Il y a deux semaines, je faisais des courses avec ma copine et nous sommes entrés dans une petite boutique de vêtements pour hommes car un pantalon de toile à prix abordable était dans la vitrine. Nous demandons à la femme qui est en train de ranger des cartons si je peux essayer. Elle m’aide à trouver la bonne taille et me dirige vers une cabine d’essayage.
A sa façon de parler, ça doit être la patronne. Elle doit avoir la trentaine, brune avec des cheveux mi-longs assez raides, des yeux verts magnifiques (moi qui ne les remarque jamais), et un corps à faire envie à beaucoup de jeunes de 20 ans. Elle a la taille de « guêpe », des petits seins qui semblent fermes et des fesses serrées dans un pantalon élastique.
J’entre donc dans la cabine et tire le rideau. Mon amie reste devant et jette un coup d’œil de temps en temps pour voir si j’ai fini. Le pantalon est un peu petit et j’ai du mal à fermer la fermeture éclair qui doit être dure. La vendeuse (ou la patronne ?) s’approche et tout en ouvrant le rideau me lance un :
– « Alors monsieur, comment vous va cet article ? »
Je lui dis qu’il est un peu juste et elle m’en amène un autre immédiatement. Celui-là me va comme taille mais la fermeture doit être cassée. La vendeuse pousse le rideau et me voit me bagarrer avec la braguette, avec ma copine à côté de moi qui essaie de m’aider.
– « Pardon, j’ai l’habitude, je vais essayer ! » Nous lance la vendeuse.
Elle se met à genoux devant moi et tente d’actionner la fermeture éclair qui résiste. Je sens ses doigts qui effleurent mon intimité et je n’ose plus bouger. Il n’y a rien à faire, et elle me dit qu’elle va en recevoir la semaine prochaine. Je me rhabille et nous sortons avec ma copine.
Je me sens très troublé par ces presque attouchements et je projete d’y retourner la semaine suivante. Le mardi, en sortant du bureau, je décide donc d’y aller pour voir si elle a reçu sa marchandise. Le temps de m’y rendre, il est presque 18 h 45. J’entre dans le magasin et la même charmante femme m’accueille avec le sourire et me reconnaît car elle me dit tout de suite qu’elle a reçu les pantalons.
Elle m’en sort un et m’invite à entrer dans la cabine pour l’essayer. Elle me dit qu’elle va boucler la porte du magasin car elle ferme dans quelques minutes et que c’est toujours à ce moment-là qu’il y a plein de gens qui viennent. Je m’excuse de la déranger à cette heure, mais elle me répond :
– « Oh non vous ce n’est pas pareil, je vous avais dit de revenir aujourd’hui « .
Je me déshabille dans la cabine, consciemment ou inconsciemment, je m’aperçois que ce matin j’ai mis un slip qui est très petit et presque transparent. Je me dis « heureusement que je n’allais pas chez le médecin ».
Je viens à peine d’enlever mon pantalon et je commence à enfiler le pantalon de lin écru, que le rideau s’ouvre avec ma vendeuse qui me dit :
– « Alors cher monsieur, comment vous va-t-il, celui-ci ? »
Gêné, je me dépêche d’enfiler le pantalon et je m’emmêle les pinceaux comme on dit souvent. Enfin bref, je le boutonne et je monte la fermeture éclair et là encore, ça bloque. Elle me dit « laissez-moi faire ». Elle s’agenouille devant moi et essaye de monter cette fermeture récalcitrante. Elle aussi a du mal et elle passe carrément une main à l’intérieur du pantalon et de l’autre essaie de forcer. Je suis seul avec elle et ma gêne se transforme vite en excitation. Je ne peux pas la cacher longtemps et je me mets à bander comme rarement. Je sens ma queue qui se raidit prête à exploser hors de mon slip. Elle fait celle qui ne remarque rien et me dit :
– « Bon enlevez-le je vais vous en donner un autre ! »
Elle joint le geste à la parole, le déboutonne et tire sur les jambes du pantalon pour le faire glisser.
Ce qui devait arriver, arrive. Mon slip suit en partie le pantalon et elle se retrouve avec ma queue gonflée et écarlate qui rebondit devant ses yeux.
– « Oh » me dit-elle d’un air surpris. « c’est moi qui vous fait cet effet ? »
Je lui réponds que c’est à cause de sa main en essayant de monter la braguette. Je bredouille un « désolé » mais elle ne semble pas offusquée du tout. Au contraire.
Elle pose sa main gauche sur ma cuisse et je sens sa main droite qui remonte vers mes couilles. Je me laisse faire. Elle finit de descendre mon slip de sa main gauche et commence à me caresser la queue sur toute la longueur. Elle approche sa bouche et pose quelques délicats baisers sur mon gland avant de la prendre entièrement dans la bouche. Je suis aux anges, je n’y crois pas. Cette beauté est en train de me sucer la bite et elle a l’air d’y prendre goût. Je lui maintiens la tête de peur qu’elle n’arrête, mais pas de problème elle me suce comme une reine.
Je lui dis d’arrêter car je vais jouir. Elle se redresse et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent et j’en profite pour passer mes mains sous son pull de coton. Je dégrafe rapidement le soutien-gorge et soulève le pull pour sucer ses petits seins. Le bout est très dur et elle soupire des « oh oui c’est bon » entrecoupés de soupirs.
Sans m’arrêter, ma main s’insinue sous sa jupe et je sens une petite culotte de dentelle qui est déjà très humide. Je passe un doigt puis deux vers sa chatte qui s’ouvre comme la caverne d’Ali-Baba. De mon autre main, je défais la fermeture éclair sur le côté et la jupe ne tient plus que par ma main qui s’occupe dans sa fente trempée.
Je la soulève à moitié et la fait s’asseoir sur la chaise qui est dans la cabine. Je plonge ma tête entre ses cuisses et lui bouffe sa chatte inondée. Je passe du clito à son petit trou et m’attardant entre ses lèvres gonflées. Ce coup-ci c’est elle qui me tient la tête pour me maintenir en place.
Je ne sais pas combien de temps durent ces caresses, mais je n’en peux plus, j’ai envie d’elle.
Un préservatif arrive dans ma main (Madame avait donc prémédité tout ça), je me le place vite fait. Je relève la femme qui se retourne, m’offrant la vue de son petit derrière superbe. Je me colle à elle et m’enfonce dans sa chatte. Je l’ai tellement léchée et elle a tellement joui que ça rentre tout seul. Je suis si excité et elle aussi que nous jouissons ensemble en moins de deux minutes. Nous restons collés encore une minute, puis elle se retourne et recommence à me sucer.
Je suis persuadé que je ne pourrai pas rebander tout de suite mais je ne la connais pas encore.
Elle me suce, m’aspire, pendant qu’avec une main elle me caresse les couilles et avec l’autre elle entre un puis deux doigts dans le cul. Elle est très douée car en deux minutes de ce traitement, ma queue reprend des dimensions très honorables. Elle se redresse, se retourne et m’offre son petit derrière si excitant. Je lui lèche la raie et lui titille son petit trou avec la pointe de la langue. Je lui enfonce les doigts dans la chatte et de l’autre main je lui travaille l’anus. Elle commence à gémir et à se tortiller, preuve qu’elle aime ça.
Je me relève et me présente à l’entrée de son entrée secrète. Je l’ai tellement léchée, que ça entre tout seul sans forcer. Mes mains s’agrippent à son dos, à ses seins. Les siennes me caressent les couilles qui tapent contre sa chatte et elle se caresse elle-même. Je tiens le rythme pendant cinq bonnes minutes vu qu’elle m’a déjà vidé les couilles tout à l’heure, et elle jouit dans un râle de plaisir bruyant. Je la suis de très près et je vide mon reste de foutre au fond de son cul chaud. Nous sommes restés ainsi collés au moins deux minutes tellement c’était bon.
Après un brin de toilette dans l’arrière-boutique, je suis reparti en promettant de revenir quelques jours plus tard pour réessayer un autre pantalon et surtout pour recommencer la même partie de plaisir.
Je vous raconterai dès que j’y serais allé.
Le fantasme de l’arrière boutique… Si seulement ça existait dans le réel !
avec des vendeuses comme celles-là,le textile réembaucherait!