, passant au travers de l’étoffe, dégouttant dans la bouche grande ouverte de la serveuse. Tout le monde applaudit, mais la belle me fait signe d’arrêter. Je dois alors me mettre debout, sortir mon sexe et arroser mon public.
Incroyable situation que cette partouze qui commence à s’animer. On m’attache un collier au cou, une laisse et on me place au centre de la pièce, pendant que tout le monde commence à se mélanger. Les corps s’enlacent, s’embrassent, s’enculent, se baisent. Seule mon inconnue reste à l’écart à regarder la scène, la tête de la serveuse bien calée entre ses jambes grandes ouvertes. Je bande comme un cerf, ça se voit sous mon slip trempé. Une femme vient me chercher, me déshabille, m’allonge par terre et tout le monde, sans s’interrompre, regarde la scène. Elle s’accroupit sur moi, c’est une blonde très épaisse mais avec la peau incroyablement lisse, une énorme vulve épilée. Je tends ma verge, attendant que cette femelle vienne s’empaler, mais au lieu de ça elle se met à me pisser dessus. Elle se vide complètement et je sens son urine chaude m’inonder le sexe. Un homme s’approche d’elle et se met à son tour à lui pisser dans la bouche, qu’elle ouvre largement. Ça déborde et j’en ai grandement ma part. Les cris fusent de partout et c’est la curée. Un homme me met à genoux et m’enfonce son sexe au plus profond de la bouche. Je veux me dérober, mais je vois le visage de mon inconnue à quelques centimètres de moi, fascinée par le tableau. Incapable de penser, je me surprends à effectuer une fellation avec entrain tandis que mon sexe bande de plus en plus. Une femme retire mon plug et l’enfonce brutalement dans le cul de l’homme que je suce et qui a juste le temps de se retirer pour m’éjaculer sur le visage. Tout le monde rit de moi, lorsque mon inconnue dit qu’il faut me nettoyer. Je suis couché par terre et c’est le déluge. Les femmes me pissent dessus, les unes debout, les autres accroupies tenant toutes une ou deux verges en main ou en bouche. D’autres se font prendre comme des bêtes, à quatre pattes, tentant de boire à l’une des innombrables sources.
Je me suis retrouvé ruisselant, toujours attaché, lorsque le calme est revenu. La serveuse, la seule habillée, est venue vers moi, m’a fait boire un verre et m’a entraîné sur un canapé, à côté de mon inconnue. Le silence s’est fait, tout le monde faisant cercle. Lentement la serveuse a retiré sa robe, puis son soutien-gorge, libérant deux magnifiques seins, puis sa culotte en dentelle, libérant une superbe verge à la peau translucide, avec un gland violacé que j’ai immédiatement engloutie. J’ai pompé comme si ma vie en dépendait, oubliant tout le reste, à deux doigts d’éjaculer moi-même, lorsque mon inconnue a tout arrêté. Elle s’est placée sur moi et m’a demandé de la lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse avec force. Puis elle s’est allongée sur le canapé, a guidé mon sexe à l’entrée du sien, m’interdisant d’aller plus loin.
La serveuse s’est placée derrière moi, vérifiant que le plug avait fait son œuvre, a positionné son membre sur ma rondelle, appuyant doucement, avant de me sodomiser d’un seul trait. Sous sa poussée, mon propre sexe s’est enfoncé dans celui de mon inconnue entrant et ressortant au rythme de plus en plus rapide imposé par la verge qui me pilonnait. Autour de nous tous les hommes rebandaient, se masturbant avec violence et plus d’une femme avait la main entre les cuisses. Contemplant ce spectacle, mon inconnue a joui avec une force incroyable, allant au-devant de mon sexe, provoquant des poussées encore plus profondes de ma sodomisatrice dont je sentis le sexe se gonfler avant d’exploser en longs jets dans les tréfonds de mon cul. Sans que je le sente vraiment mon inconnue s’était dégagée et me branlait vigoureusement. C’est en hurlant que je me suis vidé à mon tour, soutenu par la serveuse, pour ne m’apercevoir, qu’une fois revenu sur terre, que je venais d’éjaculer dans la bouche d’un homme ravi.
J’ai mis longtemps à me remettre de cette cavalcade. Lorsque j’ai récupéré, mon inconnue est revenue me voir. Elle était rhabillée, mais m’a empêché de me lever. Elle s’est assise confortablement sur moi en relevant son imperméable, m’a embrassé profondément et, en me fixant dans les yeux, m’a longuement uriné dessus. Elle s’est relevée, m’a assuré que la serveuse me raccompagnerait et m’a fait un signe de la main.
– Adieu gros cochon de pisseur !
Je ne l’ai jamais revue.
Fin
Quel récit formidable, j’en ai mouillé ma culotte
Petit récit délicieux
Un délice
Je n’avais jamais lu cette merveille ! Erection assurée !
Là au moins les amateurs de pipi en ont pour leur fantasme !